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Une passion délicieuse – Chapitre 2




Ah, peut-être ai-je oublié de préciser que ce récit ma été narré pendant que la belle me suçait lors dune délicieuse séance de qui ma parue infinie et qui a été une des meilleures de ma vie. A plusieurs reprises elle a joué avec mon sexe en bouche pour pouvoir me faire jouir uniquement après avoir fini son histoire.

Déjà très ouverte, cette petite séance de confession érotique fit quAurélie prit un immense plaisir à ce quon se voit tous les jours pour une séance de fellation anthologique. A sa pause déjeuner, le matin en sonnant chez moi à 6h, presque sur mon palier et en repartant aussi sec une fois notre plaisir atteint, à mon bureau tard, au sien tôt

Javoue avoir adoré mais jétais frustré que nos jeux se limitent à cela et je le lui dis. Nous alternions alors pipe et séance plus longue et confortablement installés.

Lors dun soir où javais décidé de lui rationner son verre de lait quotidien, je lui rendais la pareille, installé entre ses cuisses largement ouvertes et profitant de prendre tout mon temps pour la lécher, suçoter, caresser, déguster Après de nombreuses et délicieuses minutes passées ainsi, deux orgasmes, un petit dentrée de jeu et un beaucoup plus long, lent et intense à venir, elle décida de poursuivre ses confessions Tout en me délectant de son intimité, voici son récit, un peu compacté car entrecoupés de jouissances non retranscrites ici.

— « Je tai dit que jaimais par-dessus tout sucer et le sperme. Cest vrai mais peut-être ai-je oublié dêtre exacte et de te dire que je naime pas que ça et que jadore aussi lécher et le goût dune petite chatte humide. »

Commençant un peu à connaître la coquine, cela ne métonna pas outre mesure. Elle continua alors

Javais 19 ans et je passais les vacances dété avec mes parents dans leur maison près de Sète. Il faisait beau et chaud mais je ne connaissais personne dans le coin et mes journées étaient agréables mais vite monotones : piscine, plage, lecture, promenades Bref, je commençais à mennuyer un peu et ne connaissant personne, mes parents ne voulaient pas que je sorte.

Mes parents ont été invités à une soirée chez les voisins et mindiquent que jétais également invitée. Cool, je vais pouvoir sortir un peu et voir du monde même si je doute quil y ait des jeunes de mon âge. Cette soirée va être une bouffée doxygène et qui sait

Pour cette soirée javais revêtue une robe simple, légère, mais assez décolletée qui laissait deviner un adorable soutien gorge en dentelle. Comme mes jambes commençaient à être bien bronzées, une paire descarpins à hauts talons cachant à peine mes pieds fins, mais forçant la cambrure du mollet me ferait avoir une silhouette qui ne passera pas inaperçue.

Nous arrivons chez le voisin qui a une immense propriété et une demeure incroyablement grande. Une petite vingtaine de personne est déjà là et même si je parais la plus jeune, un peu tous les âges sont présents.

Comme il fait encore chaud, les invités peuvent déambuler entre lintérieur, la terrasse et la pelouse. Il y a déjà beaucoup de monde quand nous entrons dans la salle, et après les saluts et les présentations dusage on navigue parmi la foule dinvités. Pas mécontente du tout, je constate que beaucoup de regards se perdent dans mon décolleté ou le long de ses jambes. Certains hommes osent même un sourire à mon passage, et je me dis que sans mes parents près de moi jaurai déjà été accostée.

— « Viens, je vais te présenter Denis sexclame mon père, je laperçois au bout du bar. »

Sans trop avoir le choix, je lui emboîte le pas, il rejoint un homme qui doit avoir une bonne quarantaine.

On me présente et Denis prend au vol le bras dune jeune femme qui passe pour me présenter sa nièce, Christelle.

Une fille que je navais pas encore remarquée se retourne alors. La nièce de Denis est très belle et elle dégage une sensualité extraordinaire qui fait naître chez moi des sensations nouvelles.

Les présentations sont faites. Christelle tend une main aux longs ongles parfaitement manucurés. Le contact est très sensuel dautant plus quen lâchant ma main elle laisse traîner ses doigts qui me caressent la paume, tous en plongeant son regard dans le mien dune manière troublante. Je rougis légèrement et la détaille davantage. Petite trentaine jaurai dit, sa silhouette paraît proche de la mienne si ce nest ses cheveux plus courts avec des reflets roux. Elle porte une robe assez courte et un décolleté qui cache difficilement sa poitrine.

