Voici la suite de mes aventures au soleil chez Daniel et Marie
Pour rappel, Daniel m’a dépucelé la veille au soir (voir le chapitre 1)
Daniel fut le premier debout. Petit déj’ et c’est parti pour quelques kilomètres de course à pied. Je reste au lit avec Marie et nous commençons à nous embrasser et caresser tout doucement. Je voulais profiter de ce moment juste toute les deux pour vraiment faire l’amour avec elle. A ma grande surprise, j’avais presque autant aimer faire l’amour avec une femme qu’avec un homme, alors que je n’avais jamais imaginé le faire pour le premier cas et j’en rêvé pour le second. Marie se fit un plaisir de me doigter, chose qu’elle se refuser pour éviter de percer mon hymen. Ce fut très tendre et tout en douceur. Si bien que Daniel arriva après son footing et nous retrouva en 69 à prendre tranquillement notre pied. La réaction ne se fit pas attendre.
Je m’étais mis au dessus de Marie et j’avais donc ma croupe bien cambrée face à lui. Je fut agréablement surprise en sentant sa queue s’enfoncer d’un coup dans ma chatte accompagnée par la langue experte de Marie sur mon clito. Après quelques aller-retour, Marie se glissa hors du lit et vint embrassé son homme qui ne s’arrêta pas pour autant de me bourrer. Dans cette position, ils avaient une vue imprenable sur mon cul. Marie se pencha et commença à le titiller avec sa langue. Je sursautais car je n’avais jamais eu de contact sur mon petit trou auparavant. Mais à la surprise vint par dessus un plaisir non négligeable. Je la laissa faire me disant que, depuis 2 jours, je n’avais jamais été déçu de leur caresse. Sa langue s’immisçait à l’intérieur de mon petit trou légèrement et je trouvais ça bon. Elle recula et alla à sa table de chevet qu’elle ouvrit pour prendre un tube que je compris par la suite être du lubrifiant. Elle s’en mit sur un doigt et sur mon petit trou qui palpitait à ce contact froid. Daniel s’arrêta, sa queue au fond de mon vagin, pour laisser le temps à Marie de m’enfoncer tout doucement un doigt.
— Mmmmm, c’est bien étroit par là ! Je suis sûr que tu vas aimer mon chéri !
— QUOI !!! Je tourne la tête d’un coup. Mais non !! Pas par là !!! Et elle est beaucoup trop grosse !!! Il va me déchirer le cul !!
— Ne t’inquiète pas, pour l’instant, il ne fait rien. C’est mon doigt. Il ne fera rien tant que tu ne seras pas prête pour ça. Détends-toi et tout ira bien.
— Tu nous fais confiance, non ? Tout c’est passé sans douleur jusqu’ici. Je te promets que je vais faire en sorte que tu ais que du plaisir. Je ne vais pas te déchirer le cul comme tu dis.
Et c’est vrai que l’initiation qu’ils m’ont prodigué ne m’a apporter que du plaisir. Mais l’idée de me faire sodomiser me crispait. Il faut dire que, même toute seule, je ne me suis jamais occupé de ce passage. A die vrai, l’idée ne m’avait même jamais effleuré l’esprit. J’essayais malgré tout de me détendre. Je sentais le doigt de Marie glisser (merci le lubrifiant) dans mon fondement sans trop de douleur. Mais c’était son doigt, relativement fin. Cela permet à mon petit trou de s’habituer à une présence étrangère tranquillement. Pendant se temps, Daniel faisait de très lent aller-retour dans ma chatte pour maintenir mon excitation et mon plaisir.
Après quelques instants, Marie insère un second doigt et commence à les tourner dans mon anus en les faisant entrer et sortir pour le détendre encore plus. Je dois admettre que cela n’était pas désagréable. Je me surpris même à pousser quelques petits cris de jouissance. Après tout, ils font vraiment tout pour que je prenne du plaisir depuis 2 jours donc pourquoi m’inquiéter !
