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Maman…pourquoi es tu aussi salope ? – Chapitre 5




Que…qu..quoi ?! C est toi Luc ? C est toi qui vient de me baiser ? Non ce n’est pas possible !

 Sa voix avait grimpé de 2 octaves, Elle était prise entre consternation, effarement et incrédulité … pour toute réponse Luc déplaça le bandeau pour qu’elle puisse voir la personne qui s’adressait à elle. Et quand elle le vit

Espèce de petit enculé, fils de pute, bâtard, trou du cul ! Mais comment as tu pu profiter de moi comme cela ? Tu m’as baisée ! Tu te rends compte un fils qui baise sa mère, alors qu’elle est ligotée, aveuglée et sans défense. Libère moi, petit merdeux que je te foute trois baffes dans la gueule !

— C’était bon avec Mario et sa bande ? Tu as bien pris ton pied à ce que j’ai pu voir et entendre ! Je n’aurais jamais imaginé que tu puisses avoir un langage aussi fleuri ma chère mère ! Fils de pute …et bien ma foi rien n’est plus vrai ! ( Le ton était badin et sarcastique, mais Luc ne semblait absolument pas craindre les foudres maternelles !)

— JE NE SUIS PLUS TA MÈRE, SALOPARD ! Tu me libères, et je t’amène à ton père, tu vas prendre la rouste de ta vie !

-Oui ! C’est vrai tu n’es plus ma mère, à partir d’aujourd’hui tu es ma soumise, ma petite pute d’amour, et tu vas obéir au moindre de mes ordres

— Tu déraisonnes…libère moi trou du cul ! TOUT DE SUITE !

— Oui pourquoi pas ? Et après on ira tout expliquer à papa. Je vois d’ici le dialogue:

  Alors je venais de rencontrer un groupe de tes anciens élèves, et ils voulaient me prendre mon petit magot, que je destine à mon prochain départ Ah oui , je ne te l’avais pas dit, mais dés que j’ai suffisamment d’argent, je te plaque toi et ton crétin de fils. Note bien que mon petit magot est le résultat de petits trafics avec l’épicier arabe de la cité, de même que des retraits discrets, que j’effectue à ton insu, sur ton compte en banque mon chéri !

Alors pour sauver mon argent bien mal acquis, je n’ai pas hésité à me foutre à poil, me laisser partouzer et prendre par tous les trous par tes anciens élèves…si tu savais comme j’ai joui ! Comme jamais avec toi, petite bite !

Au final ils m’ont attachée contre une souche, et m’ont baisée par tous les trous chacun à leur tour… jusque là rien d’extraordinaire tu en conviendras ? Non ce qui m’a énervé, c’est que ton connard de fils a maté toute la scène, tout enregistré, et qu’ensuite il a profité de ma fragilité de faible femme pour me baiser à son tour. Je souhaite que tu lui en fasses passer l’envie, et rétablisses mon honneur d’honnête femme au foyer !

Tu vois "Josiane la soumise", tu as raison, on va aller lui expliquer tout ça à deux, vidéo à l’appui. Je suis sûr qu’il te donnera raison et punira le vilain petit chenapan que je suis !

Josiane blêmit et garda le silence. En son for intérieur elle savait qu’elle était foutue.

Son fils avait raison…comment rapporter son écart intolérable avec elle, tout en gardant le reste secret ? Jamais elle n’aurait dû accepter cette séance de baise pour récupérer son fric, seulement voilà, son instinct de rapacité la dominait. Elle était capable de faire n’importe quoi pour conserver son fric et acquérir sa future liberté.

Alors être soumise à son fils, qui l’avait baisée de façon fort respectable…pourquoi pas dans le fond ? Au point d’avilissement où elle se trouvait déjà ? D’un autre côté, se sentir à la merci psychologique et physique de son fils commençait à l’exciter, elle ne pouvait pas s’en cacher …Alors elle décida de laisser parler son instinct…de toute façon toutes notions de honte ou de respect à son encontre, n’étaient plus de mise. Elle n’avait plus d’amour propre…

Bon …heu…écoute, pardonne-moi mes mots un peu durs. Tu comprends c’est la surprise. Se faire baiser par son fils …c’est, enfin difficile à concevoir. Alors sur le coup, je me suis énervée, mais je te demande de me pardonner. Je pense être la soumise qui te conviendra. Je te demande simplement de ne parler à absolument personne de tout cela . On est d’accord ?

— Je vois que tu reviens à de meilleurs sentiments. Tu sais que je n’ai pas apprécié du tout que tu aies dans le projet de quitter la maison. Que tu plaques mon père, cela te regarde, mais que tu me mettes dans le même panier que lui, cela m’est insupportable. Je pensais que nous avions toujours eu une complicité mère /fils  ?

Josiane était très ennuyée par sa réflexion. Ici encore, elle se rendit compte qu’elle s’était comportée comme une salope égoïste . Elle se disait que décidément elle avait beaucoup à se faire pardonner. Mais quel en serait le prix exigé ? Si son fils avait les mêmes goûts pervers qu’elle même, alors elle se dit que le coût de sa liberté prochaine serait exorbitant ! Révélation clairvoyante qui la laissait à la fois terrifiée et moite d’excitation. Décidément tous ses rêves lubriques secrets étaient en train de se réaliser. Néanmoins elle devrait jouer serré !

Bon heu, que désires-tu mon chéri ? Tu veux à nouveau baiser ta salope de mère…je suis prête à t’accueillir et te donner de merveilleux orgasmes !

Luc réfléchit quant aux interrogations de sa mère. Il sentait qu’il pouvait lui demander beaucoup de choses. Il ne pouvait laisser passer une telle occasion ! Il allait à la fois se venger de l’inconduite de sa mère à son égard, mais en plus y prendre du plaisir ! Et il avait envie de lui en faire faire des trucs… à ce niveau, son imaginaire érotique dérivait consciemment ou inconsciemment de celui de sa génitrice bon chien, chasse de race"  !

Mais il n’était pas dupe ! Il savait bien que sa mère allait jouer la montre, montrer patte blanche, être tout miel avec lui… Parce qu’elle savait y faire la salope pour être hypocrite. Mais Luc lui même, avait bien hérité des "qualités " de sa mère !

"Non ! Je crois que quelqu’un approche…un vieux avec son chien. Je t’ordonne de faire tout ce qu’il te demandera…TOUT, tu m’entends !

Après avoir remis le bandeau sur les yeux de sa mère, ainsi que la pancarte indiquant qu’elle se mettait à la merci des caprices sexuels des promeneurs, Luc sauta dans les fourrés et se cacha, le téléphone portable prêt à filmer une scène , qu’il imaginait surréaliste

Josiane quant à elle, excitée d’être de nouveau soumise aux désirs d’inconnus, se posait une question lancinante . Un chien ?!  Et si le type .

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