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GENDRE IDEAL – Chapitre 6




Toujours en voiture avec Belle-maman, je décide de laisser la miraculeuse crème du pharmacien faire son effet sur ses orifices. Elle a lair daller déjà beaucoup mieux et jen suis ravi. Je naime la voir souffrir que lors de ses ébats sexuels, et encore, je sais pertinemment quelle y prend bien plus de plaisir quelle me le laisse croire.

Ce soir jai un projet tout particulier pour elle qui me fait bander à mort rien que dy penser : Il se joue dans sa ville une finale régionale de rugby et je suis sûr que, gagnante comme perdante, léquipe locale sera enjouée de trouver ma chère belle-mère en petite tenue dans son vestiaire, prête à toutes les perversions pour féliciter ou consoler les joueurs. Je les ai déjà vu jouer, ce sont tous des athlètes de pas loin de cent kilos, entre 20 et 35 ans. Michelle va avoir à faire à des bestiaux de belle qualité ! Elle a tout intérêt à être en forme elle-même !

Mais avant cela, jai lintention demmener belle-maman faire un peu de shopping. Et je me souviens avoir précisément remarqué un endroit adéquat tout près de la gare, comme souvent

— Où memmenez-vous maintenant ?

— En ville Belle-maman ! Jai envie de vous gâter un peu

— Me gâter ? De votre bouche, je mattends au pire

— Et moi de la votre, je ne mattends quau meilleur !

— Ne jouez pas sur les mots Pourquoi tant de haine envers moi ? Vous me détestez à ce point !

— Au contraire !

— Pourquoi me faîtes-vous subir toutes ces dégradations ? Mhumilier de la sorte

— Allons, allons

— Vous vous acharnez sur moi, vous mavez livré à mon abject voisin et à ces vils camionneurs ! A qui devrais-je encore me soumettre pour assouvir votre désir de me voir souffrir ?

— Souffrir ? Belle-maman vous êtes une menteuse ! Une menteuse doublée de la plus grosse salope quil mest été donné de rencontrer ! Après votre fille évidemment

— Laissez-la en dehors de ça ! Si elle savait…

— Je vous ai bien vue prendre du plaisir sur ces photos prises par Bernard, et encore mouiller comme une truie au restaurant hier soir ! Ne me faîtes pas croire que vous ny prenez pas du plaisir ! De toutes façon, votre initiation est bientôt terminée. Je nai plus que quelques jours de congés devant moi. Encore quelques « ateliers » et vous serez totalement prête.

— Mon Dieu, que doutrages encore Votre colère na pas de limite.

— Je ne suis pas en colère Michelle, cest juste que depuis que je suis avec votre fille, vous me snobez, vous me méprisez, vous me regardez de haut ! Non, je ne suis pas de votre monde, je naime pas votre orientation politique ni vos discours de catho-gauche-caviar bien pensant. En revanche jaime votre gros cul, vos seins lourds, votre visage de poupée mature, vos yeux de salope de bourgeoise et votre chatte béante depuis que jai le loisir de la doigter. Je ne sais pas pourquoi mais cest comme ça, vous me plaisez Michelle, jai envie de vous prendre par tous les trous autant que de vous voir vous faire prendre par dautres Et puis je me suis fixé un objectif tout particulier !

— Peut-on savoir lequel ?

— Patience belle-maman Cest une autre surprise. Mais je vous promets une expérience inoubliable, et commençant à vous connaître, il se peut que cela vous plaise.

— Je ne…

— Fermez-là maintenant. Nous arrivons.

Effectivement, le sex-shop est en vue.

Nous nous garons sur le parking de la gare. Je mimagine que Julie et Bernard sont passés par là à peine quelques heures plus tôt. Je me demande bien ce quils sont en train de faire. Jespère en tout cas avoir bientôt tous les détails !

Jentraine Michelle vers le sex-shop. Il nest pas très beau, mais cest le plus grand de la ville et jespère que notre entrée fera son petit effet ! A lintérieur je remarque trois clients masculins, un couple dune cinquantaine dannées et le vendeur, ventripotent du genre à passer ses nuits à jouer à des jeux de rôle en ligne.

Nous saluons poliment et je pousse Michelle devant moi. Dans ses nouvelles fringues, elle a vraiment lair dune prostituée et jadore la voir rouler ses grosses fesses dans ce jean trop serré pour elle.

— Vous chercher quelque chose de particulier ?

— Pour être franc je ny connais rien Mais ma belle-mère et moi sommes à la recherche de quelques accessoires rigolos.

-Votre belle-mère ? Si cest pour faire une blague il y a un magasin de farce et attrape dans le centre-ville !

— Michelle, à genoux !

