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Coup monté – Chapitre 1




Jamais je ne me serais laissée prendre par un autre. Avec Do, c?était exclusivité absolue. La seule fois de ma vie où j?avais osé être infidèle, c?était justement pour me donner à lui, et nous ne nous étions jamais quittés depuis.

    Notre couple jouissait d?une bonne entente sexuelle et nous parlions ouvertement de nos fantasmes, de nos envies, de nos désirs. Très ouverts, nous avions, sur le plan sexuel, à peu près tout essayé. Nous savions, toutefois, que tous n?avaient pas notre chance et nous parlions souvent de ce cousin à lui qui, à 22 ans, n?avait encore jamais connu le grand frisson. Après peu de temps, le sujet se mit à revenir régulièrement sur le tapis. C?est qu?il ne l?avait peut-être pas encore deviné, mais l?idée de faire moi-même ce cadeau à son cousin m?excitait terriblement… Lorsque j?en parlais, je voyais ses yeux s?allumer… Pour l?avoir rencontré à quelques reprises, je savais également que je lui plaisais bien : coups d?oeil furtifs, regard se détournant facilement, malaise palpable lorsque je m?approchais de lui…

    Le cousin en question, qui restait dans une région éloignée, vint, quelques semaines plus tard, passer quelques jours chez nous. La veille de son arrivée, je ne pus laisser passer cette chance inespérée : je parlai à Do de ce fantasme. Il avait beau trouver que ce geste constituerait un véritable cadeau pour son cousin, il tenait tout de même à être rassuré. Le ferais-je par amour ? Son cousin me plaisait-il à ce point ? Serait-ce pareil entre nous après ? Non, je n?éprouvais aucun amour pour son cousin et il me laissait plutôt indifférente. Simplement, l?idée de le prendre par surprise, de lui faire ce cadeau, de le délivrer de sa virginité devenant si oppressante, lui faire cadeau de mon corps pour une soirée, l?initier tendrement, m?excitait terriblement. Et puis, je n?étais pas si sûre de moi… Après tout, je n?avais pas vraiment ce physique si parfait dont tous les hommes rêvaient : de petits seins, des hanches fortes, des fesses bien rebondies… Mais je me consolais en me disant qu?à cheval donné, on ne regarde pas la bride. Do finit par me donner son accord et nous convîmes d?un plan…

    Set (c?était le nom du cousin), arriva le lendemain. Nous passâmes quelques jours tous les trois ensemble. Cependant, le quatrième jour, mon copain dut aller travailler. Set ne le savait pas, mais c?était pour lui le jour J. Je lui fis croire que Do nous rejoindrait pour le souper, après le travail. Nous passâmes la journée ensemble et l?après-midi à préparer le souper. L?heure à laquelle Do eu dû entrer approchait et je saisis l?occasion pour ouvrir la bouteille de vin. Set, qui ne buvait habituellement pas, étonnamment, se mit à boire autant que moi. Nous en étions à notre 4e coupe de vin lorsque je mis en marche le plan dont Do et moi avions convenu.

    Set, passablement éméché, était assis à la table et, le vin aidant, bavardait sans cesse. Je prétextai devoir aller vérifier la cuisson de la viande pour passer derrière lui. Je vérifiai effectivement la cuisson, mais revenant derrière lui, j?en profitai pour poser ma main sur sa nuque et commencer à la caresser doucement. Bien sûr, comme je m?y attendais, Set se figea instantanément, incapable d?articuler un mot, pris par surprise.

     ? Tu aimes le vin ? ?,lui demandai-je, mine de rien.

     ? O-oui ?, balbutia-t-il, décontenancé.

     ? Alors, essaie ma coupe, tu verras… ?

    Toujours derrière lui, j?amenai ma coupe de vin à ses lèvres. Je regardais ses lèvres s?appuyer tout doucement sur le rebord du verre de cristal, voyant le trouble dans ses yeux qui fixaient le liquide rouge. Ce regard troublé m?excitait terriblement, et déjà, je sentais ma chatte se gonfler de désir. Après qu?il eût avalé sa gorgée, je poussai l?audace jusqu?à embrasser sa nuque. Son corps se raidit encore plus. Je remontai plus haut et commençai à embrasser ses oreilles, laissant ma langue s?attarder sur ses lobes, laissant ma main caresser ses épaules et sa nuque. Il laissa échapper un court gémissement de surprise. D?où j?étais, la tête au-dessus de son épaule, j?entrevoyais une bosse de grosseur fort appréciable sous sa braguette. Les yeux fermés, je le sentis commencer à s?abandonner…

