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Histoires d'un mâle alpha – Chapitre 40




Avant de sortir de la voiture, je regarde mon portable. Un message de Charlotte :

[SMS,Charlotte]

< Sylvain vient de me demander d’être très sexy demain soir.

> Il sait que je viens ?;-)

< Ah ah… Non… Mais ce qu’il ne sait pas non plus, c’est que je vais effectivement être très sexy, mais que ce n’est pas pour lui.

> Ah ? Pour qui alors ?

< Pour mon étalon noir préféré;-)

Je sonne. C’est Benoît qui vient ouvrir. Ça en dit long.

— Bonsoir Mons… Isaiah… On vous attendait.

— Salut larbin !

Je n’ai pas parlé trop fort, je lui souris. Il se retourne instinctivement pour voir si quelqu’un a entendu. Il me débarrasse. Je le suis au salon. Les deux couples d’amis sont déjà là. Ils ont la fin de vingtaine, les deux mecs sont insignifiants, comme Benoît, les deux femmes, lambda. Mais ont l’air bien bourges. Parfait, je vais pouvoir me concentrer sur Marina qui arrive. Elle est à tomber, elle porte une minirobe que je reconnais tout de suite : c’est une robe courte Balmain en maille noire et argentée, manches longues et épaulettes, un décolleté en V super-profond. Elle est fermée derrière par une fermeture éclair qui descend jusqu’en haut des fesses. Elle est vraiment courte si bien que l’on voit le haut de ses bas même quand elle est debout, et très moulante et avec la poitrine de Marina, c’est un spectacle rare. Aux pieds elle a les Pigalle de Louboutin. Je la déshabille du regard. En me voyant, un sourire éclaire son visage superbe.

— Oh Isaiah, on n’attendait plus que toi.

Elle me tutoie.

— Bonsoir Marina, tu vas bien ?

Je m’approche d’elle, elle se plaque contre moi et m’embrasse sur la joue. Instinctivement ma main passe dans son dos, juste en haut de ses fesses, je la garde contre moi. Elle sent bon. Elle me présente aux quatre autres invités, on échange des banalités. Je sens les regards envieux sur moi. On s’installe, Marina m’invite à m’asseoir dans le canapé, à côté d’elle. Benoît sert le champagne. Je plaisante sur le fait qu’il fait ça vraiment très bien. Marina en rajoute une couche en disant qu’il aime servir. Lui, ne dit rien. Les quatre autres sont un peu chiants, mais pas désagréables, la conversation est tout à fait normale. Moi je lorgne sur les cuisses de Marina qui sont sous mon nez, et son décolleté magnifique. Ils ne relèvent pas qu’on se tutoie avec Marina, que Benoît me vouvoie et que je le tutoie.

On passe à table, Marina me fait de nouveau m’asseoir à côté d’elle. Je suis entre elle et Benoît. Au milieu du dîner, on discute des fantasmes les plus courants chez les femmes et les hommes. Chacun y va de son commentaire, de ses lectures de sondages etc… Il en ressort que chez les femmes, la plupart rêvent de coucher avec un inconnu. Pour les hommes, ils veulent coucher avec deux femmes en même temps. Les trois femmes rient et se moquent de la gent masculine. Une d’elles dit :

— Par exemple, autour de cette table, qui l’a déjà fait avec deux femmes ?

Je suis le seul à répondre positivement.

— Donc un sur quatre !

Marina sourit :

— Si on avait dû en choisir un, ça aurait sans doute été Isaiah.

— Ah ah oui, c’est sûr.

Une des deux femmes me demande comment c’était.

— Ça dépend de quelle fois vous parlez ?

— Ah, parce que ça vous est arrivé plusieurs fois.

— Oui. Comme ça, ça compense pour les autres !

— Ah ah oui !

Je sens la main de Marina se poser sur ma cuisse.

— Chez les hommes il y a un fantasme de plus en plus courant, c’est de regarder sa copine ou sa femme avec un autre homme !

Chacun discute, les mecs ne sont pas convaincus, Benoît ne dit rien. Les femmes elles sont curieuses. Un des maris m’interpelle :

— Et vous avez lu ça où ?

— Disons que c’est plus un retour d’expérience.

La main de Marina glisse sur mon entrejambe. J’en remets une couche :

— Et c’est un peu concomitant avec aussi le fait que de plus en plus de femmes ne se cachent pas de leur attirance pour les blacks.

— Oui ça, je l’ai lu en effet.

— D’accord mais en quoi est-ce lié ?

— Eh bien, dans le fantasme du mari qui aimerait voir son épouse avec un autre homme, il idéalise le plus souvent l’autre homme, comme un mâle alpha, dominant, charismatique, merveilleux amant, et évidemment gâté par la nature. Et force est de constater que ces caractéristiques sont souvent propres aux hommes noirs.

— Mais elles existent aussi chez certains hommes blancs.

— Sans doute oui. Mais regardez autour de cette table. Qui par exemple a déjà eu deux femmes pour lui ?

