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Félix et la jeune Asiatique – Chapitre 1




Déjà trois jours que nous étions arrivé au Mexique dans ce magnifique resort cinq étoiles. Mes trois copains et moi avions décidé de gratter les fonds de tiroirs et de s’exiler en plein mois de novembre pour une semaine sous le chaud soleil de la Riviera Maya dans un ’’tout inclus’’ de luxe. Nous partagions la chambre tous les quatre question d’économiser un peu. La chambre juste à côté de la nôtre était occupée par un petite famille japonaise composée du père, de la mère et de leur fille. Cela faisait trois matins consécutifs que je les croisais dans le couloir de notre pavillon, on se saluait à chaque fois, ils étaient très poli. L’air très sévère du paternel m’avait par contre frappé dès le premier jour, sa femme et sa fille marchaient toujours un peu en retrait derrière lui, la tête basse, et osaient à peine me renvoyer un léger hochement de tête en me croisant. Je les avais remarqué entre autre car la jeune fille, elle devait avoir autour de 18 ans, était magnifique. Mais elle semblait si timide et complètement sous le contrôle des ses parents que je ne me faisais pas trop d’illusion, aucune chance de tenter quoi que ce soit avec elle!

Nous sommes à la plage, il doit être environ 19h, je décide de monter à la chambre pour faire un appel à Montréal avant le dîner. J’arpente le couloir au troisième étage du bâtiment qui mène à notre chambre quand j’aperçois les voisins, le père et la mère, sortir de leur chambre en tenues de soirée et demeurer quelques secondes sous l’encadrement de la porte pour donner les dernières instructions à leur fille avant leur départ. Alors que je passe devant la scène, je jette un coup d’il furtif à l’intérieur et croise le regard de la jolie demoiselle, je lui souris. J’entre dans ma chambre, fais mon appel comme prévu et comme je raccroche le combiné, on frappe à la porte. J’ouvre pensant voir la femme de chambre mexicaine, mais surprise! C’est la fille japonaise. Je l’avais deviné jolie, mais la voir ainsi juste devant moi, me fit prendre brutalement conscience de sa beauté quasi parfaite. Son visage était angélique, deux magnifiques yeux noisettes à peine bridés, un visage élancé aux proportions idéales, des cheveux longs évidemment très noirs et raides, à la japonaise, qui lui descendaient tout naturellement jusqu’au fesses. De taille moyenne, elle apparaissait mince mais ses vêtements amples, probablement imposés par ses parents, dissimulaient sa silhouette. Elle m’aborde dans un anglais approximatif, elle ne parle pas français et moi encore moins la langue nipponne! Elle me demande si je peux la prendre en photo, évidemment! Elle voudrait une pose sur son balcon avec la mer en arrière plan au loin. Elle m’invite dans sa chambre. Leur chambre est impeccable, tout est rangé à la perfection, tout un contraste avec la nôtre. Je cherche l’appareil, il n’est nulle part. Elle fait un pas vers moi et me demande:

— Would you like to kiss me, please ?

Je suis sidéré mais enchanté, je l’embrasse sans attendre, malgré son inexpérience évidente, ses lèvres sont tendres et délicates. Elle m’explique qu’elle aimerait passer un moment en ma compagnie, elle est désolé d’être si direct mais le temps libre est un luxe pour elle. Ses parents sont partis dîner juste en bas, sur la terrasse d’un des restaurant du complexe hôtelier, elle s’appelle Kuniko. Elle m’explique qu’ils sont très strictes et la laissent rarement seule sans supervision, cette fois est une exception. Je réalise en l’écoutant, tout le courage dont elle doit faire preuve en ce moment et l’énorme risque qu’elle court à me courtiser ainsi. Sans même attendre de réponse de ma part, elle prend un pas de recul pour s’éloigner de moi. Me regardant droit dans les yeux avec un air à la fois déterminé mais soumis, elle commence à se dévêtir. Elle retire son haut trop ample et sa longue jupe lentement et délicatement, presque de façon cérémonielle. Elle a choisi ’’moi’’ et ce court moment de liberté pour s’émanciper un peu et défier l’autorité parentale, j’en suis plus que ravi. Son soutient-gorge est un modèle athlétique plus que banal en coton blanc qui semble lui écraser les seins plutôt que les mettre en valeur et sa petite culotte est également blanche et haute, tout ce qu’il y a de conservateur. J’imagine que ses parents ne l’auraient jamais autorisée à porter de la lingerie ou tout sous-vêtements sexy. Sans plus attendre, elle retire ces deux artefacts restant, me révélant son superbe corps, cette fois, son regard cède à la pression et ses yeux se tournent vers le sol. Son chandail volontairement trop grand et son soutient-gorge écrasant cachaient de magnifiques seins ronds et volumineux couronnés de petits mamelons légèrement brunâtres, jamais je n’aurais pu me douter qu’elle possédait une telle paire. Sa chatte est ornée d’une toison noire clairsemée toute naturelle. D’ordinaire, je préfère les pubis bien rasés mais l’innocence derrière l’absence d’entretien de sa région intime m’excite encore davantage.

