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Les malheurs de Gustave – Chapitre 5




Le retour du Jedi

Deux jours après la visite de Gustave à Florida, on se retrouve à la maison, dans la chambre de Nelly où pour une fois, Nelly se plie

aux demandes pressantes d’Auguste en l’acceptant dans son lit.

Au matin, Gustave arrive à la maison et monte dans la chambre de sa mère pour lui souhaiter le bonjour. Il ouvre la porte et vois ses

parents dans le lit conjugal, ce dont il était un peu déshabitué de voir.

Coucou les amoureux. Dit-il d’un air narquois.

Bonjour fiston répondent-t-ils.

Cela sent un peu le stupre et la fornication, vous devriez un peu ouvrir les fenêtres ! Je reviens de chez Florida avec quelques

nouvelles. La livraison était en ordre et elle nous demande la même quantité pour le mois prochain, mais le plus important,

vous savez que pour avoir ces commandes, j’ai du payer de ma personne et où elle pensait qu’il n’y avait aucun risque, donc on

a agit en artistes sans filet, le sort a voulu que ce ne fut pas sans conséquence, elle est enceinte de mes oeuvres.

Mais tu ne vas pas l’épouser, dit la mère, réellement fâchée, elle est plus vieille que moi.

Non, pas de soucis, elle m’a juste demandé de reconnaître l’enfant au cas où il lui arriverait malheur. Vraiment, j’aime bien

Florida, enfin pas trop souvent, car elle me laisse épuisé avec ses nombreuses câlineries.

Bon dans ce cas, c’est une très bonne nouvelle, si ce n’est que cela ne me rajeunit pas.

C’est pas tout, Auguste, peux-tu aller dans ta chambre, j’ai encore certains détails à voir avec Gustave après la douche.

Auguste, part vers sa chambre, avec la queue entre les jambes comme un renard qu’une poule aurait pris. Triste, mais malgré tout

assez content d’avoir pu tremper son biscuit dans le beurrier de sa femme. Cela faisait longtemps qu’il n’avait pas eu cette occasion et franchement depuis un moment, il a remarqué que sa secrétaire faisait pâle-mine en matière de prestations.

Gustave, prépare-toi pour la discussion, je reviens tout de suite après la douche.

Mais mère, je suis un peu sur les rotules, Florida m’a encore un peu vidé les batteries.

Mon fils, j’ai besoin de ton alésoir, j’ai l’impression que je suis trop serrée. Ton père a bien pu en profiter.

Les deux se retrouvent nus comme au premier jour et Nelly a l’objet de ses derniers rêves et désirs dans ses mains, la bouche à

proximité.

Comment ai-je fait pour me passer de cette 8ème merveille du monde, minaude-t-elle en avalant cet obélisque qui la narguait

devant sa bouche. Hum, il a encore un peu le goût Meuqueux. (Meuqueux, surnom des habitants de la Chaux de Fond)

Et moi, comment ai-je pu étanché ma soif sans plonger ma langue dans ton puits d’amour ? lui répond-il

À ce moment là, la porte de la chambre s’ouvre, Auguste, livide, voit un tableau auquel il s’attendait un peu, mais pas vraiment, sa

femme et son fils en plein 69, les deux léchant à langues rabattues, mais surtout ce qui le froisse le plus, c’est quand il voit comme

son fils est pourvu, il se dit qu’il n’a aucune chance avec son rigatoni contre cet obélisque de luxure. (pas de Luxor)

Vous faites quoi là, lance-t-il furieux

On baise si tu ne le vois pas, réplique Nelly en se débouchant du canon de Navarone . Cela te gêne ?

Mais c’est de l’inceste !

Peut-être, mais c’est incommensurablement meilleur qu’avec toi, regarde un peu ce morceau de roi, tu n’as pas des

complexes ?

Mais je vais vous dénoncer.

Ne soit pas ridicule mon époux chéri, tes cornes seront officielles et en plus quels preuves as-tu de nos turpitudes, alors que

j’en ai des tiennes. Viens plutôt ici, on va faire les choses à double, j’en ai toujours rêvé. Mon mari et mon fils me remplissant

les trous faits pour eux, mais avant, viens à coté de moi pour voir cette merveille.

Auguste 20culs, se déshabille et va s’allonger à coté de Nelly, admirant la façon qu’elle a de lécher son fils.

Tiens goûte un peu cette banane, lui dit-elle en sortant la matraque filiale de sa bouche et en la tendant à son mari.

