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vol 451 pour Paris – Chapitre 1




"Le sable blanc et fin, leau chaude et transparente, les cocotiers » Sont les arguments indispensables dune plage de rêve.

Le prospectus n’avait pas tort je viens de passer une semaine de rêve à l’île Maurice.

Je m’appelle Paul, j’ai 24ans, je suis grand et sportif. Le séjour touche à sa fin , il faut rentrer à Paris.

Le taxi me dépose à l’aéroport. Le soleil frappe comme un coup de hache sur ma nuque quand je sors du véhicule.

Autour de moi, un flot de voitures multicolores déverse des hordes de touristes à la peau blanche, rouge ou bronzée. Sur le trottoir, en fumant une cigarette, j’admire une dernière fois les nuances bleus de l’océan qui s’étale à l’horizon, ultime souvenir à rapporter au pays.

L’aérogare de construction ancienne est saturé.

La chaleur est étouffante, pas de climatisation, juste de gros ventilateurs au plafond qui brassent paresseusement un air brûlant.

Sur un écran de télévision, je repère la zone d’enregistrement et m’y dirige.

La file d’attente s’étire à n’en plus finir, je prends place et sors un bouquin de poche pour tuer le temps.

J’ai du mal à me concentrer dans cette cohue et ce brouhaha. Des hauts parleurs crachent régulièrement des annonces incompréhensibles, je dois relire plusieurs fois la même page.

A quelques mètres devant moi, au milieu de la foule, j’aperçois un couple.

La femme est splendide, dans les 35 ans, la peau mate, dorée par le soleil.

Elle a de grands yeux noirs, une bouche charnue.

Brune, de taille moyenne, elle porte un jean taille basse qui moule de petites fesses rebondies.

Il se dégage d’elle un érotisme si puissant que j’en abandonne définitivement mon bouquin.

Je la vois de profil, assise sur sa valise, tandis qu’elle discute avec son compagnon.

Et ce tee-shirt! Le tissu est distendu par une opulente poitrine.

Ses seins sont disproportionnés par rapport à sa silhouette.

Elle se lève, se dirige vers la buvette en bambou toute proche et reviens avec deux canettes de soda. Son soutien-gorge, dont je devine le dessin, n’arrive pas à maintenir au repos des seins qui balancent doucement au rythme de ses pas.

J’essaye de me faire le plus discret possible mais j’ai du mal à me détourner de cette vision.

Plusieurs fois elle se penchera devant moi, pour arranger son bagage.

Je distingue nettement la ligne sombre qui sépare ses deux globes.

Quand elle se met à rire, après une remarque de son homme, qui n’arrive pas jusqu’à mes oreilles, elle est encore plus belle.

Ça y’ est, j’ai ma carte d’embarquement: coté couloir.

Je dépense mes derniers billets au bar de la salle d’attente, un verre de rhum local, ça aidera à me détendre dans l’avion.

Une grande baie vitrée me laisse contempler la nuit qui vient de tomber sur la piste de décollage, délimitée par de petites lumières bleues. Derrière, la lune éclaire la montagne.

IL fait toujours aussi chaud, je transpire et le couple à disparu.

« -Je vous souhaite un bon retour au pays monsieur »

Lance le serveur, ravi du généreux pourboire laissé sur le zinc.

L’avion est bondé, plus une place disponible.

J’avance difficilement dans le couloir étroit.

Devant moi une femme avec deux enfants en bas âges plutôt turbulent.

J’espère que je ne serais pas assis à coté d’eux.

Non, c’est bon!

J’aide la mère à ranger son bagage cabine dans le Rack et continue à me frayer un chemin.

26D, mon siège.

Je m’assieds et ouvre de suite le journal récupéré à l’entrée de l’avion, pendant qu’autour de moi l’agitation qui précède le décollage se prolonge.

"-Excusez moi monsieur, je suis assise là."

Une voix d’ange, je lève les yeux: la fille de tout à l’heure!

Son sourire est étincelant.

