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Ces 2 jours qui ont changé ma vie – Chapitre 1




Je me présente, Caroline, 35 ans et mariée à Alain, nous habitons une coquette maison près de Besançon.

C’est Alain qui a bâti cette maison et apporté tout le confort nécessaire à notre vie de famille.

Nous avons d’ailleurs une petite fille de cinq ans.

J’adore cet endroit où j’ai quelques très bonnes copines avec lesquelles je suis très complice et c’est d’ailleurs avec ces dernières que je sors de temps en temps.

Alain quant à lui est quelqu’un de très casanier et son grand plaisir est de recevoir des amis, des potes pour regarder un match devant une bonne pizza.

Moi, j’écris des contes pour enfants depuis le charmant petit bureau qu’Alain m’a aménagé au fond du jardin.

Alain est architecte pour une société en plein essor et malgré le travail que cela implique, il est avant tout un mari prévenant et un père aimant pour notre petite fille.

Nous habitons un quartier calme et toutes mes amies sont proches de chez nous.

Voilà, maintenant que le décor est planté, j’en viens à l’histoire qui m’est arrivée et qui a bouleversé ma vie…

Depuis quelque temps, je sors avec mes copines, mais bien souvent, je suis raccompagné par un ami.

Un ami ou plutôt, mon amant. Mes copines me couvrent, même si l’une d’entre elles me dit ne pas comprendre.

L’autre soir, je suis rentrée vers une heure du matin, et Alain, pour une fois n’était pas couché.

Je l’ai embrassé furtivement et me suis précipitée dans la salle de bain.

Là, j’ai relevé ma jupe, pour vite enlever mon collant et surtout ma petite culotte afin de les mettre dans la machine à laver, car je ne tenais pas à ce qu’Alain découvre le résultat de mes frasques, particulièrement celle de ce soir…

En effet, Nicolas, mon amant depuis quelques semaines, n’avait rien trouvé de mieux que d’inonder ma petite culotte et mon collant de sa semence, parce que ce soir et pour l’agacer, je n’avais pas voulu avaler.

Alors que je relevais ma jupe, je sentis les mains dAlain sur les miennes.

— Besoin d’un coup de main ?

Je ne l’avais pas entendu arriver et redoutais qu’il arrive jusqu’à mon entrecuisse.

Je balbutiai tout en retenant ses mains dans leur ascension…

— Non merci.

Lâchant son étreinte, il me dit d’une voix calme et posée

— Tu me rejoins ?

— Bien sûr, laisse-moi quelques minutes.

Cette fois, et alors que je me croyais seule, je relevais ma jupe.

Et alors que je saisissais le haut de ma culotte, une voix forte déchira le silence.

— Stop !

Je n’osais pas me retourner, je ne tenais alors pas à croiser son regard.

— Ecarte les cuisses !

J’obtempérais et mes jambes se mirent à trembler. D’un regard furtif dans le miroir sur ma droite, je me rendis compte du spectacle que j’offrais à Alain.

Ma petite culotte bleu ciel arborait une tache foncée qui partait de mon entrecuisse jusqu’à mi-fesses.

— Tu m’expliques ?

Je ne savais quoi répondre, je venais de me faire attraper et il allait bien falloir que je rende des comptes…

— Je ne sais pas…

Alain, pourtant de nature calme et posé, jamais un mot plus haut que l’autre, m’attrapa par les cheveux.

— Ne te fous pas de ma gueule en plus.

J’ai alors cru me sentir mal et balbutiai…

— Je vais t’expliquer.

Je sentis alors sa main s’écraser violemment sur ma fesse droite.

— J’espère bien et vite.

Après avoir repris ma respiration que cette claque m’avait coupée, je décidais de me lancer.

Alors que j’allais parler, Alain lâcha mes cheveux.

— Reste comme ça, je reviens.

J’étais là, la jupe relevée et sentant une goutte de semence encore fraîche couler le long de ma cuisse.

Alain revint très vite, une paire de ciseaux à la main. Il baissa mon collant jusqu’à mi-cuisse.

Il coupa alors les deux côtés de ma culotte et pris le temps d’aller remettre le ciseau dans son tiroir.