Je m’avance vers elle, ma verge est gorgée de sang, déjà en érection totale. J’éprouve un peu de pitié pour cette jeune asiatique naïve qui s’apprête à connaître la plus grosse queue qu’elle verra de toute sa vie. Je retire mes vêtements à mon tour, shorts et t-shirt volent en l’air. Après m’être approché un peu plus près d’elle, je retire mon boxer pour dévoiler mon phallus hors norme, 30 cm de long par 15 cm de diamètre, de quoi effrayer la plus salope des nymphomane. Kuniko ne bronche pas, je réalise qu’elle n’a probablement aucune idée de ce qu’un pénis normal devrait avoir l’air, c’est assurément le premier qu’elle voit, je prends alors conscience qu’elle est fort probablement encore vierge. Elle me regarde, immobile, s’offrant à moi toute entière attendant mon prochain geste. Après l’avoir embrasée à nouveau plus longuement, je l’allonge délicatement sur le lit, me positionne devant elle à genoux au sol et passe les prochaines minutes à travailler son clitoris et sa fente avec ma langue. Elle n’émet aucun son, comme si elle était gênée de se laisser aller, mais son excitation m’est révélée par ses mains qui agrippent fermement les draps et par la cyprine qui coule à flot de son petit con qui commence à s’ouvrir de plus en plus. Je lèche ardemment voyant la caverne d’Ali Baba se déverrouiller lentement mais sûrement devant moi.

Je n’en peux plus, je me lève face à elle, Kuniko a les yeux fermés. Je place les deux oreillers sous ses fesses pour les amener à la bonne hauteur. Empoignant sa fine taille, je la tire légèrement vers moi et place mon gland contre son chaud vagin. Je n’ai pas le choix d’ouvrir le chemin avec mes doigts afin d’agrandir ses lèvres au maximum. Après une bonne minute de manuvres infructueuses, mon gland traverse enfin le portail, un premier cris sort de sa bouche. Je n’ose pas la pénétrer de plus de quelques centimètres tellement le passage est étroit. Éprouvant un peu de culpabilité d’introduire mon énorme engin dans son vagin immaculé, je m’enquiers de son confort et tout ce que j’obtiens comme réponse est:

— Fuck me, please!

Je passe les prochaines minutes à introduire ma bite toujours un peu plus loin dans son intimité, récoltant à chaque passage un cris strident qui me semble être une expression de douleur mais que j’espère aussi ponctuée d’un peu de plaisir. Pauvre petite, ma queue parait si grosse et large dans son entrejambe, à côté de ses deux petites cuisses toutes menues, on dirait une troisième jambe. Les yeux plissés, elle me somme de continuer, je la pénètre maintenant complètement mais conserve un rythme très lent pour limiter son inconfort. Ma verge s’enfouit entièrement en elle touchant le fond de son utérus à chaque fois. Ses seins qui paraissent si gros sur son corps svelte ballotent lentement au rythme de mes mouvements. Sa chatte semble s’acclimater tranquillement au corps étranger monstrueux qui la copule. J’ai alors l’idée de changer de position et d’ajouter une touche de piquant, j’aimerais tant lui procurer son premier orgasme.

