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Joseph, artisan qui a changé ma vie de femme – Chapitre 2




J’étais dans un état second et dans une plénitude totale. Allongée sur le dos dans un silence total, je profitais pleinement de ce moment. Joseph était couché à côté de moi et certainement dans le même état que moi, enfin je l’espérais.

Je voulais à présent mettre à la lumière cet amant inconnu qui m’a totalement fait vaciller.

J’allumais ma lampe de chevet. Il était là, juste à côté de moi, allongé sur le dos et un bras plié au-dessus de sa tête et les yeux fermés.

Je voyais à présent son corps massif d’un noir profond, ce qui me fît immédiatement frémir, bref une excitation immédiate venait de se produire. Mon regard se dirigea vers le bas de son bassin pour se fixer sur son sexe au repos… sexe au repos pour Joseph, mais au regard de sa taille, cela ne correspondait même pas à celui de mon mari en érection… Dame Nature n’est pas égale pour tout le monde.

Je me rapprochais de Joseph et je posais un premier baiser sur son torse velu. Son bras se déplaça pour venir entourer mes épaules. Je multipliais mes baisers et je descendais tranquillement vers son ventre avec mes yeux rivés sur son sexe. Ce dernier avait d’ailleurs comme des tout petits soubresauts, l’excitation devait certainement ressurgir de son côté.

Plus j’avançais vers son bas-ventre, plus son sexe prenait de l’ampleur, il gonflait lentement pour prendre celle d’une très belle érection. Mes yeux étaient écarquillés. Je posais ma tête sur son bas-ventre et j’avais à présent son gland décalotté juste devant moi. Un gland beaucoup plus large que la base de son sexe, dégageant une force naturelle et que rien ne pourrait arrêter. J’approchais à présent ma bouche, ma langue allait à présent effleurer le bout de son gland majestueux. Ce petit geste a eu l’effet escompté, un mouvement immédiat de son sexe se fit sentir. Je me rapprochais encore davantage et mes lèvres se placèrent autour de son gland. Ma bouche était très largement ouverte pour pouvoir l’accueillir.

Son gland était chaud, dégageant une odeur suave, épicée et ne nous le cachons pas de sexe passé également. Ma langue se baladait tout autour et je prenais son sexe de plus en plus en profondeur. Ma cavité buccale n’accepta que la moitié de son sexe malgré tous mes efforts. La main de Joseph s’étant positionnée sur ma tête, m’appliquait des petites poussées pour accompagner mon mouvement.

Au bout de cinq bonnes minutes, Joseph me proposa de prendre la position 69 afin de profiter également de mon sexe, ce que je fis immédiatement. Je pris cette position et je tenais de ma main à présent son sexe d’une dureté impressionnante, tendu comme une corde à arc.

Bien placé de la sorte, je venais de ressentir à nouveau son souffle chaud sur mon sexe et dans la foulée sa langue qui venait de s’appliquer sur mon sexe. Mon corps s’électrisait immédiatement. Je commençais à onduler mon bassin pour accompagner ses coups de langue. Le temps n’existait plus. Mon sexe était à présent totalement ouvert à cette langue qui venait de prendre le chemin intérieur. Elle s’enfonçait magiquement entre mes lèvres pour venir fouiller mon intimité dans sa globalité. Sa petite barbichette, un peu rigide faut-il le préciser, venait irriter mon petit bouton. Le plaisir prenait vraiment forme et je le sentais monter, monter, monter en moi, et de mon côté, je manuvrais encore plus activement ma fellation.

Son sexe était de plus en plus dur, je le sentais très fortement dans ma bouche. Le corps de Joseph commençait à bouger en accompagnant ma bonne pipe… et tout à coup, je ressentis une giclée d’une puissance qui venait arroser le fond de ma gorge et au même instant, Joseph venait de mordre mon clitoris avec ses dents… L’explosion fut immédiate. La bouche de Joseph devait à présent être totalement recouverte de ma cyprine. De mon côté, ma bouche n’arrêtait pas de prendre en rafale sa semence très épicée et sans me poser la moindre question, je l’avalais avec délectation.

