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Un dîner très… professionnel ! – Chapitre 1




Malgré notre jeune age, nous formions déjà un vieux couple. Nous nous fréquentions depuis nos seize ans et vivions ensemble depuis trois bonnes années. Il faut avouer que notre vie sexuelle était des plus paisible, voir ennuyeuse. Nous ne faisions plus lamour que toutes lumières éteintes, sans aucune fantaisie

Depuis la fin de nos études, tu tabsentais souvent pour le travail, me laissant seule avec mes fantasmes. Jen avais dailleurs une multitude qui se bousculait dans ma tête. Plus encore depuis que javais moi-même un emploi. Un ami de ton père mavait embauché en qualité de secrétaire de direction. Cétait un homme bien plus âgé que moi, il aurait facilement pu être mon père, mais il me faisait beaucoup deffet. Pas franchement beau, il disposait pourtant dun charisme incroyable. Pour lui, javais considérablement changé. Moi qui étais plutôt adepte de la tenue garçonne, je me voyais partir pour le bureau, maquillée, en petite robe ou en jupe dont la longueur tendait à diminuer de jour en jour. Javais même appris à porter de hauts talons qui semblaient te plaire tout autant quà lui. Je te sentais souvent plus excité quà laccoutumé, sans pour autant que nos ébats soient plus torrides. Comme si le fantasme te suffisait à lui seul. Mon patron ne cachait pas lintérêt croissant quil me portait, et je ne fus pas surprise lorsquun jour, te sachant de nouveau en voyage daffaire, il me proposa de dîner ensemble. Il me précisa quil sagissait dun repas entre amis, qui, sans ma présence, aurait été des plus ennuyeux.

Sans doute beaucoup trop enthousiaste, je mempressais daccepter son offre. Il sourit et me précisa que lensemble des convives étaient des hommes de son âge. Cela ne me gênait-il pas ? Devant ma réponse négative, il ajouta : « des hommes de mon age, un peu coquins ! ils apprécieront très certainement votre présence ». Devant mon air amusé, il mavoua que son statut de « vieux » célibataire, amoureux des femmes, le poussait souvent à fréquenter les milieux libertins, auxquels appartenait la majorité de ces invités ce soir-là. Toute chamboulée par ce curieux contexte, je maintenais mon accord en mefforçant de ne pas afficher une trop grande excitation. Il fut convenu quil viendrait me chercher le soir même à la maison.

Jeu bien des difficultés à terminer ma journée de travail tant mon cerveau bouillonnait. De retour chez nous, je me précipitais sous la douche, bien résolue à mettre à profit les deux heures qui me restaient afin dêtre la plus attirante possible. Je me donnais bonne conscience, me répétant à lenvi quil ne s agissait que dun jeu qui maurait permis de me sentir désirable et désirée toute une soirée par quelques hommes mûrs Un petit plaisir sans conséquence Ils nallaient tout de même pas me violer, non ? Plongée dans ces réflexions sous le jet deau chaude qui ruisselait sur moi, je me sentais de plus en plus émoustillée. Le miroir qui me faisait face me renvoya mon image, et mes yeux sattardèrent sur la petite touffe de poils noirs tout au bas de mon ventre. Sans réfléchir plus longtemps, jempoignais un rasoir et il ne me fallut que quelques minutes pour en raser lintégralité. Cétait la première fois que je faisais ce genre de chose, et javoue que le contact avec mon sexe lisse et doux mexcita terriblement. Jétais impatiente de savoir ce que tu en penserais. Sortie de la douche, joptais, après quelques hésitations, pour une jolie petite robe noire à fines bretelles et au décolleté avantageux. Elle marrivait péniblement à mi-cuisses. Montée sur de hauts talons, maquillée avec un peu dexcès, les cheveux détachés, je me trouvais franchement séduisante. Emportée par je ne sais quel élan de coquinerie, je me dispensais du moindre sous vêtement.

Dix-neuf heures. Il frappe à la porte. Mes efforts ne me déçoivent pas lorsque jentrouvre la porte. Son sourire et son regard en disent long sur leffet de ma nouvelle apparence. Nous montons dans sa voiture. En cours de route, il me tend avec un large sourire, un petit paquet cadeau. Sans savoir que lui dire, jouvre la petite boîte. Un bijou, très certainement. Une petite enveloppe laccompagne. Il me fait promettre de ne pas lire le petit mot avant la fin de soirée. Je promets. La boîte, elle, contient bien un bijou. Cest un bracelet de cheville. Très joli. Une bouffée daudace me fait me pencher vers lui. Je dépose un baiser sur sa joue. « Mettez-le » Je mexécute, ravie. Il me précise que, pour certains, un bracelet à la cheville souligne lasservissement. Puis, après un silence, ajoute quil me suffira, si je ne suis pas à laise ce soir, de le retirer pour que tout sarrête. Il comprendrait. Nous sommes arrivés chez lui, et sur ces paroles un peu énigmatiques, nous descendons de la voiture.

