Alors que je pénétrai doucement Isabelle, ma bouche s’est approchée d’elle et nous nous sommes embrassés. Je l’ai soulevé de la table, alors que j’étais planté en elle.
Nous nous serrions l’un l’autre, et j’étais le plus heureux des hommes
Comment moi, 46 ans pouvais je être en train de faire l’amour à une femme de 26, belle intelligente instruite.
J’étais à ce moment le plus heureux des hommes.
J’ai lâché sa bouche pour lui murmurer JE T AIME
Je lui dis que je ne voulais pas jouir avant elle, même si l’envie était immense.
Alors, mes mains descendirent sur ses magnifiques fesses et mon doigt se posa sur son anus. Isabelle me supplia de l’enfoncer. Je ne me le fis pas dire deux fois. Quelle sensation superbe Je sentais ma verge de l’autre coté de la paroi vaginale
Je ne pouvais pas faire grand mouvement, mais Isabelle le fit pour moi
et doucement je vis ses yeux briller et elle se mit à vibrer.
Moi je sentais la sève monter en moi, j’avais du mal à résister . Isabelle m embrassa goulûment sa langue pénétrant ma bouche avec force et elle jouit intensément.
Je la laissais reprendre son souffle et nous restions debout, sans bouger .je sentais mon cur battre dans mon membre et je me mis à éjaculer en son ventre en lui murmurant des " je t’aime "
Ayant retrouvé la raison, elle alla, "cul nu" chercher du papier hygiénique dans les toilettes juste en face pour s’essuyer. Je lui en demandai afin d enlever le sperme qui avait coulé sur ma verge. Elle me dit attends j’ai mieux, elle s’agenouilla et me nettoya tout le sexe avec la langue….. Je commençais à bander de nouveau.
La porte du bureau en bas claqua, alors très vite, Isabelle prit ses vêtements et alla s’enfermer dans les WC, moi je me rhabillai prestement
J’entendis la voix d’un collègue qui m’appelait. Je lui répondis que je descendais.
Nous avions eu très chaud
Isabelle descendit quelques instants après tout pimpante et toute heureuse.
Elle dit devant le collègue, 1 partout. Je compris l’allusion, nous avions joui tout les deux. Le collègue ne compris pas, mais ne releva pas mot
les jours qui suivirent furent magiques. Nous avions franchi le pas. Nous profitions de chaque occasion pour nous frotter, nous effleurer, nous caresser
Nous étions fous amoureux l’un de l’autre.
Nous partions en service, nous nous caressions en voiture.
Nous profitions de nos patrouilles pour s’arrêter en forêt et nous faisions l’ amour dans le véhicule
Un jour, alors que nous étions en enquête, sur le chemin du retour, Isabelle me dit : veux tu que l’on aille à l’hôtel. Je lui dis que je ne pouvais pas, ma femme verrait le paiement. Elle me dit c’est pas un soucis, je paye.
Nous nous sommes alors arrêtés dans un hôtel ou l’on paye par carte à l’ extérieur. Nous étions en tenue, nous jouions avec le feu.
Isabelle a inséré sa carte bancaire, puis a tapé le code.
Nous sommes entrés dans le hall de l’hôtel, il était vide, Nous avons cherché notre chambre.
Arrivés devant la porte, chambre 21 je m’en souviens encore Isabelle a tapé le code fourni par la machine.
La porte s’est ouverte elle est entrée là première……………………………….
Là j ai eu véritablement le sentiment de tromper ma femme. Cela m’a refroidi un instant. Isabelle s’en est rendue compte. Elle m’a serré dans ses bras en me disant doucement "ça ne va pas"
Et là, toute mon appréhension s’est évaporée.
Je l’ai prise tendrement, nous sommes restés enlacés longuement………….
la suite bientôt