    Comme il semblait moins tendu, je lui demandai doucement de se lever. Accoté à la table, il restait tout à fait mal à l?aise, ne sachant quoi faire de ses mains. Je posai ma bouche sur sa bouche et l?embrassai délicatement, tout en faisant glisser sa fermeture éclair. Il poussa un gémissement de surprise lorsque je posai ma main sur son membre qui tendait le tissu de son caleçon. Encouragée par sa respiration qui se faisait plus saccadée, je caressais fermement sa queue, pratiquant des va-et-vient langoureux et lents. Après tout, je ne voulais tout de même pas l?embarrasser davantage en provoquant hâtivement sa jouissance. L?expérience devait déjà lui faire perdre tous ses moyens. Je me mis à genoux devant lui et sortis son membre dur comme le roc pour le lécher goulûment. Je sentais ses genoux trembler contre ma poitrine et son excitation ne pouvait que faire doubler la mienne. J?enfournai sa queue dans ma bouche et jouai avec ma langue sur son gland avant de commencer à pratiquer des va-et-vient un peu plus insistants. Les soupirs que j?entendais se faisaient de plus en plus torturés, sa respiration devenait sifflante et sa queue, ayant pris une teinte cramoisie, grossissait encore dans ma bouche. Sachant que le moment était proche et excitée comme la salope que je suis, j?abandonnai son membre pour forcer sa bouche de ma langue. Pointue et déterminée, elle ne tarda pas à s?engager dans une valse rythmée avec la sienne. Je ne pouvais plus cacher mon excitation et, haletante, je pris sa main et la guidai, au fil de nos baisers, vers un de mes seins. D?un coup, il cessa de résister, pétrissant violemment mon sein, pinçant mon mamelon à travers le tissu. Il me faisait mal, mais qu?à cela ne tienne, la douleur était exquise. L?empressement de ses manières ne faisait que redoubler mon ardeur. J?enlevai mon chandail, dégrafai mon soutien-gorge (mesdames, on ne fait jamais dégrafer un soutien-gorge à un débutant) et lui offris ma poitrine, que je pressai contre la sienne en lui retirant son gilet. Il ne se gêna pas et prit mes deux seins dans ses mains, enfournant mon mamelon droit, tout raidit d?excitation, dans sa bouche. Il le mordillait farouchement, et moi, j?étais en extase, gémissant, les cuisses engluées par ma mouille. Mais il stoppa net. D?une voix haletante, dans un éclair de lucidité, il me dit, terrorisé :

     ? Arrête! Do va arriver dans un moment et je ne peux pas lui faire ça! ?

    Je le regardai un instant dans les yeux, laissant peser le silence entre nous et je lui répondis, tendrement :

     ? Tu vois Set, à partir de maintenant, c?est toi qui décides. Do est parfaitement au courant de la situation et il ne rentrera pas avant 22h. Mais si tu ne veux pas, je comprendrai. J?avais envie de te faire ce cadeau, il le sait et il est d?accord. Toutefois, je ne suis pas en amour avec toi et j?espère que tout ça est bien clair dans ta tête. Je veux simplement que tu connaisses ta première baise et qu?elle soit bonne. Maintenant, si tu veux qu?on cesse tout, nous le ferons. ?

    Il resta un moment interdit, fixant le plancher, puis il me poussa violemment contre le réfrigérateur, haletant de plus belle. Avec force, il vient plaquer sa bouche contre la mienne et glissa sa main sous ma jupe, ses doigts écartant la dentelle de ma culotte pour aller se ficher entre mes lèvres ruisselantes de mouille. Ce fut mon tour de gémir. N?en pouvant plus, je pressais avec envie mon bassin contre le sien, me frottant contre son membre plus dur que jamais, haletante. Il empoigna mes cheveux, me forçant à rester immobile, puis entreprit avec force et vigueur un va-et-vient incessant à l?intérieur de ma chatte avec ses deux doigts. Ses gémissements se faisaient de plus en plus bestiaux et je sentais son souffle impatient contre mon oreille. D?un ton qui ne se prêtait pas à la négociation, il m?ordonna de me mettre à quatre pattes, ce que je fis sans me faire prier. Rapidement, il remonta ma jupe sur ma taille et reprit sont va-et-vient dans ma chatte. Plaquant sa bouche contre celle-ci, il se mit à lécher et à mordiller mon clitoris. Totalement soumise et dans les vapes, je sentais les flots de cyprine déferler entre mes lèvres. Il les vit également et s?empressa de lécher ledit liquide. Lorsque tout fut bien nettoyé, maintenant à genoux derrière moi, il engouffra son membre gonflé à bloc dans mon trou. Je lâchai un cri de surprise, tant il était bandé. Je gémissais sans relâche, prête à exploser. Comme il sentait que mon excitation était à son comble, il se mit à masser doucement le pourtour de mon anus de son index. Puis il se mit à me pistonner sans relâche, tout en forçant ma rondelle de son doigt. N?en pouvant plus, je ne gémissais plus. Mes gémissements s?étaient transformés en cris bestiaux. Dans un ultime coup de butoir, j?ai joui comme jamais, laissant échapper un long râle. Alors que mes genoux allaient flancher, il vint à son tour, dans un cri tout aussi éloquent.

    Tous deux affalés sur le plancher de la cuisine, alors que nous reprenions nos esprits et notre souffle, il me demanda, exténué et un sourire narquois sur les lèvres :

     ? Tu pensais vraiment que j?étais encore vierge ? ?.

    En guise de réponse, je lui assenai la plus grosse gifle que j?aie jamais donnée.

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