Histoires de sexe Histoires de sexe arabes Histoires de sexe en groupe

Me femme, une vraie salope – Chapitre 1




J’ai 33 ans et elle 28 ans Cela fait 10 ans maintenant que nous sommes ensemble. Sophie est une petite asiatique très discrète, timide, classique, calme, ne boit pas, ne fume pas, ne fait jamais la fête, ne sors jamais en boite et moi français, timide aussi, maigrichon à cette époque.

Ceci est mon histoire et jai hâte de pouvoir la partager et la citer de la façon la plus fidèle possible.

1er janvier 2003, je lui ai adressé ma demande. Le lendemain, elle lavait acceptée. Il sagissait dune rencontre classique et facile, nous nous plaisions et entendions bien, il semblait donc normal que nous nous mettions ensemble. Elle nétait vraiment pas farouche. Je suis par ailleurs son premier homme. Nous étions tous deux vierges.

Ensuite vient le premier jour où nous nous retrouvions enfin seuls, nous faisions simplement touchette, petite surprise, elle était carrément trempée, sa culotte l’était également et ma main avec je men souviens comme si cétait hier. Jétais jeune et ne savais point ce que pouvait être une femme fontaine.

— Excuse-moi mais je suis souvent mouillée comme ça, en plus ça ne fait que me gêner ca rend mes vêtements humides et collants je naime pas du tout.

— Pourquoi tu texcuse de ça ?

— Cest un peu dégueu non ?

— Bof non rassure toi en tous cas jaime bien.

— Ha ? Cest vrai ?

— Mais oui, et de toutes façon il ny a pas le choix je crois hein ? Et vraiment je ne suis pas dérangé.

Le jour suivant fût le dépucelage, elle n’a pas eu mal, je pensais que la première fois était douloureuse pour une femme, mais pas dans son cas, elle déclara avoir aimé et indiqua qu’il fallait recommencer. C’est ce que nous avons fait, sept, huit parfois dix fois dans la même journée découvrant positions et techniques de plaisir

Trois années passèrent. A force de la baiser je maperçus de quelque chose, à part le fait quelle exprimait de temps en temps ses envies et ses besoins, cétait toujours moi qui pendant lacte moccupais de tout, ses postions, son plaisir, mon plaisir, je coordonnais le tout et ce quasiment toujours à ma guise. Cest ici que lhistoire commence. Je disposais delle presque à volonté et essuyais peu de refus de sa part. Au détail près que par nature je ne suis pas vraiment dominateur, je voulais que ce soit elle qui décide. Sauf quelle ne prenait jamais de décisions et il était tellement facile dobtenir quelque chose delle

Alors jai commencé à la baiser plus fort et plus vite, elle en a encore plus mouillé, et me demandait timidement dy aller encore plus fort. Ensuite non seulement je la baisais plus fort et très vigoureusement, mais en plus je la serrais fort dans mes mains. Son plaisir sécoulait par sa chatte. Il y eu comme une explosion dans ma tête. Pourquoi nai-je pas fait cela plus tôt ? Et dire quà une époque jétais prêt à la laisser faire ce quelle voulait de moi

— Jadore quand tu me prends comme ça

— Et moi jadore te faire plaisir

— Et si tu me prenais pour TE faire plaisir, tu sais que mon plaisir cest aussi de te satisfaire ? Sers-toi de moi nhésite pas, je le sens bien que tu ne te lâche pas vraiment

— Tu sais je ne suis pas comme les autres pervers

— Mais si, tu es MON pervers, jaime te sentir, jaime tout ce que tu me fais. Sentir ta puissance

Alors cest ce que jai commencé à faire, me servir delle. Rapidement elle est devenue mon vide couille. Du coup, ma tête se remplissait de plus en plus de fantasmes, elle ma donné lenvie de jouer et de la contrôler, oui cest cela, tel un petit jouet. Et une année de plus sécoula avec mon nouveau petit jouet jusquà un certain évènement !