Ses invités semblent être tous déjà présents, et notre arrivée fait sensation. De toute part, les compliments fusent. Je suis la seule femme au milieu de ces huit hommes. Âpres quelques instants de présentation, et après mavoir débarrassé de mon manteau, nous nous installons au salon pour un apéritif. Tous les regards sont tournés vers moi. Tous ces yeux me détaillent de la tête aux pieds. Je regrette un instant ma présence, si courte vêtue. Un immense canapé en boomerang et quelques fauteuils autour dune table basse nous accueillent. Assise si près du sol, avec mes talons hauts, jai limpression dexhiber mon entrejambe à tous. Curieusement, ça ne me déplait pas. Chacun reste extrêmement correct et prévenant. Me voilà un peu plus à laise. Au cours de la discussion, japerçois mon patron, le regard plongé entre mes cuisses. Aucun doute possible au vu de nos positions respectives, cest ma fente quil regarde avec un certain émerveillement. Je me sens frissonner à lidée quil me sait sans la moindre culotte. Pour qui doit-il me prendre ? Je resserre un peu mes jambes.

Nous passons à table. Là encore, malgré les regards attentifs, aucun geste ou propos déplacés à mon endroit. Si ce nest la main de mon chef qui frôle mon épaule alors que je laide à desservir. A la fin du repas, nous nous dirigeons de nouveau au salon. Je ressens une curieuse impression, celle dêtre le dessert qui na plus longtemps à attendre avant dêtre dévoré. Il est encore face à moi. Baissant les yeux en croisant son regard, je me rends compte que mes mamelons pointent joliment au travers ma robe. Jentrouvre un peu les cuisses sans oser lever les yeux vers lui. Les quelques verres bus ce soir maident un peu à vaincre ma réserve naturelle. Dans un mouvement discret, je remonte légèrement ma robe. Il ne peut pas ne pas avoir maintenant une vue imprenable sur mon intimité. Je ne me reconnais pas. Me voilà partagée entre lenvie de disparaître de ces lieux, et le désir dêtre touchée par ces hommes. Caressée par toutes ces mains. Je reviens à la réalité. La discussion suit son cours. Ils parlent du travail, des femmes… Lhomme qui est à ma gauche souligne la chance quils ont de mavoir avec eux ce soir tout en passant un bras affectueux autour de moi. Sa grande main douce et chaude se pose sur mon épaule nue. Je me sens si frêle et si fragile sous son bras que, comme un réflexe daise, je pose ma tête doucement contre lui.Je comprends aussitôt que, montrant si peu de résistance, je viens de donner bien involontairement le signal.

La main de lhomme qui est à ma droite posée sur mon genou me le confirme. Il ne va pas trop vite. Ses doigts se promènent légèrement sur le dessus de ma cuisse, sans quil se permette davantage. Les autres observent. Le silence est maintenant complet. Lhomme qui menserre de son bras vient poser son autre main sous mon menton et guide doucement mon visage vers les siens. Je ferme les yeux, intimidés. Ses lèvres sont douces, son baiser tendre. Je laisse sa langue explorer ma bouche. Ce ne sont plus quelques doigts, mais toute une main qui caresse maintenant mes jambes et saventure de plus en plus haut entre mes cuisses. Lun dentre eux à certainement fait le tour du canapé puisque je sens, derrière moi, deux mains se poser sur mes épaules, les caressant délicatement. Relâchant son étreinte, ma bouche se sépare de lhomme qui membrassait. Je reprends mon souffle un bref instant. Puis lhomme dont la main parcours mes cuisses membrasse à son tour. Plus gourmand et plus brutal. Jaime. Sa main quitte mes jambes et vient se plaquer sans ménagement sur mon sein quil commence à pétrir avec vigueur. Lhomme qui me caressait les épaules fait glisser les bretelles de ma robe sur mes épaules. Puis sattardant sur ma gorge, il laisse glisser ses mains dénudant le haut de mes seins. Jentrouvre à peine les yeux. Tout le monde nous regarde, silencieusement, avec une grande attention. Mon premier assaillant vient déposer sa main sur mes jambes, parcours lintérieur de mes cuisses assez largement offertes. Je referme les yeux. Lhomme qui fouille ma bouche caresse maintenant à pleines mains un sein complètement nu.

