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[Sci-Fi] L'évolution de la race humaine – Chapitre 9




Chapitre 9 : Une question d’autorité (suite)

-Bon, commença Simon. J’ai continué tes analyses et certains résultats sont inquiétants.

-Ah bon ? Qu’est-ce qui peut bien être si grave ? Demanda la jeune femme.

-OK, on va commencer par le liquide qui recouvre ta queue. Ce liquide est constitué de nombreux éléments dont certains qui stimules les neurotransmetteurs

-Mhm, acquiesça la prof. Du coup en français ça donne quoi ?

-En gros, il donne plus de plaisir à ceux avec qui tu baise.

-Là c’est plus clair, sourit-elle.

-Le même liquide se trouve en bordure de ton anus.

-Donc, si quelqu’un me sodomise il va prendre son pied quoi ?

-Exactement ! Et je le confirme entièrement, dit-il, un sourire rêveur collé sur ses lèvres alors qu’il pensait à la fois où elle lui avait demandé de l’enculer … Evidemment, tu recevras toi aussi plus de plaisir. Ensuite, j’ai eu les résultats de ton sang et là, ça se complique …

-Pourquoi ?

-Ton sang, Morgane, est bourré, et je dis bien bourré, de phéromone sexuelle.

-Simon si tu ne t’exprime pas normalement je ne peux vraiment pas comprendre.

Il soupira, exaspéré.

-C’est ton odeur, si tu veux. Le sang véhicule les hormones jusqu’à ta peau qui, après, éjecte ces dernière sous formes de phéromones et les gens identifie ça comme étant ton odeur.

-Et où est le problème ? Demanda le jeune femme en haussant négligemment les épaules.

-Le problème, c’est que ton parfum excite tout le monde. N’importe qui approchant à une certaine distance de toi serait immédiatement sous ton charme et du coup excité au point de ne pas pouvoir se contrôler.

-Oh, d’accord … Cela dit, je ne vois toujours pas où est le problème.

-Comment veux-tu résister toi, si tout le monde autour de toi veut te baiser ??

-Ah oui c’est vrai, dit-elle en se souvenant que c’était la directrice qui lui avait sauté dessus, et non l’inverse. C’est tout ?

-Heu … Oui … Pour l’instant du moins, bafouilla-t-il, surpris qu’elle réagisse de la sorte.

Morgane le regarda suspicieusement. Pour la première fois, elle avait l’impression qu’il lui cachait quelque chose. Elle finit par hausser les épaules.

-Très bien, je vais me coucher, alors. Bonne nuit, fit-elle en se détournant.

-Attends … heu … ça va ?

-Bah oui … pourquoi me demande-tu ça ?

-Je ne sais pas … Ces derniers jours, j’ai l’impression que tu es excitée tout le temps. Tu ne l’es pas ce soir ?

La jeune femme réfléchit à toute vitesse. Elle était crevée mais si elle lui répondait non, il allait trouver ça bizarre et il la soupçonnerait d’avoir eu une relation à l’école.

-Si, bien sûr, dit-elle rapidement. Je comptais me branler maintenant.

-Oh d’accord …

Un silence gênant s’installa. Comme il ne faisait pas mine de partir, Morgane soupira et lui proposa :

-Tu veux m’aider ?

Le visage de Simon s’illumina. Morgane n’allait pas dormir de sitôt …

 

******

 

-Mmh ! Enfaite, tu aimes vraiment me lécher la chatte, mon Simon !

Morgane soupira d’extase quand elle sentit l’appendice buccale du jeune chercheur la pénétrer. Il enfonçait le plus loin possible sa langue en farfouillant dans tous les recoins trempés du petit trou.

Incapable de répondre, il ne put qu’acquiescer vivement. Morgane était incapable de retenir ses gémissements de plaisir. Simon commençait à savoir comment la faire jouir rapidement. Il savait où il fallait mettre une pression avec ses lèvres et où il fallait aspirer pour la faire gémir. Elle se liquéfiait littéralement sous les coups de langue du jeune chercheur qui ne perdait pas une goutte de ce délicieux breuvage. Il émettait de grand bruit de succion en aspirant les méandres de Morgane.

Il vint caresser de bout de l’index la rondelle toute humide qui ne demandait qu’à ce qu’on s’occupe d’elle aussi. Morgane geignit en se cambrant, sa queue dressée à la verticale. Simon en profita pour enfoncer son index dans le cul de la jeune femme. Cette dernière explosa de plaisir en hurlant et un flot de mouille fut éjecté de sa chatte. Simon colla sa bouche grande ouverte contre le trou qui l’aspergeait et avala tout le liquide. Sa gorge produisant de grand bruit de déglutition tandis qu’il se régalait de cet enivrant nectar.

Morgane caressa les cheveux du jeune chercheur comme une maman qui regarde son fils téter à son sein. Elle le couvait d’un regard brûlant de plaisir. Simon enfonça un second doigt dans les tréfonds de la jeune femme et lui titilla ses parois humides. Cette nouvelle pénétration fit éjecter une seconde salve de cyprine qui vint se perdre dans la bouche du jeune homme.

