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Laurence se déchaine – Chapitre 6




Durant le trajet Laurence, aux côtés de Jean-Marie, garda les cuisses ouvertes, car l’effet du gel était encore bien présent, même si elle en avait pris pour son grade de grosse cochonne qu’elle était et pour se bonifier.

La main gauche de Jean-Marie joua de ses doigts sur son clitoris, Laurence lui dégrafa son jean pour sortir sa queue en début d’érection, puis se pencha et vint lui sucer, en remerciement de cette soirée mémorable.

— Elle n’en finit pas, notre petite chienne, dit Jean-Marie.

— C’est une gourmande, dit Jean-Marc.

Puis le monospace se gara devant le portail, et Laurence suça avec beaucoup de délice Jean-Marie.

— Voilà, nous sommes arrivés, dit Jean-Marc, en se tournant, regardant s’activer sa petite chienne.

Laurence se releva, embrassa Jean-Marie, du bout des lèvres.

— j’espère que tu finis la nuit avec nous, Jean-Marie ?? Dit-elle

— Je ne sais pas…

— Ah, oui, Jean-Marie, il n’est pas question que tu rentres, en plus tu es seul, autant passer la fin de nuit avec nous, tu as juste à traverser le jardin et tu es chez toi…

— Oui, mais tout à l’heure, vous allez au travail…

— Tais-toi et rentre… Dit-elle en le tirant par le bras, jai une grosse envie de tous les deux, dans mes orifices…

— Ça promet… Dit Jean-Marc, en partageant un regard complice avec son voisin et ami de sexe.

— Je ne te le fais pas dire, dit Jean-Marie, en se laissant guider dans la salle à manger.

Les deux hommes s’installèrent dans le canapé, Laurence, elle vint s’agenouiller aux pieds de ses deux mâles, pour les sucer longuement, chacun, puis se levant, elle vient chevaucher le pieu de Jean-Marie, pour s’y empaler, laissant son fondant dilaté pour Jean-Marc, la faisant haleter, gémir et jouir pleinement, de tout son corps.

Le trio passa le reste de la nuit, totalement éreintés, dans le canapé-lit, jusqu’au lever du soleil.

Autant vous dire quaussi bien Laurence que Jean-Marc nont pas été à l’heure au bureau.

Laurence travaillait dans une clinique, elle était responsable d’une équipe dans le service accueil.

Jean-Marc, lui, était cadre, au service logistique dans un hôpital.

— Oh, zut, je suis en retard, dit-elle, en se levant d’un bon, et se précipiter sous la douche.

Les deux hommes en firent autant, pour préparer un semblant de déjeuner.

— Merci à toi, Jean-Marie, pour cette superbe soirée, tu fais partie de la famille, tu viens quand tu veux… Lui dit Jean-Marc… Je ne sais comment te remercier…

— C’est à moi, de vous remercier… C’est quelque chose d’exceptionnel, je viens de vivre… Dit Jean-Marie.

Puis Laurence les rejoint, elle portait un ensemble tailleur jupe courte ample et veste, chemisier blanc, où pointaient fortement ses mamelons qui se dessinaient au travers du tissu malgré son soutien-gorge, peau d’ange, en fine dentelle, ses jambes étaient galbées de bas DIM, escarpins cuirs blancs.

Les deux hommes qui la dévoraient des yeux eurent droit à un baiser du bout des lèvres.

— Et qu’as-tu mis sous ta jupette ? Lui demanda Jean-Marc.

Toujours debout, elle relèva le pan de la courte jupe, pour dévoiler une petite culotte, en dentelle, de coton, blanche, sous laquelle, se dessine son épais pubis brun, qui humidifié le fin tissus, n’ayant pas pris le temps de se sécher totalement, mais déjà, ses larges lèvres vulvaires aspiraient le tissu, par un début de dilatation.

À son tour, Jean-Marc monta se doucher et s’habiller pour revenir en tenue plus sérieuse : pantalon cintré, chemise bleu ciel, chaussures de cuir noir. Pendant ce temps, Laurence remercia son voisin, en lui avouant qu’elle souhaitait renouveler ce style de soirée, le plus souvent possible, en l’embrassant à pleine bouche.

— Allez, nous sommes en retard, ma chérie… Dit Jean-Marc.

— Oui, mon cur, on y va… Attends, j’ai oublié une chose importante…

— C’est toujours comme ça, avec Laurence, il lui manque toujours quelque chose…

— J’arrive… J’arrive… Dit-elle, de retour. Tiens, Jean-Marie, j’ai envie que tu aies un souvenir de cette mémorable nuit… Je t’offre cette culotte, c’est celle que j’ai portée hier dans ma journée, tu pourras me humer en attendant que nous nous revoyions.