Lorsqu’il revint, je n’avais pas bougé, pétrifiée à l’idée de ne pas savoir ce qu’il projetait de faire, car à cet instant, je ne reconnaissais plus l’homme que j’avais épousé sept ans plus tôt.

Je sentis sa main entre mes cuisses, comme palpant le fruit de mon adultère.

Il arracha alors ce qui restait de ma culotte.

Il s’appuya contre le mur et me lança calmement

— Reconnais que je peux être furax avec ce que je découvre là.

J’allais répondre, je ne sais pas quoi d’ailleurs, quand il m’interrompit.

— Alors tu es une salope !

— Remets ton collant.

Je ne me permis pas de le contrarier plus et me dépêchai de me rhabiller.

— En regardant dans le miroir, je vis Alain défaire son ceinturon.

Il s’approcha de moi et prenant soin de mettre en avant la semence de ma culotte, il m’ordonna d’ouvrir la bouche et m’y enfonça cette dernière.

— Bouffe-moi ça ! Sale garce ! Sale putain ! Salope !

Il m’attrapa par les cheveux, me tira jusqu’à la cuisine, et là m’assena de violents coups de ceinturon.

La fessée magistrale que je reçus était d’une violence inouïe. Je pleurais, hurlais, suppliait mais en vain.

Alain était à la fois triste, furieux et se déchaînait sur moi en pleurant.

Ce dernier déchira mon collant, ouvrit alors le réfrigérateur et saisit un concombre dans le bac à légumes et sans que j’aie eu le temps de réaliser ou même protester, il me l’introduit dans le vagin avec virulence, me faisant jouir comme jamais. Je hurlais de douleur autant que de plaisir dans un orgasme sans fin.

Après quelques allées et venues dans un trou très dilaté, il me lâcha brusquement et sortit de la maison.

Je suis resté là dix bonnes minutes, souillée, médusée et n’ai même pas eu le réflexe de sortir le concombre que je ne sentais déjà plus…

Le lendemain au petit-déjeuner, Alain ne m’adressa pas un mot.

J’aurais voulu lui dire quelque chose mais son regard méprisant me glaçait.

Pourquoi l’avoir trompé? Ça n’était pas une question de manque, car de ce côté, Alain était à la fois doux, appliqué, puissant et très endurant.

Dans la matinée, je décidais d’appeler Nicolas pour lui signifier que j’arrêtais là.

Ce dernier marié de son côté, en apprenant la raclée que j’avais reçue, comprit très bien ma décision.

Il me restait alors à reprendre le dessus et affronter Alain, au risque de prendre une autre raclée.

Vers 11h 30 et alors qu’Alain est assis sous la terrasse couverte à lire ses mails, je m’approche de lui.

— Ca va ?

— Ca va.

— Tu veux boire quelque chose ?

— Non, ça ira.

— On peut parler ?

— Je me demande bien ce nous pourrions encore nous dire…

— Je suis vraiment désolée.

— Tu peux.

— Je voudrais savoir ce que nous allons faire.

— À ton avis ?

— Je sais pas.

— Je boucle un dossier et ensuite, je fais mes valises.

— S’il te plaît…

— S’il te plaît quoi ?

— On peut…

— On peut quoi ? Vivre sous le même toit, voler chacun de son côté! C’est ça un couple pour toi ?

— Hier soir, je ne t’ai pas reconnu, tu as été d’une violence inouïe.

— Ça n’était pas justifié?

— Peut-être…

— Comment ça, peut-être ?

J’ai peut-être été violent, mais pas autant que la violence que j’ai ressentie lorsque je me suis rendu compte de ton infidélité.

— Je sais

— Non, tu ne sais pas.

— Redonne-moi une chance… s’il te plaît

Alain se leva brusquement, entra dans la maison et se dirigea vers notre chambre.

En entrant, je le retrouvais en train de faire ses valises.

Mon sang ne fit qu’un tour, je saisis la poignée et jetai cette dernière à l’autre bout de la pièce.

Alain me fixa quelques secondes et ressortit dans le jardin.

De la fenêtre je le voyais tourner en rond, tenant sa tête entre ses mains.