— Je crois qu’elle est prête, dit Marie à son homme.
— Allons y alors. Cambres toi encore un peu pour facilité ma pénétration.
Je lui obéis et me cambre au maximum. Marie m’écarte les fesses pendant que Daniel se met du lubrifiant sur sa queue et encore un peu sur mon petit trou. Je sent son gland se poser sur ma rondelle et pousser tout doucement. L’action de Marie et du lubrifiant permet à son gland de forcer tranquillement mon anus qui se déforme pour accueillir se nouveau venu. Une sensation étrange m’envahit. Un mélange de plaisir de sentir son gland s’enfoncer dans mon cul, de douleur même si légère (son gland était relativement gros) et de détresse de ne pas savoir comment ça va se passer. Je sent ma rondelle se refermer derrière son gland pour enserrer sa tige. Il s’arrête et attend
— Tu vas bien ? Pas trop mal ?
— Un peu mais ça va. ça me brûle légèrement tout de même.
— Ok, je vais rester quelques secondes pour que tu rectum s’habitue à ma queue. Parce que tu est très étroite par là. Mais c’est sacrément bon ! Marie, tu peux peut-être faire quelque chose pour adoucir ce moment ?
— Avec plaisir !
Et elle s’allonge sous moi, la tête au niveau de mon entre-jambe. Je sent alors sa langue venir fouiller mes grandes lèvres et chercher mon clito. Cette manoeuvre à pour résultat de me faire avoir un mouvement de recule dû au plaisir. Mouvement réflexe qui fait s’enfoncer un peu plus la queue de Daniel en moi. Etrangement, ça va, je n’ai pas mal, au contraire. Daniel attrape mes hanches et commence à donner un léger coup de bassin pour faire entrer de quelques centimètres de plus sa queue. Son but avoué étant de faire entrer la majorité sinon la totalité des 19 cm de sa queue. Je n’ai pas mal, au contraire. L’action de Marie me fait oublié que je me fais enculer. Il faut dire qu’elle sais y faire avec sa langue !
— Oh putain c’est boonnn !!
— Tu l’aimes ma langue ma belle ?
— Oh oui, ta langue sur ma chatte et la queue de Daniel dans mon cul, c’est trop booonn !!! Baisez-moi tous les deux !!!!
A ces mots, Daniel commence de lents va et viens en allant jusqu’à la butée de mon sphincter avec son gland et replonge en entrant un eu plus à chaque fois. Marie quand à elle ajoute à sa langue 2 doigts dans ma chatte qu’elle fait entrer et sortir sans ménagement. Je commence à partir dans une jouissance énorme.
— Voilà, je suis à fond ! Pour ta première sodomie, tu t’es pris 19 cm complets ! Félicitation
— Tu peux y aller maintenant mon chéri !
— Avec plaisir ! Accroches-toi bien ma belle, tu vas t’envoler !
Il m’agrippe encore plus fermement les hanches, recula rapidement pour s’enfoncer d’un coup violent jusqu’au fond. Je pousse alors un cri de gros plaisir mais avec une pointe de douleur tout de même. Je préfère ne rien dire pour me pas briser le moment et les laisser faire. Commence alors conjointement un pilonnage en règle de mon cul d’un côté et de ma chatte par 3 doigts que Marie venait de me remettre. L’effet fut extraordinaire !
J’eus un orgasme magique. Ce double pilonnage durera 5 bonnes minutes avant que Daniel ne ressorte sa queue pour jouir par longs jets sur mes fesses. J’ai pris cher mais ne me plaint pas. J’ai pris mon pied de manière incroyable. Marie se redressa pour venir me lécher les fesses de la semence de son mari puis vint me rouler une pelle pour m’en donner un peu. Je regarda alors la bite de Daniel pas encore débandé complètement.
