J’entends ces paroles dans un semi-brouillard mais avec quand même un peu d’inquiétude…..

J’entends Marcel dire à ses deux potes :

— Vous avez raison, Momo, attache-lui les mains, tu sais ce que j’aime, on va le prendre à deux, Riton, va chercher de quoi le préparer ……

Ils viennent vers moi :

— Allons laisse toi faire, on va t’attacher, c’est pour ton bien.

Soumis, je mets moi-même mes mains derrière mon dos et un lien, sans doute une ceinture, a vite fait de me serrer les poignets, presque douloureusement.

Je me dégoûte mais j’avoue que me sentir comme ça, objet de désir avec servilité, me rend tout chose, pourtant je viens de me faire prendre mais je me dis que la suite sera encore pire…

Une fois lié, toujours en dessous de fille, ils me poussent sans ménagement sur le lit, allongé sur le ventre, petite créature sans défense livrée à ces mâles pervers…

— Attends on va te ramollir un peu.

Aie, je reçois un premier coup de ceinture, ça cingle et me coupe le souffle mais malgré moi cette descente aux enfers m’excite au plus haut point.

Les coups pleuvent, assez espacés pour que je puisse reprendre mon souffle et soudain plus rien.

Je sens alors du liquide froid entre mes fesses et comme une poussée sur mon petit trou déjà bien agrandi et ramolli, des doigts me pénètrent, sans trop de douleur.

— T’inquiète petite pute, ça va te détendre la chatte et te l’anesthésier un peu, on n’est pas des sauvages.

— Tiens respire fort.

Un petit flacon m’est mis sous les narines, je respire un bon coup, je me sens de suite très détendu et très excité.

— Viens, il est prêt…

Je vois un de mes bourreaux s’allonger sur le dos à mes côtés, on ne voit que son sexe raide et tendu à fond ; puis je suis soulevé et on m’installe au-dessus de lui, cul offert.

Le Popper a fait son effet, je comprends ce qu’ils veulent et malgré mes mains attachées, je pousse mes fesses jusqu’au contact du sexe raide et chaud, il me prend par les hanches et me pénètre d’un coup, sans s’occuper de mes gémissements et commence des va-et-vient qui me font vite gémir, petite chose impuissante empalée et y trouvant du plaisir.

Il me ramone et ma tête repose sur son torse puissant et velu.

— Suce mes tétons salope.

Je m’exécute et j’y gagne des coups de reins encore plus puissants à chaque fois que ma langue s’enroule autour des aréoles de mon enculeur.

Mais je sens vite des doigts qui viennent se joindre au sexe qui me pilonne…

— Viens Marcel, il est ouvert.

Ho non, pas ça, je comprends que Marcel va se joindre à l’autre et me pénétrer aussi, je m’imagine avec effroi ces deux bâtons de chair, ils vont me déchirer…

— Non, non, pas ça, pitié

Mais ma passivité les rassure, ils voient que je vais me laisser faire et trouver le plaisir de contenter des mâles en rut même si je dois souffrir.

Mon petit cul empalé est offert et je sens la poussée d’un autre sexe qui, petit à petit, entre et se colle à celui qui m’enculait déjà.

Je suis étonné que ce ne soit pas plus douloureux et j’imagine les deux sexes qui me pilonnent et me dilatent à fond, je crie mais la grosse queue du troisième vient vite forcer mes lèvres et étouffer mes cris.

Je ne suis plus qu’un objet ballotté entre trois mâles dominants, dilaté, la bouche baisée.

Ils m’insultent sans arrêt me traitant de pute, de salope, me menaçant des pires sévices.

Je n’en peux plus, ils font des va-et-vient avec de puissants coups de reins qui permettent à celui que je suce de s’enfoncer jusqu’au fond de ma gorge, je ne ressens plus aucune douleur, juste un plaisir malsain d’être un objet sexuel avili et humilié.

J’ai l’impression que ce déchaînement ne va jamais s’arrêter quand mes deux enculeurs poussent ensemble un grand cri et je sens mon rectum se remplir d’un liquide brûlant, j’ai à peine le temps de le sentir que la queue que je suce crache tout son jus au fond de ma gorge.

Ils se retirent tous en même temps et me repoussent, les mains liées je suis sur le côté quand, sans même qu’on me touche, je jouis comme jamais et déverse mon sperme entre mes cuisses, il se mélange au liquide abondant que coule de mon petit cul dévasté et je perds la notion des choses.

Je reviens à moi, anéanti par autant de jouissance, ils m’ont libéré les mains mais je suis sans force, c’en est trop pour une même soirée, et moi qui n’avais encore pas goûté à une queue d’homme il y a quelques jours !!!

Ils me regardent, goguenards.

— Allez salope va te nettoyer et rentre chez ton mec, tu nous as bien vidé les couilles, on se reverra.

Quelques coups m’aident à me lever et je suis bientôt douché et nu sous le peignoir quand ils me mettent à la porte.

Je traverse le couloir, assez titubant et frappe à la porte de notre chambre, il m’ouvre et me regarde :

— Hum, tu as dû déguster toi, tu as bien travaillé.

— Allez, au lit.

Il m’enlève mon peignoir et vanné, je me glisse sous les draps et m’endors d’un sommeil de plomb…..

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