Rompant le silence, je mentends prononcer, au milieu de quelques soupirs, des paroles inhabituelles dans ma bouche : « Parle-moi. Parle moi comme à une pute » . La main posée sur mes cuisses arrive enfin sur ma chatte. Les doigts glissent le long de ma fente toute douce et largement humidifiée par tant dexcitation. Le contact avec mon clitoris électrise tout mon corps. Je laisse échapper un petit cri. « Tu aimes ça, hein ? Tu te promènes souvent sans culotte ? » Gémissante, je parviens à articuler un « non » à peut près audible. « Alors, reprend-il, tu voulais vraiment te faire baiser ce soir ? » Je mapprête à répondre par la négative, mais alors que deux bouches sucent maintenant mes seins, ses doigts frôlent de nouveau mon clitoris provoquant une décharge encore plus intense. Cest un « oui » franc qui sort de ma gorge mêlé dun cri plus fort encore. « Et bien tu vas être contente, petite salope on va te baiser, tous. » Ces paroles, quasi ordurières, memplirent comme une puissante potion aphrodisiaque. Le doigt qui entra en moi la seconde suivante suffit à me faire jouir aussitôt. Les hommes accrochés à mes mamelons se reculèrent un peu, et la petite assemblée me regarda avec délectation chavirer bruyamment, emportée par les spasmes du plaisir pendant que ces doigts savants sagitaient encore en moi.Je revins lentement parmi eux, ouvrant enfin les yeux sur leurs visages ravis. Un instant après, lhomme à ma droite me débarrassa complètement de ma robe, qui, il est vrai, ne cachait plus grand chose. Certains dentre eux sétaient débarrassés de leurs chemises. On maidât à me relever. Jobtempérais passivement. Jétais maintenant debout, juchée sur mes talons, entièrement nue au milieu deux. Plusieurs sétaient également levés, et se tenaient près de moi. Des mains me parcouraient de toute part. Une main glissée entre mes jambes me fit les écarter instinctivement. Cétait celle dun des hommes qui ne mavait pas encore touchée. Il me fouillait maintenant avec ses doigts. Prenant appui sur le torse nu dun dentre eux, je laissais cette main mexplorer par derrière, les jambes largement ouvertes. Lhomme sur lequel je mappuyais déboutonna son pantalon, et, baissant la tête, je le vis sortir sa queue longue et gonflée. « Prends- moi dans ta bouche » Je profitais des doigts qui venaient de sortir de ma chatte pour maccroupir devant lui. Je nétais pas très adepte de la pipe, et je ne te faisais que rarement ce plaisir. Le visage à quelques centimètres de ce sexe dressé, je lempoignais assez maladroitement. Saisissant mes cheveux fermement, il mit fin prématurément à mes hésitations. Son sexe entra dans ma bouche sans ménagement. Je fus surprise par la douceur et la chaleur que je ressentis à son contact. Je commençais à le sucer doucement, mais due bientôt céder à la cadence quil imposait, par sa prise solide, à ma tête toute entière. Je lentendis bientôt faire part à ses amis de mes qualités de suceuse. Des mains me caressaient encore et toujours. Ouvrant les yeux, japercevais des hommes entièrement nus eux aussi. Il sortit de ma bouche et une autre queue se présenta à moi.Je lengouffrais tout en essayant de branler la première. Puis ils se glissèrent à deux dans ma bouche. Mes lèvres étaient démesurément ouvertes. Leurs mains pressaient sur ma tête pour que je les prennent plus profond encore. Lun deux en sortit et me dit « Tu navale pas dhabitude, hein ? » . Cétait exact, mais comment lavait-il deviné ? Je te suçais parfois, mais je finissais toujours par te branler pour que tu jouisses. Il poursuivit « Mon ami que tu suces va jouir dans ta bouche et tu avaleras tout, jusqu’à la dernière goûte ». Emplie par cette queue qui entrait désormais en moi jusquau fond de la gorge, la tête maintenue par ses mains, je ne pus répondre et me contentais dun regard plus ou moins désespéré Javais toujours redouté de devoir faire ça Lhomme que je pompais gémissait de plus en plus. Mes lèvres enserrant son sexe allaient et venaient sur sa tige. Ma langue sattardait sur son gland puis ma bouche le reprenait tout entier. Je me rendis compte que mes mains le tenaient fermement par les hanches, alors que lui tenait sa bite dune main assurée. Les autres avaient cessé de me caresser et nous regardaient. Ils attendaient en spectateurs avertis. Il me repoussa doucement de quelques centimètres, me laissant à genoux devant lui. Appuyant sur mon front, il me fit basculer lentement la tête en arrière. Ma bouche sentrouvrit. « Ouvre la bien grande encore ». Il se branlait doucement et installa sa bite à quelques centimètres de ma bouche. Un râle puissant retentit de sa gorge avant quune décharge de sperme jaillisse entre mes lèvres, puis une autre. Sa semence envahit ma bouche, chaude et onctueuse. « Avale. ». Dans une grimace, jobéissais. La sensation fut agréable. Très agréable même. Alors que javais un peu refermer la bouche, un dernier petit filet de son sperme échoua sur mes lèvres rouges à lexcès. Je me sentais chienne comme jamais. Débarrassant mes lèvres de ce dernier cadeau dun coup de langue, je sentis deux hommes me relever. « Alors, tu aimes quon se vide dans ta bouche, petite pute ? ».