Il comprend tout de suite et l’approche de ma bouche. Je lui nettoie complètement (moins difficile lorsqu’elle n’est pas trop dure). Mais je ne suis plus avec eux, je suis ailleurs, dans un rêve éveillé. Je m’assoie sur le canapé et les regarde s’embrassé, se caresser, me regarder en me souriant et me disant des choses que je n’arrive pas à comprendre. Je m’endors alors dans un profond sommeil sans pouvoir le retenir. Ce fut une grosse journée après tout.
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Je me réveille le lendemain matin dans la chambre d’ami, toujours nue. Je regarde l’heure : 10h30. Je me lève et descend au rez-de-chaussée. Daniel est là, il m’avait entendu descendre et me préparait un petit déjeuner complet.
— Hello princesse au bois dormant ! Alors, bien dormi ? Me demande-t-il en me prenant par la taille et en déposant un baiser sur les lèvres.
— Très bien ! Désolé de m’être endormi comme ça hier soir, je n’arrivais pas à garder mes yeux ouverts.
— Pas de soucis, t’inquiètes pas. Marie est partie faire des courses pour ce midi. Elle m’a dit qu’elle voulait t’emmener faire les magasins cet après-midi.
— Super ! ça va me reposer un peut !
— Oui tu en as bien besoin après les 2 jours que l’on vient de passer. Et il ne faudrait pas que l’on te rende complètement vidée à ta tante demain !
— C’est vrai, mais bon, vous êtes des sportifs, on pourra toujours prétexter que vous m’avez fait faire du sport ! Ce qui ne serait pas tout à fait faux au final ! Nous rigolons de ma remarques.
Le temps de prendre mon petit déj’ et une bonne douche, Marie était rentrée du marché. Je m’habilles léger mais sexy. Petite robe à bretelle avec un soutien-gorge très fin pour ne pas être visible dessous et un string en dentelle qui va avec, des escarpins à talon plat en prévision de la marche à pied prévu dans le centre-ville et je suis prête.
— Hello Cindy, tu vas bien ?
Je m’approche d’elle et l’embrasse à pleine bouche.
— Très bien et toi ?
— Bien merci ! Daniel t’a dit, cette après-midi on fait les magasins. J’ai besoin de quelques vêtements et J’ai vu avec ta tante, j’ai un budget si tu trouves quelque chose pour toi !
— Cool !! Merci !
— Ah ! Et ce soir, nous avons des invités. Ils sont très gentils, tu vas voir. Mais c’est un repas très important pour Daniel.
— Ok, lui répondis-je un peu déçu. Je m’attendais à passer notre dernière soirée ensemble à s’envoyer en l’air. Mais je ne suis pas chez moi, ce repas devait être prévu de longue date.
— Par contre, tenue sexy obligatoire pour tout le monde d’où mon besoin de faire les magasins.
Ces dernières paroles, le regard coquin et le ton suave employé me fait dire que la soirée pourrait être intéressante… A voire
Nous partons vers 14h faire notre après-midi lèche-vitrines dans le centre-ville de Bandol. Le but, me dit-elle, est qu’elle se trouve une nouvelle robe et quelques sous-vêtements. Nous commençons par la robe. Après quelques magasins sans succès, nous arrivons dans une boutique où Marie trouve une superbe robe fourreau noire échancrée sur le côté gauche jusqu’à mi-cuisse. Elle lui fait un corps exceptionnellement sexy.
Nous continuons à regarder car elle veux que j’en trouve une aussi. Apparemment, les invités de ce soir sont assez huppés et, de ce que j’en comprends, le repas pourrait aboutir sur un financement pour Daniel lui permettant de monter son entreprise. Nous jetons notre dévolu sur une robe descendant au dessus du genoux, mais pas tout à fait à mi-cuisse, moins prêt du corps que celle de Marie mais me faisant un décolleté abyssale et mettant en valeur mes fesses. Le prix rentre dans le budget donné par ma tante donc pas de problème.
— Bon, maintenant que pour l’extérieur c’est bon, occupons nous de ce qu’il y aura en dessous ! Je connais une boutique de lingerie qui fera parfaitement l’affaire !