Il y a un énorme buffet et des tables sont dispersées un peu partout dans la salle, sur la terrasse et le jardin proche. Après avoir remplis nos assiettes, nous nous installons et rapidement Christelle se joint à nous, accompagnée de son copain qui sympathise très vite avec mes parents.

La conversation file bon train, passant des sur un peu tous les sujets. Je ne participe pas car mon attention est focalisée sur Christelle avec qui jéchange des regards et des sourires qui commencent doucement me chauffer.

Dun coup je sursaute. Le pied de ma voisine a touché le mien et le contact nest pas du tout accidentel. Il se fait même plus appuyé. Elle sourit et participe un peu à la conversation, tout en continuant son petit manège. Je ne sais pas trop jusquoù elle va oser aller Allers-retours sur ma chaussure, ma cheville, remontant un peu, puis redescendant. Après un moment qui ma paru une éternité, elle retire son pied après avoir frôlé mon genou puis fait une légère pression pour ouvrir mes jambes. Quelle déception. Ce nouveau jeu ma mis en émoi et javoue être déçue et frustrée.

Pas pour longtemps puisque rapidement je ressens un délicieux contact contre ma cheville, mais cette fois déchaussé. Christelle recommence, un peu plus vite cette fois ces caresses et jai peur que lon nous voit ainsi mais en regardant rapidement personne ne fait attention à nous.

Mes parents se lèvent ainsi que Sébastien le copain de Christelle et nous proposent de les suivre pour faire le tour de la propriété. Le contact sous-table cesse et nous répondons que plus tard peut-être nous les rejoindrons. Ils partent, enfin, nous laissant seules à table. Elle reprend son petit jeu délicieux.

Je nose rien dire Elle me demande si jaime. Je nose trop répondre. Avec un air malicieux elle me menace darrêter si je naime pas. Jarrive à bredouiller que non, au contraire ma voix se perd un peu car de son pied elle mintime décarter mes genoux. Je continue en lui disant que je ne suis pas attirée par les femmes mais que cest très agréable et bizarre à la fois comme sensation.

Elle me dit que dès quelle ma aperçue, elle a eu envie de moi. Laisse toi faire tu ne le regretteras pas sont les mots que jarrive à lire sur ses lèvres muettes.

— « Je vais faire tomber ma serviette, et tu vas la ramasser. », me propose Christelle.

Je me penche sous la table et peut enfin voir le pied qui me caresse, un pied extrêmement fin aux ongles ornés dun rouge carmin. Les deux jambes sécartent un peu plus, et mon regard se pose sur un sexe complètement lisse dont les lèvres gonflées commencent à briller dhumidité.

Je remonte, certainement rosie par cette vision

— "Je ne me promène pas toujours les fesses à lair rassure-toi, mais ce soir je sentais quil allait se passer quelque chose, et javais envie den profiter. Librement."

Elle ajoute que je dois porter un string à son avis et que je le retire là, maintenant. Il y a du monde autour de nous et javoue avoir un peu peur. Elle me rassure en ajoutant que personne ne fait attention à nous, ce dont je doute vus les regards croisés à mon arrivée. Je suis paniquée mais excitée à la fois. Je ne suis pas exhibitionniste mais je ne peux nier lhumidité croissante entre mes cuisses.

Le plus discrètement possible, je glisse une main sous ma robe, puis, en soulevant une fesse et puis lautre jarrive à me débarrasser de mon string qui glisse doucement le long des mes jambes.

Pour la deuxième fois je me plie sous la table, le ramasse prestement et le glisse dans mon sac.

Quand je reprends ma position bien droite sur ma chaise, Christelle me regarde dun air satisfait et se laisse aller un peu plus en arrière.

Sous la table le pied de Christelle reprend son exploration et écarte mes jambes, puis, avec une douceur infinie, caresse lintérieur de mes cuisses en passant de lune à lautre. La sensation est alors extraordinaire, la plante du pied est si douce que les caresses sont comme du velours. Il ne me faut pas longtemps à pour que ce petit traitement me fasse monter des ondes de plaisir. Maintenant je me moque bien de tout ceux qui mentourent et je nai quune envie, mais je ne sais plus trop laquelle

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