« Allez, dépêche-toi, j’ai trop hâte d’y être ! » Marie s’impatientait, pendant que je finissais de boucler la valise. Ce chapitre est un fantasme dans la continuité de notre histoire, reprenant les éléments précités. Tout n’est pas inventé, le réel se mêle à l’imaginaire. D’autres suivront, utilisant des éléments de cette histoire.

Nous étions sur le départ des vacances, nous avions réussi à les synchroniser et 3 semaines de repos à Roquebrune sur Argens nous attendaient. J’avais fini ma valise « homme », et j’en avais fait une deuxième « femme » afin de faire quelques sorties féminines lors de ces vacances. La voiture chargée, nous préparons les dernières affaires de bord, puis nous partons. Minuit, l’assurance d’arriver sur place à l’aube, c’est parti pour l’aventure. Je me rappelle de mes parents qui roulaient de nuit pour éviter la chaleur, nous en faisons autant pour éviter les bouchons. Quelques pauses et relais plus tard, nous arrivons, prenons un déjeuner dans une boulangerie, puis décidons d’aller profiter de la plage pendant qu’il n’y a personne. Au cours de la matinée je reçois un appel des propriétaires de la location, nous pouvons aller chercher les clefs. Je retrouve ce parc résidentiel constitué historiquement de mobil-home, devenus des petits chalets en dur au fur et à mesure des années, afin d’en former un petit village privé de vacances. J’y ai passé quelques vacances avec mes parents et nous avons pu suivre l’évolution.

Une fois les clefs en main, nous nous installons, puis je ne résiste pas à passer une culotte de dentelle assez légère, une robe de plage dans les tons orangés, en installant ma fausse poitrine sans soutien-gorge pour lui donner du volume, et mettant ma perruque brune. Une paire de tongs dans les tons bleu marine et fuchsia et le tour est joué, l’amplitude du vêtement me permettant de ne pas avoir à cacher mon sexe. Nous reprenons la voiture pour aller en courses, vêtue de la sorte. Nous flânons dans la galerie marchande du centre commercial, et dans l’une d’elle Marie m’indique les bikinis. J’en prends 2, un premier uni bleu marine, et un second dans des tons plus colorés, une base orange et des motifs en mosaïque de diverses couleurs, marron, vert anis, crème, bleu marine puis je file dans une cabine pour les essayer, et je constate que ça me va à merveille, mettant bien mes formes en valeur. Marie confirme ma pensée, je rajoute à mon panier un paréo, une paire de lunettes de soleil typées féminines ainsi qu’un chapeau de paille, puis nous allons faire les courses.

Rentrées à notre location, sans se concerter préalablement nous passons nos bikinis pour nous diriger vers la piscine, une nouvelle grande première pour moi. Je prends soin de bien cacher mon sexe, cela n’a pas l’air de choquer, on voit juste le relief de ma peau si j’écarte les jambes, mais ce n’est pas différent du relief des grandes lèvres de certaines femmes. Je colle la perruque sur ma tête avec de l’adhésif double face médical afin de pouvoir aller me baigner sans la perdre, et pour ajouter une touche féminine, je mets du vernis sur mes ongles de mains et de pieds. Nous marchons jusqu’à la piscine, l’avantage de ce village de vacance est que tout se fait facilement à pied, ce qui nous permet de profiter des cigales, du soleil, de l’été dans le sud quoi. Arrivées sur place, nous installons nos serviettes et commençons par nous mettre mutuellement de la crème solaire, nous restons une bonne heure et demi à bronzer, puis nous décidons d’aller nous baigner. L’effet de se sentir femme dans un tel environnement est drôlement agréable.

Je sens quelques regards appuyés d’un troupeau de mecs ayant pris leurs vacances entre eux, j’en profite pour tordre des fesses en passant vers eux quand nous sortons de l’eau, mais j’ignore leurs réflexions bien machistes.

Vers 19h, à la fermeture de la piscine, nous rentrons au chalet, on pose nos affaires puis je sens Marie me pousser gentiment vers la douche. Arrivé dans la douche à l’italienne, elle appuie ses caresses sur mes fesses, et instinctivement je me penche en avant, tandis qu’elle s’accroupit derrière moi, baisse ma culotte de bain, écarte mes fesses et y glisse sa langue. Ses caresses sur mon anus sont un régal, ma respiration s’accélère sous l’effet du supplice, et cela ne lui échappe pas d’autant que je commence à imprimer un mouvement avec mon cul. Elle en profite pour glisser un doigt dans mon fondement, l’enfonce au maximum, le ressort, recommence, et me branle de sa main de libre qui a libéré mon sexe de sa prison. Haletant, je subis, et elle continue son infernal ballet, me doigte, fait des allers retours, en essayant de gratter ma prostate avec son ongle à chaque mouvement. Enfin, elle prend du recul, et je la vois s’enfiler un double gode violet, tiens un nouveau, mais celui-là n’a pas de harnais.

