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Gladys et Ioula – Chapitre 1




Gladys ma abordé quand je buvais un demi dans un café des Champs Elysées. Dabord surpris jétais ravi quelle soit avec moi. Il y avait beaucoup de monde, les tables étaient remplies, javais de la place en face de moi. Gladys, puisque cest ainsi quelle se présente est une jolie fille sexy, sans trop de complexe, comme toute femme très libérée. Dès le début je sais quelle va mentrainer dans une aventure sans doute sans lendemain.

Que dire à une fille de son style sinon quelle me plait. Je ne sais si cest par politesse, elle me dit que je lui plais aussi. Dune chose à lautre, le temps passe jusquau moment où il faut se décider à aller « grailler ». Nétant pas parisien, bien que venant à la capitale deux fois par semaine, je la laisse me conduire.

Le restaurant est assez petit, la bouffe excellente. Quand nous finissons je voudrais linviter chez moi, dans ma chambre dhôtel. Pas question, le dernier verre se prend chez elle.

Bel appartement, sans doute payé par un invisible amant. Elle sort deux verres, les rempli dune boisson écossaise, pile comme jaime. Nous trinquons pour entamer une conversation sans queue ni tête. Je naime pas parler pour ne rien dire alors je lembrasse sur la bouche, quitte à me faire jeter. Nos langues vont vite connaissance. Je ne perds pas mon temps en futilité : elle ma fait venir chez elle, ce nest pas pour enfiler des perles. Je pose ma main sur un genou qui ne se dérobe pas, au contraire, elle écarte à peine les jambes comme une invitation à poursuivre.

Je monte lentement en caressant la peau douce de lintérieur des cuisses. Notre baisser sarrête quand mes doigts sont sur sa chatte : elle est trempée. Jécarte le string pour caresser le clitoris. Je suis gène par le vêtement quelle enlève elle-même. Libre de faire comme je veux, je la branle longuement en marrêtant souvent malgré ses grognements. Jenfile deux doigts dans son réceptacle à plaisir pour continuer le massage du bouton avec le pouce.

Elle ne tient plus. Gladys jouit finalement assez vite.

— Merci de mavoir fait du bien. Je vais te faire jouir aussi.

— Quand tu veux princesse.

Elle commence ses essais pour sortir ma queue qui bandée ne veux pas sortir. Cest moi qui arrive à la déshabiller le premier. Ses seins attirent mes lèvres. Je la tête comme le ferait un bébé. Jai vite fait de faire tomber la jupe. Maintenant nue, elle se donne à moi, alors quelle devait me caresser la queue. Je me désape vite pour mettre ma pine entre ses seins. Elle connait son affaire, je vais et viens entre ses seins ; elle ouvre la bouche en attendant que je décharge. Bien sur une partie de ma semence se perd en route, mais le gros est dans sa bouche.

Elle sort sa langue pour montrer quelle na pas jeté le sperme avant de lavaler.

— Tu as bon gout, jaime bien ton jus.

— Je ne tai pas encore gouté.

— Fais-le de suite.

Là cest trop facile, ma langue entre à nouveau en action. Jévite soigneusement le clitoris que je réserve pour le dessert. Jentre dans son puits quelle resserre au fur et à mesure de son plaisir. Jarrive à la faire jouir encore une fois.

— Tu suce bien mieux que ma copine.

Ainsi elle est bisexuelle, pourquoi pas.

Je passe la langue sur son cul. Alors là, elle gémit sans cesse pendant que je lui lèche lanus. Elle en jouit encore une fois et une autre quand je lencule à peine avec le bout de la langue. Pratiquer le cunnilingus me fait bander.

Cette fois elle néchappera pas à ma queue dans son ventre, nimporte où me convient. Elle me fait venir sur son lit, cest plus confortable de baiser pour une première fois.

Gladys sallonge en me demandant si jaime embrasser les filles. Elle écarte en grand ses jambes pour montrer son clitoris. Une petite merveille, assez longue et fine. Je me couche entre ses cuisses pour attraper le petit bout de chair. Elle sursaute quand je le prends dans ma bouche, elle sursaute encore quand ma langue le lèche.

Elle ne se prive pas de jouissances. Jai envie delle, nous sommes daccord sur la position : Elle couchée, moi sur elle. Jentre à peine dans son con quand elle me rejette à cause de la sonnette.

— Cest mon amie. Retes là, attends nous.

— Nous ?

Elle part sans ajouter un mot, jattends sagement un long moment, je débande même quand elle revient avec sa copine, une brune aux yeux verts. Elle est déjà nue. Je les regarde : leur corps est sensiblement le même.

Je vais donc me payer deux nanas eu lieu dune, en plus des bisexuelles. Une première pour moi. Elles semblent moublier en route quand elles sembrassent profondément. Leurs mains sont sur le sexe de lautre. Les voir se branler ainsi me donne le peps. Je bande à nouveau. Je me prépare à en baiser une, nimporte laquelle.

Je nai à moccuper de rien. Elles viennent touts les deux soccuper de moi. Ma queue est leur proie. Gladys me lèche le gland, la nouvelle venue me mordille la queue. Les deux mettent un doigt vers mon cul. Pourtant une seule caresse les couilles pleine de semence encore. Je connais enfin le nom de la brune, Ioula, une Russe, quand Gladys lui demande de lui passer une main sur le cul.

Je me retiens pour ne pas jouit, je réussis cet exploit. Je force Ioula à sassoir sur ma bouche. Je peux ainsi la lécher là où elle veut Gladys se contentera de ma pine. Elles viennent décidées à jouir de moi. Jai la bouche peine de cyprine russe : elle jouit souvent en jetant pas mal de mouille. Gladys est conventionnelle en commençant par entre ma pine dans son con. Elle aussi est mouillée, presque trop, je la sens à peine en limant. Finalement elle comprend quil faut quelle change de trou en venant mettre sa porte arrière sur ma bite. Elle sencule seule en se laissant aller sur moi.

Jaimerais bien voir la scène : un bon porno. Jentends les gémissements aigues de Ioula et graves de Gladys. Quelque fois aucun son ne sort de leur bouche : elles sembrassent. Lassées sans doute de baiser, elle se retire pour simplement venir me branler.

Pour elle me branler se pratique à deux. Leurs deux mains sont sur ma queue, une en haut lautre en bas à la base. Par contre leurs autres mains leur servent pour des masturbations féminines.

Nous ne tenons pas longtemps pour jouir, elle en lâchant de la cyprine et moi du sperme.

Je pensais en avoir fini avec ses deux folles. Elles sont à genoux de part et dautre de mon corps, leurs mains presque entières dans la fente de lautre. A croire que ma bite est un objet de décoration. Je regarde les mains, leurs seins qui ballottent pendant quelles branlent lautre. Je peux participer à ma façon en passant une main vers les fesses : je mets mes mains dans chaque raie fessière pour aller me fixer sur les anus en y mettant deux à chacune. Elles écartent delles même les culs.

Comme remerciements jai droit à une bouche sur ma queue qui me fait jouir une dernière fois.

Les deux filles finissent sur un spectaculaire 69/

Jai la chance de dormir sur place. Le matin jai droit au petit déjeuner au lit servi par des soubrettes nues enlacées toujours. Jai peine à boire ma tasse de café avec une bouche suçant ma queue.

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