Tous les six mois, mon cousin, celui avec qui jai le plus de confiance et de relation, a passé une semaine chez moi, un petit appartement. Au détail près que cette semaine-là na pas ressemblé aux autres. Dès le premier jour cet enfoiré reluquait ma femme comme si il ne lavait jamais vu, alors quen plus lui-même est marié. Je me contentais dobserver la scène, lui complètement obsédé et elle toute heureuse dattirer son attention, cela se voyait clairement, mais merde quoi, le cousin pervers je comprends cest un homme, mais venant de ma femme cela mennuie, nous navons jamais été infidèles lun et lautre, ni même eu lidée que cela pourrait se faire. Oui mais là cela devenait de plus en plus clair et flagrant, elle aimait se faire draguer, quatre ans maintenant que je suis avec elle, je sais quand quelque chose lexcite Je nen revenais vraiment pas. La nuit portant conseil, je me mis en tête de la tester. Jai donc demandé à mon cousin de la séduire en mon absence, il était ravi. Bienveillant tout de même il me demanda quoi faire si les évènements semballaient, je lui ai donc dit quil pouvait faire ce que bon lui semble mais préservatif obligatoire, et bien sûr ne pas lui faire de mal et à la condition quil me raconte tout après la soirée au café. Le soir elle rentrait toujours avant moi, juste avant le cousin. Habituellement je rentre environs 45 minutes plus tard quelle, sauf cette fois ci ou bien évidemment je lui prétextai par téléphone que je navais pas terminé le travail à cause dun client important de type « grand compte » et dînerais dehors avec lui et par conséquent je ne serais pas de retour avant quelque chose comme 22h00. Évidemment je métais déjà garé ailleurs et étais dans le couloir en embuscade. Jécoutais à ma propre porte ce quil pouvait bien se tramer. On entendait seulement la télévision et parler, ce nétait pas très audible, les minutes passent, 15, 20, 25 45 rien dautre que toujours la télévision, et je nen peux vraiment plus dattendre cest très fatigant et la surprise ha mon dieu je les entends baiser. La salope elle a osé, et là cest bien audible. En plus elle a lair de se lâcher, cest en fait une vraie pétasse je suis dégouté delle. Je me suis donc rendu au café, plein de nuds dans le ventre. Le cousin arriva vers 21h00. Il avait lair gêné :

— Cousin Jai

— Laisse tomber je vous ai entendu et là, ça fait une heure que jessaye de my faire, je ne savais pas que jétais avec une pute, tu as pu la tirer à fond au moins tant quà faire ?

— Écoute, ce ne sest pas passé comme tu le pense

— Ah bon ? Tu las violée peut être ? Cest juste une connasse de plus qui aime écarter à la moindre occasion, elle navait pas lair de ne pas être daccord

— Non mais écoute moi jai un truc important attend !

— Ah ouais ? Quelle est bonne ?

— Oui cest sur elle est vraiment bonne tu as de la chance couz, mais cette fille, elle ne sait pas dire vraiment non même quand elle ne veut pas

— Si elle a bien essayé de dire non mais pas de manière directe, elle dit, ha non je ne peux pas je suis en couple, ce nest pas bien de faire ça patati patata mais en aucun cas elle ma opposé un refus catégorique. Je me suis osé à poser la main sur son genou tu sais comme à des fois nous on fait sans se rendre compte quand on se parle…

— Ouais je vois. Et ?

— Et rien, elle na pas bougé, ça se voit quelle est gênée mais elle ne bouge pas.

— Et ?

— Et jai essayé den faire un peu plus avec la main déjà posée, légères caresses, elle sest recroquevillée légèrement mais cest tout, ma main toujours sur elle.

— Putain !

— Bon et bien tu vois après je remonte sur la cuisse et comme ça se passe bien jai été direct, je me suis approchée et je lai embrassée dans le cou Effet garanti, elle a écarté ses cheveux et libéré son cou pour moi. Et enfin je crois que tu vois la suite

— Quelle pute quand même

— Tu sais si javais une femme comme elle. En plus comment elle mouille jai jamais vu ça

— Je te la laisse cest bon

— Je ne peux pas la ramener chez moi tu sais bien mais à mon avis tu te ne devrais pas ten séparer, je serais prêt à échanger ma femme contre la tienne, et je ne plaisante pas.

— Ok jen ai assez entendu comme ça on rentre.

Ce que le cousin venait de me dire me fit beaucoup réfléchir, je tentai de me calmer et surtout de cacher mes émotions. A la maison, Sophie nosait même pas me regarder mais avait les yeux rouges et légèrement gonflés

— Laisse tomber on ne va pas tourner en rond, je tai piégée et tu es tombée dedans direct.

— Pardon pardon pardon viens dans la chambre sil te plait.

— Pourquoi faire ? Le cousin est maintenant un intime supplémentaire, tu sais quoi je ne plus à ça près, on va discuter ici et maintenant tiens couz installe toi

— Je taime toujours mais je ne suis quune conne, je nai pas voulu te mettre la honte

— Je suis désolée que tu sois avec une conne comme moi

— Tu comptes te séparer de moi cest ça ?

— Y a autre chose à faire ?