Puis, sans me laisser le temps de répondre, ils me firent asseoir sur la grande table basse du salon. Leurs mains pressant sur mes épaules, jy fus bientôt allongée. Mon patron se posta près de mes pieds qui reposaient encore au sol. Posant ses mains sur mes genoux, il me dit « Tu vas avoir le droit à ma queue en premier » Puis mécarta les jambes dun seul coup. Saisissant mes chevilles, il remonta mes jambes sur moi et mordonna de les maintenir ainsi. Je restais donc sur le dos, cuisses écartées et la chatte offertes à celui qui se tenait debout face à moi, le sexe dressé. Sa bite était grosse et longue. Plus que ce que je navais jamais vu. Il attendait, me regardait. Il savourait cet instant. « Prenez- moi » dis-je, terriblement excitée. « Tu veux que je te baise, petite salope » Il sinstalla entre mes cuisses « Tes une vraie petite pute » Il prit sa bite en main et la frotta contre ma chatte. « Tu te vois, là, ma chérie Maquillée comme une pétasse la bouche pleine de sperme » Je réalisais que le goût de son ami emplissait encore largement ma bouche Lui continuait à mexciter en me caressant avec son gland tout en me traitant de tous les noms « Toi, la jolie jeune femme que tu es, allongée là, à nattendre quune chose, quon te remplisse la chatte » Et il entra un peu en moi. « Caresse toi les seins » Jobéissais Il vint un peu plus profond Je gémissais. « Ouvre les yeux » ordonna til. « Que tu me vois te baiser » Il senfonça presque entièrement. Ma bouche souvrit largement, mais le sexe qui sy enfonça étouffa les cris qui en sortaient. Il vint complètement. Son sexe envahissait tout mon ventre. Cette autre bite occupait ma bouche. Deux hommes tenaient mes chevilles bien au-dessus de moi afin que je demeure bien offerte. Je voyais mes pieds chaussés de ces hauts talons comparables à ceux des actrices porno. Il commença à aller et venir en moi, doucement dabord, puis plus vite, plus fort. Mes seins ballottaient au rythme de ces coups de boutoir. Je me sentais au bord de la jouissance. Deux queues occupaient maintenant ma bouche alternativement. Je ne pus mempêcher de commencer à me caresser le clitoris pendant quil me prenait. Mes caresses furent très vite efficaces et je me laissais emporter par un orgasme démesuré. Jhurlais littéralement. Un flot de liquide jaillit de ma chatte. Abondant et chaud. Les hommes que je suçais, sans doute excités par ma jouissance, ne purent se retenir un instant de plus. Ils éjaculèrent à quelques secondes dintervalle dans ma bouche et sur mon visage. Mon patron continuait à me travailler puissamment. Une seconde après, un autre homme pris place entre mes jambes. Il me pénétra dun seul coup. Je me laissais baiser docilement, le visage et les cheveux pleins de leur semence.

