Nous avons passé ce réveillon de fin dannée, ma femme Béa, ma fille Nat et moi chez des amis à une cinquantaine de kilomètres.

Béa était d’une humeur assez gaie, ayant tous ces gens autour delle et quelques commentaires flatteurs semblaient accroître sa confiance en elle. Cétait une bonne chose pour elle de plus. Après cette soirée, j’ai pensé que jallais sûrement me régaler cette nuit. Beaucoup damis avaient leurs yeux fixés sur ma fille ce qui me dérangeât.

À la fin de la soirée, Nat et Béa étaient passablement ivre et nos amis nous ont proposé de rester. Moi-même, après avoir bu plus que de raison je ne me sentais pas état de prendre le volant.

Deux couples décidèrent de rentrer chez eux. Nos amis nous montrèrent la chambre damis, mais il ny avait quun grand lit. Mon épouse a dit que se nétait pas grave pour une nuit ou pouvait se tasser. Il fut décidé quelle dormirait entre ma fille et moi. Nous nous couchâmes. Durant la nuit j’ai eu envie daller me soulager la vessie, au moment daller à la salle de bains, je voyais tout tourner, mais j’étais excité et voulais prendre ma femme!

De retour dans la chambre il faisait nuit noire et je ne voulais pas déranger en allumant !

Je repris donc ma place. Je me blottis contre ma femme, elle était en sous vêtement ; je retirai son soutien gorge et glissai le bras le long de ses jambes. Elle gémit rêveusement.

Elle se tourna et je pouvais entendre sa respiration régulière ; j’ai mis mon bras autour d’elle et doucement j’ai caressé ses seins. Mon sexe était plaqué contre ses fesses. Lorsque j’ai passé un doigt sur toute la longueur de sa chatte, j’ai remarqué qu’elle était plus humide que jamais et avec deux doigts, jexplorais son vagin, elle poussa ses hanches contre ma bite, maintenant, entièrement durcie.

Quelque chose me tracassait. Ce n’était pas seulement le fait que Béa se laissait faire, mais aussi, que sa peau avait un parfum différent, comme si elle avait décidé d’essayer une autre marque de gel douche Je glissai ma main entre ses jambes et sa chatte a réagi en se pressant contre mes doigts. Jétais dans un état second, mon cur battait la chamade, c’était presque comme explorer un nouveau terrain, un territoire inexploré, une autre femme, même ! Cétait très excitant. Jai continué de la masturber, elle a frémi et soupiré délicieusement. J’avais fait cela des centaines de fois avec Béa, mais ce soir-là, pour une raison inconnue, cétait particulièrement agréable.

Soudain, elle se retourna vers moi et posa une main sur mon sexe bandé. Jai été frappé de stupeur car ce nétait pas ma femme Béa mais ma fille Nat. Comment était ce possible ? Je venais de prendre du plaisir avec ma fille !

Cétait trop tard pour cela, de toute façon. En fait, je commençais à éprouver une passion perverse en brisant ce tabou particulier. Je continuais à la caresser. Je lui pris la main et lui imprimai un mouvement jusqu’à ce que jarrive au bord même de l’orgasme. Je lembrassais elle était toujours endormie. Le lendemain matin, quand je me réveillai, je redoutais de voir Béa. Comment pourrais-je la regarder, même si elle ignorait ce qui sétait passé entre nous. Ma femme Béa me signala que cette nuit jétais tellement alcoolisé que je ne lavais pas entendu se lever pour aller aux toilettes et à son retour notre fille avait pris sa place, elle alla prendre sa douche. Nat se réveilla la dernière elle avait l’air en désordre, Elle embrassa ma joue et je sentis son souffle chaud quand elle murmura à mon oreille :

« Papa, cétait fantastique, mais ne tinquiète pas ce sera notre secret».

De retour chez nous dans la voiture ma fille me murmura à oreille

« Papa, je taime et tu ne peux pas savoir à quel point».

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