Justine, Jérôme, Rex et la famille.
Ch3. Nos jeux pervers.
Après cette partie de cul avec notre mère, une grande complicité était née entre nous trois. Justine et moi nous sommes rendu compte que nous avions une réelle addiction pour le sexe et la perversion ; nous trouvions tous les prétextes et saisissions toutes les occasions pour passer « en mode sexe ». Nous nous inventions des jeux et des épreuves toutes plus folles les unes que les autres ; nos maîtres-mots étaient : bite, sexe, cul, baiser, chatte, moule, sucer, sperme…
À la maison, à table, notre jeu favori consistait pour Justine à enlever le plus discrètement possible sa culotte pendant le repas. Pour ce faire, elle revêtait une minirobe, une minijupe ou un maxi tee-shirt. Elle se dandinait sur sa chaise pour arriver à faire glisser le sous-vêtement au sol et le faire disparaitre sans éveiller les soupçons de nos parents, mais surtout de papa. Une fois la culotte retirée, je m’amusais à lui caresser la minette de façon à l’exciter ; moi, je bandais comme un diable. Elle passait sa main dans mon caleçon quand j’en avais un et me malaxait les couilles et la bite de façon à obtenir une belle érection puis me branlait lentement, parfois jusqu’à l’éjaculation. Faire ce genre d’exercice le plus discrètement possible n’était pas chose aisée, mais avec de l’entraînement nous y arrivions, surtout que nous avions un allié : la télé allumée pendant le repas distrayait nos parents. Nous avons bien failli nous faire piquer plus d’une fois, ce qui rendait le jeu encore plus excitant.
La maison de nos parents qu’ils habitent toujours donne sur une rue un peu passante, de ce côté : une allée permet d’accéder au garage, une haie très basse en clôture laisse voir le jardin d’agrément orné de massifs de fleurs et d’arbres. À l’arrière de la maison, hormis le jardin potager, il y a une belle terrasse avec piscine et une cuisine d’été.
Nos parents étaient souvent absents le soir et le week-end ; maman avait retrouvé un travail, et papa était souvent en déplacement. Nous restions seuls ; nous pouvions donc nous adonner à notre passe-temps favori : le cul !
Un jour, alors que nos parents étaient partis le week-end complet pour rendre visite à la famille, peu friands de ce genre d’activité (les visites chez les oncles, tantes, cousins et cousines un peu coincés n’est pas notre tasse de thé), pour ne pas y aller nous avons prétexté préférer aller voir des copains. En réalité, nous somme restés à la maison pour pratiquer notre sport favori. Le jeu que nous avions prévu était simple : je devais garder une érection et Justine une excitation quasi permanente, mais sans arriver à l’orgasme. Pour ce faire, je devais me caresser dès que mon érection faiblissait. À chaque fois que l’un se caressait, l’autre devait en faire autant, envie ou pas ; le premier qui arrivait à l’orgasme devenait l’esclave de l’autre et devait réaliser tous ses caprices.
Dès que nous fûmes seuls, nous sommes passés à l’action : en un rien de temps nous nous sommes foutus à poil et avons commencé à nous auto-exciter. Justine se caressait le corps entier ; elle se passait les mains sur les fesses, les seins, le pubis, pour finir avec les doigts dans la chatte. Elle gémissait et couinait, le spectacle était divin.
Lorsque je sentais ma bite fléchir, je me caressais les couilles et la bite pour la faire se redresser. Pendant plus de trois heures nous avons joué à ce jeu ; Justine semblait de plus en plus excitée, et tout comme moi à la limite de l’orgasme. Je résistais tant bien que mal à l’envie de me branler pour en finir. Pour éviter de me toucher, j’ai commencé à imaginer ce que j’allais faire ou faire faire à ma sur quand elle allait perdre. Cet exercice était parfait car je bandais en permanence ; Justine se caressait avec délicatesse, ce qui me maintenait dans un état d’excitation très avancé. Elle adoptait des positions très osées et ses gémissements commençaient à faire venir en moi une envie de plus en plus pressante d’en finir. Elle s’approcha de moi appliqua ses tétons contre les miens et les fit jouer ensemble ; je ne pus tenir plus longtemps, et j’éjaculai : je venais de perdre le match, pour le plus grand plaisir de ma sur.
À moi de subir ses caprices ! Elle monta dans sa chambre et redescendit peu de temps après, vêtue d’un débardeur et d’un mini-short extrêmement moulant laissant deviner sa fente ; elle avait un petit sac de sport à la main. Elle me tendit un short identique au sien en me donnant l’ordre de l’enfiler, ce que je fis avec peine car il était très serré et avait du mal à contenir mes attributs. Elle enfila des claquettes et me demanda de la suivre. J’étais pieds nus avec comme unique vêtement ce mini-short. Elle m’entraîna par la porte du jardin qui donne sur le chemin permettant d’accéder au bois et à la rivière. Elle trottinait devant moi en petite foulées, son short lui moulant admirablement bien les fesses ; cette vue érotique me fit bander à nouveau. Les cailloux me faisaient mal aux pieds mais je la suivais vers mon destin. Arrivés dans le bois près de la rivière, elle s’arrêta, se retourna et désigna mon short du doigt.