Silence. Marine me masse le sexe à travers mon pantalon. J’écarte les cuisses pour qu’elle soit bien à l’aise. Et je passe mon bras derrière elle, sur le dossier de la chaise, naturellement.

Benoît, horriblement gêné par la discussion parvient à faire changer de sujet. Du coup l’excitation redescend. Après le dessert, Marina propose de retourner au salon pour un dernier verre. On se pose. Je me mets naturellement dans le canapé, à ses côtés. Elle est de plus en plus tactile avec moi. La discussion est sympa. Un couple part. L’autre reste. Marina et les autres veulent reprendre du champagne. Benoît dit qu’il doit descendre à la cave en chercher. Marina réagit tout de suite :

— Et bien quattends-tu ?

Il se lève.

— Vous voyez, il aime servir, je vous l’avais dit.

Tout le monde rit. Alors que Benoît disparaît. Marina se penche sur moi et m’attrape le bras en riant. Les deux autres discutent. Marina me regarde. Je pose ma main sur sa jambe qui est à moitié sur moi. Elle se cambre et se plaque contre moi. On s’embrasse. D’abord du bout des lèvres, puis ma langue cherche la sienne. On se roule un énorme patin. Je sens les regards du couple sur nous, manifestement Marina s’en fout. Et moi, encore plus. Elle me sourit et me roule de nouveau une énorme pelle.

Benoît revient avec le champagne.

— Et voilà le champ…

Il reste figé au milieu du salon en nous voyant. Marina met une éternité à se décoller de ma bouche. Elle se tourne et le voit. Moi je laisse ma main sur la jambe de Marina. Le couple ne dit rien, ils sont tellement interloqués qu’ils restent bouche bée. Benoît baisse les yeux. Le mari du couple le regarde et sourit discrètement. Marina toute souriante :

— Tu vois mon chéri, Isaiah embrasse comme un vrai mâle alpha;-)

Je pose ma main sur son cou et lui réponds :

— Tu en doutais ?

— Non, pas vraiment.

La femme du couple sort de sa torpeur et réagit enfin:

— Bon, on va peut-être y aller aussi en fait, demain on se lève tôt, hein chéri.

— Euh oui oui, tu as raison en effet.

Ils se lèvent, Marina m’embrasse, toute contre moi. On entend juste le couple qui salue à voix basse Benoît. Il les raccompagne. Moi j’ai fait venir Marina sur moi, sa robe remontée, je masse ses fesses, alors qu’elle se dandine sur moi. Elle m’embrasse. Benoît revient et s’assied dans un fauteuil. Elle se cambre et se détache de moi, et aperçoit Benoît.

— Et bien qu’attends-tu ? Il ne va pas se servir tout seul ce champagne !

Benoît se précipite et nous sert deux coupes. Il est debout, devant le canapé, avec les coupes à la main, on le laisse poireauter un peu, on s’embrasse. J’ai une main sur son cul une autre sur ses seins. Elle gémit sur moi. Elle finit par se glisser à mes côtés sur le canapé. On prend chacun une coupe et on trinque. J’ai une main sur sa cuisse, que je caresse doucement. Marina regarde sévèrement Benoît :

— Alors mon chéri ? Tu es heureux ; non ?

— Pardon ?

— Eh bien quoi, ce n’est pas pour ça qu’Isaiah est là ce soir ?

— Comment ? Mais non, il est là pour toi, parce que tu veux faire…

— Des photos, oui oui je sais tout ça. Mais tu penses que je n’ai pas compris ton petit jeu ?

Il baisse les yeux. Je souris. Elle ne le lâche pas :

— Tu crois que je ne sais pas tout ce que tu fais… sans moi ?!

— Je… je ne comprends pas…

— Laisse-moi t’aider alors.

Elle agite son escarpin sous son nez. Elle lui fait du dangling. Il est irrémédiablement attiré vers les pieds de son épouse. Il ne les quitte pas des yeux.

— Je sais que tu vas voir des dominatrices. Je sais que tu vas sur tous ces sites… Mais maintenant c’est fini tout ça. Ta seule Maîtresse, c’est moi, tu comprends là ?

— Euh… oui, oui…

— Oui qui ?

— Oui Maîtresse.

— Parfait. Maintenant tu vas me montrer ce que tu sais faire…

Elle lui agite le pied sous le nez.

— Allez !!! Et si tu crois que je n’ai pas compris immédiatement pourquoi tu tenais tant à me le présenter… Tu m’as pratiquement jetée dans les bras de mon fantasme absolu…

Il s’agenouille devant elle et commence à lécher l’escarpin. Elle se tourne vers moi :

— Il t’a dit que j’avais un faible pour les blacks j’imagine.

— Oui, il m’a dit ça.

— Mmmm et ça fait trop longtemps que je n’en ai pas eu un. Et un comme toi, jamais !

Je prends son cou dans ma main, je l’embrasse.

— Hier, au café, j’ai déjà failli te sauter dessus.

— Tu aurais constaté que tu me faisais énormément d’effet.