Contre son gré, mais soumise à ma volonté, Michelle sagenouille devant moi. Les clients et le vendeur nont maintenant dyeux que pour nous et je commence à bander aussi sec. Je la prends par les cheveux et tire sa tête en arrière.

-Ouvrez la bouche belle maman !

Elle sexécute et je lui lâche un gros crachat gluant jusque sur son palais ! Le vendeur nen revient pas.

-Oh putain ! Je peux moi aussi !

Cest lun des trois clients qui sest rapproché de nous. Il a une tête pas possible et du genre à avoir 54 de QI.

— Merci mais je ne préfèrerais pas, je suis venu faire plaisir à Belle-maman, une autre fois sans doute !

Le type séloigne vexé mais le vendeur sapproche de nous.

-Bon quest-ce que vous cherchez exactement ?

Tout en lui parlant, je caresse la tête de Michelle toujours à genoux près de ma cuisse, comme sil sagissait dune chienne. Je flatte sa bouche et sa gorge.

— Alors je voudrais lui offrir un collier, une laisse et un bâillon avec une balle quon met dans la bouche, vous en avez ?

— Évidemment !

— Jaimerais aussi lui offrir un plug anal, de ceux qui vibrent !

— Jen ai même avec télécommande !

— Oh Quelle portée ?

— Une quinzaine de mètres, moitié moins en intérieur

— Parfait !

— Autre chose ? Fouet ? Godmichet ?

— Ah oui un god, de belle taille ! Et quon peut accrocher à une ceinture !

— Ca serait pour vous ?

— Non Enfin oui ! Enfin je veux dire que je la ferai porter par une tierce personne pour quelle puisse baiser ma belle-mère devant moi. Une femme !

— François, non !

Michelle objecte alors je lui rentre mes doigts dans la bouche pour la faire taire. Elle en a des haut-le-curs mais au moins elle la ferme instantanément.

— Je ne vous demande pas votre avis belle-maman !

— Autre chose ?

— Le plus important je pense… Je cherche une tenue spéciale pour cette grosse chienne, un truc moulant, un peu comme un corset mais je voudrais que son corps soit presque entièrement caché, quon ne la reconnaisse pas voyez ? Avec une cagoule peut-être ?

— Je pense avoir ce que vous cherchez, est-ce quon la cache entièrement ou on en laisse un peu dépasser ? Les nichons, la chatte, le cul ?

— Parfait ! Mais le visage ? Je ne voudrais pas quon la reconnaisse, mais elle a une si belle bouche, ça serait dommage de pas sen servir

Tout en décrivant son matériel, je remarque que le vendeur se met à bander lui aussi.

— Les cagoules en latex sont très moulantes, elles tirent un peu et déforment les traits du visage. La bouche et autour des yeux, avec un peu de maquillage et du rouge à lèvres en plus, elle sera méconnaissable.

— Vous êtes un génie

— Couleur ?

— Noir

— Latex ou Vinyle ?

— Ce que vous avez de meilleur ! Et de plus seyant bien sûr !

— Je pense avoir exactement ce que vous voulez Mais le mieux, cest dessayer la tenue ici

Et ben mon salaud

-Très bonne idée, nous ne sommes pas pressés ! Nest-ce pas Michelle ?

En guise de réponse, elle gémit en me bavant sur les doigts

Le vendeur nous emmène dans une pièce à larrière de la boutique. Lendroit semble propre et sent même leau de javel.

— Vous pouvez lui passer lensemble ici et sil vous prend lenvie de baiser votre esclave, je peux vous fais une ristourne intéressante à condition que vous laissiez les clients vous mater. Il suffit douvrir les rideaux devant les glaces sans tain.

Voilà une idée tout à fait charmante ! Je nattends même pas que le vendeur sorti reparti pour ouvrir tous les rideaux. Jespère que derrière sont installés les 3 clients et le couple croisés tout à lheure.

— Belle-maman, cest lheure de changer de peau

Je sors un à un les éléments de sa tenue et les lui enfile tant bien que mal. Les rondeurs de Michelle – que jaime tant – peinent d’abord à trouver leur place dans cette gangue de latex mais une fois à lintérieur, elles y sont du plus bel effet ! Son cul surtout, noir, brillant, poli ! Il est à se damner ! La tenue est aussi suffisamment corseté pour soutenir ses gros nichons lourds qui sortent de la combinaison par deux trous qui les enserrent bien à la base, ses gros tétons pointent et quelques veines violettes apparaissent légèrement. Jadore

Je lui enfile une paire de gants fins et des talons aiguilles de 12 cm. La cambrure de ses reins est délicieusement exagérée et Michelle est ainsi presque aussi grande que moi. Putain quel morceau Elle se met à quatre pattes. Son anus et son clito, sont parfaitement dégagés et mis en valeur au centre douvertures ingénieuses munies de fermetures éclaires. On en boufferait.

