Minuit venait de sonner. La touffeur ne semblait jamais vouloir disparaître ! Monique, la grand-mère d’Aurélien était montée se coucher après le film qu’ils avaient regardé à la télé. Martine, la bonne avait fini son travail et devait être dans sa chambre au second étage, depuis un moment déjà.
Aurélien décida qu’il était temps d’aller la rejoindre comme il le lui avait promis. En passant au premier étage il alla embrasser sa grand’mère.
— Je monte rejoindre voir Martine, tu n’es pas fâchée ?
— Mais non, va t’amuser mon grand !
— Tu ne veux pas participer, ce soir ?
— Non je suis moulue, tu m’as tellement secouée ces deux derniers jours ! J’ai encore mal aux abducteurs, je ne peux plus marcher ! Je n’ai plus ton âge ! Allez, va !
Rassuré, il grimpa au second. Un rai de lumière filtrait sous la porte de la chambre de la bonne. Sans frapper, il ouvrit la porte et entra dans la chambre.
Martine était dans la salle de bain. Elle était assise sur la cuvette des W.C. Surprise par l’intrusion du garçon, elle essaya de dissimuler sa nudité en croisant les bras sur ses genoux.
— Tu pourrais frapper, je fais mes besoins !
— Que je ne coupe pas l’envie ! Quand ça presse ! ! !
— Sors et ferme la porte, je ne veux pas que tu me regardes !
— Ici, c’est moi qui décide et toi tu obéis !
— Aurélien, tu n’es pas très gentil ! Moi, je ne t’ai rien fait !
— Tu pisses ?
— Non !
— Alors finis de chier ! Ça te soulagera ! Et puis écarte un peu tes jambes que je te regarde faire !
— Tu es dégoûtant ! Tu n’es vraiment qu’un gros cochon !
Néanmoins, elle obéit et ouvrit largement ses jambes. Il l’examinait comme un maquignon au foirail. C’est vrai qu’elle était grosse. Ces cuisses grasses, pleines de cellulite, cette touffe épaisse de poils noirs qui lui mangeait le bas-ventre, ces gros nichons qui pendaient le troublaient. Autant sa grand-mère était racée, autant Martine faisait grosse vache ! Mais, au fond, il aimait bien et l’idée de peloter, de pétrir toute cette viande ne lui déplaisait pas. Ce qui l’excitait le plus dans la situation, c’était de savoir qu’il la dominait et qu’elle était soumise. Elle acceptait tout sans regimber, il en été persuadé !
Martine réussit à se décontracter et, avec peine, à libérer son rectum. Elle se sentait honteuse d’être obligée de faire devant le gamin. Elle n’osait pas se relever pour s’essuyer.
— Aurélien, sois gentil, retourne toi pendant que je m’essuie ! J’ai trop honte !
— Non ça me stimule ! Regarde, tu me fais bander !
Elle céda à son caprice et debout, jambes écartées, elle se torcha !
— Voilà ! T’es content ! Tu m’as vue !
— J’espère que tu t’es bien vidé l’intestin, je ne voudrais pas foutre ma bite dans un cul plein de merde !
— Arrête de parler comme ça ! C’est dégoûtant ! Un gamin de ton âge !
— Cesse de geindre ! Va plutôt te laver ! A propos, depuis quand t’es pas lavée ?
— Je me suis douchée ce matin, si tu veux savoir ?
— Eh bien ! Ça doit sentir bon, entre la transpiration, la pisse et le reste ! J’ai pas envie de baiser une grosse sale ! Allez ! sur le bidet et vite ! Tu veux que je t’aide ?
Tandis que Martine se lavait, faisant clapoter l’eau dans sa chatte et la raie de son cul, Aurélien s’était fichu à poil et lui avait mis sa pine dans la bouche. Il donnait des coups de cul comme il l’eut fait dans son sexe. Il lui maintenait la tête pour qu’elle ne reculât pas lorsqu’il s’enfonçait au fond de sa gorge. Cependant il se contrôlait. Il ne voulait pas décharger trop vite. Il voulait qu’elle lui fasse le grand jeu et il ne voulait pas gaspiller ses forces trop vite. Depuis la veille, il s’était pas mal soulagé ! C’était juste un amuse-gueule !