Elle attrape le flacon de lubrifiant, en mets sur le gode, puis badigeonne mon petit trou. Je la sens venir en contact avec le gode sur mon anus, qui l’avale sans demander son reste, malgré sa taille plus imposante que les autres. Elle commence des va-et-vient en moi, c’est royal, la représentation de la scène dans ma tête, ses aller-retours en moi, le contact du gode sur les parois de mon cul, et en moi contre ma prostate, elle s’agrippant comme un animal furieux à moi pour m’administrer les coups les plus intenses qui soient Je voyage rapidement au 7ème ciel, avant de sentir la jouissance arriver. Je ne peux contenir un râle de plaisir, éjaculant de grandes lampées de sperme, chacune provoquant une contraction qui aspire le gode au fond de moi et le faisant à nouveau rentrer en contact avec ma prostate. Mais elle n’en a pas fini de son côté, et continue à me pilonner après ça, de plus en plus fort, et ne tenant plus, je me libère pour me mettre à genoux. Elle s’y met aussi, me pousse en avant, je prends sur mes mains, celle-ci dans le sperme que je viens d’envoyer, puis elle revient en moi, continuant notre coït en levrette, continue quelques aller-retours avant que je la sente se crisper, s’enfoncer tout au fond de moi, puis crier son plaisir à son tour.

Nos esprits récupérés, nous prenons notre douche, puis un bref repas avant de retourner au centre du village, pour la soirée d’accueil. Sans se poser de questions, nous nous faisons belles, ma perruque brune coiffée en chignon, des boucles d’oreilles à fleur, un léger maquillage, puis une robe d’été sans manches, rouge avec la partie sur la poitrine des fleurs imprimées dans une forme assez droite mais suffisamment ample pour y être à l’aise. Un ensemble de sous-vêtements de dentelle rouge, avec des décors travaillés mais sans fioriture, mes jambes nues et une paire de sandale en cuir beige, à talons de 8cm. Marie adopte une jupe bleu roi, arrivant à mi-cuisse, avec un chemisier en jean, par-dessus des sous-vêtements en dentelle émeraude. Jambes nues elle aussi, elle termine par une paire de sandales noires à talon également, mais 10cm ce qui la rend plus haute que moi. Après un léger maquillage, nous choisissons de définir des règles pour les vacances : ok pour flirter, mais en mode donnant / donnant, pas de jalousie, pas de provocation, et juste du cul.

Nous gagnons rapidement la place, pas mal de monde, et je sens déjà quelques regards se poser sur nous, nos fessiers principalement. Il faut dire que perchée sur ces talons, j’adopte une posture qui me cambre un peu le dos et fait ressortir mes fesses, ce qui donne matière à regarder. Nous écoutons attentivement la présentation, les animations de la semaine, puis les animateurs lancent la soirée dansante à laquelle nous nous joignons.

Il y en a pour tous les goûts, mais les danses « collées serrées » reviennent rapidement, ambiance estivale oblige. On se lâche bien, puis je laisse Marie pour aller aux toilettes. Je retrouve Marie quand je reviens danser quand une nana nous aborde et commence de me chauffer, Marie me regarde et me fait signe oui de la tête, je la laisse donc faire. Environ 1m70, sur ses talons, fausse blonde, vêtue d’un micro short en jean et d’un haut écru qui lui laisse le nombril à découvert, ce qu’il faut de parfum, c’est une vraie machine à chopper. J’engage une danse endiablée et sensuelle avec elle, attirant les regards de mecs en chien, puis elle profite d’un face à face un peu plus calme sur la fin de la chanson pour me dire qu’elle s’appelle Noémie ; je lui réponds « moi c’est Mélanie », avant qu’elle me regarde sérieusement pour me demander « et en vrai ? » Je me demande ce qui m’a trahi, avant qu’elle ne me réponde que je suis parfaite, qu’elle l’a juste senti, à l’instinct. La musique enchaine sur un slow, qu’elle m’invite à danser avec elle, tandis que je cherche Marie du regard avant de la voir dans les bras d’un autre mec.