"-Bien sur"

Je la laisse passer. C’est une rangée de trois sièges au milieu de l’appareil, elle vient s’asseoir à coté de moi. Bientôt rejointe par son mari qui occupe la dernière place.

L’ hôtesse peut bien venir me proposer une place en 1ère classe pour rien au monde je ne bougerais d’ici!

Nous partageons le même accoudoir et je ne tarde pas à sentir son bras effleurant le mien quand elle déplie son magazine.

Penchée vers son mari elle elle discute à voie basse avec lui.

« -Mignon……. »

C’est le seul mot que je saisis.

Elle parle de moi?

C’est prétentieux, je sais, mais je ne vais pas mentir.

J’ai pas mal de succès avec les filles. Elles ne sont pas attirées par mon bagou, ça c’est certain. Je suis d’un naturel timide. Néanmoins, après des heures acharnées de torture dans une salle de musculation j’ai réussi à sculpter un corps dont je suis assez fier.

Lumière tamisée, ceintures de sécurités bouclées, L’avion décolle.

Je reprends, toujours à la même page, la lecture de mon roman, ma voisine casque sur la tête, zappe les chaînes du petit écran de télé privatif. Je peux sentir son parfum mélangé à une odeur de monoie, sûrement un produit dont elle a enduit ses longs cheveux noirs.

Soudain, je la vois, le plus naturellement du monde, passer les mains dans son dos, sous son tee-shirt et dégrafer son soutien-gorge. J’imagine que c’est pour être plus à l’aise pendant le voyage.

Elle l’accroche sur dossier du siège devant elle.

Début d’érection.

Dentelle noire, la taille du bonnet est impressionnante, j’aperçois l’étiquette blanche qui dépasse, 85F

Je sais, ce n’est pas très élégant, mais je ne peux m’empêcher de jeter de petits regards furtifs vers elle maintenant…

Le dessin de ses mamelons apparaît sur le tissus qui se soulève à la cadence de sa respiration.

Son ami n’a rien loupé de la scène lui non plus, il se blottit contre elle et empoigne un sein tout en déposant des baisers dans son cou. Elle semble savourer puisqu’elle lui caresse la nuque en signe d’encouragement.

Pourtant elle finira par repousser la main baladeuse quand la cabine retrouvera la lumière après l’extinction des consignes de sécurité.

Le dîner est servi. Ma voisine me sourit quand je l’aide à attraper son plateau repas. Nous n’avons toujours pas échangé un seul mot.

Sur mon écran de télévision je choisi un film américain et bascule le dossier du fauteuil pour une position plus confortable.

Elle fait de même, et remonte sa couverture sur ses jambes puis feuillette un magazine, je sens toujours le contact de sa peau, son bras appuyé sur le mien. Les sièges ne sont pas bien larges. Son mari sort une boite de somnifères, je reconnais la boite verte, et en avale deux successivement.

Bientôt il sombre dans un sommeil profond, masque sur les yeux.

J’aimerai en profiter pour engager la conversation, sans réel arrières pensées, juste histoire de passer un bon moment, je cherche ne trouve rien à dire, et finis par m’assoupir à mon tour.

Pour combien de temps? Une heure, deux heures? Je ne sais pas.

Je sursaute et sors de ma torpeur!

Sa main enserre mon biceps , sa tête est posée sur mon épaule, elle semble dormir.

Maintenant la cabine est plongée dans la pénombre, seulement éclairé par quelques liseuses, pas un bruit, outre le ronronnement des réacteurs.

Je m’enhardis, bougeant légèrement le bras, premier contact avec son sein , je peux juger de sa consistance, il n’est pas très ferme, tout ce que j’aime. L’excitation monte.

Dort-elle encore?

Ma main passe la frontière de l’accoudoir et se pose sur sa cuisse, comme un innocent geste de sommeil.

Elle à bougée, changée de position, se rapprochant encore de moi, la pression de sa poitrine sur mon bras est encore plus forte.

Bouffée de chaleur.

