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Course poursuite – Chapitre 1




Une grosse cylindrée roule à pleine vitesse, se faufilant dans la circulation.

Elle est poursuivie par une voiture de police qui lui colle au pare-chocs.

A bord de la grosse voiture, quatre hommes en cagoules qui venaient de cambrioler une bijouterie.

— Je n’arrive pas à semer cette poufiasse, elle est collante!

— Sors de la ville, on aura plus facile.

A bord de la voiture de Police, Joëlle, sergent.

— Ici voiture 214, appel de renfort d’urgence. Suis à la poursuite d’une voiture de marque inconnue, couleur noire, plaque ZZD-979

Code 25, je répète Code 25.

Nous sortons de la ville. Renfort demandé d’urgence.

— Ici centrale, voiture 214, appel reçu. Renfort non disponible pour l’instant, seront envoyés dès que possible.

— Bordel! Je ny arriverai pas toute seule! Urgence prioritaire.

— Ici centrale, voiture 214, renfort seront envoyés aussi vite que possible.

Sortis de la ville les deux voitures s’engagent sur l’autoroute et accélèrent.

Le chauffeur de la voiture de tête manuvrant pour empêcher la voiture de police de la dépasser.

— Prend la A65, à cette heure-ci la route est dégagée et on pourra semer cette garce.

— Ici voiture 214, nous nous engageons sur l’A65. Je répète nous nous engageons sur la A65

— Voiture 214, ici centrale, bien reçu.

L’A65 était déserte à cette heure de la journée, la course folle continuait.

— Elle ne nous lâche pas! Elle est une obstinée.

— Attend, j’ai une idée…ralentit un peu et laisse la te déborder sur la droite. Dès qu’elle est à notre hauteur, tu te rabats et tu l’envoi dans le fossé.

Les deux voitures étaient maintenant cote à cote….quand la voiture noire fit un brusque mouvement vers la droite, percutant le véhicule de Joëlle.

Elle perdit le contrôle et s’écrasa sur un arbre.

L’autre voiture s’arrêta un peu plus loin et fit marche arrière.

Joëlle était inconsciente, assommée par le choc.

— Elle a du pot…elle ne s’en sort pas trop mal.

— Ouais, mais elle a certainement communiqué notre plaque, donc cette voiture est fichue. Il faut qu’on en trouve une autre rapidement.

— Et si on la prenait en otage, histoire d’avoir une assurance « problèmes »?

— Ouais, bonne idée.

— John, va la chercher, fous lui ses menottes et tape là dans le coffre.

Joëlle, toujours inconsciente était menottée et déposée dans le coffre de la grosse voiture.

John en profita pour prendre les armes et les matraques qui étaient dans sa voiture.

Elle se réveilla…sa vision était encore trouble, sa tête lui faisait horriblement mal et elle mit un petit moment pour reprendre ses esprits et découvrir qu’elle était menottée et bâillonnée dans une cave sombre et humide.

— haaaa…miss superflic se réveille enfin.

Elle vit les 4 gangsters face à elle, tous avait revêtu leur cagoule.

— Tu pourras te vanter de nous avoir donné du fil à retordre…coriace comme flic.

— Mais bon, tu t’es plantée et tu es maintenant notre garantie « anti-flic » jusqu’à ce qu’on quitte ce pays.

— Alors, tu vas rester bien sage et ne pas tenter quoique ce soit qui serait préjudiciable à ton physique.

Un des 4 gangsters, qui semblait être le chef se tourna vers les 3 autres et donna des consignes que Joëlle ne put entendre.

Deux gangsters quittèrent la cave, pendant que les deux autres s’installèrent sur les chaises…observant leur prisonnière au travers de leur cagoule.

— Elle est pas mal gaulée pour une flic…c’est rare ça

— Ouais, ça nous change…et ici on a décroché le jackpot avec un top model en bleu.

— Regarde ce qu’elle a dans son portefeuille, j’aime savoir à qui je parle.