Elle est en mode surexcitée et je ne peux qu’emboiter le pas. Nous arrivons devant un magasin de lingerie dont la vitrine montre quelques ensembles qui rendraient fous n’importe quel homme ! Marie doit être une bonne cliente car elle est accueillie par une vendeuse l’appelant par son nom. Je commence à regarder les articles de mon côté pendant que Marie part essayer un ensemble en dentelle. Elle m’appelle depuis la cabine d’essayage et, en arrivant, je reste bouche grande ouverte. Elle est juste une bombe atomique dans cette ensemble.
— Il y a un problème ? Me dit-elle d’un air mutin
— Non, non, non, au contraire !! Tu es juste à tomber !
— Merci ma belle.
La vendeuse arrive alors avec une paire de bas et un porte-jarretelles. Marie ne prend pas la peine de fermer la cabine et enfile le tout. Elle passe alors la robe acheté plus tôt pour voir si tout colle ensemble. La fente de la robe remonte jusqu’à la limite des bas. Juste parfais !
— A toi maintenant, il faut trouver quelque chose allant avec ta robe.
Je sorts la robe de son sac pour la montrer à la vendeuse pour qu’elle se fasse une idée de ce qui serait le mieux.
— Je pense savoir ce qu’il vous faut. Déshabillez-vous dans la cabine, j’arrive !
Le temps de me mettre à nu dans la cabine et le rideau s’ouvre sur la vendeuse avec un ensemble noir composé d’un string, de bas et d’une guêpière. Celle-ci est en dentelle et tulle semi-transparente et les seins ne sont que supportés mais juste soutenu par le dessous, laissant mes tétons libres. J’enfile avec l’aide de la vendeuse le tout et enfile la robe bleue claire. Le tout est très agréable à porter et le contact du tissu de la robe directement sur mes seins très excitant. Cela se voit bien car ils commencent à pointer.
— Très sexy ma puce, tu vas faire tourner des têtes ce soir !
— En tout cas, je me sent super bien !
— Bon, reste plus que de te trouver des chaussures adaptées et ce sera parfait ! On prend le tout ! C’est pour moi !
— Quoi ? Non ! Tu vas te faire rembourser par tata !
— Ma chérie, c’est pour te remercier de tout ce qui c’est passer depuis 2 jours, c’est mon cadeau. Et elle me dépose un baiser sur la bouche devant la vendeuse pas du tout surprise ou gênée.
Dernier arrêt donc chez un vendeur de chaussure. Nous trouvons des escarpins avec talon aiguille de 8 cm de haut. Heureusement que j’ai déjà eu se type de chaussure, sinon ça aurait été compliqué. Avec nos sacs sous les bras, nous rentrons à la maison où Daniel avait fait quelques préparatifs.
— Alors, montrez moi vos achats !!
— Tututut, tu attendras ce soir, c’est une surprise !!
— Quoi, ah non, pas d’accord !!!
— Héla, fait marché ton imagination mon chéri. Je peux juste te dire que tu vas aimer !
— Pffff OK, dit-il d’un air faussement boudeur.
Le reste de l’après-midi, nous le passons à préparer le repas, la table pour 7 (deux couples sont attendus) et quelques baiser voler par ci par là. Les invités étant attendus pour 19h30, nous montons nous préparer, Marie et moi, vers 18h45. Il faut bien ça entre les vêtements, la coiffure et le maquillage. Notre apparition en haut de l’escalier a l’effet escompté sur Daniel. A savoir décrochement de mâchoire et yeux tout rond.
— Alors là, vous êtes juste…. juste… pourquoi on a des invités ??? Maintenant, j’ai une gaule pas possible !! Vous êtes magnifiques toutes les 2.
— Merci mon amour, c’était le but, lui répond Marie en lui posant une main sur son entre-jambe pour flatter la bosse qui avait commencé à se former. Quelques minutes plus tard, les invités arrivent.