Elle pose sa semelle sur la langue de son mari.

— Tu aimes ma robe ?

— Je l’adore, Balmain, magnifique.

— Tu as l’il… Je me suis habillée en pensant à toi tout à l’heure ?

— Ah oui ?

— Oui, je voulais te plaire.

— C’est tout à fait réussi, Marina.

Elle me caresse à travers le pantalon. Elle se mord la lèvre. Me sourit. Elle finit par se mettre à genoux sur le canapé, à mes côtés et fait tomber mon pantalon et mon boxer sur mes chevilles. Elle ordonne à Benoît de se déplacer pour continuer à nettoyer ses escarpins. Elle tient ma queue à la main.

— Mmmmmmmm, c’est encore plus gros que ce dont je rêvais.

— Parce que tu en as rêvé ?

— Toute la nuit bébé.

Elle me branle lentement puis l’embrasse sur toute sa longueur, commence à lécher délicatement mes couilles puis remonte tout le long de mon sexe raide. Je pose une main sur ses fesses que je caresse pendant qu’elle enfourne ma bite dans sa bouche. Sa robe est remontée sur ses hanches, je la caresse à travers son micro-string. Elle est trempée. Elle me suce à la perfection.

— Mmmm elle est délicieuse en plus.

Je lui relève la tête et l’embrasse.

— Et si tu mettais un peu de champagne ma belle.

— Mmmm Monsieur est connaisseur.

Elle verse du champagne sur mon sexe et reprend la fellation.

— Mmmmmmm ne t’arrête pas ma belle.

— Tu aimes ?

— J’adore. Suce-moi bien.

— Oui mon chéri, ça me change de la petite bite de mon petit mari.

— C’est pas une bite qu’il a, c’est un petit escargot.

— Ah ah oui, tu as raison mon chéri.

— Mon pouce doit être plus gros !

— Montre.

Elle prend mon pouce et le met en bouche, commence à le sucer comme un sexe.

— Ah oui, je crois bien que tu as raison, ça semble plus gros. Bien plus gros.

On rit. Je l’embrasse, puis lui remets ma queue dans la bouche et la lui baise à fond. Elle prend son temps, elle profite de ma queue, gémit.

— J’adore vraiment ta robe Marina, mais là il est temps de l’enlever.

— Mmmmm oui, à vos ordres Monsieur.

Elle me sourit, se lève et doucement fait tomber la robe à ses pieds. Elle la laisse par terre et avance vers moi, vient se mettre à genoux entre mes cuisses.

— Ramasse ma robe !

Benoît le fait et la pose sur un fauteuil. Marina me lèche les couilles, puis sa langue glisse vers mon anus, tandis qu’elle me branle. Elle me reprend en bouche et quand elle a bien lubrifié ma queue, la glisse entre ses mamelles. Elle me fait une des plus branlettes espagnoles de ma vie. À un moment, elle garde ma queue en bouche et continue à me branler entre ses obus. Je me lève et la fais s’asseoir à ma place, je monte sur le canapé, debout, et me mets face à elle, mes pieds de part et d’autre d’elle. Je lui enfourne ma queue dans la bouche et lui baise à fond la bouche. Je vais jusqu’au fond de sa gorge, elle bave dessus comme une folle. Je redescends mais reste debout devant elle. Elle me suce à fond. J’ai Benoît juste à mes pieds. D’une main je le fais se mettre à quatre pattes, le dos bien plat. Je lève une jambe et pose un pied sur son dos. Marina ma pompe comme une folle et finis par me faire jouir. Je mets les premiers jets dans sa bouche, elle avale bien, puis je finis sur ses seins et son visage.

Elle me branle délicatement et souris.

— Mmmmm c’est trop bon Isaiah.

Puis elle reprend ma queue en bouche pour en profiter encore un peu. Je prends Benoît par les cheveux et lui colle le visage sur les seins de sa femme.

— Nettoie !

Marina sourit et nettoie ma queue, pendant que son cocu nettoie ma semence sur sa poitrine. Je prends la main de Marina et l’aide à se lever, je la prends contre moi et l’embrasse. Puis je la soulève, elle m’enroule de ses jambes. On se roule une grosse pelle. Je la porte d’un bras. De l’autre je tiens les cheveux de son mari.

— Et si tu me montrais le lit conjugal ma belle.

— Oui mon amour. Benoît tu montres le chemin à mon homme.

Il avance à quatre pattes à travers la maison, je le suis, Marina dans mes bras. On s’embrasse, elle me dit qu’elle a envie de moi, j’ai mon énorme queue sous ses fesses. On arrive dans la chambre. On s’allonge dessus avec Marina, Benoît restant à genoux, au pied du lit.

— C’est mon lit dorénavant, compris, il ne dort plus dedans.

— Bien sûr mon amour.

On s’embrasse, je la caresse puis me glisse entre ses cuisses, je retire délicatement son string et le jette au visage du cocu.

— Ton rêve est en train de devenir réalité larbin, remercie-moi.

— Merci mon Maître.

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