Je me tourne vers elle, il devient de plus en plus difficile de faire semblant de dormir.

Ma main quitte sa cuisse, remonte centimètre par centimètre, et se pose sur sa poitrine.

Tant-pis si elle crie au scandale, je cours le risque!

Le sang me monte au visage, mon pouls résonne dans mes tempes, métronome de mon excitation.

Je la sens tressaillir, elle remonte la couverture sur son torse pour cacher la caresse.

N’y pouvant plus je serre entre mes doigts son téton déjà dressé il est dur long et large.

C’est à peine perceptible pourtant je sais que sa respiration s’accélère, sa bouche s’entrouve.

Le pelotage dure un moment, je soupèse chaque sein à tour de rôle, tirant sur les pointes. Les pétrissant à pleine main.

Mon sexe toujours à l’étroit dans mon jean va exploser. La bosse déforme mon pantalon.

Je tire le plaid, déboutonne mon pantalon et sors mon sexe.

Ma timidité reste au placard.

Je remonte l’accoudoir qui nous séparait encore, attrape sa main, et la plaque sur mon sexe. Immédiatement elle encercle ma verge de ses doigts et me masturbe énergiquement.

Je suis au bord de l’explosion.

La caresse ralentie, elle se penche à mon oreille.

« -retrouve moi dans les toilettes juste devant dans une minute »

murmure t-elle.

« -d’accord »

Ce n’est pas la meilleure des répliques mais c’est tout ce que je trouve à dire.

Elle rabaisse son haut, m’enjambe, souriant au passage et s’avance dans l’étroit couloir pour disparaître dans le cabinet de toilette.

J’attends le temps nécessaire pour faire baisser cette énorme érection. Je sens mon cur battre dans mes tempes.

Son homme dort profondément, on l’entend ronfler de concert avec d’autres passagers.

La porte en accordéon est à peine entrouverte laissant filtrer un peu de lumière dans la pénombre.

Heureusement, il n’y a personne.

J’entre..

L’endroit est minuscule, éclairé par de petits spot au plafond. La femme est face à moi, souriante, magnifique. Elle a mit du rouge sur ses lèvres.

A travers son tee shirt j’aperçois la forme de ses seins, énormes, en poire légèrement tombants, Les tétons semblent vouloir percer le tissu.

Je l’enlace: elle se serre contre moi. Je bande instantanément, mon sexe est plaqué contre son ventre. Sa poitrine écrasée contre mon torse, elle me tient à la taille. Je caresse ses fesses, elles sont rebondis, fermes.

Je l’embrasse, ses lèvres sont chaudes, humides. Le baiser ne dure qu’un instant, déjà elle se baisse, accroupie, le visage à hauteur de ma queue, elle dégrafe le bouton de mon jean, qu’elle baisse jusqu’aux genoux, d’un geste rapide, emportant mon caleçon par la même occasion.

Ma bite se libère d’un coup, gorgée de sang, gigantesque érection.

« -putain! Elle est grosse… » dit-elle d’une voix gourmande.

D’une main elle me masturbe, de l’autre elle malaxe mes testicules.

Le visage à quelques centimètres, elle ne rate rien du spectacle.

Je vais jouir. Pas maintenant! J’en veux plus.

Des deux mains je délivre brusquement ses deux énormes mamelles, qui tombent lourdement sur son torse. La lumière crue, projetée du plafond, accentue leur tailles, les épaules rejetées en arrière, elle les tend vers moi.

De longues veines bleues courent sur la masse de ses seins, la peau est fine, tendue à lextrême. On devine nettement la marque blanche laissée par son maillot de bain.

Ses mamelons larges et foncés contrastent comme deux îlots perdus au milieu d’un océan mammaire. Les tétons, antennes du désir, se dressent devant mes yeux.

Elle est toujours accroupie,

Je soulève ses seins des deux mains, elle vient placer mon sexe au milieu. Commence un va et vient furieux . Elle glisse une main dans son pantalon, se masturbe frénétiquement.

