Bonjour. Je m’appelle Mireille, j’ai 49 ans.
Voilà l’histoire qui m’est arrivée l’année dernière.
Un jour, mon fils Martin, qui a 19 ans, m’a surprise avec un homme à la maison. Il s’agissait d’un jeune employé de mon mari. Je ne vous dit pas le scandale : mon amant tout penaud et moi on se rhabille en vitesse et l’amant s’éclipse…
J’ai retrouvé Martin assis sur le sofa du salon. Il avait un petit sourire qui aurait du m’alarmer. Avant que j’ai eu le temps d’ouvrir la bouche, il a lancé les hostilités :
"Maman… bon… Il va falloir que tu sois gentille avec moi, maintenant, sinon je raconte tout à papa…
"hein ? mais…. raconter quoi, Martin ? Il ne s’est rien passé !! …
"arrête, maman… Vous deux à poil et le type allongé sur toi, c’est rien ça ?
Il avait tout vu.
"Martin, hors de question que tu racontes tout ça à ton père, et pourquoi faire d’ailleurs? Lui faire du mal ?
"non, maman… Je ne le ferai pas si tu es gentille avec moi
"hein? Ca veux dire quoi, "gentille"
Il sourit de plus belle, un sourire méchant
"mmmh… hé bien, déshabille toi, déjà… que je vois un peu ce que ce gars semblait tant admirer…
"hein? Ca va pas, Martin?
"ben si, ca va très bien, maman. Si tu fais pas ce que je te demande, je montre tout à papa : regarde, j’ai tout photographié …
J’étais effondrée : le petit salop avait en effet tout photographié. Je pouvais nier, les preuves étaient là. Hors de question que mon mari voit ça : il m’aurait expulsé de la maison en quelques minutes. Avant de le connaître j’étais caissière dans un supermarché. Lui est un homme d’affaire très influent. Il est tombé fou amoureux de moi, et grâce à notre mariage, j’ai pu bénéficier d’un rythme de vie dont je ne pourrai plus me priver…
"mais enfin, Martin, qu’est ce que tu veux ?
"je te l’ai dit, maman, déshabille toi…
"me déshabiller? mais pourquoi ?
"comme ça, j’en ai envie, c’est tout…
Le petit cochon avait tout prévu. J’étais coincée, il le savait. Un peu vicieux : bien le fils de son père
J’ai décidé de jouer l’indifférence, comme si rien s’était passé
"Écoutes, on parlera de ça une autre fois
"ne joue pas l’idiote, maman, tu veux que j’appelle papa? que je lui raconte tout ?
"ho ! tu me fatigues, maintenant, Martin !
Il attrapa son portable et fit le numéro de son père
"papa ? c’est Martin? … si, ca va… non rien de spécial, il faut juste que je te raconte quelque chose. Tu sais, maman….
Je me suis posté devant lui et j’ai fait de grand signe pour qu’il arrête
Il raccrocha et posa le portable.
"bon. ok après tu me donnes les photos ?
"on verra…vas y d’abord…
Je me déshabillais alors de mauvais gré. J’enlevais ma jupe et mon chemisier.
"Ca va comme ça ?
"maman, voyons ! j’ai dit tout ! tes sous vêtements aussi !
"mais enfin Martin ?
"dépêche toi, ou je rappelle papa. C’est ça que tu veux ?
Je retirais ma culotte et mon soutien gorge et me présentais nue devant lui.
"voilà, c’est ça que tu voulais ? je peux me rhabiller maintenant ?
"tu rigoles ? On ne fait que commencer !
Là, j’ai pris vraiment peur. Martin s’est levé et a commencé à tourner autour de moi…
"mmmh…c’est joli tout ça, maman !
Il s’est rapproché et m’a mis la main sur les fesses
"Martin !ca va pas ? enlève ta main !
"Si ca va maman. Laisse moi, te toucher… tu n’as pas le choix…
Il me caressa un peu les seins, malaxa mes fesses quelques secondes, puis passa vers mon sexe. Il passa les doigts entre mes jambes, sur ma chatte
"mais tu es fou, Martin ?
"non maman… Disons que je profite un peu… Tu profites aussi, avec papa, non ? Tu aimes rouler en BMW et habiter dans une villa dans un quartier chic, non ? Tu veux pas que ça s’arrête ? donc tu m’écoutes !
Il se dirigea vers le sofa, s’assit, et à ma grande surprise enleva son pantalon et son slip. Son sexe etait dèja tendu
"viens me sucer, maman, comme tu faisais à ce type tout à l’heure !