— Je nen sais rien écoute comment on va faire ? On a déjà passé tellement de temps ensemble, nous avons déjà fait tellement de choses et quest-ce que je vais pouvoir raconter à ma famille après tout ce que jai dit de bien toi, jai dû les convaincre à mort de taccepter, ça avait été si difficile, ils avaient déjà prévu de me marier à quelquun de la communauté, non seulement je perdrai la face si on est plus ensemble et leur expliquer que javais tort et eux raison, mais en plus tu restes lhomme de ma vie, je taime écoute sil te plait dis-moi ce que je pourrais faire pour être pardonnée et toujours rester à tes côtés ?

De toutes les façons, elle avait raison, tout ce temps investi ensemble, tous ces bons moments, de plus cest quand même moi qui ai provoqué tout ça, si javais été à sa place et allumé par une jolie fille je naurais pas forcément pu garantir ma fidélité même si intentionnellement je ne voudrais pas la tromper, malgré cet écart de conduite elle a toujours été une tendre compagne et merde mais quest-ce que laime en fait, je suis fou delle je dois me calmer je trouver quelque chose à dire. En plus le cousin me regarde bizarrement. Ha je sais.

— Ouais, en fait je crois que je pourrais te pardonner sauf que tu risques de ne pas supporter

— Si si aller demande moi tout

— Alors déshabille toi et met toi à quatre patte au sol

— Arrêtes tu plaisantes ? Ou bien ?

— Jen ai lair depuis le temps que tu me connais ? Magne-toi !

— Pourquoi je ferais ça ? Tu vas me jeter de toute façon

— Tu veux rester avec moi non ? Encore une fois on va arrêter de tourner en rond. Je jure de continuer à taimer et fonder avec toi la famille dont tu as toujours rêvé si tu acceptes de devenir mon esclave et ma salope totale et de faire de moi ton Maître. Je te laisse réfléchir jusquà demain, si tu refuses je préfère en arrêter la avec toi.

— Pas besoin de réfléchir bien longtemps jaccepte.

— Tu sais ce que ça implique ?

— Je sais. Je tai dit cest bon jaccepte, je toffre ma soumission, navais tu pas remarqué que je létais déjà en quelque sorte ? Tu vas enfin me prendre en main ça y est ?

— Ouais cest ça tu vas voir comment je vais my prendre, tu sais ce que tu as à faire ?

— Oui, je me déshabille tout de suite.

— Oui qui ?

— Oui mon chéri.

— Je crois que tu nas pas compris.

— Si Maitre, en fait je pense avoir compris.

— Pendant quon y est, va chercher une ceinture.

— Oui Maître !

— Tu sais ce qui va tarriver là ? tu sais pourquoi ?

— Parce que je suis nulle et faible tu vas me frapper ?

— A présent cest ainsi que tu me nommeras lorsque tu tadresseras à moi. Ensuite la ceinture cest pour tapprendre quelque chose.

— Quoi donc ?

— Ceci.

Et là je lui mets un putain de coup de ceinture mémorable sur les fesses, je me fais peur moi-même tellement jy suis allé fort, elle ne peut même plus se tenir à quatre pattes, tombe sur le côté, pliée et hurle de douleur la bouche grande ouverte.

— Un, le jour où tu rebaiseras avec quelquun dautre ce sera le jour où je ty aurai autorisé, la prochaine fois que je te surprends, ta punition ne se passera pas ici au chaud à la maison, ce sera dans une station-service, le soir, en te mettant 10 coups comme celui que tu viens de prendre à linstant, à poil, en spectacle à qui voudra bien voir, et je te laisserai méditer sur place une heure en libre-service à nimporte qui. Te voilà prévenue. Si cest ce que tu veux je peux même te larranger tout de suite.

— Non jai compris ne tu ne seras plus jamais inquiet

Et clac, un deuxième coup venait de partir avant quelle ne puisse terminer sa phrase.

— Celui-là cest parce que tu viens de me tutoyer.

— Oh pardon Maître, disait-elle voix tremblante et respirant difficilement.

Et clac, un troisième

— Celui-ci cest pour te monter qui commande et qui obéit.

— Maître pitié je nen peux plus, mon Maître jai vraiment compris.