Celui-ci complètement obnubilé par la perversité de son épouse prend la queue de son fils dans sa bouche et commence à lui

tailler une pipe mémorable et s’introduisant à son tour dans l’inceste.

Finalement, c’est pas mauvais.

Attends un peu, lui dit-elle, je vais un peu corser la saucisse et en se relevant et le poussant de coté, elle s’empale sur son fils

et l’enduit de son jus intime.

Maintenant, goûte lui intime Nelly, tu verras que c’est encore meilleure.

Effectivement c’est délicieux, mais je ne sais si je vais continuer jusqu’au bout à le sucer, je commence à avoir des crampes

dans la mâchoire.

Écoute. Gustave se mets sur le dos, je m’empale dessus et toi, il te reste, ce que je t’ai toujours refusé, je te donne mon cul,

mais il te faut bien le préparer, viens me le lécher pendant que je me chauffe sur sa queue.

Dis Maman, tu ne tiens pas compte que je sorts d’une séance de baise avec Florida d’il y a que quelques heures.

Tu tiendras d’autant plus longtemps, tu es déjà bien dur, cela devrait aller. En piste les artistes dit Nelly, déjà toute émoustillée

par la perspective de cette baise assez hors du commun.

Auguste :

Je ne sais pas si je vais pouvoir te lécher le cul, c’est pas évident, d’une part, peut-être le goût et ensuite si tu montes et

descend tout le temps, cela ne va pas être facile.

Pour le goût, c’est qu’en essayant que tu le sauras et j’essayerai de ne pas trop bouger et tu pourras prendre un peu de jus d’en

dessous pour agrémenter.

Le trio se met en place et c’est vraiment pas facile pour Auguste, de pouvoir atteindre l’anus de sa femme, étant entre les jambes de

son fils. Finalement, il la pousse en avant jusqu’à avoir un accès confortable. Mais, ce qu’il n’avait pas prévu, c’est qu’en la poussant

en avant, la queue de son fils pousserait fortement contre la paroi anale et exciterait au plus haut point Nelly qui n’arrive pas à se tenir

tranquille.

Je n’aurai jamais pensé que penchée si fortement en avant, j’aurai une sensation si forte, je n’arrive pas à me contrôler. Je suis

obligée de me ressortir pour que tu puisses m’apprêter bien la turbine. Gustave, viens me licher depuis en bas en même temps,

vous vous retrouverez en face l’un de l’autre avec ton père.

C’est tordu ton affaire Nelly dit Gustave, je n’étais pas si mal, mais bon, en attendant, si on est en 69 pour quoi pas.

Nelly léchée de part et d’autre sent gentiment monter sa température et d’un coup, devant la particularité de la situation subit un

orgasme dévastateur.

Oups, continuez mes amours, c’est trop délicieux. Encore.

Auguste qui commençait à avoir des crampes à la langue,

Je crois que maintenant, c’est bien mouillé. Je mets encore 2 doigts pour assouplir et cela devrait aller.

Pas besoin des deux doigts, Gustave m’a déjà alésé à un diamètre bien supérieur.

Bon alors on y va pour cette chevauchée dit Auguste qui a bien envie de tremper pour une fois son biscuit dans le fion de sa

femme.

Ainsi installés les trois s’en donnent à coeur joie, Gustave sent toujours un très grand plaisir à venir caresser les ovaires de sa mère

avec sa queue. Le père, qui est dessous, passe son temps à branler le clito de Nelly qui ne sent plus de plaisirs tellement il est grand.

Avoir le père et le fils qui la bourrent simultanément, il ne lui reste plus qu’à inviter le saint esprit pour réaliser la trinité complète.

Le père, à force de sentir son fils qui lui masse la queue, à travers la paroi séparant le vagin au colon, explose et inonde les intestins à

Nelly et prévient de ce fait tout risque prochain de constipation. Lentement, il décule en laissant les deux amants continuer leurs

accouplements. Il regarde le fion de sa femme qui se referme lentement, d’une part par la poussée permanente de son fils et par les

muscles fessiers. Un filet de crème commence à sourdre à l’orifice.

Auguste, tu peux me lécher encore le trou du cul, cela te donnera une idée de ce que tu imposes à ta secrétaire et à toutes tes

conquêtes que tu obliges de se régaler de ton sperme.

Oui ma biche tout de suite. Brrrr c’est pas terrible, comme entremet, j’ai déjà goûter du meilleur, le mélange des restes de tes

boyaux et de mon sperme n’est pas fabuleux.