Donne ! m’ordonna-t-elle.
Mais…
À poil, je te dis !
Je m’exécutai. Ma queue raide claqua sur mon bas-ventre dès qu’elle fut libérée de son carcan.
Viens ici et mets-toi là ! m’ordonna-t-elle en désignant le « ici » et le « là » du bout du doigt : un arbre.
Je m’approchai. Elle me saisit par le bras et me plaqua dos au tronc, m’attacha les poignets puis les chevilles en passant une corde derrière l’arbre.
Comme tu as perdu, tu vas être mon esclave et faire tout ce que je veux ! Es-tu d’accord ?
Excité par cette situation, je lui répondis sans réfléchir :
Oui, maîtresse, je ferai tout ce que tu voudras, je suis ton esclave.
Très bien ! Alors prépare-toi à avoir mal…
Terriblement excité, je bandais comme un Turc. Elle ôta son débardeur, m’offrant la vue de sa poitrine fière et arrogante. Elle saisit une branche de roseau et d’un coup de poignet la fit siffler dans l’air. Je compris que cet instrument m’était destiné ; la confirmation arriva immédiatement : elle en fit tournoyer l’extrémité qui vint frapper mes couilles à chaque tour. Les premiers chocs, légèrement douloureux, m’ont surpris ; je poussais de petits cris qui visiblement satisfaisaient mon bourreau. Elle fit une pause, adossée à un arbre en face de moi, puis commença à se caresser les seins, le pubis et sa fente à travers son short. Cette vision me mit dans tous mes états ! Je n’en pouvais plus ; une bonne branlette aurait été salutaire, mais elle n’avait visiblement pas envie de me soulager.
Elle reprit sa baguette et commença à me frapper la verge par petits coups rapides et de plus en plus forts depuis mes testicules jusqu’au bout de mon gland décalotté. Cette sensation jusqu’alors inconnue était sublime. J’avais de plus en plus envie d’éjaculer, mais je décidai de me retenir le plus longtemps possible.
Elle lâcha sa baguette, enleva son short et reprit ses caresses. Elle gémissait. Son regard sensuel, sa main qui courait le long de son corps, ses doigts qui entraient dans son intimité, ressortaient dégoulinant de son jus et qu’elle léchait avec délectation, cela me faisait vibrer tout le corps. Elle s’approcha, se colla à moi, me lécha les tétons puis commença à les mordiller pendant que ses mains s’occupaient de mes attributs. Elle fit rouler mes couilles entre ses doigts puis empoigna mon membre pour entamer une masturbation lente et méthodique. Sa main montait le long de ma verge, entraînant la peau pour recouvrir mon gland humide de mon pré-sperme, puis redescendait le plus bas possible en tirant sur la peau au maximum. Je sentais ma queue gonfler ; elle était dure comme la pierre, prête à exploser. Quelques mouvements de va-et-vient et ce fut l’explosion. Je gémis et lâchai des « Ah ! » de plaisir.
En silence ! Je ne veux pas t’entendre ! hurla Justine.
Je me tus, serrai les dents et laissai partir les jets de sperme pendant que ma sur continuait son mouvement. Au bout de quelques minutes de masturbation, elle cessa et me dit :
J’ai envie de te rougir les fesses…
Vas-y, je suis t’on esclave : fais de moi ce que tu veux.
J’étais toujours aussi excité car la jouissance qu’elle venait de me procurer était tout simplement sublime, et l’idée de me faire fouetter le cul me plaisait beaucoup.
Elle me détacha, me retourna et me rattacha les mains derrière le tronc, fit un tour autour de ma taille et tendit tellement la corde que mon torse et mon bassin se trouvèrent plaqués contre l’écorce rugueuse et piquante de l’arbre. Je sentais les pics contre mon sexe tendu ; je ne pouvais pas bouger d’un millimètre. Elle se plaça face à moi son mini-short en lycra à la main, s’en servit pour essuyer son entrejambe dégoulinant de son jus et me le fourra dans la bouche. Je me délectai de ce jus au goût suave.
Le premier coup de baguette fut presque une caresse ; les suivants, de plus en plus forts, me procuraient un plaisir assez étrange mais sublime. J’avais les fesses en feu. Les coups et le frottement de ma bite contre l’arbre me donnaient à nouveau envie de jouir, mais Justine s’arrêta et me détacha.
Allonge-toi sur le sol !