A peine trois coups elle ne peut déjà plus se remettre à quatre pattes, le pire cest quelle ne donne pas limpression de jouer la comédie et à de grosses larmes à entacher le parquet, elle ne parvient même plus à se retenir de baver, et pas quun peu

Et clac, encore un coup comme le premier, dans le bas du dos. Quel spectacle lamentable la pauvre, je commence vraiment à avoir pitié, elle rampe de douleur et semble un peu désorientée, jamais je nai observé de pareils gestes, je nai pas touché la tête pourtant elle a lair confuse et perdue cest dingue jai la vague impression dêtre une sorte denculé finalement Le pire jai limpression daimer ça, non cest bon je vais arrêter là je nai pas envie de la démolir, je me demande si ce nest pas un peu trop. Tant pis pour cette fois je verrai par la suite.

— Ce coup-ci cest juste parce que tu es une sale connasse.

— …

— Esclave, tu es pardonnée, attend je vais te porter au lit.

— Voilà, installe toi dans la position qui tarrange jai peut-être été un peu dur avec toi.

— Non Maître, je lai mérité, chuchote-t-elle.

— Repose-toi ma belle esclave, tu en as besoin, demain sera un jour nouveau pour toi, pour nous.

— Merci, merci merci.

Waouh, jai eu des coups de chaleurs qui m’ont parcouru le corps et je tremble, je retournai au salon. Le cousin a les yeux complètement exorbités et il semblait vouloir me dire quelque chose :

— Écoute couz je suis pas à laise du tout, je devrais aller à lhôtel

— Déconne pas mec on se voit à peine une fois par an depuis quelques années alors quauparavant nous étions si proches Je tassure tu peux rester

— Franchement je napprouve pas tellement ce que je viens de voir

— Aller ressaisis toi regarde quelle heure il est tu verras bien demain en rentrant !

— Mh, ok on verra demain.

— Tu sais quoi, tu as vu de quoi je suis capable, si tu ne restes pas jusquà la fin de ton séjour je la tringlerai en ton honneur de longues heures durant chaque jour de ton absence !

— Tes un malade. Je vais rester pour elle.

— Aller hop tout le monde au dodo bonne nuit couz. Je rejoins ma salope.

— Bonne nuit couz !!!

— Cest bon va te faire, ne répond pas surtout, tu trempe ta bite dans la chatte de ma femme et ne me remercie surtout pas.

De retour au lit, elle baissa mon slip, sapprocha et prit tendrement ma bite dans sa bouche, elle avait encore quelques spasmes de pleurs. Moi, comme un salaud je me cramponnais à sa tête et lui baisais sa petite bouche de pute par de sacrés mouvements, elle avait du mal à suivre. En voulant sonder son cul, je frôlai sa chatte et maperçus que celle-ci était. Dégoulinante. Mais cétait incroyable ! Terrible, elle en avait même le long dune jambe ! Comment serait-il possible quelle puisse aimer ce qui vient darriver Ce serait si excitant que ça ? Je me servi alors de sa mouillure pour passer mes doigts dans son cul. Il nétait pas facile à pénétrer ce trou, son trou de vierge, hé oui, vierge, elle navait jamais voulu que je passe par ici auparavant, cette fois ça allait changer, petit à petit il commençait à se détendre. Je tirai les cheveux de ma chienne et linvitai fermement à se réorienter et sajuster pour faciliter lintroduction de mon sexe tout dur dans son derrière de salope bien mouillée. Je poussai doucement mais surement ma queue dans son orifice serré, je devais faire de petits va et viens pour lenfoncer de plus en plus loin, la salope criait comme une truie, elle devait bien la sentir passer, je navais jamais senti ma bite se faire serrer à ce point. Enfin jallais pouvoir me faire plaisir, je magrippai à ses hanches et la bourrinai encore plus fort que je ne laurais fait avec sa chatte. Jaurais bien aimé quelle se taise car la aussi elle na jamais autant crié de sa vie et je me demande ce que diront les voisins. En tous les cas, elle narrive même plus à se maintenir, elle est comme toute molle, une vraie petite poupée à baiser comme une pute, je lui tringlais son derrière comme un vrai malade, je nen pouvais plus cétait trop fort et ne parvenais plus à résister, et avec ses « haaaa » comme je ne les ai jamais entendu jétais trop stimulé, je déposai alors mon foutre bien au fond de son sale trou. Je lui demandai de garder la position fesses en lair jambes écartées et cambrée pour laisser la trace béante de mon passage se refermer et garder en elle mon précieux liquide.

— Ha pétasse tu as vraiment été bonne.

— Mon Maître, quel bonheur de vous avoir servi enfin à quelque chose, je vous lavais bien dit de vous servir de moi, mais quest-ce que ça fait mal.

— Ten fais pas il faut bien éduquer ce trou là aussi, au début ça te fera mal après tu aimeras cest obligé den passer par là.