Lorsqu’il se décida à rentrer, il était d’un calme presque inquiétant et me demanda de m’assoir.

Il me dit alors calmement:

— Je ne peux pas.

— Tu ne peux pas quoi ?

— Vivre avec toi en continuant de faire comme si de rien n’était.

— Tu veux quoi ? Me mettre une autre raclée, vas-y, défoule-toi ! Je le mérite.

— Décidément, tu ne comprends rien.

— Tu veux me tromper à ton tour, te venger ?

Alain sorti à nouveau dans le jardin et alors que je lui emboîtais le pas, il me demanda de le laisser.

Quelques minutes plus tard, j’entendis le moteur de sa voiture.

Allait-il revenir, oui, puisque parti sans ses affaires, mais quand ?

Alain ne rentra pas de l’après-midi, de la soirée, pas de la nuit.

Ca n’est qu’au petit jour qu’il réapparût, souriant avec des croissants.

Je ne lui posai aucune question, j’attendais sans un mot qu’il daigne me parler.

Comme rien ne semblait vouloir venir, je filai sous la douche.

Ce n’est qu’en sortant et en regagnant notre chambre que je m’aperçus que quelque chose avait bougé.

Sur le lit, une paire de bas, des porte-jarretelles étaient posés sur une petite jupe plissée à côté d’un chemisier quasi transparent.

J’eus alors un petit sourire en découvrant juste à côté, un petit coffret.

Mais ma joie fut de courte durée lorsque Alain entra enfin dans la chambre.

En effet, me saisissant par les cheveux, il me poussa vers le lit, me força à me mettre à genoux.

Il ouvrit sa braguette et me força à le sucer, enfonçant son sexe toujours plus profond.

Après quelques minutes et alors qu’il laissa s’échapper un râle de soulagement, je me retrouvai la bouche pleine de sa semence.

— Avale ! m’ordonna-t-il.

Lorsque j’eus tout ingurgité, il me releva et me dit que ça n’était qu’un début…

En effet, Alain me dit de laisser tout ça en place jusqu’à ce soir car il avait invité une collègue de bureau et que j’allais comprendre la frustration de savoir ce que la tromperie et comme ça pouvait être douloureux.

Je lui demandais de qui il s’agissait et lorsqu’il lâcha enfin le prénom, j’eus l’impression que le sol se dérobait sous mes pieds. Brigitte !

Brigitte, la trentaine, brune aux yeux verts, d’une discrétion absolue.

C’est donc elle qu’il baisera ce soir, sous mon toit, sous mes yeux…

Alain dans son choix avait su me faire mal au plus profond de moi.

Il aurait choisi nimporte quelle autre de ses collègues, je n’aurais pas eu si mal, simplement le sentiment qu’il se payait une pute de luxe à domicile, mais Brigitte…

La journée se passa très bien, Alain entreprit de planter quelques fleurs dans le jardin, me demandant parfois même de l’aider. Bref, une journée en famille, puisque notre fille était là elle aussi.

Vers 18h, Alain me pressa de me changer pour emmener la petite chez mes parents.

Alors que je me dirigeais vers notre chambre, il me lança:

— Tu mets ce qui est sur le lit, mais ne touches pas au coffret.

Après m’être douché, je me parais donc de tous ces attributs qui me rendaient désirable…

Je rejoignis Alain dans le salon.

Alors que je me penchais pour prendre le cendrier posé là, il s’approcha de moi et me murmura à l’oreille:

— Je te trouve terriblement sexy, dommage que ça ne servira pas.

Puis, passant sa main sur mes fesses, il eut un geste de recul.

— C’est quoi ça ?

— Ça ?

Il souleva alors ma jupe.

— Cette culotte !

— Tu as oublié d’en préparer une, alors j’ai pensé que celle-ci irait bien. Mais si ça ne te plaît pas, je peux la changer.

Il saisit alors l’entrejambe et me l’arracha d’un coup sec.

— Est-ce que je te l’ai demandé?

Je balbutiais…

— Non

— Alors tu ne prends pas d’initiative… compris ?

Restée sans culotte, je pris ma fille. Elle embrassa son père et je la conduisis chez mes parents qui habitaient à un petit quart d’heure de la maison.