Martine, à l’image de son corps, était sans caractère. Elle subissait sa vie. Jamais elle n’avait pris la moindre initiative. Elle obéissait. Toute jeune déjà, il fallait que sa mère lui dise ce qu’elle devait faire. Avec une taloche, la plupart du temps pour s’assurer qu’elle avait bien compris !
C’est pourquoi elle acceptait tout naturellement la nouvelle attitude d’Aurélien à son égard. Jusqu’alors elle l’avait considéré un peu comme s’il avait été son fils. Elle faisait tout pour le gâter lorsqu’il était en vacances chez sa grand’mère. Mais elle n’était pas étonnée non plus que, depuis la veille, il la traitât comme sa femelle. Elle était déjà prête à accéder à tous ses désirs.
— Ah ça suffit comme ça ! Je ne t’ai pas demandé de te branler salope ! Ton trou du cul, il est propre, j’espère !
— Aurélien, arrête, ne parle pas comme ça, je t’en supplie !
— Et cesse de m’appeler Aurélien ! C’est moi qui commande, un peu de respect ! Dis : « Monsieur Aurélien », compris ! Allez ! penche-toi que je sente ton cul. S’il pue encore la merde, je te fiche une raclée dont tu te souviendras !
— Il est propre, j’ai pris la peine d’enfoncer mes doigts dedans pour bien le laver !
— Bon, tu es une bonne fille, obéissante. Je t’aime comme ça ! On va sur ton lit, on sera plus à l’aise ! Allez ! Couche-toi ! Et ouvre bien tes grosses cuisses, que je t’examine !
Martine étalait sa viande, docile. Il lui écarta la chatte, la renifla et apparemment satisfait, y plongea trois doigts qu’il commença à agiter au fond de son vagin.
— Mais c’est un gouffre que tu as ma salope, attends, je vais y enfoncer ma main. Tu te sentiras moins vide !
— T’es fou ! Tu vas me déchirer !
— Ta gueule ! Tu sais pas ce qui t’attend !
C’était maintenant tout son poing qui barattait son ventre. Il pistonnait son con sans ménagement, encouragé par les couinements qu’elle poussait. Elle s’habituait peu à peu et se détendait. Il pouvait entrer et sortir son poing fermé sans difficulté. Elle mouillait, la garce ! Jamais son ventre n’avait été fouillé de cette façon !
— Alors, c’est pas bon ? Même un âne pourrait te baiser !
— Continue, branle-moi encore doucement, pousse bien au fond ! Oh, oui, c’est bon !
— Tu vois, tu n’es qu’une grosse pute ! Allez ! Dis le que t’es une chienne qui aime se faire ramoner la conasse !
— Oui, oui, je suis une grosse chienne, ta chienne !
— Bon ! Maintenant on change de porte !
— Qu’est-ce que tu va me faire ?
— Mais ce que tu es gourde ! Écarte tes fesses avec tes mains, dégage bien la raie de ton cul, je vais m’occuper de ton petit trou !
— Ah non ! Pas ça, j’ai encore mal depuis hier !
— Ferme-la !! Allez ! Ouvre-toi !
Son anus était fermé. Il n’avait pas du être souvent sollicité en dehors de sa fonction naturelle. Pas comme celui de sa grand-mère, un véritable cratère strié et défoncé, qui restait en permanence entrouvert ! Il est vrai qu’elle avait commencé par-là ! Alors depuis le temps, il en avait vu passer des queues !
Quant à la bonne il y avait du travail !
Aurélien commença par cracher de la salive sur l’orifice pour le mouiller. Avec son doigt il appuya doucement le faisant pivoter sur l’anneau. Monique gloussait, ce n’était pas si désagréable, tout compte fait ! Le nez collé à son cul, le garçon crachait encore pour bien humidifier toute la raie. Quand il sentit que le muscle anal était suffisamment souple, il enfonça son majeur dans le rectum de la bonne qui se trémoussait. Au passage elle cria, le doigt la brûlait. Elle resserra instinctivement les fesses mais il continuait à lui fouiller le boyau. Le doigt à l’intérieur, c’était comme si elle avait une envie de faire ses besoins. Il le ressortit enfin et le renifla.
— Tiens, sens l’odeur de ton cul ! Suce mon doigt, il est tout gluant ! Tu vas te régaler !
Elle eut mouvement de dégoût.