"tu es fou !…
"bon… dans 15 secondes, je rappelle papa. Là il va vraiment se poser des questions. Tu vas avoir beaucoup d’ennuis… Allez, viens…
Je me demandais comment j’avais fait pour me mettre dans cette situation. Martin attendait, la bite en l’air que je lui procure un plaisir normalement réservé aux amants, non aux fils. Mais je n’avais pas le choix. J’étais vraiment coincée… Je me suis donc avancée vers lui, je me suis baissée, j’ai mis son sexe dans ma bouche et j’ai commencé à le sucer.
Je n’étais vraiment pas à l’aise, mais j’essayais de faire un peu comme une maman qui change ou lave son bébé, sans état d’âme, comme un simple acte d’hygiène. Je m’appliquais donc à le sucer comme une bonne mère. Il me faisait peur, il me faisais chanter, bien sûr, mais si j’arrivais à le calmer, les choses s’arrangeraient pour moi.
Martin bandait énormément, il était très excité. Pendant que je le suçais, il prenait mes seins dans les mains, et ça l’excitait encore plus. Je sentais qu’il allait pas tarder à jouir, ce qui m’arrangeait bien. Je serai tranquille après. C’est en effet ce qui se passa. J’ai accéléré volontairement mes mouvements de bouche en y mettant tout mon savoir faire et bientôt je le sentis venir…
Il explosa….
Je sentis la giclée de son sperme chaud inonder ma bouche. C’était bizarre, pas désagréable en fait. Son sperme n’avait pas mauvais goût. J’ai eu envie de l’avaler.
Après ça, Martin s’est calmé.
Je lui ai demandé les photos.
"on verra, maman, on verra"
Autant vous dire que j’étais inquiète. Qu’allait il faire avec ça ?
Toute la soirée, avec mon mari, je m’attendais au pire. Mais rien finalement…
Le lendemain, Martin est venu me voir dans ma chambre.
"maman, tu veux les photos? …bon, il va falloir que tu m’écoutes…
"qu’est ce que tu veux encore ?
"Cette fois, maman, c’est moi qui vais te déshabiller !
"…Martin, s’il te plaît, écoute moi….
"Non ! toi tu vas m’écouter ! Si tu ne fais pas ce que je te dis, je te promets que dans 5 mn, ces photos c’est papa qui les a, et pas toi !
Son ton de voix était net et décidé. Je compris que ça ne servait à rien de discuter… Je le laissais faire. Il se calma et m’enleva tranquillement mon chemisier, ma jupe, mon soutien gorge, ma culotte… Bien sûr en passant il mettait les mains partout…
Il me poussa vers le lit
"allonge toi, s’il te plaît ! "
Je m’étendais sur le lit, pétrifiée d’appréhension . Il vint se mettre à coté de moi et commença à me caresser. J’avais très peur mais j’étais obligée de le laisser faire. Il me caressa les seins, passa un moment à me titiller les tétons, puis descendit sur mon ventre, m’écarta légèrement les jambes et posa les doigts sur ma chatte. Là il introduit un doigt dans mon vagin, le remua doucement à l’intérieur, puis le retira. Il se mis à titiller mon clitoris pendant un moment, puis revint vers mon vagin, faisant entrer son doigt, le sortant…Il le faisait très doucement, l’air très concentré.
Il retourna vers mon clitoris, puis entra à nouveau un doigt dans mon vagin…
"maman, tu mouilles !
Il me montra son doigt, tout humide…
J’étais horrifiée. Comment était ce possible ? Comment ce corps pouvait il me trahir comme ça ? Mon fils me faisait du chantage, m’obligeait à des actes interdits, et mon vagin décidait tout seul de produire cette substance liquide qui normalement n’est produite que dans des moments de plaisir ? J’étais en colère.
Martin continua ses attouchements. J’ai eu très peur : peur que mon vagin continue d’éprouver du plaisir. Il n’a pas le droit, il faut que je sois d’accord ! Mais mon vagin ne m’écoutait pas. Je sentais que je continuais à mouiller. Martin entra 2 doigts, puis 3, ça entrait facilement, trop facilement…
Là il se redresse, se lève et enlève ses vêtements.
"Martin, qu’est ce que tu fais ?
Il revient vers moi. Son sexe est dressé. Il me prends un pied, le pousse de coté
"écarte les jambes, maman
"mais… tu ne vas pas… ? tu es fou ! Il est pas question de ça ! Je suis ta mère, Martin !
Il m’écarte une jambe, puis l’autre, et se rapproche au milieu
"mon dieu, Martin, non… pas ça
Je vais pour le repousser, mais trop tard : il a approché sa bite dressée devant ma vulve et me bloque avec ses bras. Doucement il me pénètre…
Il rentre facilement. Trop facilement. Je sens que je suis déjà assez ouverte. Son sexe est au fond de moi. Martin commence à bouger dans moi, des va-et-vient réguliers. Je suis horrifiée de ce qui se passe, mais hélas mon vagin continue de ne pas penser pareil que moi. Il reçoit cette bite avec un certain plaisir. Ce n’est pas normal, pas avec mon fils ! Surtout quand celui ci est un petit salop prêt à tout, y compris à me faire chanter…Mais mon sexe n’est visiblement pas au courant qu’il s’agit de la bite de mon fils…et il aime ça…
Martin, couché sur moi, continue de me pénétrer. Doucement, puis il accélère un peu. Il s’arrête, puis recommence doucement. Je suis obligée de constater qu’il sait s’y prendre, le petit.