Revenue très vite, j’entrepris de fignoler quelques détails pour l’apéritif, puisqu’un traiteur avait amené le repas dans des plats qui le garderait chaud.

Alain quant à lui partit se doucher.

Lorsqu’il coupa le robinet, il me demanda de le rejoindre. A peine dans la chambre il me montra le coffret d’un signe de tête et me dit:

— Il est temps de mettre la dernière petite touche à ton accoutrement de salope.

J’ouvris le coffret et rougis en y découvrant une petite culotte blanche, quasi transparente, dans laquelle était fixé un petit plug de cinq centimètres environ.

Je l’enfilais en prenant soin de placer le vibro dans mon vagin bizarrement humide…

— Tu te sens bien ? Me demanda Alain tout en saisissant la petite télécommande restée dans le coffret.

— Ce soir, pas besoin de laisse… je t’aurais à ma merci.

Puis, me saisissant pas les cheveux, il me lança:

— Par contre, tu devras te contenter de ces quelques petits centimètres…

Me recoiffant devant le miroir, je me décidais à lui poser la question que je me posais depuis quelques heures.

— Dis-moi…

— Oui ?

— Brigitte est au courant de tes intentions ou elle croit simplement venir dîner ?

— Pourquoi cette question ?

Je m’approchais de lui et lui murmurais langoureusement à l’oreille:

— Parce que, je pourrais te donner des choses que tu ne soupçonnes même pas…

Alain me repoussa et sèchement me dit:

— Je l’ai eu au téléphone tout à l’heure et je peux te dire que Brigitte est très chaude pour ce soir !

Puis il me demanda de quitter la chambre, car il devait s’habiller et qu’il lui restait quelques petits détails à régler…

Il était 20h quand l’interphone retentit.

Alain me demanda d’accueillir Brigitte et de m’occuper d’elle en l’attendant.

Lorsque j’ouvris à cette dernière, mon cur se serra. Elle était magnifique.

Habillée avec simplicité, sans vulgarité dans sa petite jupe à mi-cuisse, ses collants ou ses bas (je ne pouvais pas le savoir) et son chemisier noir.

Elle m’embrassa comme une bonne copine, ce qui eut le don de m’agacer…

Alain nous rejoignit vite, vêtu d’un jean noir et d’un t-shirt blanc, qui mettait ses pectoraux en valeur.

— Vous avez fait connaissance ?

Il se pencha vers moi et me dit à voix basse.

— Je t’interdis de mettre les pieds dans la chambre tant que je ne te l’aurais pas autorisé.

L’apéritif fut convivial, ainsi que le dîner qui s’ensuivit, même si je fus chargée des allées et venues pour le service.

Alain et Brigitte semblaient aux anges, se murmurant des choses à l’oreille, se touchant même parfois…

Je remarquais cependant que par le jeu des miroirs dans le salon, Brigitte me matait souvent le cul en murmurant à l’oreille d’Alain qui s’en délectait.

D’ailleurs, sûrement pour amuser son invitée, il se régalait d’actionner la télécommande pour me faire réagir aux quelques centimètres que j’avais en moi…

Ce qui me décontenança le plus fut de m’apercevoir après une secousse poussée au maximum et qui me fit mouiller ma culotte, c’est que la télécommande se trouvait entre les mains de Brigitte.

J’ignore ce que cette dernière demanda à Alain, mais la réponse de ce dernier me laissa perplexe.

Il m’a semblé l’entendre lui dire: j’en sais rien, tu n’as qu’à vérifier toi-même…

J’eus rapidement la réponse.

Alors que je m’affairais à préparer le café, Brigitte surgit derrière moi.

— Tout va bien ? Tu as besoin d’aide ?

— Non, je te remercie mais ça ira.

A cet instant, je sentis son souffle dans mon cou. Elle s’était rapprochée et me collait un peu trop.

Je me décalais pour ne plus sentir sa présence qui me procurait un sentiment de dégoût.

L’idée de savoir que d’ici peu de temps, elle se ferait sauter par Alain, sans doute devant moi, me faisait bouillir, j’aurais voulu lui crever les yeux…

A cet instant, je sentis ses mains se poser sur les hanches. Je ne bougeai pas.

