L’entraînement, l’entraînement et encore l’entraînement. Y a pas grand-chose qui peut vous débarasser de l’âcre sentiment de la défaite. Jongles, footing, corde à sauter, tout y passe. Pour certains c’est le calme, la meditation et toutes ces conneries. Mais "certains" ne se sont pas fait fait enculer après une match de foot, perdu de surcroît. Il y a une autre bonne raison de se plonger dans l’effort : la victoire finale n’est pas perdue.
Mathématiquement, si on gagne les deux matches qu’il nous reste et que les Lycanthes perdent le leur, on a gagné le championnat. Et là, toute l’équipe aura le droit de choisir n’importe quel autre joueur et en faire son esclave sexuel d’un soir, jusqu’à ce qu’on sorte du terrain. En gros, tant qu’il n’y a pas de violences et que vous n’êtes pas sortis du terrain, vous avez moyen de bien vous éclater avec votre lopette de la soirée. Les possibilités sont énormes, vous n’imaginez même pas le nombre d’heures que j’ai passé à imaginer des possibilités pour prendre mon pied ce soir-là. Mais ca, vous le verrez quand on aura gagné.
Nolan passe souvent dans mon appart’ ; lui est encore chez ses parents, mais bon, vu qu’il finit l’université cette année il va peut-être s’en aller de la bicoque familiale pour son propre terrier. A moins qu’il ne vienne habiter chez moi, je crois que ca ferait une bonne économie de temps. Ne vous inquiétez pas, un jour je vous en dirai un peu plus sur notre histoire avant la Sodome League. Ca ne vous embête pas de patienter un peu, j’espère. D’ailleurs, je ne vous demande pas votre avis ^^
Mon Nolan chéri est un patradoxe de la nature à lui tout seul. Sa belle paire d’épaules est en totale contradiction avec son corps plutôt frêle, avec des abdos qui se font discrets. Surtout, il avait des cheveux d’une blondeur inouie, qui faisaient un petit massif sur sa tête ; et au lieu d’avoir un visage doux, ses traits sont un peu abrupts ; il y a peu d’hommes au monde qui pourraient me rendre à ce point fou. Avouez que c’est quand même irresistible, son viage crie "je suis triste mais je suis beau, j’ai besoin d’amour ! "
Même après notre défaite, le sexe entre nous n’a pas changé ; au contraire, j’avais trés vire envie de lui après m’être fait enculer. Ca a été très dur, sec ; il fallait aller s’enfoncer au plus profond de l’autre, pour que notre sexe nous lave, efface l’essence de ceux qui ont osé nous pénétrer. Vous rajouterez cela dans la liste des avantages de la Sodome League : quand on se fait niquer par un autre, baiser avec l’être aimé n’en est que plus beau.
Il nous a fallu un soir seulement : après cette soirée maudite ou je me suis fait enculer par Javier, je donnais le lendemain soir rendez-vous à mon aimé dans un bar dansant. On s’est retrouvé, on a dansé, on s’est embrassés, et on est sortis du bar ; j’avais à nouveau le feu, j’avais tellement envie de me coller à lui, de le faire mien. Il n’en pense pas moins, même s’il est un peu moins expressif. Il parle tellement peu que je me demande parfois ce n’est pas une émanation de mon imagination dérangée par le sexe, le foot et l’alcool. Sauf quand on est au lit ; sa voix est mignonne, j’adore me mettre allongé sur lui, quand il me demande d’aller plus profond, quand il gémit alors que je remplis son petit cul ; irrésistible, je vous dit.
Mais Nolan et moi ne sommes pas les seuls de l’équipe : 3 jours après la défaite, moi, Nolan, Kim, Haymen et Alex sommes dans le vestaire avant notre match ; les Lycanthes jouent sur le stade d’a côté, à 20 mètres. Les spectateurs sont contents, à partir d’aujourd’hui ils peuvent mater deux matches en même temps. Deux enculades, deux fois plus de branlettes. Surtout si Ajani, le beau gosse aux dreadlockes, encule. Ou surtout si Nolan se fait enculer. C’est devenu la coqueluche du public. Piètre consolation. Surtout si au final les Lycanthes gagnent leur dernier match, qui les rendrait vainqueurs du tournoi
Nos adversaire semblent motivés pour devenir nos fiottes pour la soirée. Aucune combativité, aucune efficacité devant le but ; à croire que se faire défoncer comme des sec-toys pour hommes est une persective qui en exite plus d’un. J’ai aucune envie de me faire réenculer, mais j’attendais un peu plus de cobativité quand j’ai rejoint la Sodomme Football League.
Et à côté, surprise : les Lycanthes perdent 3-1 à deux minutes du terme. Dès qu’on a fini notre match, on va s’installer dans les tribunes, un peu à l’écart, pour assister au miracle. Les autres spectateurs étaient un peu déconcertés, cela va de soi ; après avoir promis à Nolan et à moi et à d’autres tant d’explots sexuels, ils nous voyaient là, à côté d’eux. Et ils ne pipaient mot, au moins pour l’instant…
Les Lycanthes jouaient les Vikings, qui étaient les derniers de notre ligue à 5 équipes, sans aucune victoire de surcroît ; typiquement le genre de matches qui devait être une promenade de santé pour nos rivaux, avec quelques enculades gratuites à la clé. Or les Lycanthes étaient méconnaissables. Chaque touche de balle leur semble un supplice. On dirait qu’ils essayent de jouer au foot et au Twister (comment ca vous connaissez pas le twister?) en même temps, terrassé une sorte de crampe d’estomac. Comment ont-ils réussi à mettre un but comme ca? Mystère. Ce qui est sûr, ce qu’ils encaissent un dernier but à la toute fin, l’attaquant des Vikings ayant pu tranquillement centrer en retrait vers son milieu qui pu marquer d’une belle frappe. Les lycanthes n’en pouvaient plus.
Une fois n’est pas coutume, Ajani est cette fois dans la situation de l’enculé. Son cul musclé à l’air assez bandant, ses dreads nagent sur la pelouse synthétique. Javier n’a quant à lui pas été choisi pour se faire défoncer ; dommage, j’aurais aimé que ce charognard prenne cher sous mes yeux. Mais bon, je suppose que le plaisir n’en sera plus grand quand ce sera à moi de l’enculer…
Mon équipe repart au vestiaire, y compris Nolan qui ne part sans me rouler un patin sous les exclamations du public. Sans mon adoré, je peux enfin me lâcher et je descend des gradins pour coller sur les grillages, à trois mètres d’Ajani qui se faisait enculer par un roux barbu assez costaud qui mettait tout son coeur dans les fesses galbées du métis.
Bien sûr je ne peux pas l’enculer moi-même, mais heureusement le règlement ne m’empêche pas de me branler copieusement quand notre rival se fait défoncer le fion ! Et tout le monde fait pareil autour de moi, on est une bonne quinzaine de furieux qui se paluchent devant ce beau spectacle, en écoutant les râles de l’enculeur et de l’enculé, devant cette bite couverte de poils roux s’introduisant en force dans ces fesses brunes. Je ne sais pas comment s’appelle le chanceux qui avait la joie de se taper Ajani, mais ce qui est sûr c’est qu’il y allait fort, tout son corps était en action pour mettre sa queue au plus profond de sa victime comme si c’était la dernière fois qu’il baisait, c’est mignon. En tout cas je lui dois une fière chandelle, c’est lui qui a marqué ce but qui nous permet de croire au titre. Je devrai lui sucer sa belle bite rousse un de ces quatre, en guise de remerciement.
La suite de cette chaude soirée très vite…