Je me remémore les règles, carte blanche, c’est pour tous les 2, je me résigne et enlace au plus près Noémie. A la fin de la danse, elle me propose de continuer la soirée chez elle, j’accepte et je la suis une fois mon sac récupéré, prenant soin de prévenir Marie. Sitôt rentrés dans son mobil-home, elle me plaque contre le mur et m’embrasse, me caresse, je la laisse faire en lui rendant ses baisers et caresses, profitant de ce moment. On se déchausse, puis elle me dit de me mettre à l’aise en m’indiquant sa chambre, pendant qu’elle part à la salle de bain.

Entrée dans la chambre, je parcoure du regard et m’arrête sur l’armoire, m’en approche et l’ouvre. Je parcoure les vêtements du regard et sens une douce chaleur m’emplir le bas ventre quand mes yeux se posent sur un kimono en satin, bleu nuit avec de belles finitions blanches en dentelle. Je le sors, puis je prends également la nuisette assortie qui apparait en dessous, passant rapidement sur mon visage cette délicate et si agréable matière, avant de chercher un tiroir à culotte. Rapidement localisé, je trouve dedans un string complétant l’ensemble. Me demandant où je suis tombée, je me déshabille totalement, ne gardant que la perruque et les prothèses, puis je passe le string, le remonte lentement, profitant de la caresse sur mes jambes nues, le met en place sans me préoccuper de cacher mon sexe. Je me saisis de la nuisette, l’enfile tout aussi délicatement, par-dessus ma fausse poitrine laissée nue, et je termine par le kimono, me glissant dedans comme dans les anciens kimonos de judo que j’avais plus jeune quand je pratiquais cette activité, et je le serre au niveau de mon nombril avec la ceinture de satin fournie avec.

Je trouve également une paire de bas autofixants en résille, ainsi qu’une paire de ballerines noires, un peu petites mais je me dis que ça ira pour finir cette soirée. Puis je me contemple dans le miroir, détache mes cheveux, et me trouve terriblement désirable dans cet accoutrement.

J’entends la porte de salle de bain s’ouvrir et Noémie en ressort, s’approche de moi pour me scanner du regard. J’en profite pour en faire autant, elle est vêtue d’un babydoll qui passe sous ses opulents seins, avec un gros nud rose entre, un empiècement noir transparent lié par ce nud et faisant le tour, dont le pourtour est délimité par un liseré rose, des jarretelles tenant des bas en résille noir et rose également, ses pieds chaussés d’escarpins noirs ; un string ouvert à l’entrejambe assorti au babydoll. Effet Waouh garanti, ça donne le ton de la soirée. Elle tient un masque de dentelle noire des menottes de la même matière.

— Wow, tu es super bandante, un véritable avion de chasse ! lui dis-je sans vraiment hésiter

— Merci, et toi tu es une superbe kimono, ça te va mieux à toi qu’à moi me répond-elle tout en rougissant

Regarde dans ce tiroir, et prend aussi un masque et des menottes, puis viens me retrouver dans le séjour.

Une fois fait, elle éteint la lumière, seule celle de l’extérieur apporte un peu de visibilité, rendant la scène encore plus excitante. Elle me passe le masque, les menottes avec les mains dans le dos, puis en fait tout autant sur elle, rusant pour mettre les menottes, puis elle me propose qu’on s’agenouille et qu’on attende. Je l’écoute, un peu circonspect, et peu de temps après j’entends la porte qui s’ouvre, et j’aperçois au travers du masque une silhouette familière : Marie. Elle s’affaire dans l’entrée puis nous rejoint, sans un mot, et je constate qu’elle n’a plus l’air très vêtue. Elle passe derrière nous, et nous dit froidement :

— A partir de maintenant, c’est moi qui décide. Mettez- vous à 4 pattes, la tête dans vos bras !

Elle passe derrière nous et vérifie l’accès à nos orifices. Le string ouvert de Noémie laisse libre accès et évite une manuvre avec les bas et les jarretelles, mais le mien est fermé et bloque l’accès, elle me le fait donc retirer.

— Toi ! à genoux ! fait ton devoir !