Je sens son doigt venir se mettre sur mon clitoris, pendant qu’il continue ses mouvements. C’est très bon… Trop bon. Je sens monter la jouissance. Non ! Il ne faut pas que je jouisse !
Les minutes qui viennent sont terribles. Plus je lutte de toutes mes forces pour ne pas me laisser gagner par le plaisir, plus je le sens monter en moi. Trop tard. Je vais jouir. Martin accélère ses mouvement, et plus je me rapproche de la jouissance, plus il accélère.
On explose tous les deux en même temps. C’est une décharge énorme. Tout mon corps se raidi, inondé de plaisir dans un orgasme mémorable.
Martin a éjaculé très fortement aussi. J’ai l’impression qu’il a déversé des litres de sperme en moi.
On est resté un moment comme ça immobile.
Mais il fallait que je me ressaisisse. Martin s’est dégagé et s’est étendu sur le lit.
Alors, je me suis levée. J’étais encore toute bizarre de mon orgasme, mais encore lucide. Doucement j’ai attrapé son pantalon. Dans la poche, il y avait la carte mémoire de l’appareil photo. Je l’ai prise et je l’ai caché sous le matelas.
J’étais hors de danger.
Martin était couché sur le dos, son sexe mou affalé sur le coté.
Je l’ai regardé. Qu’il était inoffensif, ce petit objet désarmé !
Je ne sais pas ce qui m’a pris à ce moment, je me suis mise à le caresser doucement. Je n’y étais plus obligée, mais j’étais saisie d’une sorte de compassion pour ce sexe familier. En le caressant, toutefois, je remarquais qu’il se mettait à grossir à nouveau. Ce n’était pas possible ! Pas quelques minutes juste après son orgasme ! Pourtant si. Mon fils était jeune, visiblement en pleine force de l’âge. Alors j’ai continué à le caresser et lui a continué à grossir. Martin me regardait faire sans rien dire. Bientôt son mandrin est devenu droit, tendu au dessus de lui.
Il m’est alors venu un désir fou. J’ai eu envie de m’empaler sur cette bite proéminente. J’ai passé une jambe au dessus de lui, j’ai positionné son sexe sous ma vulve encore ouverte et je me suis assise dessus. En quelques secondes, sa bite était à nouveau entrée au plus profond de moi. Pourquoi étais je excitée comme ça ? Je ne comprenais pas. Mais quoi qu’il en soit le plaisir était là.
Cette deuxième saillie fut tout autant délicieuse que la première. Mais là, c’était moi qui dominais. Je ne risquais plus rien, c’était mon plaisir ! Je regardais Martin d’un air victorieux. Ha tu croyais m’avoir, mais voilà, là c’est moi qui profite de toi ! Ta bite n’est plus qu’un instrument pour mon plaisir.
J’ai remué sur son sexe à mon rythme, vigoureusement, le maltraitant presque. Martin etait un peu déboussolé mais je n’ai pas tardé à atteindre à nouveau l’orgasme. C’était délicieux.
Martin était un peu inquiet. Dès que j’ai eu fini, il récupéra son pantalon et fouilla sa poche vide.
"Maman !?! Tu m’as pris ma carte mémoire… Rends la moi !
"non, mon chéri… Tu as perdu, cette fois. Un partout ! Retourne dans ta chambre maintenant.
Il est resté tout bête, mais il a vite compris qu’il n’y avait rien à faire. Alors il est ressorti, tout penaud, et je suis restée là étendue un moment sur mon lit, savourant ma victoire et mon plaisir, toute étonnée encore de cette drôle de situation…
Depuis ce jour là, nous avons des relations très spéciales. Quelque part c’est moi qui ai pris le dessus. Il m’a fait chanter, il sait que c’était une grosse erreur, que si jamais cela se sait, c’est lui qui aura de gros problèmes. Il n’a plus de pouvoir sur moi, alors j’en profite pour le provoquer. Je me balade en petite tenue devant lui, en sous vêtements, sans me gêner. Il aurait très envie de me baiser à nouveau, mais il sait que je l’enverrai paître s’il me demande la moindre chose à ce sujet. Mais c’est moi qui déciderais où et comment. J’ai le pouvoir, et j’ai bien l’intention d’utiliser son sexe où et comme bon me semble, selon mes envies et mes besoins… Mon fils dorénavant est à mon service.
Ca m’excite d’avance !