Il prit son portefeuille et commença à le vider sur une table.

— Voyons voir ça….

50euro, quelques photos de famille, papier d’identité, carte de police, cartes de banques…rien de bien marrant dans tout ça.

Ho…un préservatif…mademoiselle est prévoyante, c’est bien ça.

Son instinct policier travaillait à plein régime.

Celui qui semblait être le chef s’appelait Marc, son comparse John. Les deux autres, elle n’avait pas encore eu l’occasion d’entendre leur prénom.

Quelques instants plus tard, les 2 autres gangsters étaient de retour.

— Ok, j’ai une voiture. A la radio, la police semble être dans les choux…ils ont retrouvé les voitures, mais aucune piste. On est donc tranquille pour un moment.

— Parfait! On va se reposer un peu, ensuite on se remet en route.

— Et que faire d’elle? On ne va pas la trimballer avec nous, elle nous gênerait plus qu’autre chose.

— J’ai d’autre plan pour elle…rassure toi.

Joëlle eut un frisson en entendant Marc prononcer cette phrase.

Quel plan? Ils allaient la tuer?

— John, prend la chaine qui est là!

Il pointa du doigt une chaine qui trainait sur le sol.

— Ensuite, fixe le mousqueton sur les menottes de notre invitée et passe la chaine dans l’anneau situé juste au-dessus d’elle.

John s’exécuta et donna le bout de la chaine à Marc.

Marc tira brusquement la chaine, relevant les bras de Joëlle et la forçant à se lever.

Il attacha le bout de la chaine à un crochet.

Elle était maintenant debout, bras tendu au-dessus de sa tête. Cette position faisait ressortir sa poitrine.

— C’est qu’elle a des arguments la miss….

S’écria un des 2 autres dont elle ignorait encore le nom en pointant dans sa direction.

L’autre « inconnu » s’approcha d’elle et sorti un couteau, le glissant le long de sa joue.

— Alors mignonne…ça fait quoi d’être flic? Ça te fait jouir de faire chier les gens?

— Michael, ne la blesse pas…j’ai d’autre projet.

Il s’appelait Michael…et de 3.

— Par contre, fait sauter sa chemise, je suis curieux de voir ce qu’il y a en dessous.

Michael, aidé de son couteau fit sauter 1 par 1 les boutons de sa chemise, puis il écarta en écarta les pans. Dévoilant au quatre personnes une poitrine généreuse cachée par un soutif bleu modèle sport.

— Je fais de même pour son soutif?

— Oui abruti, pourquoi poser cette question.

Assez rapidement, avec l’aide de son couteau, il en déchira les lanières.

Ses seins étaient maintenant à nu, elle frissonnait…de peur et de froid.

Marc s’approcha d’elle et lui murmura à l’oreille :

— Tu vois ma mignonne, nous sommes évadés de l’aile Z3 du pénitencier local…si ça te dis quelque chose

Évidemment que ça lui disait quelque chose, l’aile Z3 était l’aile des pervers sexuels, des détraqués en tout genre, des violeurs multirécidivistes, des psychopathes,

— Tu nous as fait chier, on va-ten faire baver à notre tour.

Joëlle tenta de lui envoyer un coup de pied qu’il esquiva.

Elle reçut en retour un coup de poing dans le ventre qui eut pour effet de la faire suffoquer sous son bâillon.

— Michael, Nicholas, tenez lui les jambes! John, enlève-lui son pantalon!

Les 2 gangsters lui tenaient les jambes et les avais relevés…elle était suspendue par les bras.

John défis sa ceinture et dégagea le pantalon.

— Hooo quel beau slip, tout ce qui a de plus règlementaire.

Dit Marc en lui passant la main sur les fesses.

Joëlle se débattait de plus belle, poussant sur ses jambes pour faire tomber ses agresseurs.

— Tenez là bordel!

Ils étaient maintenant à trois à lui tenir les jambes.

Brusquement il lui tira les cheveux en arrière et déboucla sa ceinture avec son autre main.