C’est lorsque je sentis sa main droite glisser sur ma jupe et commencer à la relever que je sortis de mes gonds.

Je me retournais et lui faisant face:

— Écoute-moi petite pute ! Que tu te tapes mon mari, de surcroît sous mon toit et devant mes yeux passe encore, mais je ne suis pas ton jouet. Je ne suis pas une gouine.

Son regard croisa alors le mien.

— Calme-toi…

— Non, je ne me calmerai pas.

Je la repoussais violemment.

— Dégage !

Elle se cogna alors la tête à la hotte en se retournant et poussa un cri.

Alain accourut immédiatement.

— Ça va ? Qu’est-ce qui se passe ici ?

Alors Brigitte, même pas blessée lui lança tout en me regardant:

— C’est elle, elle m’a frappé…

Alain l’entraîna dans le salon en me lançant:

— Dégage dans la chambre d’amis ! Je vais m’occuper de toi.

Je balbutiais…

— Tout de suite !

Je traversais alors la maison pour regagner la chambre.

Les quelques minutes avant qu’Alain arrive me semblèrent durer une éternité, je savais à cet instant que j’allais prendre une raclée. Ca allait sûrement exciter Brigitte, que je voyais jubiler lorsque je suis passé devant elle tout à l’heure.

Alain apparut alors dans la chambre, m’ordonna de lui enlever son ceinturon.

J’obtempérai, lui tendis, tout en le suppliant.

— Ferme la porte !

— Non, s’il te plaît.

— Ta gueule !

La raclée que je reçus alors devait résonner dans toute la maison, tant je pleurais.

Mes fesses, mes cuisses devaient être rouges, même si Alain m’assenait les coups de ceinturon sans m’avoir déshabillée…

Quelques minutes plus tard, alors que j’étais en boule sur le lit, Alain ouvrit la porte de la chambre.

Je ne bougeai pas. Il appela alors Brigitte, qui apparût dans l’échancrure de la porte.

— Maintenant, tu peux vérifier.

Cette dernière s’approcha du lit et me lança:

— Lève-toi !

Je regardai alors Alain et dans son regard, je compris qu’il valait mieux que j’obéisse…

Je me levai donc, et cette garce m’ordonna de relever ma jupe, ce que je fis.

— Tourne-toi !

C’est dans un langage que je ne lui connaissais pas qu’elle s’adressa à Alain:

— Putain ce cul ! Elle me ferait presque mouiller ta salope.

Alain certainement amusé par la situation lui répondit:

— Tu voulais pas vérifier un truc ?

— Bien sûr.

Cette dernière se mit à me regarder sous toutes les coutures.

— Hé bien mon cher, tu n’y es pas allé de main morte avec la ceinture.

Puis elle me fixa dans les yeux:

— Écarte les cuisses !

J’étais là, honteuse, la jupe relevée, les yeux baissés. Je remarquai alors que ses mamelons pointaient sous son chemisier. Un sentiment de honte, certes, mais aussi d’excitation m’envahit.

Elle passa ses mains sur mes fesses, ce qui me fit frémir, puis glissa sa main entre mes cuisses.

— Putain, mais elle est trempée cette salope !

Elle me demanda de retirer ma culotte et de lui donner. Ce que je fis sans sourciller.

Elle me la présenta alors au visage, qu’elle frotta et m’ordonna de sucer le plug.

Ma petite culotte dans la bouche, elle me pencha au-dessus du lit, écarta vigoureusement mes fesses et s’adressa à Alain:

— Tu sais ce dont j’ai envie ?

— Dis-moi.

— Je la sodomiserai avec plaisir.

— Qu’à cela ne tienne, je reviens.

Alors que j’étais là, offerte, un sentiment de haine dominé par une excitation frustrante, j’attendais avec ma tortionnaire le retour d’Alain.

Je dois bien avouer, que si je n’avais pas prévu ça, cette dernière avait provoqué chez moi tout au long de la soirée, des frissons d’excitation. Lorsqu’elle était assise sur le canapé, sa petite jupe, ses cuisses…

Je m’étais d’ailleurs rendu compte qu’elle portait des collants et non des bas, ce qui m’avait étonnée.