Morgane se branla sauvagement et son plaisir était tellement grand qu’elle éjacula presque instantanément. Alors qu’elle jouissait, elle positionna sa queue le long de son ventre et, tout en ouvrant la bouche, attrapa au vol tous les jets de sperme qui fusaient de son sexe. Elle tentait tant bien que mal d’avaler sa semence mais la plupart du foutre venait se perdre sur ses seins ou derrière elle. Simon, quant à lui, s’était littéralement fait asperger de mouille et avait eu un mal fou à tout ingurgiter.

Les deux amants s’effondrèrent sur le lit, tous deux exténués. La jeune femme revint lentement à elle. Sentant la soif arrivée, elle saisit ses seins et se mit à les lécher l’un après l’autre pour en racler tout le sperme.

Simon était aux anges. Il se pourléchait les babines comme un enfant s’étant régalé d’une délicieuse glace.

-Waouw ! S’exclama-t-il. Trop bon !

-Ah bon, tu trouves ? s’enquit la jeune femme, la bouche pleine de sperme.

-Oui, je trouve que tu as très bon goût, dit-il très sérieusement.

Morgane rigola et, comme une chatte, poursuivi cérémonieusement sa toilette. Les deux amants se séparèrent. Simon rentra chez lui et Morgane s’endormit bien rapidement. Après une telle journée, il était normal d’être fatigué …

 

******

 

Le lendemain, la jeune femme alla en cours et rien de spéciale ne se produisit durant la journée … jusqu’à la fin des cours …

Les élèves venaient de quitter la classe et Morgane corrigeait les dernières copies. Elle râlait silencieusement devant les fautes stupides qu’une de ses élèves avait faites quand entra la prof de math.

-Salut Morgane, lança-t-elle joyeusement. Tu as vu la directrice aujourd’hui ? Elle est super nerveuse, je ne sais pas ce qu’elle a.

-Coucou Mathilde. Non je ne l’ai pas vu de la journée …

Morgane se doutait que l’humeur de la directrice avait probablement un rapport avec leur petite séance de baise de la veille mais elle préféra taire ce détail à sa collègue. Elle se tourna vers cette dernière. De taille moyenne, Mathilde était une femme mûre qui ne manquait pas d’attention auprès des hommes. Ses grands yeux verts survolaient tout le monde sans jamais vouloir se poser sur quelqu’un en particulier. Les hommes faisaient tout pour attirer son regard mais ça fonctionnait rarement.

Morgane ne l’avait pas vu depuis sa « transformation » et elle avait l’impression de la redécouvrir. Elle admira du coin de l’il les courbes de ses hanches ainsi que la profondeur de son décolleté.

La collègue de morgane s’approcha et regarda par-dessus son épaule pour voir ce qu’elle faisait. Elle lue la copie et esquissa un sourire quand elle vit les fautes.

-Je crois sérieusement que cette Manon devrait faire plus attention à son orthographe. Non mais regardes-moi ça : « attandre » avec « an ».

Morgane sourit. C’était bien le style de son élève : faire plus attention aux beaux garçons de la classe plutôt qu’à sa propre copie. Elle se tourna vers Mathilde qui était toujours plongée dans sa lecture.

-J’aurai sûrement un entretien avec cette demoiselle, annonça Morgane. Elle a de nombreux problèmes d’attention en cours, surtout depuis que ce jeune homme qui passe son temps à lire des mangas est arrivé en milieu d’année. Je crois qu’elle est… Soudainement captivé par les yeux pistache de sa collègue, la jeune femme laissa sa phrase en suspens ne sachant plus comment la terminer.

Le silence s’épaissit entre les deux profs et rien ne semblait vouloir venir le perturber. Mathilde se sentit tout à coup attirer par sa collègue. Elle se pencha lentement, hypnotisée par l’aura de la jeune femme.

Morgane sentit que plus Mathilde s’approchait, plus son désir montait en flèche. Elle eut soudain le besoin ardent d’embrasser des lèvres de sa collègues. Elle se souleva mais, juste avant que leur bouche ne se rencontrent, Mathilde se détourna.

-Je … Heu … La directrice m’envoyait te demander d’aller la retrouver, bafouilla Mathilde. Je crois qu’elle ne retrouve pas le dossier d’Eduardo ou quelque chose dans le genre …

Morgane en fut stupéfaite. Elle ne sut pas comment réagir et resta planter là. Elle regarda sa collègue tenter de reprendre une certaine contenance et se remettre de ses émotions.

Mathilde murmura quelques excuses et partit comme si elle avait le diable à ses trousses…

 

******

 

-Entre.

Morgane pénétra dans le bureau de la directrice encore toute choquée par ce qui venait de se produire.

-Si vous chercher le dossier d’Eduardo, il se trouve …

-Bla bla bla. La coupa Eugénie. Tais-toi donc et viens plutôt m’embrocher.

Morgane sortit de sa rêverie et vit la directrice, uniquement vêtue de chaussure à talon noire, qui la regardait lubriquement. Morgane ne fut pas longue à réagir : elle tira la fermeture éclair de sa jupe et laissa glisser cette dernière le long de ses jambes.

-Mhm, approuva la directrice. Je vois que tu n’as pas mis de culotte aujourd’hui.

La jeune femme s’empara de sa supérieure et la poussa contre le mur. Elle se colla à elle et lui murmura presque tendrement :

-C’est pour mieux t’enculer, mon enfant …

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