Laurence abandonna ses deux étalons, pour se rendre dans la salle de bain, et revenir quelques secondes plus tard. Elle lui tend un petit Lycra blanc, chiffonné, parfumé de sa liqueur, qu’elle avait abondement souillé l’entrejambe. Jean-Marie, sans attendre s’empressa de humer, et de la remercier, en l’embrassant, du bout des lèvres.

Puis, le trio se quitta devant le portail, en se disant de passer une bonne journée, et bon courage à ceux qui travaillent.

Jean-Marie, lui entra chez lui, comblé, mais à la fois, comment vous dire, plein de remords, pour son épouse qu’il avait trompée. Se posant plein de questions.

Qu’allait-il advenir de son couple ???

Aujourd’hui, en voyage, pour encore quelques jours, mais à son retour, devait-il l’en informer ??

Car, ce qu’il venait de vivre, il ne pourrait s’en détourner en une fraction de seconde, en particulier puisqu’ils sont voisins.

— Je crois qu’il sera bon, que j’en discute avec mes voisins, ce soir. Pourquoi pas, un apéro, ils pourront me dire ce qu’ils en pensent et pourquoi pas, prévoir une soirée avec Régina

Bien, Jean-Marie restait dans ses pensées les plus hards de cette folle nuit. Laurence ne put s’enlever de la tête ce qu’elle venait de vivre.

Elle venait d’arriver au bureau, après dix minutes de bus, assise regardant tous ces gens qui comme elle, partaient au travail, ou au lycée, ne tenant pas compte de sa position de jambes, ouvertes, offrant son entrejambe blanc, aux regards très indiscrets, ayant du mal à supporter ce petit vêtement de coton, qui s’incrustait de plus belle, entre sa béanteur, bavant sa cyprine fraîche, qui ruissellait à l’intérieur de ses cuisses, la mettant un peu plus, mal à l’aise.

Et lorsqu’elle marchait, le frottement de son clitoris, en pleine érection, accentuait le tout.

Heureusement, Laurence venait d’arriver à son bureau, elle allait pouvoir se mettre à son aise, et attendre que la situation se calme.

À l’accueil, elle trouva Joëlle, sa collègue avec qui elle partageait ses secrets de femmes. Cette dernière était assise derrière le comptoir de réception, elles échangèrent un long regard, avant de se faire la bise.

— Oups, tu as les yeux dans ton fond de culotte, lui dit-elle !!!

— Qu’est-ce que tu veux dire ???

— T’as fait la fête, hier au soir, ma chérie ??

Laurence lui sourit.

— Je te raconterai, plus tard… Je suis vidée… Nous nous sommes couchés, à quatre heures du matin…

— Houa… Et t’es venue quand même ??? On mange ensemble ???

— Oui, dans mon bureau…

— Je ne serai pas en retard, lui dit Joëlle !!

Laurence, lui sourit, se redressa, et fila dans son bureau.

Joëlle était toute excitée de ce qu’elle allait entendre.

La matinée fut vite passée, Laurence était restée dans son bureau, avec un espoir, que cette crise de forte chaleur dans sa culotte, s’éteigne. Malheureusement, pour elle, malgré, une ouverture importante de ses cuisses, pour éviter le frottement, malgré qu’elle s’active sur ses dossiers, sa tête n’y était pas, elle se sentait de plus belle, trempée, son dard toujours aussi présent, au plus proche de cette culotte, qu’elle décida de retirer pour la poser sur le rebord de son sac à main, en cuir noir, après s’être parfumée les narines de la large auréole de glaire, qui souillait son entrejambe de coton, pour ne plus rien avoir qui frotte sur son entrecuisse en feu.

Lorsque Joëlle toqua à la porte, Laurence était loin dans ses pensées, avec tout ce qu’elle avait vécu durant cette brûlante soirée. Joëlle entra sans en attendre une réponse de sa part.

Posant son repas sur la table libre, et vint jusqu’au bureau de Laurence, qui avait repris ses esprits, par obligations, venant à la droite de sa copine, jouant la confidente, Joëlle avait retiré sa blouse, portant un chemisier blanc, où se dessine une poitrine ferme, un 90C, mais libre de tout soutard, offrant ses petits mamelons roses qui pointent de désir, le désir d’entendre ce que Laurence va lui confier, une jupe courte, en toile jaune, ses fines jambes, nues de tous bas, escarpins blancs.

Elle s’appuya au rebord du bureau, sa jambe droite repliée, à demi-assise, faisant remonter le court pan de la jupe, lui offrant une partie de l’entrejambe blanche de sa petite culotte, que les yeux de Laurence vinrent s’y agripper.

— Tu aimes, le paysage te plaît, hein, ma coquine ??? Demanda Joëlle.

Laurence lui sourit, ne trouvant pas de mots pour lui répondre.

— Je suis tellement impatiente, que j’en ai la culotte trempée… Allez, raconte !!!

Laurence se leva, suivie de Joëlle, pour s’installer à la table où elles iraient manger, mais entre-temps Laurence donna un tour de clé à sa porte.