Je m’exécutai, allongé sur le dos à même le sol. Les branches, les racines proéminentes, les cailloux me meurtrissaient les fesses et le dos ; les bras le long du corps, docile j’attendis la suite. Elle sa plaça au-dessus de moi, un pied de chaque côté de mes hanches, s’accroupit et vint s’empaler sur ma bite sans dire un mot. Elle m’attrapa par les tétons qu’elle tordit dans tous les sens ; mon sexe était son gode qu’elle enfonçait au plus profond d’elle. Elle se mit à onduler, à gémi puis, les mains dans les cheveux, elle fut prise de spasmes. Ceux du bonheur ; ils furent longs et intenses. Elle s’allongea sur moi, ôta mon bâillon, m’embrassa avec fougue puis elle se retira.
Elle emboucha mon membre, se lança dans une fellation hors norme. Je n’en pouvais plus… Je sentis le picotement dans mes couilles, signe annonciateur d’une éjaculation imminente. Je me crispai pour mieux retenir mon flux, puis lorsque je ne pus plus me retenir, je lâchai tout dans la bouche de ma sur. Je l’entendis sucer, aspirer en me broyant les testicules avec ses mains. Elle se releva et me regarda, la bouche grande ouverte ; sa langue jouait avec mon liquide qui commençait à couler sur ses seins, puis elle déglutit et passa sa langue sur ses lèvres avec délectation.
Tu as été très bien, frérot, me dit-elle en se rhabillant et en replaçant le bâillon dans ma bouche.
Comme réponse je lui rendis un large sourire et j’acquiesçai de la tête.
Elle prit une extrémité de la corde qui avait servi à m’attacher, fit le tour de mes couilles puis un nud. Avec l’autre bout elle m’attacha les mains, fit passer la corde dans sa main et tira.
En route ! On rentre ! s’exclama-t-elle.
C’est alors que l’expression « tenir un mec par les couilles » prit tout à coup tout son sens : j’étais contraint et forcé de la suivre sur le chemin rocailleux. Parfois elle marchait, mais de temps en temps elle se mettait à courir, ce qui avait pour effet de tirer sur mon matos et de me procurer quelques douleurs. J’ai donc fait tout le trajet du retour à poil, les mains attachées, les couilles ficelées ; ma seule hantise était de croiser quelqu’un sur le chemin. Fort heureusement, nous ne rencontrâmes personne.
Une fois rentrés, Justine s’est occupée de m’enduire les fesses de crème tout en me questionnant :
Alors, tu as apprécié ?
C’était trop bien ; on recommence quand tu veux ! lui répondis-je avec enthousiasme.
D’accord, mais la prochaine fois tu prendras ma place et moi la tienne.
Tu es folle ! Je ne vais pas te frapper…
Si, je le veux. Moi aussi je veux connaître ce plaisir. Si tu refuses, nous ne ferons plus jamais rien ensemble ! Alors ?
Je ne pouvais pas refuser : me priver de cul n’était pas pensable. J’ai donc accepté.
Il faudra que tu me surprennes, que je ne me doute de rien le jour ou le moment où tu vas le faire, tu veux bien ?
OK, je vais te le faire, mais ne viens pas chialer si tu as mal ; et tout comme moi, tu acceptes tout ?
Oui.
Un mot de passe pour arrêter ?
Non.
La journée était bien avancée ; nous décidâmes de rester nus jusqu’à ce que nos parents reviennent, le lendemain. Comme mon rôle d’esclave n’était pas terminé, je dus préparer le repas pizza surgelée, un délice et servir mon adorable maîtresse la queue à l’air. En fin de soirée elle m’ordonna :
Pour finir la soirée, tu vas te branler devant moi en te caressant partout. Tu éjaculeras dans ce verre et tu boiras tout en continuant de te branler.
J’avais pris mon rôle d’esclave très au sérieux ; je me suis donc exécuté. Me branler devant ma sur était une nouvelle situation qui, je l’avoue, m’excitait terriblement. Mes oreilles étaient brûlantes, sans doute à cause de ce sentiment de honte mêlé à un sentiment de faute, d’interdit.
Je repoussais mes limites : j’avais sauté ma sur et ma mère ; pour un moment je suis devenu l’esclave de Justine, et j’étais en train de me branler comme je le faisais devant la photo d’une nana à poil sur un calendrier. Mes pensées se sont interrompues au moment où mon sperme a giclé dans le verre. J’ai regardé mon liquide blanc, visqueux et malodorant, mais comme je suis un mec, j’assume : j’ai pris le verre l’ai bu cul sec. C’était infâme ; cette odeur, ce goût : à vomir !
C’est bien, Jérôme, tu as assuré comme une bête. Ce soir tu dors avec moi ; je vais te câliner.
En effet, dans le lit de ma sur, le début de la nuit fut génial, la nuit douce, le réveil coquin.
Elle voulait être surprise ? Elle allait l’être !
À nous deux, Justine…
[À suivre]