Le premier couple, Pierre et Claire, est un important investisseur de la région voulant miser de l’argent dans une entreprise innovante, accompagner de sa femme. Ils ont dans les 50 ans, lui grand et légèrement bedonnant sans être gros, elle petite et avec un corps que l’on devine entretenu dans les salles de sport.
Le second couple se compose de Laure et Damien, la trentaine tous les deux. Il s’agit d’une banquière de la région venu pour parler du budget nécessaire à Daniel et de son compagnon. Elle a un corps élancé du même genre que Marie avec une poitrine légèrement plus développée. Son compagnon est juste à tomber.
Et je comprends alors en les regardant tous les 4 l’importance de la tenue portée. Je suis présentée comme la fille d’ami en vacances pour quelques jours. Comme le diner a été prévu le matin même pendant que je dormais, ce n’est pas un problème. Les présentations de chacun vont vite puis qu’apparemment, ils se sont tous croisés par le passé.
— Je dois reconnaitre que vous êtes toutes magnifiques mesdames, lance Pierre.
— Merci beaucoup Pierre, vous n’êtes pas mal non plus, lui réplique Marie.
Nous passons dans le salon où l’apéritif est servi. Jusqu’au repas, ce n’est que discussion autour du projet de Daniel et tout le monde participe à l’exception de moi qui commence à trouver le temps long. Je fais de beaux sourires mais m’ennuie ferme.
Nous prenons ensuite place à table où les discussions se poursuivent. Marie se place en bout de table pour pouvoir aller plus facilement à la cuisine chercher le repas. Viennent ensuite Pierre et Daniel face à face avec Laure à coté de Daniel. Je suis à la droite de Pierre avec à ma gauche Claire. Damien se tient à coté de Laure. Durant le repas, après quelques verres de vins, les discussions s’écartent du projet et viennent sur des sujets plus à ma portée pour pouvoir participer. Marie me demande de venir l’aider en cuisine.
— J’ai l’impression que tu t’es bien fait chier jusqu’à présent, je suis désolé.
— Pas de soucis, ne t’inquiète pas. Je comprends. Mais là c’est mieux, plus des conversations "normales".
-Oui, j’ai vu que tu participais un peu plus, c’est bien. J’ai l’impression que Pierre t’apprécie vu comment il te matte.
— Tu crois ? Je n’ai pas fait attention…
— C’est l’avantage d’être en bout de table, on voit tout !
Et nous ressortons avec les assiettes de la cuisine. Une fois le plat quasi-terminée, les bouteilles bien vidées, l’atmosphère devient étrange. Les rires sont plus fréquents, le phrasé moins recherché et les mains baladeuses… J’évitais un sursaut lorsque je senti la main de Pierre venir sur mon genou gauche et remonter lentement ma cuisse remontant de ce fait ma robe déjà bien relevée. Elle s’arrête sur la commissure de mes bas et passe vers l’intérieur de ma cuisse. La surprise fut d’autant plus grande que ce n’était pas camouflé et que tout le monde le voyait faire sans rien dire, bien au contraire. J’étais gênée sachant que sa femme était à ma droite mais celle-ci eu une réaction singulière
— Je pense que mon mari t’aime beaucoup ma belle, me glisse-t-elle à l’oreille. Et je le comprend, tu est superbement excitante.
Je la regarde droit dans les yeux et la voit esquisser un sourire voulant dire "je te baiserais bien tout de suite sur cette table". Je regarde Marie qui me lance un sourire convenu et m’aperçoit que les 2 mains de Laure avaient disparu sous la table et ses bras faisaient des mouvements on ne peu plus explicite vers Daniel et Damien. Celle-ci me lança un sourire et un clin d’oeil voulant tout dire. Pendant ce temps, la main de Pierre avait atteint un point trop refermé de mes cuisses pour pouvoir continuer sa progression. Je le regarde et m’aperçoit que lui aussi, d’un regard avide. Je comprends alors que la soirée ne va pas être ennuyeuse et j’écarte ma jambe gauche de manière à permettre à Pierre de continuer. Le repas est important pour Daniel, il ne faudrait pas le décevoir !
