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Sandrine, ma soeur – Chapitre 1




Je m’appelle Jack et je venais tout juste de fêter mes 18 ans lorsque les évènements relatés dans ce récit se sont produits et ma vie entière allait en être bouleversée.

Ce samedi après-midi de janvier est le lendemain de mon anniversaire.

Il fait froid, je suis bien content d’avoir fini ma semaine de travail et je m’apprête à passer un agréable moment en regardant une vidéo porno prêtée par un collègue.

En effet ma mère, chez qui j’habite encore, ne rentrera que tard ce soir.

Depuis que mon père a quitté le domicile conjugal elle occupe un emploi de serveuse dans un resto du centre ville et son service ne se termine que vers minuit.

La cassette est très excitante et je ne tarde pas à ouvrir ma braguette pour me mettre à l’aise, comme la plupart des puceaux je bande à mort dès qu’une fille montre son cul sur l’écran et mon imagination, très fertile, fait le reste.

Dans la réalité je n’ai jamais vu une fille nue à l’exception de ma sur aînée âgée de 26 ans lorsqu’elle habitait encore avec nous avant son mariage.

Mais je dois bien avouer que je déployais des trésors d’ingéniosité pour la surprendre ou la mater à son insu.

Toujours est-il que je m’applique à branler vigoureusement mon sexe dur et luisant pendant qu’une blonde plantureuse se trémousse sur l’écran avec une queue de dimension généreuse bien enfoncée dans son anus.

Je raffole des scènes de sodomie, tout particulièrement lorsque le sexe masculin se retire de temps en temps pour laisser admirer l’orifice dilaté et béant avant de s’y engouffrer de plus belle.

Mais généralement j’attends toujours le moment ou les protagonistes atteignent le plaisir pour me laisser aller à une éjaculation libératrice.

Mais ce ne sera pas le cas aujourd’hui puisque la sonnerie du téléphone me fait sursauter.

Tout d’abord je n’ai même pas l’intention de répondre mais comme celui qui appelle insiste longuement je mets la vidéo sur pause et je décroche en maudissant ce trouble fête.

C’est Sandrine, ma sur.

Elle m’explique qu’elle est malade.

Qu’elle a sûrement de la température car elle grelotte et transpire en même temps et qu’elle attend la visite du médecin.

Elle voudrait que je passe chez elle afin d’aller chercher des médicaments à la pharmacie, mon beau-frère n’étant pas là en raison d’un déplacement professionnel.

J’accepte à contrecur, mais de toute façons son appel a eu raison de mon excitation et je remballe mon sexe ramolli et humide avant d’éteindre le magnétoscope.

Il va bien me falloir une bonne demi-heure pour effectuer les quarante cinq kilomètres qui me séparent de son patelin.

Le trajet est pénible dans le froid et la grisaille, de plus le désembuage de ma vielle Golf ne fonctionne pas très bien ; aussi je ne suis pas mécontent lorsque je gare ma voiture devant la maison de ma sur.

Elle a dû guetter mon arrivée car la porte s’ouvre immédiatement après mon coup de sonnette.

J’embrasse Sandrine qui m’ouvre en robe de chambre, elle n’a effectivement pas l’air d’être en grande forme. Ses joues sont rouges et ses longs cheveux châtains sont collés sur son front par la transpiration, elle a visiblement très chaud.

— Viens dans le salon, il y fait meilleur.

Me dit-elle en se dirigeant vers le canapé.

Il fait une chaleur épouvantable dans la pièce, sans doute à cause de la cheminée ou flambe une grosse bûche, mais ce qui me surprend le plus c’est l’odeur, on dirait de l’alcool.

Comme si elle avait deviné ma pensée Sandrine m’explique qu’en l’absence de médicaments elle s’est rabattue sur la bouteille de whisky !

— Drôle de médecine !

Lui dis-je tandis qu’elle entreprend d’enlever sa robe de chambre.

Elle apparaît dans une petite chemise de nuit qui laisse bien deviner ses formes.

Je la trouve jolie, un peu ronde peut-être mais bien proportionnée avec une poitrine volumineuse, des hanches larges et un fessier rebondit.

J’ai d’ailleurs souvent fantasmé sur ce cul somptueux lorsqu’elle vivait encore à la maison, je me souviens même d’avoir emprunté ses petites culottes usagées pour me masturber en les reniflant.

Ce qui me fait penser, qu’à ce jour, ma sur est la seule femme dont je connais l’odeur intime grâce à sa corbeille de linge sale.

Sandrine me rappelle à la réalité en me disant que puisque le docteur n’était toujours pas venu, elle veut prendre sa température maintenant.

— Allons viens m’aider !

Dit-elle en me tendant le tube avec le thermomètre médical.

Avant même que je puisse articuler le moindre mot elle se met sur les genoux, les fesses relevées et cambrées dans une position des plus indécentes.

