Quatre jours plus tard, Alex a tenu parole et m’envoie sur ma boîte mail une centaine de photos pour que je choisisse celles que je veux afficher sur son site Internet. C’est très hard ! Mes photos exposent dans ses moindres détails tout mon corps aux mains et aux sexes, si j’ose dire, des trois hommes. À cette vue, mon sexe sinonde ; ne sachant lesquelles choisir, je les envoie à Wolf qui fera sûrement un bon tri.
Impatiente, je me connecte tous les jours à ma boîte mail, mais Wolf se fait désirer. Ce nest que huit jours plus tard que paraît sa première sélection de photos et la première vidéo. Cette sélection bouleverse littéralement tout mon corps lorsque je me contemple sur l’écran. Plus je me regarde, plus j’ai envie de sexe. Le soir même, je me fais sauter furieusement par mon ami et je jouis en pensant à ces trois hommes qui me baisaient quelques jours plus tôt. Limage de tous ces hommes qui vont se masturber devant ma chatte dégoulinante de sperme, de ma bouche entrouverte pleine de liqueur stimule la puissance de mon orgasme. Reste à savoir si je publie ou non sur d’autres sites, et combien d’hommes vont laisser leurs commentaires, essayer de me joindre.
Dans les jours qui suivent, mon excitation ne fait qu’augmenter. Je finis par recontacter Alex afin qu’il morganise rapidement une autre séance. Il me propose une rencontre pour le surlendemain, et s’occupe de me trouver plusieurs partenaires. Par contre, ça sera avec préservatif. J’accepte immédiatement, tant mon désir de sexe est important. Il me demande de surtout mettre une tenue très sexy sans sous-vêtements, ce que je refuse presque à contrecur car pour moi l’effeuillage est une excitation importante, et jy tiens.
Le surlendemain, je retrouve Alex sur le parking d’une grande surface de la ville voisine. Ce que j’ai trouvé de plus sexy à porter consiste en une nuisette blanche à la transparence certaine qui moule mon corps et descend à peine jusqu’à la raie de mes fesses. On distingue les dentelles de mon soutien-gorge et ma culotte. Alex s’étrangle à moitié lorsqu’il me voit. Après m’avoir embrassée et complimentée pour ma tenue, il prend le temps de me photographier sous toutes les coutures avant de m’inviter à monter dans sa voiture. Quelques clients chanceux du supermarché s’en souviennent sûrement encore ! Puis il démarre en me précisant que l’on va retrouver à quelques kilomètres de là les volontaires pour me sauter. Il me laisse le choix de porter le même masque que la dernière fois, un simple loup ou un bandeau ; cette dernière proposition m’excite, alors je la choisis.
Il me passe un bandeau noir qu’il attrape sur la banquette arrière et me demande de le mettre immédiatement. Je me retrouve dans le noir complet. Je sens la main d’Alex se poser sur le haut de ma cuisse ; ne rien voir décuple mes sensations. Immédiatement, je me sens mouiller, et mes cuisses s’écartent toutes seules. Alex en profite pour glisser ses doigts sous ma culotte, les poser sur mon clitoris et me masturber. J’allais jouir lorsqu’il arrête la voiture : nous sommes arrivés à destination. Je l’entends sortir et fermer sa portière. La mienne s’ouvre ; Alex m’aide à descendre et me plante là, aveugle, pour récupérer son matériel dans son coffre. Il me saisit par le bras et m’entraîne à sa suite en me précisant que le rendez-vous se situe au milieu d’un champ.
Des exclamations parviennent soudain à mes oreilles : plusieurs voix je ne peux dire combien commentent ma tenue. Alex me lâche, et je l’entends bientôt dire que je suis à eux. Aussitôt des mains se posent sur ma peau et explorent mon corps. Mes seins, mes fesses, mon ventre et mon cul sont immédiatement visités par des doigts curieux. J’entends les commentaires les plus salaces sur ce que leurs propriétaires découvrent ; être totalement aveugle décuple le plaisir que me procurent ces mains et ces paroles. Ils me retirent ma robe ; je sens le vent et le soleil sur ma peau. Mes sous-vêtements suivent le même chemin avec finesse et sans précipitation. Chaque mouvement est ponctué par des coups de langue. La suite se résume par trois bonnes heures de sexe hard où jai à subir de multiples pénétrations, dont plusieurs doubles. Je jouis de façon quasi ininterrompue. J’ai l’impression, dans mon obscurité totale, qu’ils sont innombrables et que cela ne s’arrêtera jamais. Ma bouche, mon ventre et mon cul semblent ne jamais se désemplir. Je sens les hommes jouir dans leur préservatif quand ils sont en moi, je les entends râler de plaisir ; mon corps est couvert de sperme, ma figure et mon masque en dégoulinent, mes seins glissent ; j’étale le sperme sur mon ventre, et si j’osais ma chatte en serait recouverte.
Mes pointes de seins lubrifiées de la sorte pointent durement, et malgré le bain de sperme, des bouches avides me lèchent. Je ne sais pas combien d’orgasmes m’assaillent ; je suis tellement cambrée que j’en suis courbaturée. J’en veux encore et encore, je voudrais nager dans une piscine de sperme, puis enfin Alex met fin à la séance.
Toujours masquée et nue, il me fait remonter dans sa voiture et démarre. Quelques minutes plus tard, la voiture s’arrête et Alex ôte mon masque. La voiture est garée à lentrée dun champ au bord de la route. Il se penche vers moi et m’embrasse à peine bouche. Je ne trouve même pas ça anormal, tant je suis dans mon rôle de nymphomane. Le dossier de mon siège s’incline ; Alex baisse son pantalon et son boxer, il soulève à la verticale ma jambe gauche afin de se glisser face à moi et il me pénètre sans plus attendre. Ce nest pas tant le plaisir physique que la pensée de ce je viens de subir cet après-midi et de ce que je subis encore, écrasée sous Alex, alors que des véhicules passent à moins de cinq mètres de nous, qui me fait jouir encore violemment et recevoir avec délice son sperme au fond de ma chatte, mes cuisses et mes jambes l’enserrant et le gardant longuement bloqué au fond de moi. Lorsque sa bite ramollie sort de mon vagin, je dénoue mes jambes à contrecur pour permettre à Alex de se dégager.
Nous sortons tous les deux de la voiture, moi entièrement nue, lui sans boxer ni pantalon, indifférents aux conducteurs qui pourraient nous apercevoir. Il me tend une boîte de mouchoirs pour que je puisse essuyer les traces de cette escapade ; lui-même essuie soigneusement sa verge avant de se rhabiller. Il récupère ma nuisette et mes sous-vêtements dans son coffre et me les rend. Enfin rhabillée, nous reprenons le chemin du supermarché. Je demande à Alex le nombre de mes partenaires de l’après-midi, mais il refuse de me répondre, me disant en riant que je verrai, bien sûr après le tri de Wolf. Cela m’excite encore plus !
Il est plus de dix-huit heures lorsque nous arrivons au supermarché. C’est l’heure de pointe, le parking est plein à craquer et Alex ne trouve pas de place près de ma voiture. Il me dépose à plus de cinquante mètres, et je dois rejoindre mon véhicule en prenant garde à ce que la brise ne soulève ma nuisette. Mais le soleil, bas sur l’horizon à cette heure-là, doit traverser facilement le tissu léger car plusieurs hommes que je croise restent bouche bée et me suivent du regard jusqu’à ce que je monte dans ma voiture. Après tout, je n’ai peut-être pas besoin d’Alex ; à voir l’effet que je fais sur ces hommes, je dois pouvoir en attirer quelques-uns dans mes filets sans son aide