— Mes amis, si nous allions dans le salon pour poursuivre la soirée ? Propose Marie
— Oui, très bonne idée, rétorque Claire
Tout le monde se lève et je vois les bosses déformant les pantalons de Damien et Daniel. Nous nous dirigeons vers le salon et la situation "dégénère" aussitôt. Laure, assise sur un fauteuil, attrape Daniel et lui sort sa queue qu’elle embouche aussitôt. Marie me rejoint sur le canapé avec Pierre et s’active rapidement à me retirer ma robe. Claire et Damien quand à eux, sont dans un autre fauteuil en train de se dévêtir en caresse. Sans que je n’ai eu le temps de le comprendre, Marie me bouffait les seins pendant que Pierre s’activait à faire de même sur ma chatte.
Bientôt, tout le monde se retrouve nu pour les hommes, ou en sous-vêtement tous plus sexy les uns que les autres pour les femmes. Je remarque d’ailleurs que le porte-jarretelles est de sortie sous différentes formes pour chacune de nous. Je profite de se moment pour détailler les corps des invités. Pierre, sous son apparence débonnaire, dispose d’un sexe incroyablement long et gros. Damien et Daniel jouent dans la même catégories l’un et l’autre. De beaux engins donc.
Pierre s’est positionné à genoux entre mes jambes et me lèche le clito comme un pro. Il fait avec 2 doigts des aller-retour rapide mais non brutaux dans ma chatte. Marie nous a délaissé pour venir aider Claire pour sucer à deux le membre de Damien. Daniel, lui, est en train de baiser la bouche de Laure. Très rapidement, Pierre me demande de me lever, il s’allonge sur le canapé et me demande de le sucer. Je me mets en position de 69 et nous commençons à prendre du plaisir tout les deux. C’est lorsque je le prends en bouche que je me rend compte à quel point sa queue est énorme ! Elle me rempli totalement la bouche et j’ai du mal à aller plus loin que la moitié. Cela ne semble pas le déranger et il me dit de continuer, que c’est très bien comme je m’y prends.
Marie pose sur la table basse une boite de capote et en prend un pour mettre à Damien. Je tend la main et en prend un pour Pierre. J’ai envie de sentir sa queue dans ma petite chatte fraichement dépucelée. Il se laisse faire mais me demande de me mettre à quatre pattes pour me prendre en levrette. Je m’exécute sans trainer. Il commence à faire aller et venir son gros gland entre les lèvres avant d’enfoncer d’un coup de rein sa queue dans ma chatte.
— Ouah, c’est bien étroit ! Tu n’as pas dû en prendre souvent des grosses comme la mienne !!
— Oooohhhh ouiiii c’est trop bon !!!!
Je relève la tête et vois que Laure est à cheval sur Daniel mais lui tournant le dos. Nous nous regardons et je profite quelques secondes de la vision de la queue de Daniel entrant et sortant de sa chatte au rythme de ses sursauts. Je n’ai pas le temps d’en profiter car Pierre commence à me besogner la chatte assez vigoureusement. Je part alors aussitôt dans un plaisir me faisant fermer les yeux et je profite de sa queue qu’il a réussi à entrer complètement à ma grande surprise au vue de sa taille.L’homme est endurant et me tiens fermement par les hanches tout en faisant claquer son ventre contre mes fesses à chacune de ces entrées. Je sent un puissant orgasme monter et mes cris de jouissance montent en intensité.
— T’aimes ça ma grosse bite, hein ? T’aimes ça quand je te bourre la chatte comme ça !!!
— Ouuiiiiii !!!! Défonces moi !!!!!! Je vais jouir !!!! vas-y plus fort !!!!!
Et là, surprise, il se retire d’un coup, me laissant pantoise et désabusée. Je me retourne pour voir se qu’il fait. Il éclate de rire en voyant mon visage fâché et interrogateur.