Elle ouvre les yeux et me regarde, inquiète, alors que je me retire sans avertissement. Elle est si légère que je la transporte d’un seul bras vers le sofa situé tout juste devant la porte patio. Je m’y installe et l’assieds sur mes cuisses dos à moi, de sorte que nous voyons dehors tous les deux. À travers le mince voile qui couvre la fenêtre, nous voyons très bien au dehors la terrasse en contrebas trois étages plus bas. Je lui demande si elle peu apercevoir ses parents, elle me pointe leur table qui est située à environ quarante mètres de nous en ligne droite. Ils y sont attablés tranquillement et si nous pouvons les voir assez clairement, nous demeurons invisibles à leurs yeux grâce au léger voile qui couvre la porte fenêtrée. C’est elle qui la première remonte son petit cul afin de me réintroduire en elle. De mon bras droit, je remonte ses douces cuisses vers le haut me donnant accès à son intimité. Bien que l’introduction soit délicate, mon membre trouve son chemin en elle un peu plus facilement que la première fois. Il est bientôt pénétré en entier et enserré de toute part par sa chatte inexpérimentée. À son rythme, la jeune asiatique bouge son petit derrière et dicte elle-même le mouvement. Ses cris reprennent mais la portion plaisir semblent prédominé sur la portion douleur. Voir ses parents pendant qu’elle baise et qu’elle défie leur dictature juste sous leur yeux semble l’enflammer. Cette position me permet de lui tripoter les nichons à ma guise, je les flatte, les malaxe, lui pince les mamelons, je m’amuse avec eux de toutes les façons possibles pendant quelle trouve de plus en plus son propre plaisir en se faisant aller sur mon pénis beaucoup trop gros pour elle. Ma main rejoins sa chatte pour lui caresser le clitoris, l’effet est immédiat, je sens monter en elle le feu, elle respire bruyamment, ne retient plus ses cris. Elle active ses mouvements de bassin, elle veut atteindre la jouissance.

Sans me retirer, je me lève en la soulevant d’un bras et la positionne à quatre pattes toute juste devant la porte vitrée. Pour garder son appui, elle n’a pas le choix de placer ses deux mains directement contre la vitre avec comme seule rempart le mince rideau semi-transparent. Son visage si près du rideau et de la porte-patio, les gens au dehors peuvent la distinguer facilement maintenant ou du moins sa silhouette. Je me réintroduis précipitamment dans son con exigu, je la prends ainsi en levrette. Ses petites fesses qui rebondissent sur mon ventre à chaque coup de rein que je lui assène sont splendides, deux pamplemousses bien ronds ornés d’une peau parfaite, immaculée. Dans cette position, ma bite semble encore plus disproportionnée par rapport à sa fine taille et son derrière lilliputien. Son plaisir décuple, elle cris sans retenue aucune, son visage est littéralement accoter à la fenêtre. Dans l’excitation, sa main agrippe le rideau droit et l’arrache, il se détache des anneaux le retenant au pôle et tombe au sol. Par chance, le rideau de gauche reste en place mais parvient tout juste à nous donner un peu d’intimité, 15 cm plus à droite et nous serions devant la vitre nue. Au moment où elle jouit, j’aperçois ses parents qui regardent en notre direction avec insistance. Bien empalée sur mon dard, Kuniko cri de plaisir pour la première fois, son orgasme, tinté par le sentiment d’émancipation enfin atteint, est puissant. Quelques secondes s’écoulent avant qu’elle reprenne ses esprits et qu’elle ouvre les yeux pour voir son père au loin qui lui fait des signes de mains attendant une réplique de sa part. À cette distance, il ne peut qu’apercevoir la tête de sa fille tout au bas de la porte-patio, dans une position incongrue.

— oh no, my parents are watching, do it quick or stop please!

Il n’est pas question pour moi d’arrêter si près du but, après tout, j’ai retenu mes élans depuis le début pour la satisfaire. J’embraye alors en vitesse de pointe et pistonne sa chatte sans ménagement. Elle cris sous les va-et-vient intenses de ma monstrueuse bite dans son sexe inexplorée. Elle a mal mais je suis sur le point de venir, quelques coups dans sa douce chatte encore et j’y serai. Je la saute presque sauvagement enserrant sa taille en étau entre mes mains et ramenant constamment son petit cul vers moi, le claquant sur mes cuisses pour la transpercer de mon engin titanesque. Elle est débordée, je la défonce maintenant sans réserve.

— don’t cum inside me please!

