Histoires érotiques Histoires porno

Quand il pleut – Chapitre 1




Ah, Mélanie

Javais murmuré son nom dans un soupir envieux, sans bien men rendre compte. Heureusement pour moi, le bruit de la pluie qui martelait la rue a plus ou moins étouffé mes mots, et elle sest retournée vers moi, lair interrogateur et incertain. D’un geste, je lai dissuadée de poser la moindre question. Nous avons repris notre route sous les trombes deau qui nous détrempaient. Du coin de lil, je pouvais apercevoir, le rouge aux joues, son débardeur coller à sa peau nue de manière presque indécente. Ses cheveux humides encadraient son visage et lui conféraient, en plus de sa beauté naturelle, une aura de douce sauvagerie que je ne pouvais quadmirer.

Il ne nous fallut pas longtemps pour arriver devant chez elle, et déjà lidée que nos chemins se séparent me parut dérangeante. Pourquoi aurais-je souhaité me passer de sa présence si apaisante et plaisante ? Pourtant, lorsqu’elle franchit son portail, me laissant de lautre côté, ses yeux se rivèrent dans les miens et je my perdis momentanément, plongeant dans ce regard intense. Cet échange silencieux me procura un frisson et, pendant un instant, je me perdis dans mon imagination, à rêver que

— Tu viens ?

Ma réaction fut longue à venir. Aussi improbable que cela paraisse, elle minvitait chez elle. Et bien que tout mon corps hurle de bonheur et dimpatience, je ne pus mempêcher de demander prudemment :

— Tu es sûre..?

Aussitôt, je men suis voulu davoir posé cette question stupide, de peur quelle ne change davis. Mais au lieu de cela, elle me prit par la main et le contact de ses doigts contre ma paume mélectrisa tout à coup, me privant de toute volonté. Je nen revenais pas, la situation me dépassait, mes rêves me dépassaient, et peut-être que si je me pinçais Non, rêve ou pas, je décidai den profiter et de vivre ce moment pleinement, quitte à recevoir la réalité en pleine figure au réveil.

En un battement de paupières, je me suis retrouvé dans la salle de bains, encore confus par le comportement de cette adorable fille que jamais je naurais pensé approcher daussi près. Et voilà quelle se collait à mon corps, et déjà nos vêtements trempés limitaient nos sensations, voués à joncher le sol la minute suivante.

Par pudeur, je nosai pas poser les yeux sur son corps ainsi dévoilé, préférant la regarder dans les yeux ou contempler sa bouche dont les lèvres mappelaient sans même sentrouvrir. Lorsque les miennes en prirent possession, il me sembla que tout mon souffle était aspiré hors de mon corps, pour mieux le réinvestir ensuite, memplissant de bonheur, de désir.

Prenant les choses en mains, je la soulevai du sol pour lemmener sous la douche, appréciant le frottement de sa peau contre la mienne. Leau chaude ruissela sur nos corps enlacés, effaçant de nos mémoires lair froid qui régnait au-dehors pour la remplacer par une atmosphère bien plus chaleureuse et intime.

Sans attendre, nos mains ont commencé à explorer le corps qui soffrait à nous, moi prenant possession de ses formes sublimes et elle griffant mon dos en soupirant de désir. Avec émerveillement, je découvrais sa poitrine, que ma bouche venait aussitôt cajoler, puis jagrippais ses fesses, la serrant plus fort encore contre moi.

À linstant où jentrais en elle Je me réveillai et poussai un profond soupir déçu.

Ah, Mélanie

Related posts

Dame Erika – Chapitre 12

historiesexe

Mémoires d'un baiseur – Chapitre 5

historiesexe

Maman très chaude, enfants pervers. – Chapitre 25

historiesexe

Laissez un commentaire

Ce site Web utilise des cookies pour améliorer votre expérience. Nous supposerons que cela vous convient, mais vous pouvez vous désinscrire si vous le souhaitez. J'accepte .