Elle se place en face de moi, et m’appuie les lèvres son gode strapless, je n’ai guère de choix que le sucer. Je constate un agréable goût de fraise, un lubrifiant qu’elle a dû mettre dessus. Je me débrouille tant bien que mal avec ce chibre en plastique qui me fait à moitié baver, tandis qu’elle me saisit la tête pour m’imprimer des va-et-vient et littéralement me baiser la bouche. Une fois satisfaite, elle en fait de même avec Noémie, dans les mêmes proportions de violence.

— A quatre pattes ! lui ordonne-t-elle, et toi vient te mettre devant elle. Elle n’a pas eu assez de mon membre. Donne-lui le tien.

Je m’exécute, et lui présente mon sexe. Elle commence à me sucer quand j’aperçois Marie qui passe derrière elle et lui broute le minou un moment avant de la pénétrer. Le spectacle est grandiose, et très vite je me décharge dans la bouche de notre hôtesse, celle-ci avalant tout au fur et à mesure, avant de lâcher un râle de jouissance, tandis que Marie résiste à la jouissance.

Maîtrisant et faisant évoluer la situation, elle me prend par la main et me ramène dans la chambre, me faisant allonger sur le dos sur le lit. Elle retourne chercher Noémie, la fait s’installer sur mon visage, j’ai donc son sexe en plein sur ma bouche, je lui prodigue naturellement un cunnilingus.

— Lèche là maintenant ! L’ordre était pour Noémie, et très vite je sentis sa langue sur ma rondelle, quelques doigts timides me chatouiller mais n’osant pas rentrer. Nous entamons ainsi un 69 féminin assez torride, au milieu de ces vêtements en satin et en dentelle, dans une douceur diabolique.

— Assez !

Marie vint présenter son gode qu’elle avait recouvert de lubrifiant sur mon anus ; je souffle de plaisir tandis qu’elle s’enfonce sans trop problème au fond de moi, puis me fait l’amour de cette manière, debout et tenant mes jambes levées, profitant de les caresser au travers des bas pour décupler les sensations pendant que Noémie s’active sur ma bite et moi tantôt sur sa chatte tantôt sur son petit trou. Au bout de 5 minutes de cette valse, nous jouissons de concert, toutes les trois, avant de nous reposer le temps de récupérer.

Nos esprits retrouvés, Marie repousse Noémie et vient me sucer un moment, avant d’ordonner à la blonde de venir s’empaler sur mon sexe qui a repris de la vigueur. Elle le fait de bon cur, visiblement heureuse de senti en elle l’objectif de sa soirée. Nous entamons quelques va-et-vient dans son puits très accueillant, humide à souhait, puis j’aperçois Marie qui repose le lubrifiant, se présente derrière Noémie, la maintient en place puis s’enfonce dans son cul pour lui faire subir une double pénétration. Bien installé dans son vagin, je sens le gode au travers de la paroi séparant les deux sources de plaisir de Noémie, qui n’en finis plus de hurler son plaisir. Je ne maitrise plus les allers-retours, laissant Marie les imprimer à son rythme. Malgré un nouveau concert de jouissance au bout de quelques minutes, insatiable, Marie nous fait se retourner puis vient me prendre pendant que je m’active de nouveau dans Noémie, et je la fais se retourner pour la sodomiser elle aussi. Cette scène se nommera l’enculeur enculé.

Avant que nous jouissions, la maîtresse de la situation nous fait nous arrêter, pour réaliser un changement de rôles : elle retire son gode et le tend à Noémie, qui se le met tant bien que mal avant de s’installer sur le dos sur les ordres de Marie. Celle-ci vient d’abord s’empaler le vagin dessus avant de me demander de l’enculer, c’est ainsi qu’elle connait sa première double pénétration. J’en profite pour lui pincer les tétons au travers de sa guêpière, et se sentant partir, elle nous demande une dernière fois de changer, retournant pour s’enculer sur la fausse bite de Noémie, et me tirant à elle pour que je la prenne en missionnaire. Quelques allers-retours plus tard, nous jouissons une dernière fois de la sorte, avant de s’endormir toutes les 3 dans nos tenues provocatrices.

Le réveil est difficile, Noémie nous prépare un café, et au cours du petit déjeuner j’apprends que Marie la connaissais et lui a parlé pendant que j’étais aux toilettes pour lui proposer ce plan à 3, qu’elle a accepté sans sourciller. Elle reste 2 semaines, et ne compte pas en rester là Nous nous rhabillons avec les vêtements de la soirée, puis rentrons dans notre résidence, Noémie m’a fait cadeau de la lingerie que j’ai porté, pour mon plus grand bonheur…

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