— Suce ou tu dérouilles !
— J’ai pas l’habitude !
— Bonne occasion pour commencer, allez ! Suce mon doigt et vite !
Tout compte fait, ce n’était pas désagréable ! En revanche quand il entreprit de lui foutre dans le cul un, puis deux, puis trois doigts, elle crut qu’elle allait se trouver mal. Il avait forcé le sphincter sans ménagement et il le dilatait indifférent à ses plaintes. Il lui déchirait le fion et la branlait comme il l’avait fait auparavant dans sa chatte ! Soumise, il se laissait casser le cul sans regimber. Il était le « Maître » !
— Alors, comment tu trouves ? Tu vois que ton gros cul est prêt à avaler ma bite maintenant.
— Tu ne vas pas encore me prendre par derrière, dis ?
— Que si, c’est dans ton cul que je veux jouir ! Tu vas pas être déçue, mes couilles sont pleines !
— Tu feras doucement, Hein ?
— Mais oui, tu sais bien que je t’aime !
Il avait compris qu’en alternant mots durs et mots tendres, elle allait fondre, cette conne !
Il bandait comme un âne. Il posa ses jambes sur ses épaules, le gland pointé sur l’entrée convoitée. Le gland força la porte, elle soupira puis se détendit. Cette bite enfoncée dans son rectum lui procurait des sensations nouvelles. Ses muqueuses s’habituaient à ce membre chaud et dur. Les couilles du garçon venaient battre sur ses fesses. Instinctivement, lorsqu’il allait s’échapper de la gaine anale, elle l’agrippait par les fesses et tendait son bassin en avant. Le va-et-vient s’accélérait, son plaisir, d’abord diffus, montait et envahissait tout son bas ventre. Elle se laissait aller. La brûlure avait disparue. Elle sentait qu’elle mouillait et que ça coulait entre ses fesses.
Aurélien s’était retiré subitement. Elle eut l’impression d’un vide dans son ventre. Il lui avait fourré sa bite dans la bouche !
— Tien, c’est le jus de ton cul ! Profite-en ! Je veux voir ta langue sur mon gland !
— Reprends-moi, vite, enfile ta pine dans mon cul ! Ramone ta chienne ! J’en veux encore !
— Eh ben ! Tu y prends goût, ma salope ! Branle-toi le clito pendant que je t’encule !
Il avait repris sa place dans l’intestin de cette truie déchaînée ! Le plaisir arriva très vite ! Il n’en finissait pas de se vider ! Tandis que son sperme lui remplissait le fion, cette grosse sale branlait son clitoris comme une folle ! Il triturait les cuisses, la tirant contre lui pour s’enfoncer encore davantage. Lessivé, il s’écroula sur elle, la bite encore dure, toujours fichée dans son cul.
— Putain, tu m’as tué ! J’en peux plus !
— Oh ! Mon petit lapin, moi aussi je suis vannée ! C’est la première fois que je jouis comme ça ! Reste encore, j’aime te sentir en moi !
— Eh ! Je ne suis pas une machine ! Et puis, je vais me passer sous l’eau, je suis en nage !
Elle l’avait rejoint dans la baignoire et l’aidait à se laver.
— Putain j’ai envie de pisser ! Tiens baisse-toi, tu vas me regarder faire !
Il avait dirigé le jet sur elle et l’arrosait. L’urine chaude coulait sur son visage et dégoulinait entre ses seins. Elle ouvrit la bouche !
— A toi maintenant ! Pisse-moi dessus !
Il s’était allongé au fond de la baignoire. Accroupie, face à lui. Elle écarta sa chatte et se libéra. Il en prenait plein la figure le jet chaud.
— Avale, avale petit cochon ! A moi de me vider ! Et puis lèche-moi le cul, je sens ton sperme qui coule entre mes fesses !
— Tu sais, je vais finir par t’adorer, salope !
Il l’avait quitté, le lit était trop étroit pour dormir à deux surtout avec cette chaleur ! Il redescendit au premier pour regagner sa chambre. Il allait y entrer lorsqu’il se ravisa.
Il ouvrit doucement la porte de celle de sa grand’mère. Elle dormait ! Il se glissa sans bruit dans le grand lit et vint se blottir contre elle. La fatigue eut vite raison de lui. Il s’endormit aussitôt !
Chris. A suivre .