Enfin, je lui attache les cheveux en queue de cheval et lui enfile la cagoule. Ses yeux et sa bouche sont bien dégagés et effectivement le latex qui tire sur sa peau lui déforme suffisamment les traits du visage pour ne pas la reconnaître. Ses cheveux blonds ressortent par lorifice prévu à cet effet et je mamuse à tirer dessus. Michelle couine Et mexcite de plus en plus.

— Je crois queffectivement, je viens de trouver ce que je cherchais Vous ressemblez à la mère de Catwoman et vous me plaisiez à mort.

Pour finir, je lui enfile son collier et attache une chaine brillante en guise de laisse. A quatre pattes devant moi, Michelle a dans les yeux cet air de soumission que je lui aime tant ! Jai très envie de la baiser mais je la réserve pour ce soir ! En compensation, je passe derrière elle et lui met de grandes claques sur les fesses. Elle gémit à chacune delle et ondule du cul, la garce

Son corps a fier allure moulé ainsi, elle est bandante comme jamais et cerise sur le gâteau : ma belle-mère est méconnaissable ! Car jai un plan

Très prochainement, je parlerai à Julie, ma petite femme chérie, dune envie que jai de baiser une autre femme avec elle Une sorte desclave bisexuelle, muette et soumise à nos moindres désirs. Connaissant Julie, elle ne me refusera pas cette nouvelle expérience et évidemment, elle ne reconnaitra pas sa mère Michelle, toujours soumise à mon chantage, se fera donc baiser par sa fille et son gendre et elle et moi serons les seuls à le savoir A cette idée, déjà très excité par la nouvelle tenue de Michelle, je sens un pré-jus sécouler de ma verge. Je ny tiens plus, et Michelle a encore la bouche de libre.

-Belle maman, cest lheure du lolo

-Pas encore François je

Je tire sur la laisse pour la faire taire, ouvre mon jean et sors ma queue déjà très dure. Michelle toujours en position de chienne, avance vers moi et mengloutit.

Putain ce que jaime la chaleur de sa grande bouche, la douceur de sa langue. Elle me prodigue une des meilleures pipes à laquelle jai jamais eu droit. Que de progrès !! Delle-même, elle alterne les coups dil de soumise, le léchage de couilles, de hampe, de gland. Quelle ne me fasse pas croire quelle naime pas la bite !

Je lui attrape les cheveux, qui sorte de sa cagoule et la tire vers moi pour quelle mavale tout entier. Hmmm Quel pied.

— Allez Michelle, une pipe bien baveuse daccord ?

Jagrippe sa tête emprisonnée dans le latex (quelle délicieuse sensation sous mes doigts) et la fait se coller à mon pubis. Elle a moins de haut-le-cur quau début et cest presque frustrant Cest pourquoi je lui bouche le nez dune main. Elle devient toute rouge et je lui laisse un peu de mou. Elle crache une grosse quantité de salive sur ma queue et mes couilles et reprend son souffle. Mais je ne lui laisse pas longtemps ce loisir. Après une goulée dair, je la replaque contre moi. Je ne vais pas tarder à jouir à ce rythme là !

Je suis fier de moi En à peine 2 jours, je suis parvenu à soumettre ma belle-mère et à trouver le moyen de la baiser avec ma femme ! Ce nest bien sûr quune première étape Je vais mettre tout en uvre pour quelles baisent de leur plein gré lune avec lautre, avec moi et avec dautres, bien entendu

A cette idée, je sens la jute monter à grande vitesse le long de ma queue. Alors que Michelle reprend son souffle, je tire une dernière fois sur ses cheveux et dégorge longuement un velouté bien gras dans sa gorge. Putain que jaime lui faire ça ! Elle nen laisse pas une goutte et jinsiste pour quelle aspire toute la bave qui me coule encore le long des couilles et des cuisses.

Une demi-heure plus tard, le vendeur memballe le tout dans un grand sac. Jai hâte de ressortir tout ça !

— Alors, moins la ristourne ça nous fait 250 euros ! Vous payez comment ?

— Avec la carte de belle maman bien sûr Avec tout le fric qu’elle a piqué à son ex-mari, elle peut bien se permettre une petite folie de temps en temps !

— Comment osez-vous… Laurent m’a trompé durant des années ! Je n’ai fait que réclamer ce qu’il me devait !

Elle paie et nous sortons du sex-shop chargé de paquets…

En marchant vers la voiture, j’ai une nouvelle idée. Le match ne se joue que dans plusieurs heures, nous pourrions faire une petite visite de courtoisie à ce Laurent justement

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