Joseph se redressa, me fit mettre sur le dos et se plaça entre mes jambes, son corps lourd se posant sur moi. Je pris sa tête entre mes mains et je l’embrassais comme une jeune adolescente qui pratiquait ses premiers baisers. Nos langues se chevauchaient dans tous les sens avec vigueur, j’étais comme une hystérique.

Se redressant, il prit la direction de mes seins pour les prendre à pleines mains, mordiller mes tetons avec ses dents, me les aspirer comme un nouveau-né. Il avait soif de mes seins, j’adorais…

Une fois son travail fait sur ma poitrine, avec des tetons très irrités et très excités, Joseph prit place entre mes jambes et prit son sexe pour venir le faire jouer sur ma toison. Il prenait un malin plaisir de faire aller et venir son sexe de bas en haut et passant très largement son mon clitoris. Mes yeux ne quittaient pas son visage, guettant à chaque instant ses mouvements.

Son mouvement se stoppa et je sentis son gland se positionner à l’entrée de mon vagin. J’étais prête à le recevoir avec cette excitation supplémentaire, car je connaissais à présent sa mensuration.

J’écartais largement mes jambes, je plaçais mes mains sur ses fesses velues et j’accompagnais à présent son mouvement.

Son gland faisait à présent pression et surtout son chemin. Ressentir cette tête de champignon énorme prendre place, écartant mes chairs et s’enfoncer doucement dans mon vagin. Il prenait sa place lentement, j’avais toutes les 5 secondes des coups de chaleur, des décharges électriques dans tout mon corps et le moment fatidique où son sexe passa mon utérus fut à nouveau le déclencheur de mon second orgasme, mon bassin se redressa et accentua encore plus sa prise de profondeur. Il était à présent totalement en moi. Il ne bougeait plus, je prenais vraiment conscience du membre incroyable que mon sexe venait d’engloutir…

Prenant appui sur ses bras, Joseph commença son va-et-vient avec douceur, mais pour chaque aller-retour, c’était une vague de jouissance. Je sentais mon sexe complètement mouillé, trempé et qui facilitait ses passages en moi. Mes mains tiraient sur les draps, mes ongles enfoncés comme jamais. Mes dix mille lucioles tournoyaient à nouveau au-dessus de moi.

A chaque poussée, je poussais un râle profond, mes mains venaient à présent se mettre autour de son coup, je levais à chaque poussée mon corps pour venir mordre sa chair, tellement c’était fort. Etre prise par un mandrin de cette taille était fantastique et une certitude était en train de s’écrire au plus profond de moi-même… Jamais plus je ne pourrai m’en passer. J’étais devenue une Chienne de Sexe, je ne pensais plus qu’au sexe et chaque seconde était une rivière de sensation.

Joseph me baisa cette fois-ci à plusieurs reprises dans ce qui restait de cette nuit magique.

Je ne sais depuis combien de temps il n’avait pas fait l’amour, mais mon utérus et mon vagin étaient remplis de son sperme chaud et consistant. Si je n’avais pas passé l’âge d’être enceinte, nul doute que je le serai devenu en une seule nuit.

Au petit matin, mon corps était meurtri de plaisir et mon sexe rempli de sa semence conséquente et consistante.

Joseph avait quitté la chambre, je ne l’avais pas remarqué.

En voulant me relever, mon corps me rappela immédiatement mes ébats.

Je sentis lorsque je pris la position assise au bord du lit, la semence qui cherchait à sortir de mon sexe tellement il y en avait. Je mis un doigt entre mes lèvres pour prendre de ce fluide et je le portais à ma bouche. Jamais auparavant je ne pouvais faire ce geste avec mon mari… mais avec Joseph, cela devenait une drogue naturelle. J’avais changé en une seule nuit.

Je pris le soin d’enlever les draps de cette nuit magique pour ne pas me mettre dans une situation délicate, car je savais que mon mari allait rentrer aujourd’hui même.

Une douche s’imposa même si je n’avais aucunement l’envie de me libérer de ces odeurs de transpiration et surtout de sperme. Mais je savais que mon intérieur en conservait encore.

Arrivé dans la cuisine, Joseph avait préparé un petit-déjeuner très copieux et je n’hésitais pas à en profiter pour reprendre un maximum de force.

Nous étions l’un en face de l’autre, sans aucune parole échangée, mais uniquement des regards profonds.