Alain pénétra dans la chambre avec un fouet à grandes lanières et surtout un gode ceinture.

Il déposa cet attirail sur le lit et soulevant la jupe de Brigitte:

— Et toi, tu es comment là-dessous ?

— À ton avis ?

Elle ne portrait pas de culotte, mais on distinguait aisément qu’elle était dans le même état que moi.

Elle se tortillait d’ailleurs lorsque Alain lui passa le doigt tout en lui murmurant quelque chose à l’oreille.

Elle se mordit les lèvres, tandis qu’il mattrapait par les cheveux et me tirant vers l’endroit, me lança:

— Tiens salope, lèche-la !

Je m’exécutai, non sans un certain plaisir, compte tenu de la situation…

Et puis, Brigitte la jupe relevée, s’équipa du gode ceinture.

Elle se mit à me titiller le clitoris avec, ce qui me fit jouir.

Elle me pénétra d’abord le vagin avec délicatesse, puis quelques accélérations.

Je n’en pouvais plus lorsqu’elle se retira et se mit à me frotter l’anus avec l’imposant gode qui ornait sa ceinture.

Elle me pénétra doucement d’abord, puis je sentis quelques accélérations.

— Tu aimes ça petite salope ! Me cria-t-elle.

Je ne répondis pas, tant la douleur était forte.

C’est alors qu’elle m’agrippait les cheveux, que je la vis dans le petit miroir posé sur la commode.

Je ne la reconnaissais plus, son visage d’ange s’était transformé en celui d’un démon, les yeux révulsés par l’excitation de me faire subir un tel sort sans doute.

Alain quant à lui avait quitté la pièce et pouvait m’entendre pleurer, supplier, implorer mon bourreau pour que cela cesse.

C’est au bout d’un moment que je ne saurais définir, qu’il revînt.

Sans doute n’en pouvait-il plus de m’entendre jouir comme ça, il s’approcha de moi, ouvrit son pantalon et me fourra son sexe dans la bouche, me maintenant le menton pour me forcer à avaler sa semence.

Lorsqu’il eut fini de jouir en moi, il quitta à nouveau la pièce, tandis que Brigitte redoublait de violence dans les coups de gode qu’elle m’assenait. Je compris enfin, ce que "se faire casser le cul" voulait dire…

Lorsqu’elle s’arrêta enfin, elle jeta le gode ceinture sur le lit et alors que je restais là en position de levrette, elle quitta à son tour la pièce pour rejoindre Alain au salon.

Quelques instants plus tard, je fus attirée par le bruit de la porte d’entrée qui venait de claquer. Piquée par la curiosité, je constatais que Brigitte avait quitté la maison.

Alain était assis sur le canapé, fumant une cigarette, un verre de whisky à la main.

Je retournai sur le lit, heureuse de savoir que cette petite garce n’avait pas eu l’occasion de se faire sauter par Alain.

Heureuse et, je dois bien l’avouer, un peu déçue de ne pas la voir vue jouir comme une folle à son tour…

Allongée sur le lit, je finis par m’endormir.

Le lendemain, je fus réveillée par le bruit de la tondeuse dans le jardin.

Alain s’affairait à finir les plantations commencées la veille.

La journée fut conviviale mais sans plus. Par contre, les jours qui suivirent laissaient entrevoir un avenir sous de meilleurs auspices.

Alain se montrait attentif et prévenant et surtout, nous n’avons plus jamais parlé de mes écarts de conduite et encore moins de la correction qui en avait découlé.

Brigitte avait quitté Besançon et ça n’est que quelques mois plus tard et par pur hasard, qu’une amie qui la connaissait très bien, m’apprit que cette dernière avait écumé quelques boîtes de la région et qu’elle était connue pour ses pratiques "lesbienne dominante", ce qui expliquait certaines choses…

Ce que je considère aujourd’hui comme une expérience m’a considérablement désinhibé et aujourd’hui je mets à profit ce que cette expérience douloureuse m’a finalement apporté au cours de…

"Ces deux jours qui ont changé ma vie"

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