Il n’est pas question que je la mette enceinte! Son père fixe maintenant la silhouette de sa fille et agite les mains frénétiquement attendant une réponse avec une anxiété visiblement grandissante, sa mère elle, semble plus détendue. Je jongle avec l’idée de lui faire avaler l’énorme décharge qui promet d’arriver dans quelques secondes puis je me ravise, ça serait trop pour elle, la pauvre. Je me retire juste avant la purge, elle en profite aussitôt pour rassurer ses parents. Elle se tasse légèrement la tête vers la droite du côté de la fenêtre à nue et salue ses parents de sa main droite en essayant d’afficher un sourire innocent. Ma première décharge de sperme est immense et part avec une forte vélocité passant juste au-dessus de sa tête pour choir dans la vitre. La flaque de sperme descend lentement vis-à-vis du jolie visage de Kuniko pendant qu’elle continue de faire des mouvements de la main à ses parents, le paternel semble se calmer un peu. Mes couilles expulsent jets après jets sur le dos cambré et les fesses de la jeune femme sous le regard aveugle et intrigué de ses parents qui ne peuvent me voir. Les giclées de foutre n’arrêtent pas si bien qu’une dizaine de longues lignes blanches s’étalent une après l’autre sur sa délicate peau lisse. Elle encaisse ma décharge sans broncher, continuant de sourire à ses parents au loin, l’air de rien. Son paternel ne se doute pas que sa précieuse Kuniko vient d’être déflorée par une queue gigantesque. Il n’a aucune idée que pour la première fois de sa fille, son jeune sexe a été étiré et pilonné par un membre d’une dimension qu’il ne pourrait imaginer possible. Il sait encore moins qu’elle est en train de se faire éjaculer dessus, qu’elle se fait tapisser d’une colossale quantité sperme gluant par un pur inconnu pendant qu’elle le regarde innocemment au loin.

Les couilles maintenant bien vidées, je me laisse tomber assis au sol, soupirant de satisfaction. Kuniko se déplace délicatement sur sa gauche pour échapper à l’ouverture vitrée et se laisse choir sur le ventre, exténuée mais le regard heureux. Après deux minutes de se repos mérité, elle se relève pour constater que ses parents ne sont plus assis à leur table. Elle panique et enfile en vitesse ses fringues sans remettre ses sous-vêtements et sans même prendre le temps de s’essuyer le dos. Alors que je me dirige vers la porte pour quitter, elle m’attrape le bras et me dirige plutôt vers le placard où elle me demande de me cacher, elle craint que ses parents me voient sortir de la chambre. À travers les lattes horizontales de la porte du placard, je l’aperçois courir dans tous les sens tentant de remettre un peu d’ordre dans la pièce. Ce qui devait arriver arriva, ses parents entrent. Son père se met à la questionner non pas d’un ton sévère mais plutôt intrigué, je ne comprends rien! Je vois la jeune asiatique bien droite debout face à lui répondre à ses questions et tentant d’expliquer le rideau arraché et tout le reste pendant que sous ses vêtements, mon sperme coule lentement le long de son dos et entre ses fesses. Voulant probablement me permettre de fuir, elle convainc ses parents de l’accompagner à quelque part car les trois se dirigent vers la sorti. Au dernier moment, la mère semble décliner l’offre et rebrousse chemin vers l’intérieur de la chambre, Kuniko insiste et en rajoute, mais sa mère n’y vas pas. Kuniko n’a plus le choix, elle quitte seule avec son père vers je ne sais où. La mère comme si elle cherche quelque chose, passe de la salle de bain à la galerie, pour finalement se diriger vers mon placard. Le stress m’envahit. Elle ouvre la porte d’un coup sec et semble à moitié surprise de me voir, elle me dévisage et m’observe de haut en bas. Elle doit avoir quarante ans, tout aussi jolie que sa fille. Je ne sais plus où me mettre tellement je suis mal à l’aise, j’attends qu’elle dise quelque chose. Elle me fait signe de sortir, je m’exécute, je fais deux pas vers elle. Comme j’ouvre la bouche pour parler et expliquer ma présence ici, elle pose un doigt devant ses lèvres me signifiant de me taire. Elle s’avance des deux pas qui nous séparent et s’agenouille aussitôt devant moi, tout doucement. Elle abaisse mon pantalon et mon boxer aussitôt, je n’arrive pas à le croire! Voyant mon engin, elle pousse un:

Ooooooooooh!

Elle le porte aussitôt à sa bouche. Malgré la courte période réfractaire, elle est si habile et attirante que mon membre commence à durcir à nouveau. Je devrai assurer à nouveau, avec la mère cette fois!

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