Bon, je le refait. Je m’appelle Jim, j’ai 16 ans depuis le 6 janvier et je suis en couple avec la belle Natacha. Comme promis, j’ai essayé de le faire avec elle sur un radiateur, mais elle a pas voulut, parais que ça fait mal. Bref, aujourd’hui, je viens pour vous parler d’un truc super bizarre qui m’est arrivé il y a une semaine (28 Mars). J’étais en cours (comme d’hab) et je m’étais salement bourré la gueule (2 bouteilles de vodka pure au déjeuner même pour Jim, c’est trop) et donc, j’étais complètement mort pour mon cours d’italien qui a lieu tous les vendredis après-midi. Bref, je demande à Natacha de m’accompagnée devant chez moi parce que je savais même pas où était mes clefs (aujourd’hui non plus dailleurs, et ça m’as fait chier toute la journée). En fin d’après-midi (désolé, il s’est rien passé avec elle, parce que j’étais complètement mort), ma mère rentre du boulot aux environs de 18h30 quand elle rentre direct et 19h, 19h30 quand elle fait 2-3 courses. Mais là, comme on était en fin de mois, pas de courses. Elle rentre dans ma chambre alors que je jouait à la play (ouais, même bourré je continue à jouer, et d’après les parties filmés, je me démerde plutôt bien, mieux que quand je suis sobre =/). Elle m’engueule "Tu pourrais quand même faire autre chose de tes week-end que jouer à ta console! T’as des notes de merde BLABLABLA!!!" et je finis toujours par lui dire: "Je suis en week-end, laisse moi loin des cours s’il te plait" et en général, elle se tait jusqu’au dîner. Le lendemain matin, après une bonne nuit de sommeil, je me lève, avec une légère gueule de bois mais que je cache tant bien que mal. Je regarde ma pendule qui m’affiche un petit 11h45. Je vais donc dans la salle de bain, prends une douche et là, j’entends ma mère toquée à la porte. Elle rentre et moi, je me cache derrière le rideau de douche. Pourtant, j’ai la désagréable impression qu’elle me voit et surtout, qu’elle voit Roger. Elle ressors de la salle de bain après avoir cherché le coupe-ongle (qui n’est jamais ici mais bon). Je sors de la douche, me sèche et m’habille. N’étant pas vraiment réveillé, je me rends pas compte qu’il me manque quelque chose… Mon caleçon. Repas tranquille (mon beau-frère, ma sur et leurs enfants sont partis pour la semaine et je vois plus mon père depuis 10 ans) assez bon (steak haché et patates sautés). Soudain, elle me parle de la soirée d’hier.
"-Tu sais, j’ai vus que tu étais complètement saoul…
Comme je ne dis rien, elle continue.
-Et, tu sais comment je tiens l’alcool en horreur depuis ton père.
Je continue à me taire et fume ma cigarette tranquille.
-Écoutes, je sais que c’est pas simple, que c’est facile d’être tenté, mais réfléchis à chaque fois que tu bois: ton père a commencé comme ça.
J’écrase ma cigarette, je débarrasse la table et je retourner dans ma chambre. Vers 14h30, elle rentre dans ma chambre et m’ordonne de travailler. Elle est beaucoup plus sévère qu’auparavant. Alors, je me mets au boulot. La conjugaison en italien. Google Traduction et Slipknot à fond dans la chambre. Mais rien à faire, j’y arrive pas. Je pense trop à Natacha et aux journées entières qu’on passe à s’asticoter l’un l’autre. Soudain, je revois ma géographie et me souviens d’où est la gaulle: dans mon froc! Et c’est là que je m’aperçois que j’ai pas de caleçon! Et c’est là que je m’en fous! Alors, Youjizz (oui, je suis sponsorisé, et alors?), latina pour la chauffe et ensuite, deepthroat rough. Ma mère toque à ma chambre, je remballe Jean-Philip (Morris) et remet la page des conjugaisons.
-Alors? Ca travail ici?
-Bah ouais, en montrant ma page.
Elle se penche sur moi et je me rends compte que pour une vieille de 45 piges, ma mère est bonne!!!
-Bon, tu travail bien, faut une récompense pour que tu continues.
Elle avait dut voir la forme de ma queue sous mon pantalon (qui n’as toujours pas de caleçon) et à dut avoir la moule qui mouille. Elle me la saisie à travers le pantalon, et commença à la branler. Elle la sortit du froc par la fermeture éclair et commença à me sucer. Elle me poussa en arrière, enleva son jean et c’est là que je vis qu’elle portait mon caleçon.
-Eh, tranquille la vie? Mon caleçon!
Elle plaqua sa main contre ma bouche, et s’assit sur ma lance chauffée. Pendant un bon quart d’heure, elle s’amusait sur ma bite, la chevauchant, me hurlant qu’elle était une salope, qu’elle était ma chienne et moi son gentil maître (je savais pas qu’elle écoutait du Orelsan tient) et enfin, l’orgasme tant attendu. Les coulées de sperme fumant dégoulinant dans l’endroit où je suis né. C’est un peu comme si je remontais une rivière…. Aaah, c’est si poétique l’inceste ;)
Bientôt la suite? Naaaan, j’me crois pas!