— Ne t’inquiète pas, tu vas jouir, mais pas tout de suite ! Pas comme ça ! Je peux t’assurer que tu ne vas pas perdre au change…
Sur ces mots, il s’allonge sur le canapé et me dit de venir sur lui, mais d’y aller doucement pour profiter le plus longtemps possible. Je lui obéis docilement, trop heureuse de retrouver son membre en moi. Je commence donc à monter et descendre sur sa verge dressée pendant qu’il me caresse les seins lorsque je sens une main sur mes fesses et un doigt inquisiteur entre elles. Je tourne la tête et voit Claire en train de me titiller l’anus en me lançant un regard complice.
— Elle est bonne sa queue hein ? Tu prends ton pied ma petite ??!!
— Oh oui elle est trop bonne !! C’est la première fois que j’en ai une si grosse !!
— Et ta chatte est juste super étroite, je la remplie complètement et ton vagin m’enserre plus qu’il ne faut ! Tu es vraiment trop bonne !
Claire m’enfonce alors son doigt dans le cul, m’arrachant un petit cri d’approbation. Je me mis alors a donner des coups de bassin de manière à m’enfoncer et la queue de Pierre et le doigt de Claire comme une seconde bite. Le plaisir grimpa crescendo lorsque Claire introduisit un second doigt.
— Elle est pas farouche en tout cas ! Je suis sûr qu’elle aimerait bien une autre bite dans son cul à la place de mes doigts !
En entendant ces paroles, Marie fit comprendre à Damien qui était en train de la prendre sauvagement de s’approcher de moi. Je compris ce qui allait se passer et m’arrêta net de bouger. Pierre acquiesça et je senti Marie m’écarter les fesses pendant que Damien prenait place derrière moi. Claire était à côté de moi et me donna un baiser lorsque Damien força sans préavis dans mon petit trou. Je poussais un cri de surprise et, je dois l’avouer, un peu de douleur, en sentant cette seconde bite me remplir mon deuxième orifice. Très vite, Pierre se mis a donner des coups de rein en rythme avec Damien. Je commençait à monter en pression et mes cris devenait de plus en plus fort.
Claire vint alors se mettre à quatre pattes devant moi, son sexe à hauteur de ma bouche. J’eu du mal à faire ce qu’elle attendait de moi tellement ma jouissance était forte. J’étais, il faut le dire, secouer de spasmes dû à la jouissance et à l’orgasme montant et par les coups portés par mes 2 amants du moment. Marie vint me donner un "coup de main" en me pressant la tête contre la chatte de Claire. Je fit de mon mieux pour accomplir mon job. Mais très vite, j’explosais lorsque l’orgasme arriva enfin.
cela ne calma pas mes deux partenaires qui continuaient de me bourrer les orifices de plus en plus violemment. J’étais encore dans l’euphorie de mon orgasme lorsque je senti le second arriver tout aussi puissant. Pierre avait du mal à se retenir de jouir et se retira avant que cela n’arrive, tandis que Damien se retirait aussi pour venir me présenter sa queue devant la bouche. Je l’ouvrir et il déchargea de long jets de sperme dans ma bouche que j’avala goulûment. Pierre bascula alors derrière moi pour pouvoir profiter de mon cul dont l’oeillet ne c’était pas encore refermé. Là, je la senti passer ! Un gland de plus de 5 cm qui vous écarte le fion, même s’il vient d’être (très bien) défoncé, ça ne rentre pas comme ça ! J’avais mal, c’est peu de le dire, mais Pierre ne s’arrêta pas à mes revendications et força plus fort. Il atteint enfin son but dans un cri de douleur et d’un peu de plaisir assourdissant. Daniel et Laure qui en avaient fini de leur côté vinrent voir le "spectacle".
— Dire que je l’ai dépucelé il y a deux jours et qu’aujourd’hui elle se fait prendre en double et enculé par une bite énorme !! J’en revient pas !!!