— Alors ma mignonne, on fait de la résistance? bien j’aime ça….on va voir jusqu’où tu nous résiste.

— Tenez la bien, elle ne doit plus bouger!

Il fit claquer la sangle en cuir de sa ceinture.

Puis une douleur atroce fit hurler Joëlle. Suivit d’une autre et d’une autre encore.

Il la fouettait avec sa ceinture, la sangle s’enroulant autour de sa taille, claquant sur son ventre, ses seins, ses cuisses,…

Elle hurlait et pleurait de plus belle tandis que les coups pleuvaient.

— Écartez-moi les jambes de cette poufiasse.

A peine les 3 comparses lui avait écartée les jambes qu’il recommençait immédiatement à utiliser sa ceinture, mais sur ses fesses cette-fois.

La douleur était atroce, Joëlle n’en pouvait plus, elle suffoquait, tentait de se débattre.

Ca n’arrêtait pas Marc pour autant…au contraire, la force et l’intensité augmentait.

Il avait reculé un peu, résultat c’était le bout de la lanière en cuir qui claquait sur ses fesses à présent, déchirant son slip.

C’était un pervers de 1er ordre, sachant manipuler les objets pour l’aider dans sa perversion.

De son slip, il ne restait que des lambeaux de tissus…sa chair était à vif et zébrée.

Il prenait soins de ne pas frapper 2 fois au même endroit.

Alternant les coups sur ses fesses, ses cuisses, ses seins ou sa taille.

Elle souffrait le martyr, la douleur était trop forte, pleurant et hurlant à chaque coup.

Quand il eut fini, elle était à demi consciente. Il la réveilla en la giflant.

— J’en ai pas fini avec toi ma jolie. Nicholas, apporte-moi sa matraque.

Il fit glisser le bout de la matraque sur ses seins, sur son ventre..

Joëlle était terrorisée.

Il en profita pour arracher l’élastique de ce qui fut auparavant un slip.

Elle sentit le caoutchouc froid glisser sur son entrejambe, effleurant sa chatte.

Il passa derrière elle. Elle s’attendait à recevoir des coups violents.

— John, Michael, faites glisser ses jambes en arrières et maintenez lui les cuisses écartées. Nicholas, fait descendre la chaine de mademoiselle…elle est trop haute.

Ainsi fut fait…elle pendait, toujours attachée par les mains, en diagonale, jambes écartées.

Marc fit glisser le manche le long de son dos, descendant vers ses fesses.

Elle avait peur, elle tremblait…

Il fit glisser le bout de la matraque entre ses fesses et s’agenouilla.

Il titilla son cul avec l’objet…

— Alors? On est vierge du cul?

Les yeux de Joëlle s’ouvrais en grand, sortant presque de leur orbite quand il commença à pousser la matraque sur son illet. Elle se débattait, hurlait au travers de son bâillon.

Marc poussait de plus en plus fortement la matraque, petit à petit elle entrait, forçant le passage à sec.

Elle hurlait de plus belle, sentant sa matraque lui déchirer l’entrée de son cul.

Marc prenait plaisir à pousser par à-coup sec et brutal. La matraque était enfoncée à présent de presque 10cm dans son cul quand il commença à effectuer un mouvement rotatif, déchirant un peu plus son petit trou.

Il maintenait le manche bien enfoncé et se redressa, murmurant à l’oreille de Joëlle :

— J’aime les garce dans ton genre au cul vierge…je vais te dilater ma poupée. Quand on en aura fini avec toi, tu pourras y glisser ta main sans problème.

Elle était horrifiée, terrorisée par cet homme et ses comparses.

La douleur qui lui traversait les entrailles s’amplifia d’un coup, quand Marc fit sortir et rentrer le manche, recommençant la manuvre à plusieurs reprises, entrant de plus en plus violement. A chaque fois, elle hurlait et à chaque fois, il poussait plus fortement encore.

