Il me caresse l’anus et y met un doigt très facilement. Mon mari ne m’avait jamais fait ça, c’est bizarre mais ça accentue le plaisir ressenti. Je suis proche de l’orgasme. De la chaleur jaillit en moi, je le sens venir. Mais mon amant du soir s’arrête net et sort. Mais pourquoi ? Le plaisir m’est-il interdit ? J’allais protester mais je sens son sexe frotter ma vulve. Serait-ce juste le repos du guerrier ? Mon mari, à l’époque où j’existais sexuellement pour lui, sortait parfois pendant l’acte afin de laisser redescendre la pression. Cela lui éviter une éjaculation trop rapide. Il se repositionne et appui pour entrer, mais il est trop haut il me semble. Et ce n’est donc pas mes lèvres qui s’ouvrent pour accueillir la verge, mais mon petit illet. A ma surprise cela ne me fait pas mal, mais cela ne me fait pas du bien non plus. Et il avance, doucement mais sûrement. Je le sens en moi. Il ressort entièrement et re-rentre, un va-et-vient commence. Il accélère de plus en plus. Je sens ses couilles frapper mes lèvres à chaque fois qu’il est au fond de moi.
Bizarrement un plaisir né de cette pénétration. C’est difficile à décrire, mais cela me fait du bien. J’imagine pendant deux secondes la réaction de mon salop de mari s’il me surprenait ainsi. La douce et prude jeune fille qu’il connaît ne ferait jamais cela. Je me tiens aux w.c. pour ne pas basculer. C’est qu’il n’y va pas de main morte le bougre. Plusieurs fois il sort entièrement pour replonger aussitôt au fond de mes entrailles. J’entends l’homme commencer à gémir, et un liquide chaud se fait sentir dans mon colon. C’est une sensation géniale. Je le sens sortir centimètre par centimètre. Une fois dehors, il essuie son sexe et s’en va. Par curiosité je touche mon anus et je sens un gros trou, je peux y mettre trois doigts regroupés. Cela me fait rire sans trop savoir pourquoi. Je les rentre un peu pour voir si la sensation sera pareil qu’un sexe, mais cela ne me fait rien.
Je suis toujours à quatre pattes, tête presque dans les w.c. Ma tête tourne un peu moins. Je crois qu’il est temps que je rentre chez moi. J’entends des voix qui arrivent. J’essaye de trouver la force de me relever mais c’est dur. Pourquoi les w.c. ne veulent-ils pas rester à leur place le temps que je me relève ? La porte s’ouvre et j’entends rire. Un homme me relève le buste et s’assit sur le trône. Il tient ma tête et me sollicite pour me remettre à quatre pattes. Je me laisse faire et j’attends la suite. Et c’est avec surprise qu’un sexe de bonne taille entre à nouveau dans ma bouche. Je trouve assez de force pour faire moi-même la fellation. Sans prévenir, un autre sexe entre dans mon anus et me lime à nouveau. Deux sexes pour moi, c’est peut-être mon jour de chance après tout. J’ai l’impression d’être une pute de bas étage, mais une pute baisée. Je voulais tellement une bite en moi que je n’allais pas dire non. Mon sucé finit par se lâcher et ne me laisse pas d’autres choix que d’avaler. C’est visqueux et salé. Il se lève et s’en va.
Ma sodomie prend fin elle aussi, mais je m’aperçois que mon enculeur est parti avec mes vêtements. Je ne l’ai même pas senti retirer mes pantoufles, et faire glisser mon pantalon et la culotte. Je me lève et vais près du point d’eau. Accoudée au lavabo, je me regarde dans le miroir. Je me vois nue, décoiffée, le mascara a coulé sur mes joues. Je ne suis pas très joli à voir à vrai dire. Un homme entre. Je le vois se placer derrière moi. Ses mains écartent mes fesses et son sexe entre dans mon anus. Cet endroit n’aura jamais autant servi. Je me vois me faire sodomiser dans le miroir, les seins ballottant au rythme de ses allées et venues, le visage sans expression. Je ne ressemble plus à rien, mais que c’est bon de se faire prendre. Il sort de mon anus et entre dans mon vagin. Deux ou trois coups et le voilà qui se fige et déverse en moi son liquide. Je me moque de savoir qu’il n’a pas mis de capote. Sentir la chaleur du sperme une nouvelle fois en moi me donne envie de sourire.
Je suis bien, sale mais bien. Je ne pense même plus à mon époux. Je lui demande de bien vouloir me ramener mes vêtements. Il rigole et m’invite à venir les chercher moi-même. Je ne suis plus à ça prêt. Je passe la tête dans la salle du bar et vois mes vêtements près du billard. Je compte en tout trois personnes. Je pense qu’il s’agit des trois hommes qui se sont occupés de moi dans les toilettes. En essayant de garder une certaine dignité, dignité que j’avais totalement perdue en me faisant enculer dans des toilettes miteuses, je marche en zigzag vers le billard. Je me rhabille et rentre chez moi à pied. Il est maintenant 5h du matin. Comme le temps passe vite. Je prends une longue douche et me nettoie à fond. Lorsque j’arrive dans la chambre le réveil sonne pour que mon mari aille travailler. Il me voit et me dit simplement avec un sourire que pour une fois, j’ai réussi à me réveiller avant lui Sil savait tout ce que j’ai vécu durant son sommeil. Je l’embrasse et me couche un petit peu pour me remettre de ma nuit.