— C’est pour être plus tranquilles, dit Laurence !!! Je crois que je suis une salope…

Les deux jeunes femmes s’essayèrent l’une à côté de l’autre, et Laurence entama son récit en détail, faisant profiter Joëlle, comme si elle le vivait.

Cette dernière, réagit très vite, sa main droite posée haut sur la cuisse de Laurence, allant chercher la vulve béante et nue, d’où s’écoulait une glaire onctueuse et abondante, pour pratiquer un doigter, de circonstance, après lui avoir astiqué quelque peu, son clitoris qui jaillissait entre son épais duvet brun, déjà bien moite, écartelant totalement ses cuisses, où elle pouvait sentir couler sa cyprine, l’excitant de plus belle.

Les deux femmes ne pouvaient manger, elles s’affairaient, sur ce récit, l’une à conter, l’autre à écouter.

Tant bien que mal, Laurence réussit à lui détailler chaque scène, Joëlle, en feu, la fit se lever, puis la basculant en travers de la table, lui ouvrant les jambes, qu’elle fit replier sur elle-même, pour lui offrir ses deux orifices.

— Eh, mais ça doit sacrément te chatouiller, à en perdre ta petite culotte ?? Lui demande Joëlle… Au fait qu’en as-tu fait, ma petite salope ??? C’est vrai que tu en es une… De salope… Je me ferai bien un 69… Mais avant, un fisting est de rigueur…

Laurence se mordit les lèvres, car Joëlle, qui elle, s’est placée entre ses cuisses, lui maltraitait sa vulve en y glissant deux doigts, puis rapidement, le troisième, dans ce gouffre, pour adjoindre un quatrième, une grimace de Laurence qui se laisse aller dans cette caresse, et finir par un fisting, lui ayant expliqué auparavant qu’elle avait apprécié cette caresse que lui avait infligé Jean-Marc. Et que régulièrement, elle en était demandeuse.

De plus le bras de Joëlle étant moins large, son col d’utérus se délectait à l’en faire jouir. Ne retenant pas son orgasme, Laurence cria comme elle aime le faire, éjaculant à grande eau de glaire.

Joëlle n’en pouvait plus, elle retira son lycra blanc et sans même prendre le temps de se déshabiller totalement elle vint chevaucher Laurence jusqu’à son visage pour se faire lécher sa vulve, brune, alors qu’elle a une chevelure blonde, aux petites lèvres et un clitoris digne d’un petit pénis, que Laurence suça, mordilla… Se plaçant en 69, pour la faire crier dans un plaisir clitoridien, à en éjaculer sa glaire abondante et onctueuse, odorante, sur le visage de Laurence qu’elle but partiellement, tout en la doigtant de deux doigts.

Mais déjà, le téléphone tinta, les deux filles se rajustèrent, Laurence garda le lycra de son amie, alors qu’à l’inverse, Joëlle prit sa dentelle blanche, qu’elle huma avant de retourner à l’accueil. Finalement, sans avoir mangé ni l’une ni l’autre.

— A toute… Lui dit Joëlle, qui l’embrassa à pleine bouche… Tu es trop bonne… Si mon mari me proposait ta situation, je courrai de plaisirs. Tu es une chanceuse, profites…

— A toute… Lui répond Laurence, souriante, merci pour ton conseil, je vais y réfléchir…

Les deux filles se séparèrent, pour finir leur journée, encore toutes mouillées, l’une comme l’autre, arrivé 17 heures, l’heure de la sortie.

C’est Joëlle qui vint retrouver Laurence, qui était assise derrière son bureau, le pan de jupe troussé, laissant libre accès à des mains comme celle de son amie, qui profite de la situation, pour venir lui stimuler ce clitoris, en érection, qu’elle agita de ses deux doigts pouce et index.

Mais Laurence, après l’avoir embrassé à pleine bouche, répondant à sa caresse, lui retira sa main, et se leva, regardant l’heure, les deux femmes sortirent du bureau, pour se séparer devant l’arrêt de bus

— A demain, ma petite chatte !!! Dit Joëlle. Bonne soirée !!!

— A demain, et merci encore pour ton conseil… Que je vais suivre à la lettre !!! Lui répond Laurence, avec un petit sourire complice.

Laurence avait du mal à rentrer en sachant qu’elle était cul nu, sous sa jupe marine, elle pressa le pas, pour entrer, durant le transport en bus, la caresse de Joëlle avait été telle, qu’elle s’exhiba, en entre-ouvrant ses jambes suffisamment, et du plus naturel qu’il soit, offrant, sa vulve, aux regards indiscrets et avertis, tout en les observant du coin de l’il, l’excitant de plus belle.

Lorsqu’elle arriva à la maison, Jean-Marc n’était pas rentré, elle en profita pour se faire couler un bon bain, qu’elle savoura, lui donnant du ressort pour une nouvelle soirée avec son cochon de Jean-Marc, et peut-être plus.

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