— Je comprends Maître.

— Et demain soir tu toccuperas de mon cousin dès quil rentrera, tu lui feras la totale, ça veut dire tous les trous, et lui demandera quil soccupe particulièrement de ton arrière train de pétasse à volonté et supplie le de déposer son foutre au fond de ton cul et le garder bien au chaud. Sil refuse, tu te feras tringler bien comme il faut. Tu devras me donner la preuve que tu as bien fait ton travail. Et tu me raconteras tout le déroulement, vos dialogues et actions.

— Oui Maître.

— En fait tu le feras tous les soirs jusquà ce quil parte.

— Oui mon Maître.

— Bon aller, ferme ta gueule et dors, fiche moi la paix maintenant je nai plus envie de parler plus, va dormir dans ton coin.

— Très bien Maître.

Effectivement elle sest offerte à mon cousin et ce gros porc ne sen est pas privé ma-t-elle raconté Par la suite, tous les six mois jusquà nos jours le cousin reviens comme à son habitude pour tringler ma femme, il a même pris goût à ce quil qualifiait dhorrible au début. Il est devenu son Maître deux semaines par an, il ny a que lui qui est autorisé à la prendre nature, sans préservatifs. Depuis quil a connu ma femme il ma confié quil ne pouvait plus bander pour la sienne

Je remercie le ciel de mavoir donné cette femme, en fait cest plutôt génial. Bien que jai pu être sévère la toute première fois, elle mavoua avec sincérité que cet épisode, malgré une telle dureté, elle en avait besoin et cela avait déclenché quelque chose en elle, une sorte de plaisir à mappartenir, à ne plus décider de rien être à ma merci et que cela était bon pour elle. Suite à cela, nous avons conclu dun contrat de soumission entre elle est moi, son Maître. Depuis ces dernières années, elle est devenue parfaitement soumise, il est extrêmement rare que je doive lui filer des coups de ceinture ou la rappeler à lordre, je peux être fier de moi, je pense avoir réussi son éducation et sa nouvelle vie. Elle ne ma plus jamais tutoyé, elle me propose en permanence si jai besoin de quoi que soit sexuellement et de ne pas hésiter à la sodomiser ou utiliser à ma convenance nimporte lequel de ses trous, par ailleurs elle est devenue folle de lanal, elle a tellement changé sa manière de parler et dêtre, elle est encore plus belle et meilleure quavant. Quand jy repense elle est plus que soumise, elle est mon esclave et ma femme en même temps, elle me sert et elle aime ça, cest une parfaite relation. Nous avons vécu tout un assortiment daventures différentes depuis ce contrat, je ne puis tout vous raconter dun coup entre les partouzes, la vente aux enchères, les abus sexuels, les délires, sa mise sur le trottoir pour combler certaines fin de mois difficiles, ses services sexuels pour aider mes clients à sengager auprès de ma société, parfois je la livre à des amis de longue date, il y a eu aussi les grosses humiliations et tellement dautres choses, et elle me remercie pour tout ça il paraît même que je lai beaucoup aidé psychologiquement, quelle a beaucoup de chance de mavoir, elle se sent bien mieux quavant, quelle belle salope. Il est tout de même vrai que jai su cibler en elle un tas de problèmes dont elle sest à présent débarrassée. Oui, je vous raconterai tout le reste. Et dire quelle était juste une jeune femme simple, qui aurait pu croire ce quelle est devenue maintenant, sa famille ne se doute de rien, ma famille non plus à part mon cousin devenu vicieux grâce à elle justement. Ma chère femme, petite salope, pute, soumise, chienne, femelle, esclave, je taime et tu seras toujours à moi. Jaurais aimé faire delle par la suite une dominatrice et lui donner un petit soumis, sauf quelle refuse systématiquement et catégoriquement se sentant le plus épanouie du monde dans la situation actuelle, voilà la seule chose que je ne suis pas parvenu à lui faire faire Puisse le ciel maccorder le bonheur de rencontrer dautres soumises en manque dun Maître. Je nai jamais été aussi heureux que cela, tout a failli se passer autrement, je ne regrette pas mes décisions, un peu plus et je passais à côté du bonheur.

Related posts

la gynécologue – Chapitre 1

historiesexe

Soumise, sinon rien. – Chapitre 21

historiesexe

GENDRE IDEAL – Chapitre 10

historiesexe

Laissez un commentaire

Ce site Web utilise des cookies pour améliorer votre expérience. Nous supposerons que cela vous convient, mais vous pouvez vous désinscrire si vous le souhaitez. J'accepte .