— Quoi ? Hier elle était vierge du cul ??? lance Damien et Claire en coeur
— Heu non, elle était vierge tout court. Je l’ai dépucelé lundi soir et le cul hier…
— Incroyable ! Je comprends mieux pourquoi elle est si étroite !! rétorqua Pierre. Mais c’est si bon !!! Je vais pas pouvoir tenir longtemps !!
Et de fait, après 3 ou 4 aller-retour suffisant pour me faire une nouvelle fois jouir, il sorti d’un coup sa queue et vint me jouir de long et épais jet de sperme sur le visage (il n’a pas eu le temps d’atteindre ma bouche, cible original de sa jouissance). Je me retrouvais là, à quatre pattes sur la canapé, le cul et la chatte explosé, le visage dégoulinant de sperme.
— Pffiuu, tu es une vrai machine à faire jouir les hommes ma petite ! me flatta Pierre.
— Je suis d’accord ! renchérirent Damien et Daniel.
— Et pas que les hommes, je peux vous le confirmer.
Marie, sur ces mots, vint accompagnée de Laure me lécher le visage du sperme encore présent. J’avais du mal à tenir cette position mais Claire passa derrière moi pour, de sa bouche, calmer le feu de mon cul et de ma chatte. Après ce nettoyage en règle, chacune des trois femmes présentes virent m’embrasser et me féliciter pour ma prestation. Les 3 hommes étaient reput et se prenaient une bière pendant que Laure et Marie s’occupaient de la pauvre Claire, seule femme n’ayant pas eu le droit à une bite. Elle ne perdit pas au change et partie très rapidement dans un magnifique orgasme.
Pour ma part, je reprenais doucement mes esprits en regardant ces personnes m’ayant donner tant de plaisir pendant 3 jours en me disant que demain, c’était fini. Avant ça, je me pris un verre de vin que Daniel me tendait. Je me levais et l’embrassais à pleine bouche. Je fis de même avec Marie qui en plus eu le droit de venir avec moi sur un fauteuil libre pour que je lui bouffe la chatte comme un remerciement. Laure, jalouse de ne pas avoir pu jouir avec moi, se mis derrière moi pour me bouffer la chatte et je m’aperçu que sa langue était très agile, beaucoup plus exercée que celles de Laure et Marie. Je finissais donc la soirée en donnant un orgasme à Marie et en en ayant un de la part de Laure.
Une fois nos invités partis, nous rangeâmes rapidement la salle à manger et le salon et la douche fut très appréciée. Nous nous retrouvîmes tous les 3 dans le même lit pour un sommeil reput et bienvenu dans les bras des uns des autres. Au réveil, je trouvais Daniel à côté de moi, Marie de l’autre côté. Je ne put m’empêcher de descendre prendre une dernière fois la queue de mon premier amant en bouche pour lui donner un réveil le plus agréable possible. Les râles de Daniel réveillèrent Marie que j’invitais à s’installer à côté de son homme. Je passais de la queue de l’un à la chatte de l’autre jusqu’à obtenir les jouissances espérées dans ma bouche.
Deux heures après, j’étais en voiture avec eux pour repartir chez ma tante. En l’espace de 72 heures, j’avais perdu mon pucelage vaginal, anal, j’avais couché avec une femme et je m’étais faite mettre en double pénétration. Et dire que j’aurais pu rester les 3 jours seules chez ma tante !
Je leur promis de revenir les voir dès que possible. Ce que je fis au vacances de février dans un autre contexte puisque, pour me remercier d’avoir aider Daniel à décrocher l’investissement nécessaire de Pierre (apparemment, ma prestation non prévue avec lui avait été appréciée), ils m’invitèrent 2 semaines en vacances au ski en février. Bien sûr sans que ma famille ne sache qui je retrouvais là-bas. Officiellement, je partais en vacances avec des amis de mon age. Pas totalement faux puisque j’embarquais dans mes valises ma meilleure amie.