Mon mari arriva en fin de matinée en retrouvant Joseph qui avait repris son activité. De mon côté, mon petit train-train de la matinée. Tout semblait identique comme le jour où mon mari avait quitté la maison pour son travail.

Le lendemain, mon mari ayant positionné une journée de récupération, il participa à la finalisation du travail avec Joseph. Le travail terminé sur cette dernière journée, Joseph venu me saluer et me remercia pour mon « Accueil » et le plaisir d’avoir eu à nous aider à refaire notre « Intérieur », enfin surtout le mien pensais-je…

Mon mari le déposa chez lui en le remerciant très chaleureusement et qu’il n’hésiterait pas à refaire appel à lui pour d’autres travaux si cela pouvait l’intéresser.

Ce soir-là, mon mari était très expressif et plein de sentiments. Je compris très vite ses intentions. Nous nous sommes retrouvés rapidement au lit. Je lui montrais toute mon affection, mais pas avec les mêmes gestes, il fallait que je reste dans notre même logique de relation sexuelle, d’ailleurs je ne me voyais même pas faire le 10ieme de ce que je faisais avec Joseph. La chienne de Sexe n’était plus dans son environnement sexuel.

S’en vient le moment de la pénétration, son sexe ayant la vigueur des très bonnes journées, mais malgré les bonnes sensations ressenties, nous étions très, très, très loin des sensations que j’ai vécues avec Joseph. Dans une chevauchée magistrale après quelques minutes de pénétration, mon mari m’écrasa de tout son poids dans un râle profond. J’étais contente pour lui après cette rude journée. Son plaisir atteint, il reprit sa place à mes côtés en prenant ma main et en l’embrassant à plusieurs reprises. Il était bien et au bout de quelques minutes, ses ronflements se firent entendre.

Je venais de lui tourner le dos et je mis ma main entre mes jambes. Joseph hantait à présent mes nuits et rien qu’à y penser, mon sexe réagissait rapidement, mon bouton en étant pour preuve. Pas de cyprine pendant le rapport avec mon mari, mais présente rien qu’à la pensée et avec l’aide d’un petit doigt joueur.

Les jours suivants furent très difficiles. Ce « sexe » me hantait, me manquait, la Chienne de Sexe qui sommeillait en moi se manifestait à longueur de journée et encore plus le soir, sachant que j’allais toujours me coucher avant mon mari qui avait repris une activité totalement normale pour lui.

Cela était encore plus accentué le soir dans notre lit. Je n’avais pas passé à la machine le caleçon de Joseph, et il ne l’avait pas réclamé. Son caleçon était dans son jus et son odeur était présente. Je le portais à mon nez pour le humer, ce qui réveillait encore plus mon état d’excitation. Ce caleçon était à présent mon TRESOR, mon merveilleux souvenir et que j’allais tout faire pour le protéger et cacher.

J’allais vivre à présent avec ce souvenir inoubliable pour le reste de ma vie et ce seul TRESOR.

Dix jours plus tard, au cours de notre repas du soir, mon mari me donna des nouvelles de Joseph. En effet, Joseph l’avait contacté sur son mobile en lui demandant à son tour un service. Prétextant vouloir ajuster de nouveaux rideaux pour son appartement, Joseph souhaitait savoir si son épouse serait en mesure de venir faire de la couture et les adapter parfaitement à son intérieur. Il précisa immédiatement qu’elle sera rémunérée pour le travail effectué.

Mon mari avait répondu immédiatement à ma place et par la positive.

Je pris l’air agacé en lui précisant qu’il aurait pu me demander mon avis avant de donner sa réponse.

Mon mari répondit naturellement…

Tu sais mon cur, tu verrais son intérieur, une touche féminine ne ferait que mettre un peu de soleil dans son appartement. J’ai son numéro de téléphone, tu n’as qu’à l’appeler et en discuter avec lui directement. Si tu ne veux pas le faire ma chérie, ce serait dommage pour lui, il nous a tellement aidés…

OK c’est bon, je vais le contacter, mais c’est bien pour te faire plaisir.

Je sentis instantanément, en me relevant pour débarrasser la table, comme une fraicheur humide entre mes jambes…

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