J’étais dans ma tente, seul et incroyablement déçu de moi-même. Comment avais-je pu passer à côté d’une occasion pareille ? Tout le monde avait eu l’air d’apprécier le spectacle que je leur offrais, même Lucie. Pourquoi ? Pourquoi ?
Je n’eus pas le temps de me morfondre très longtemps. À peine une demi-heure après m’être enfermé dans ma tente, j’entendais des voix. D’autres revenaient de la plage.
— J’en reviens vraiment pas que Marion soit d’accord avec ça, elle m’étonne beaucoup, dit Élise.
— Elle a le droit d’aller voir ailleurs aussi je te rappelle.
— C’est quand même trop bizarre… Ça veut dire que la on peut baiser et elle dira rien ?
— Oui c’est ça ! Tu veux ?
— J’ai besoin de me défouler oui, ça m’a excité un peu de voir la bite de Valentin j’ai la chatte qui picote.
— On va dans ta tente ?
C’était la tente juste à côté de la mienne. Je les entendis entrer puis s’embrasser. Au bout d’un moment, Élise dit :
— Bah alors elle grossit pas plus ?
— Si suce moi encore…
— Bon OK.
Ça n’avait pas l’air de se passer comme prévu.
— Elle est dedans là ? Je la sens pas.
J’entendais cependant que Charles se donnait à fond. En avait-il une si petite ? Le spectacle auditif me réjouissait.
— Je vais jouir…
— Non ! Pas déjà !
J’entendis Charles gémir de plaisir. Ça avait l’air pathétique.
— Bon je vais prendre une douche… Tu devrais peut-être rejoindre Marion.
***
Le lendemain matin, je décidai d’aller prendre une douche. En sortant de ma tente, je vis Lucie qui allait faire de même.
— Hey salut Valentin ! Me dit-elle en souriant.
Elle semblait beaucoup moins gênée qu’hier.
— Salut, bien dormi ?
— Pas trop au début… J’ai été réveillée par Charles et Élise. J’imagine que tu les as entendus aussi.
— Oui ils n’ont pas eu l’air de beaucoup s’amuser, répondais-je en rigolant.
— Ne te moques pas, je sais que tu es puceau maintenant !
— Je peux te dire la même chose !
— J’assume d’être vierge Valentin, ce n’est pas une honte.
Nous arrivions aux douches en rigolant. Malheureusement, toutes étaient pleines, c’était l’horaire ou tout le monde se lavait.
Nous avons fait le tour des sanitaires et n’avons trouvé que la douche pour handicapés de libre. Celle-ci était isolée du reste des sanitaires.
— Bon… Qui aura l’honneur de se laver en premier ? Dis-je.
Lucie réfléchit un moment puis me dit :
— Tu sais Valentin, je t’ai déjà vue nu hier et tu m’as aussi vue. Il n’y a aucun mal à ce qu’on se douche dans la même cabine. Celle-ci est grande en plus. T’en penses quoi ?
— Oui tu as raison, pas bête.
J’essayais de rester calme, la situation était déjà excitante. Je ne m’attendais pas à ce qu’elle me propose quelque chose comme ça. Je ne reconnaissais pas Lucie, quelque chose avait changé en elle depuis hier soir.
Nous sommes donc entrés dans la cabine et avons posé nos affaires. L’ambiance qui régnait mélangeait gêne et excitation. Nous voulions tous les deux nous déshabiller et voir l’autre le faire mais aucun ne faisait le premier pas.
Après un moment, je décidai de me lancer. J’enlevai mon tee-shirt, laissant apparaître mon torse maigre mais bien dessiné. J’attendais à présent que Lucie commence à se dévêtir elle aussi.
Je vis Lucie d’abord me regarder. Aimait-elle ce qu’elle voyait ? Je prenais confiance en moi.
Lucie enleva ses lunettes pour laisser apparaitre son magnifique visage d’ange. Elle défit ensuite son chignon et secoua la tête. Ses cheveux retombèrent doucement sur ses épaules. Elle me sourit en rougissant, puis elle enleva sa robe.
J’avais à présent devant moi un ange. Je pouvais bien mieux observer son corps que la veille. Elle avait surement revêtu ses plus beaux sous-vêtements. Une culotte noire ornée de dentelle et un soutien-gorge assorti. Sa peau était blanche et avait l’air très douce.
Je ne me fis pas attendre : je retirai mon short et laissait apparaître mon sexe qui durcissait à vue d’il.
Lucie ne pouvait s’empêcher de le regarder.
— Je n’ai rien pour comparer mais… Elle est quand même grosse non ?
— Je n’en sais rien…
Lucie finit de se déshabiller. Je pouvais donc de nouveau observer son petit sexe et ses jolis seins. Elle ne perdit pas de temps et alla sous l’eau.
