Sophie

Sophie est mon amie, un peu amante. Elle revenait d’un an d’étude à l’étranger, nous étions restées en lien via les réseaux sociaux et j’avais évoqué Pierre, mais sans détailler. J’avais parfaitement conscience qu’avec l’éloignement tout n’était pas forcément compréhensible. Donc pour Sophie, j’avais un amant, Pierre, plus âgé, que moi. Point final. Et Sophie revenait en France. Le hasard fit que son retour coïncida avec une période où Pierre était en déplacement à l’étranger. J’avais donc emménagé chez lui pour m’occuper d’Oxe. Oui m’occuper à tous les sens du terme pour celles et ceux qui ont lu mes histoires précédentes. Mais ce n’est pas l’objet de ce récit.

Me voici donc recevant Sophie chez mon Maître. Mon amie, jolie amante, ma confidente. Nous étions en juin, il faisait beau et chaud et j’optais pour la recevoir à la maison pour un short en jeans et un débardeur. Elle verrait immédiatement les anneaux à mes seins sous l’étoffe de ce vêtement léger. Ce qui ne manqua pas. A peine entrée, elle m’embrassa à pleine bouche avec cette remarque :

Waouh, les anneaux… impressionnants.

Tu aimes ?

J’adore, c’est hypersexe. Mais les tiens sont vraiment… gros…

Oui des anneaux d’esclave

D’esclave ? Comment ça d’esclave ?

Nous nous sommes installées dans le salon et je lui ai tout raconté: Pierre, le bar, Oxe, Madame. Oxe, assis dans le salon était là, paisible, et elle regardait cet énorme chien. Ce qu’il y a de merveilleux avec Sophie, c’est qu’elle ne me juge pas, jamais, et moi non plus.

Mais ce que tu me racontes, c’est quand même violent. Le fouet, les pinces, les poids, ça fait super mal…

Et cela décuple le plaisir.

Et tu n’as jamais peur ? Que ça dérape ?

Il y a le safeword.

Je lui explique alors ce principe d’un mot innocent, détaché de la réalité. Je peux pleurer, demander pitié, hurler c’est-à-dire entrer totalement dans le jeu. Mais le safeword seul arrête tout.

Je dois un aparté pour mes lecteurs (moins mes lectrices) qui sont très attachés à quelques détails: je dois décrire Sophie. Sophie a mon âge, elle est blonde, blond vénitien, ce blond qui tire naturellement sur le roux avec des yeux en amande, verts. Elle mesure 1m65, comme moi, est mince, comme moi, mais il y a une différence fondamentale entre elle et moi: Les seins de Sophie. Sophie a une poitrine qui fait se retourner les hommes dans la rue. 85E. C’est-à-dire des seins énormes par rapport à sa taille menue. Deux magnifiques lobes qui défient la gravité. Des seins naturels, fermes avec des aréoles pâles plus larges que les miennes et des tétons divins, J’adore sucer ses tétons ultra-sensibles. Sophie a des taches de rousseurs et un pubis blond roux fin, presque transparent. Sophie ne s’épile pas, inutile: sa pilosité est insignifiante. Bref, Sophie est la seule femme que je pourrais éventuellement envier.

Sophie m’écoute donc lui expliquer la joie de s’abandonner en toute confiance, jouer avec la peur. La même sensation que le saut à l’élastique, mais avec en prime les orgasmes. A la fin de notre échange, de ses questions où je sens une pointe d’excitation, elle veut voir la salle du bas. Nous descendons donc dans cette cave aménagée en donjon. Je la précède, ouvre la porte, descends devant elle, lui ouvre la porte de la cave après avoir allumé la lumière. Elle est là devant moi, dans sa jolie robe légère à bretelle qui se ferme par-devant avec de petits boutons. Autour d’elle, le donjon, la croix de Saint-André, les anneaux au plafond pour me suspendre, les fouets accrochés au mur, le lit couvert de cuir. Et à cet instant précis, je n’ai pas envie d’être la soumise, mais bien de soumettre Sophie. De l’attacher, de jouir d’elle offerte et de la faire jouir. Lui faire vivre ce que je vis avec mon Maître. Je veux la dominer.

Je m’approche d’elle par-derrière, passe mon doigt sur sa nuque, approche ma bouche de son oreille

Alors ?

Alors quoi ?

Cela te fait quoi de voir ce lieu.

C’est… troublant

Elle s’avance dans la salle, touche les fouets, les cravaches, s’approche de la Croix de Saint-André.

Il t’attache à ça? En croix, offerte, immobile

Oui

Elle se tourne vers moi, étend ses bras vers les attaches du haut

Comme ça?

Je prends son poignet droit en main et pose l’attache de la croix. J’en fais de même à gauche.

Comme ça.

Puis je descends à ses chevilles et je les attache aussi. Sophie est là, écartelée. Elle respire lourdement, ses seins se soulèvent. Je les caresse à travers le tissu, les pointes sont déjà tendues, offertes.

Ca t’excite ma petite chienne.

Oui.

Je lui gifle le visage

Oui, Madame.

Oui Madame.

