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La déprime, mon mari me délaisse – Chapitre 1




Deux mois, c’est long. Cela fait maintenant deux mois que mon mari ne m’a pas touchée, pas même une caresse. J’essaye de me rapprocher mais il me rejette à chaque fois et je ne comprends pas. Je laissais couler au début, me disant que son boulot le fatiguait et lui embrouillait la tête. Mais ce soir est le soir de trop. Son continuel rejet me met en rage. Il est 22h et après un Nième refus, je m’habille et pars faire un tour. Je monte dans la voiture et je prends la première direction qui vient à moi. Jamais je n’avais été ignorée de la sorte. Que se passe-t-il dans la tête de mon amour ? Je ne suis peut-être pas la plus jolie des filles, mais je ne mérite pas d’être mise aux oubliettes. Au bout d’une heure de route je vois un bar ouvert sur le côté de la route. Je me gare avec l’intention de prendre une cuite pour oublier.

Ma tenue n’est pas du tout glamour : gilet en laine, tee-shirt, jogging gris et pantoufle. Il faut dire que de colère j’avais enfilé les premiers habits qui me venaient sous la main. J’entre, il n’y a presque personne. Je m’installe et commande une vodka que je bois cul sec. Puis une deuxième et une troisième. Je cherche à comprendre pourquoi mon mari ne veut plus de moi. Une quatrième. Il commence à faire chaud, j’enlève mon gilet. A-t-il une autre femme ? Je ne suis peut-être plus désirable après quelques années. Une cinquième. Je n’en reviens pas de ce qu’il me fait, c’est un abruti. Je ne suis pas fini, j’ai encore de beaux restes. 31 ans, brune et quelques rondeurs, je ne suis pas Miss France mais je suis une belle femme ! Le barman hésite à me donner une sixième vodka. Il accepte quand je lui donne mes clés de voiture. Et voilà la sixième qui y passe. Ce nest pas tout ça mais je commence à avoir envie d’uriner. Mon regard a un peu de mal à se stabiliser mais je reconnais le panneau des toilettes.

Je me lève, et d’un coup tout tourne autour de moi. Merci le tabouret qui me sert de voisin de m’avoir évité la chute.

J’avance vers la porte des toilettes et j’entre. C’est bizarre mais je dois tellement me concentrer pour avancer que je ne pense plus du tout à mon connard de mari. Je passe à côté de quelqu’un qui se lave les mains. Je vois des w.c. libres, j’entre et pousse la porte contre. Je crois que je n’ai jamais autant eu de mal à baisser mon pantalon et ma culotte, mais cela me fait rire. Pourquoi ai-je bu six vodkas ? Tout tourne autour de moi. Une voix me sort un peu de mes songes. Je lève les yeux et vois une forme devant moi qui me parle. Je sens une main se mettre sous mon menton et me relever la tête, mais je n’ai pas envie de répondre. La silhouette reste devant moi pendant que je fais ma petite affaire et cela ne me gêne aucunement, de toute manière j’ai terminé depuis longtemps, c’est juste que je suis incapable de me relever. Je vois la porte se fermer devant moi, mais la silhouette est toujours là. On me tape sur la joue mais je ne réagis pas. Deux doigts me font faire un cul de poule avec ma bouche, ça me fait rire.

Les deux doigts ouvrent maintenant ma bouche et un troisième doigt entre mais il est plus gros que les deux premiers, beaucoup plus gros à vrai dire. Ça entre et sort sans cesse. Non mais attends me dis-je, je suis en train de sucer quelqu’un là. C’est un sexe dans ma bouche. Il avance et sort à son aise, gonflant petit à petit, allant de plus en plus loin dans ma bouche. Cela fait tellement longtemps que je n’avais pas eu cette sensation que je le laisse faire. Je n’ai pas la force de l’aider. Plus la fellation dure, plus ma bouche s’ouvre.

La silhouette a un bel engin. Il commence à forcer ma gorge. Il tente la gorge profonde mais je ne sais pas le faire. J’ai des hauts le cur. Une fois, deux fois, trois fois, la quatrième est le coup de trop. Je me retourne rapidement et me voilà à quatre pattes en train de vomir dans les toilettes. Un homme me fou enfin sa bite dans la bouche et il faut qu’il aille trop loin au point de me faire vomir. Est-ce que je manque de chance ? Je sens qu’on frotte sur ma moule. Une image rapide de moi me passe devant les yeux, avant de vomir, j’avais le pantalon et la culotte baissés, ce qui signifie que je suis à quatre pattes cul à l’air devant un homme en érection que je viens de sucer. La suite est cousue de fils blancs, le sexe entre en moi. Je n’avais jamais ressenti une sensation de bonheur aussi grande. J’étais rempli et on me baisait. C’était bon, comme dans mes souvenirs. Le sexe était plus gros que celui de mon mari, et me procurait plus de plaisir. J’entends un ploc à chaque coup de bite que je reçois.

J’ai toujours été bien lubrifiée naturellement et c’est encore comme ça, ça me rassure sur ma libido. Il me retire le tee-shirt et laisse flotter mes seins, je n’avais pas mis de soutien-gorge dans la précipitation. Cette sensation de liberté et de plénitude que je ressens est indescriptible. Je suis certes en train de me faire sauter dans les toilettes d’un bar par un inconnu, mais c’est tellement bon et me fait tellement de bien…

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