Pendant quelques secondes, je profitais du spectacle. L’eau coulait doucement sur son corps tout entier. Ses cheveux se mouillaient progressivement. J’observais ses petites fesses rebondies et ses longues jambes.
— Il y a de la place pour deux sous le jet tu sais ?
Je la rejoignais à présent. Nos corps n’étaient qu’a quelques dizaines de centimètres l’un de l’autre. Ses yeux étaient rivés sur ma bite. Était-elle juste curieuse ou avait-elle vraiment envie ?
— C’est la première fois que je suis avec un homme nu aussi prêt de moi…
— C’est pareil pour moi Lucie.
— J’ai envie de toucher, je veux voir ce que ça fait. Ça te dérange ?
Comment cela aurait pu me déranger. C’était tout ce que je souhaitais !
— Vas-y.
Elle approcha doucement sa main de mon membre en érection. Elle commença à le caresser très maladroitement.
— Je suis trop nulle je sais pas comment faire…
Je lui pris la main et lui montra le geste. Elle commençait à me masturber doucement. Sa main était froide et douce. Elle était très concentrée et voulait bien faire, ça m’excitait beaucoup.
— Lucie je… Je veux te toucher.
— Moi aussi je veux que tu me touche Valentin.
J’avais le feu vert. Je sautais sur l’occasion et la caressa de partout. Je passai tout d’abord ma main dans ses cheveux. Je touchais ensuite chaque centimètre carré de sa peau en m’attardant sur ses parties intimes. Je découvrais ainsi la sensation de toucher des seins ou des fesses.
Pendant ce temps, Lucie s’affairait sur mon membre avec sa main. Elle prenait elle aussi confiance en elle. La situation devenait incontrôlable. Nous étions incroyablement excités.
Je m’enhardissais et passa un doigt le long de sa fente. C’était humide, mais pas à cause de l’eau. Cela semblait chaud et accueillant. Je passais mon doigt le long de son sexe, elle semblait apprécier.
Nous nous regardions droit dans les yeux tout en nous faisant du bien mutuellement. Elle jouissait doucement et je prenais mon pied également. Ses seins bougeaient au rythme de sa main.
Nous avions tous les deux la même idée en tête. Nous étions cependant trop gênés pour l’admettre. J’avais un peu peur de mal m’y prendre.
— Je ne veux pas faire ça dans une douche Valentin.
Elle avait raison. Nous nous sommes donc séchés en vitesse, mis une serviette autour de nous et avons foncé aux tentes. Mon érection était à peine cachée. Je n’attendais qu’une chose : enlever cette serviette d’autour d’elle et de pénétrer son magnifique sexe d’ange.
Arrivés à sa tente, j’enlevais ma serviette, elle fit de même. Nous y étions, nus et allongés ensembles. Nous avons continué à nous masturber mutuellement et à nous embrasser, nous caresser.
Progressivement, je suis passé au-dessus de Lucie sur le matelas. Il était temps, je le savais et elle aussi.
J’eu du mal à enfiler le préservatif, elle décida donc de m’aider. Puis, j’entrepris de trouver l’entrée de son sexe. Le fait qu’elle soit très mouillée arrangeait les choses, mais c’était un exercice difficile.
— Doucement… Chuchota-t-elle.
J’enfonçais mon membre durcit en elle le plus lentement possible. L’expression de son visage fut inoubliable. Son visage d’ange était plein de grâce dans le plaisir. Elle n’avait pas l’air d’avoir très mal.
— C’est bon vas-y. C’est génial continue !
Je n’en revenais pas : j’étais en train de coucher avec Lucie. Lucie ! Elle qui était si sérieuse. Jamais je n’aurais imaginé pouvoir accéder à son intimité. C’était si bon !
Mes vas-et-viens étaient de plus en plus rapides. Mon corps était collé contre le sien. Je pouvais sentir contre moi ses seins si parfaits. Nos jambes s’entremêlaient et je sentais ses pieds froids. Mes mains étaient sur ses fesses rebondies et douces comme de la soie.
Son visage était d’une grâce phénoménale. Elle se mordait doucement la lèvre inférieure et fermait les yeux. Elle lâchait des soupirs de plaisir.
— J’aime ça, j’aurais jamais imaginé…
— Moi aussi Lucie, c’est si bon.
— Essaie d’aller plus profond…
Je donnais alors un gros coup de rein. Il n’en fallu pas plus pour elle. Elle m’agrippa les épaules avec les deux mains et se retenait de crier. Elle était en train de jouir ! Le fait de la voir comme ça me poussa à me déchainer. Je donnais des coups vraiment puissants, j’avais peur de lui faire mal. Je finis par jouir dans un ultime va-et-vient.
Nous étions en sueur et heureux, tous les deux dépucelés. Le plaisir que nous avions pris était immense. J’imaginais à ce moment que je ne pourrais pas connaître de plus grand plaisir : je me trompais.
***
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