Il sinterrompit. Et mon boss me dit « Lève-toi mon petit ange » La douceur de ses paroles contrastait curieusement avec le reste de ses propos. Je me retrouvais debout, essuyais un peu mon visage, avant de découvrir un de ces hommes allongé sur le dos, sexe dressé, au milieu de la table. « Viens tempaler sur ma queue » mordonna-til. Je montais debout sur la table et maccroupissais lentement. « Tu es obéissante » me dit lun deux. Sa bite entra en moi, et sans me laisser de répit, il se mit à me faire subir ses va-et-vients vigoureux. À califourchon sur son sexe, je sentis des mains me pétrir de toute part. Alors quune autre queue sétait glissée entre mes lèvres, dautres doigts virent me caresser les fesses. Puis la main se leva et retomba brutalement sur mon cul. Je laissais échapper un petit cri. Elle me caressa, puis frappa de nouveau. Jadorais ça ! Enfin, ces doigts finirent par sattarder sur mon anus. Doucement, ils massaient mon petit trou. Puis un doigt sy enfonça, avec une facilité qui me surprit moi-même. Je savais cependant trop bien ce quils projetaient de faire. Effrayée, je me redressais dun coup pour couper court à cette entreprise. Une main se plaqua en haut de mon dos, pour mempêcher de bouger. Lhomme que je chevauchais me prit par les cheveux pour me ramener vers lui. « Bouge pas, petite salopece ne serait pas complet si on tenculait pas aussi » Jen avais toujours eut peur et jamais nous ne lavions fait ensemble.Un instant, jenvisageais de tout arrêter. Puis un deuxième doigt se glissa entre mes fesses. Sans être encore agréable, ce nétait pas douloureux. Un homme se placa derrière moi sans que je puisse le voir. Je sentis un gel froid couler entre mes fesses. Tout en me maintenant couchée sur lhomme qui me prenait la chatte, et qui avait cessé de bouger, des doigts étalèrent le lubrifiant, et senfoncèrent en moi. Je sentais sa bite tendue contre mes fesses. Puis son gland vint presser contre mon anus. Doucement, puis plus fort. Il entra un peu. Se retira et entra de nouveau. Il procéda si doucement que je fus presque surprise de comprendre quil était au fond de moi. Ils se mirent à bouger ensemble. Ce fut comme un coup de tonnerre. Je me sentais comblée, envahit toute entière. Mon clitoris frottait impeccablement bien le pubis de lhomme sur lequel jétais. Si bien que je sentais une tension incroyable irradier dans tout mon corps depuis le bas de mon ventre. Lhomme qui me sodomisait se retira pour laisser la place à un autre. Ils avaient bien fait les choses en moffrant au début celui au sexe le plus modeste. Cest mon patron qui se plaça derrière moi. Je connaissais sa queue et commençais à frémir. Jeu limpression de sentir chaque millimètre de sa bite entrer en moi. Ils se mirent à aller et venir ensemble. Entre bonheur et larmes, les mains appuyées sur le torse de mon partenaire, mes yeux tombèrent sur la bague que tu mavais offerte, il y a quelques années. « Tu aimes te faire enculer, ma salope ? » Pleine de culpabilité, je remuais la tête pour lui dire non il insista « Dis moi que tu aimes, dis nous de te baiser plus fort » et proche de lorgasme je mentendis lui dire « encule-moi comme une pute » Ces seules paroles achevèrent de me faire jouir encore une fois. Mes tympans répercutant les battements rapides de mon cur, jentendis à peine les cris de mes amants. Je sentis, presque en même temps, le jet puissant de leur sperme sécouler en moi. Ils se retirèrent après quelques instants, me laissant à quatre pattes sur la table, presque tétanisée. « Tu vas me vider aussi » dit un de ces messieurs qui mempoigna par la taille et, me tenant fermement, madministra de magistraux coups de queue, mobligeant à me coucher à demi sur le meuble bas, tout en conservant la croupe offerte à ses assauts. Il ne mit que quelques minutes à jouir dans ma chatte.

Âpres quelques baisers et compliments, ils me laissèrent me rhabiller. Avant dêtre raccompagnée par mon chef, les deux seuls hommes que je navais pas fait jouir se firent un plaisir de le faire. Ils sapprochèrent de moi alors que, assise sur un fauteuil, je me remettais doucement de mes émotions, entourés par ces courtisans dun soir dont javais été le plus parfait objet. Ils me firent les sucer doucement et terminèrent de se branler de manière à souiller ma robe de la façon la plus visible qui soit. Sans que je sache pourquoi, ils minterdirent de me nettoyer.

Devant la maison, après les remerciement dusage, je descendis de la voiture. Baissant sa vitre, mon patron me rappela douvrir lenveloppe quil mavait remis. Je fis quelques pas pour rejoindre la lumière de notre entrée. Je sentais leurs liquides chauds couler entre mes jambes, dans mon coup La vitre renvoyait mon image. Celle dune jeune femme à la robe toute tachée, légèrement échevelée, ruisselante de sperme.

Sur la carte était écrit « Jespère que le bracelet ta fait plaisir et le reste aussi Je ne suis pas en voyage, je t attends derrière cette porte Merci pour ce beau cadeau Je taime »

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