Ma bite disparaît, enfouie sous la masse de sa chair

J’imagine que tous les hommes, passés entre ses bras, ont du vouloir lui faire subir le même traitement et ça mexcite encore plus.

« -J’ai envie de te prendre la chatte!»

Je rêve de la prendre debout, penchée en avant et de voir ses nichons balancer sous mes coups de butoir.

« -Non, que les seins et la bouche!»

rétorque t-elle.

Tant-pis je vais me contenter de se qu’elle m’offre c’est déjà beaucoup.

J’interromps ma «branlette espagnole » et viens glisser ma queue entre ses lèvres.

Elle ne me suce pas c’est moi qui prend sa bouche faisant glisser toute la longueur de mon sexe, puis, ressortant, pour l’envahir de nouveau.

Scène obscène.

Sa salive dégouline sur mon sexe. Je continue à malaxer ses deux mamelles, les soulève en les attrapant par les tétons, les secouant énergiquement.

Ses doigts s’activent sur son bas ventre.

Elle sort ma queue de sa bouche et me branle de sa main libre.

« -Frappes mes seins! » dit-elle.

Elle bombe le torse, je m’exécute. Ils balancent sous les claques timides.

« -Plus fort! » lance t-elle.

Je m ’exécute.

Le bruit caractéristique des seins s’entrechoquant décuple mon excitation.

J’essaye de glisser une main dans sa culotte, elle me repousse, voulant finir le travail elle même.

Le miroir, au dessus du petit lavabo reflète son visage, les yeux ouvert braqué sur ma verge.

Soudain ses traits se crispent, elle ferme les yeux, lâche plusieurs petits cris qu’elle essaye en vain de maîtriser.

Elle jouit.

A genoux devant moi, son orgasme passé, elle soulève ses deux gros seins vers moi, les tenant en coupe, la tête penchée en arrière.

Je suis debout, le pantalon aux chevilles, et me branle sans perdre une miette du spectacle.

Bientôt je sens la sève monter, geyser de sperme.

Mon éjaculation ne veut plus s’arrêter. Par saccade je couvre son torse de petite flaques d’un blanc crémeux.

«- Arrose moi encore c’est bon! » lance t-elle.

Elle en est couverte, je vise chaque seins à tour de rôle cherchant à atteindre ses larges aréoles.

Une fois mes testicules vidées, elle étale le sperme sur sa peau avec ma queue

« -C’était trop bon, merci! » murmure t-elle.

En plus j’ai droit à des remerciements, ben merde!

« -heu non ,c’est moi… »

L’excitation une fois retombé, ma timidité reprend ses droits.

Elle pose un baiser sur mon front et m’accorde un sourire.

Pantalon remonté, je quitte les toilettes la laissant se nettoyer au lavabo.

Personne dans le couloir, c’est vraiment mon jour de chance.

Je regagne mon siège, son mari dort toujours.

Plongé rapide dans un sommeil sans rêve: je suis déjà loin quand la femme vient se rasseoir.

L’hôtesse tire un lourd chariot et distribue les plateaux du petit déjeuner, quand je recouvre mes esprits.

Les hublots de l’appareil projettent une lumière vive qui fait mal aux yeux.

On ne va pas tarder à atterrir. Je le vois sur lécran qui indique la position de l’appareil

Ma voisine, déjà servie, discute avec son homme, une histoire de voiture à récupérer au parking, je ne connais même pas son prénom, il l’appelle constamment: bébé.

Est-il de connivence? J’en sais rien.

L’hôtesse me sourit.

« -thé ou café monsieur? »

« -Je prendrais du café, merci »

Plusieurs fois, avant l’atterrissage, je me retournerai vers cette femme qui m’a donnée tant de plaisir, cherchant sans succès, à accrocher son regard.

Elle m’ignore consciencieusement.

Je mange sans appétit, mal à l’aise.

Sur une tranche de pain j’étale le contenu d’un minuscule pot de confiture à la fraise.

Poids net 45G.

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