Insiste, je suis en train de partir. Répond Nelly

Moi aussi, annonce Gustave, qui commence à avoir la respiration haletante. Si tu veux, tu peux en goûter du meilleure si

Nelly le permet.

Oui, je n’avais pas pensé que le mélange soit infect, je sais que son sperme n’a pas bon goût, mais mélangé à des débris

d’étron, cela ne doit vraiment pas être appétissant.

Gustave sort sa bite de l’antre de sa mère et la met dans la bouche de son père et se branle dedans le plus fort possible :

Tiens déguste la bonne crème de couille de ton fils.

Auguste devant l’ouverture des vannes a de la peine à avaler au fur et à mesure ce raz de marée.

Elle a bon goût ta semoule de rupettes. Annonce-t-il.

Et moi râle Nelly, je ne suis pas arrivée à conclusion.

Si papa continue à bien me licher, t’inquiète, je vais remettre le couvert, donne moi en attendant ta petite figue à déguster, je

n’y ai pas encore goûté ce soir.

Nelly se décale et vient présenter sa chatte bien baveuse, du fait du traitement qu’elle a déjà subi devant la bouche de son fils.

Maman, ta chatte est toujours délicieuse, c’est un vrai aphrodisiaque.

Je confirme dit Auguste qui a la bouche plus que pleine, vu que le démonte pneu a repris une dimension plus en relation avec

sa réputation.

Voila Maman, viens sur moi et tourne moi le dos, j’aimerai encore pendant que tu montes et descends, te lutiner un peu le trou

de Bâle.

Discrètement, il lui loge un doigt dans le fondement et commence à lui masser où chez l’homme se situe la prostate. Cela a l’air

d’avoir de l’effet, il a peut-être mis le doigt sur le célèbre point G qui fait fantasmer beaucoup d’hommes et de femmes à la recherche

de l’orgasme absolu.

Cela vient, c’est bon, ne change pas de main.

Auguste, pendant ce temps là, la bouche empédzée (*expression Suisse signifiant pleine de colle) par la sauce de son fiston

commence à faire un patin avec Nelly pour lui laisser le plaisir de partager ce dessert.

Par une dernière secousse violente, Nelly décolle et monte au huitième ciel, envoie un jet violent de cyprine dans le lit, ce qui crée

une énorme tâche dans le drap.

Zut, il faut que je change le drap si je veux y dormir et en route la lessive demain. Tu m’aides Gustave, je crois que ton père

est un peu trop fatigué.

Oui Maman, excuse moi, mais tu aurais du te retourner, j’aurai eu le ventre inondé, mais pas les draps. Papa aurait alors pu

déguster le fruit de ton amour.

C’est vrai, mais ce qui est fait est fait. Au boulot dit-elle en se désengageant du pieu qui la maintenait encore clouée au pubis

de son fils.

Le lendemain matin, les trois se retrouvent au petit déjeuner, la figure un peu froissée par les excès de la nuit et ne sachant pas trop

comment réagir. Finalement Auguste se décide :

Je tiens à vous remercier les deux, je n’ai jamais eu une baise aussi torride, c’est à recommencer. Je suis partant.

Il faut un peu attendre que l’envie et l’occasion se renouvelle dit Nelly, Gustave n’est pas là tout les jours, avec ses études et

ses « obligations », il ne faut pas se faire des illusions, il ne sera pas souvent disponible.

C’est vrai, j’ai ce sacré bac à peaufiner, j’aimerai bien le passer en tête. Il ne faut pas que je me disperse trop. Déjà avec Florida

qui est un aspirateur à foutre hors catégorie sans parler des autres. Maintenant, je vais mettre la pédale douce à ce niveau.

Tu as raison mon fils, ce qui importe le plus, c’est de réussir dans tes études. Un coup raté peut se rattraper facilement, mais

une année ratée ne se rattrape pas ! T’en fais pas, je suis là ! Répond son père.

Voila, jusqu’à ce que Gustave passe son bac, il est resté relativement hors du stupre et de la fornication, au grand plaisir d’Auguste qui

évidement s’est galamment offert pour combler le vide.

On le retrouvera prochainement après le bac réussi dans ses débuts universitaires à l’Uni de Lausanne.

Ce qui me fait penser à une célèbre contrepèterie :

Une fois le bac passé, les jeunes filles jettent leur Kant au feu. (Kant étant un philosophe allemand bien connu)

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