Cette pénétration forcée et violente dura longtemps. La matraque pénétrait à présent sans aucune résistance et s’enfonçait profondément.

— Marc, laisse-nous-en un peu! s’écria John en ricanant

— Ouais, on a aussi envie de s’amuser. Dit Nicholas

— Tu entends ça ma mignonne…ton cul a du succès. John, à ton tour.

Marc se positionna face à Joëlle et observa ses yeux…

John se glissa derrière elle, déboutonna son pantalon…et patienta un peu.

Il glissa sa mains entres ses fesses, remontant sur son anus déchirés.

— Il est déjà bien ouvert Marc…mais pas encore suffisamment.

Il cracha sur ses doigts et lubrifia son orifice.

Marc regardait toujours Joëlle dans les yeux…fixement.

John s’enfonça d’un coup au fond de son cul…les yeux de Joëlle s’écarquillaient.

Il sorti et rentra à nouveau d’un coup sec et ainsi de suite.

Joëlle hurlait de plus belle, sentant ses entrailles se déchirer.

Marc s’était avancé et posa ses mains sur sa poitrine.

Il pinça ses têtons pendant que John lui labourait le cul.

John n’allait pas de main morte, à grand coup de rein il lui enfonçait sa bite jusqu’au bout.

— Elle est étroite la salope, je vais vite jouir.

Marc pinçait de plus en plus fortement le bout de ses seins.

Les larmes de Joëlle glissaient sur ses joues. La douleur était atroce.

— Défonce là cette garce!

Sur ces mots, John accéléra le mouvement, orientant son bassin pour la pénétrer plus profondément encore. Marc malaxais sa poitrine sans ménagement.

Nicholas et Michael riaient de plus belle en entendant Joëlle pousser des « han » étouffé sous son bâillon.

Elle senti un liquide chaud se répandre en elle alors que John poussait un râle profond.

— Putain, cette salope est étroite, vous allez appréciez les mecs!

A toi Michael.

John pris sa place et Michael s’installa, il n’attendit pas longtemps. Profitant du trou béant et lubrifié par John, il s’enfonça aisément dans son cul.

Le ramonage commença…Michael n’était pas aussi bien membré que John, Joëlle souffrait moins de sa pénétration. Ce qui n’eut pas le gout de plaire à Marc qui ne put s’empêcher de gifler ses seins endoloris.

Michael ne mit pas longtemps à jouir.

Le cul de Joëlle proposait à présent une ouverture béante, dégoulinante de sperme…

Nicholas se présenta à son tour….et ramona le cul déjà bien ouvert avec force et violence.

Tout en lui déchirant les entrailles, il ne manquait pas de lui asséner des claques sur ses fesses.

Marc s’était accroupi et pinçait son clitoris, il glissait de temps en temps deux ou trois doigts dans sa chatte, alors que Nicholas lui défonçait le cul de plus belle.

— Mais c’est qu’elle mouille cette garce!

Joëlle se laisse faire, ne résistant plus, tentant de s’évader psychiquement de cet endroit…mais bien vite le sadisme de Marc la ramenait à l’horrible réalité.

Il enfonçait à présent la matraque dans sa chatte détrempée, la poussant bien profondément…alors que Nicholas était encore dans son cul.

— Je parie que t’aime ça…une bonne double. Je suis certains que tu en rêvais et que tu mouillais ta culotte.

Il avait raison, elle aimait ça, se faire prendre de la sorte, mais jamais elle n’osera l’avouer à ces crapules.

Chacun ils éjaculaient à leurs tours dans son cul et dans sa chatte détrempée.

Ne lui laissant aucun répit, elle subit les assauts cumulés des hommes pendant plusieurs heures.

Ils finirent par s’en aller, la laissant quasiment pour morte, baignant dans une mare de foutre, vêtements déchirés, chatte et cul béant.

Elle fut sauvée peu de temps après par une équipe de recherche.

Elle démissionna de la police quelques mois après son retour de l’hôpital et se mit à la recherche de ses tortionnaires.

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