Un safeword ?

Oui Madame.

J’opte pour le mien, rouge. Je suis là, face à elle, son regard empli de désir et… sa confiance. Je comprends alors subitement qu« Être Maîtresse » n’est pas anodin. Je désire Sophie, j’ai envie d’elle, mais elle s’offre sans pouvoir me caresser, me lécher. Elle est à ma merci et ce que je veux, ce n’est pas lui faire mal, mais la faire jouir plus fort en passant par la douleur, en jouant avec ses peurs, ses limites sans franchir la ligne « rouge », sans que le jeu cesse. Mais comme c’est frustrant, finalement. Et Sophie attend son sort qu’elle désire cruel (mais jusqu’où?). Je pose mes mains sur le haut de sa robe et d’un geste brusque, j’arrache les fragiles boutons qui se répandent dans la pièce. Elle pousse un soupir de plaisir. Ses seins, ses seins, toujours aussi beaux, arrogants.

Tu as toujours d’aussi belles mamelles.

Je les caresse, pince les pointes, les tire.

De belles mamelles de chienne pour exciter les hommes.

Oui Madame.

L’envie me prend de les claquer. Je prends le sein droit dans ma main gauche, le soutiens par le bas, le relève un peu puis je la claque de mon autre main. Elle soupire, elle aime. Je claque un peu plus fort. Je suis folle d’excitation, mais moi, je dois me contrôler, me maîtriser, la conduire, pas me laisser aller. Mon Dieu comme c’est bon, comme elle est belle, comme c’est frustrant. Je claque de plus en plus fort, change de sein. M’arrête pour descendre jusqu’à son ventre, passer mes doigts sous la minuscule étoffe de son string, sentir le velours de son pubis doux, toucher ses lèvres, caresser sa vulve, la sentir trempée.

Mais tu mouilles salope ? Tu aimes ça, être traitée comme une chienne ?

oui Madame.

Sophie est dans le jeu, se laisse aller prend son pied. C’est si bon, mon amante qui se donne. Je me retiens de ne pas la détacher pour baiser avec elle. Oui baiser, tellement elle est animale. Elle transpire, sa sueur coule sur son visage, entre ses seins. Je vais chercher un couteau, caresse son visage, passe la pointe sur ses seins, descends à son ventre, coupe le string pour mettre à nu son sexe. Je remonte, tranche les deux fines bretelles de sa robe. Elle est nue, là devant moi, totalement offerte. Je repose le couteau et je prends un martinet en daim: commencer par un fouet soft pour qu’elle n’arrête pas le jeu maintenant. J’ai hésité, mais je serais tellement navrée qu’elle crie « rouge » parce que j’aurais opté pour un fouet trop dur. Quelle concentration est nécessaire pour être le dominant ! J’imagine l’effort permanent de mon Maître encore. Quelle frustration !

Lui aussi doit avoir la même envie parfois de me prendre alors que je suis offerte, attachée et il poursuit sa tâche pour me faire jouir plus fort, aller chercher au plus profond de moi un orgasme plus grand.

Je caresse Sophie avec le martinet en daim, me recule et porte un premier coup sur ses seins, puis un deuxième.

Non, pitié Madame !

Je poursuis donc, pas de safeword. Je travaille tout son corps, elle crie, elle pleure, supplie. Ayant connu cela, je l’envie. Puisque tu aimes, ma petite pute… Je change d’instrument: un chat à neuf queues, en cuir tressé, bien plus dur et je reprends. Et Sophie de crier encore, de supplier, mais toujours pas de safeword: petite salope. Je vais chercher le vibromasseur et l’applique sur sa chatte qui coule maintenant sur ses cuisses.

Tu as vu comme tu mouilles salope ? Tu es indécente, une truie ! Et tu as interdiction de jouir !

Je joue avec le vibre, mord ses tétons, griffe sa peau. Je m’arrête quand elle est bord de l’orgasme.

Pitié, encore Madame.

Comment ? Tu oses me donner des ordres ?

Vais chercher deux cordelettes pour prendre la base de ses seins. Je serre très fort. Ils deviennent de melons tendus. Un pied en métal pour caler le vibra sur sa vulve et le jeu peut continuer. Je cravache cette fois les belles mamelles offertes. Ces beaux seins offerts que je zèbre de rouge et elle de crier, encore, tout en se cambrant pour appuyer son sexe sur le vibré, plus fort. Sophie n’est pas mon amante pour rien, elle est aussi chienne que moi.

Ne jouis pas, salope !

Sophie se retient, se convulse. Je n’en peux plus moi-même. Je l’autorise enfin à jouir. J’enfonce mes doigts dans son sexe tout en titillant son clitoris encore avec le vibro: Un jet épais s’échappe de son sexe. J’avale son râle sauvage en l’embrassant goulûment. Nos langues se mêlent. Ma main glisse vers les attaches de ses poignets, Sophie tombe à genoux. Je la retiens. Je détache ses seins, ses chevilles. Elle semble revenir de loin. Elle m’embrasse encore, se blottit contre moi et dans un souffle dit:

Mon Dieu, que c’est bon !

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