Je ne suis pas au bout de mes surprises puisqu’elle vient de relever sa chemise de nuit, faisant apparaître une culotte blanche qui épouse à merveille son cul magnifique.

Une brusque bouffée de chaleur envahit mon visage, je dois être aussi rouge qu’une tomate.

Ce n’est pas fini, la voilà qui passe ses deux pouces dans l’élastique supérieur du slip et d’un coup sec dénude son postérieur en me criant presque :

— Vas-y, mets-moi enfin ce thermomètre dans le cul !

Je ne sais pas si Sandrine est vraiment malade mais je n’ai plus aucun doute quant au fait qu’elle est sérieusement éméchée, le whisky est en train de faire son effet c’est certain.

Elle a beau être ma sur, le spectacle qu’elle m’offre me fait bander très fort.

Ces fesses blanches qu’elle écarte maintenant à deux mains, ce sillon sans le moindre poil et ce trou plissé, légèrement plus sombre, ont finalement raison de ma retenue.

Je m’efforce de ne pas trembler en présentant l’embout du thermomètre devant l’anus ainsi offert pour l’y enfoncer délicatement.

Je suis comme hypnotisé par la vision de l’instrument fiché dans son cul.

Sandrine gémit doucement, elle a maintenant passé une main entre ses cuisses et se caresse carrément la chatte, ce qui me fait remarquer que là non plus il n’y a pas le moindre petit duvet, elle est entièrement épilée.

J’ai l’impression que ma queue va éclater tandis que les doigts de ma sur entrent et sortent de sa fente dégoulinante à une cadence de plus en plus rapide.

— J’en peux plus Sandrine !

Lui dis-je en hurlant presque, et n’y tenant plus j’ouvre ma braguette pour libérer mon sexe.

Le liquide transparent et visqueux qui s’en écoule témoigne de l’importance de mon excitation.

Elle a légèrement tourné sa tête et me regarde tout en continuant à se branler.

J’en fais de même en enduisant ma queue de cette substance incolore et gluante, mon principal souci étant de ne pas éjaculer pour profiter le plus longtemps possible de ce moment merveilleux.

Les contractions de ses sphincters ont fini par expulser le thermomètre qui sort de son cul en produisant un petit bruit de pet, je le ramasse machinalement et je lis 38°.

Elle n’a absolument pas de fièvre, c’est tout simplement une femelle en chaleur que j’ai devant moi.

Je dirais même une parfaite salope puisque déjà son index a pris la place du thermomètre.

Je n’ose même plus me toucher de peur d’exploser, je suis là, debout la queue dressée, à moins d’un mètre de ma frangine qui s’exhibe de la façon la plus obscène possible.

Et du coup je lui crie :

— Tu devrais avoir honte de faire ça devant moi, si tu n’étais pas ma sur

— Je t’enculerais !

Dit-elle en finissant la phrase à ma place.

Au même moment elle arrête sa masturbation, se retourne vers moi et en me fixant droit dans les yeux me dit :

— Tu vas voir de quoi est capable une femme en manque de sexe ! !

Une seconde plus tard les lèvres de Sandrine m’écrasent la bouche et sa langue force le passage entre mes dents.

Son haleine exhale une odeur de whisky qui en temps normal m’aurait fait fuir.

Là au contraire je fouille sa bouche et me délecte de sa salive.

Je sais que le grand jour est arrivé, que bientôt je ne serai plus puceau car la main qui vient d’empoigner ma queue n’est plus la mienne.

Je me retrouve sur le dos, Sandrine a enfourché mon torse à l’envers et entreprend de me dévêtir, et pendant qu’elle s’acharne sur mon pantalon son cul se trémousse à quelques centimètres de mon visage.

De sa vulve s’échappent des filets de liquide gluants qui pendent tels des fils luisants avant de se répandre sur ma chemise, je crois bien que je n’ai encore jamais rien vu d’aussi excitant.

Soudain tout cela me saute littéralement à la figure, deux fortes cuisses enserrent ma tête, la chatte baveuse que j’étais en train d’admirer m’écrase le visage et en même temps une bouche gourmande vient de se refermer sur mon sexe.

Si je le pouvais, je crois bien que je hurlerais, mais je suis incapable de produire le moindre son.

Mon nez se trouve exactement devant l’anus alors que ma bouche se remplit de sucs au goût salé.

Je retrouve l’odeur de l’entrejambe des slips que je reniflais à l’époque mais en mille fois plus puissante.

Une odeur âcre de sueur et d’urine séchée qui me fait tourner la tête ainsi que durcir la queue.

C’est plus que je ne peux en supporter et mon sexe se met à dégorger son foutre dans la bouche de Sandrine quelques secondes à peine après y avoir pénétré.

Je m’en veux car elle pousse un grognement pas vraiment de satisfaction, et sa subite immobilité ne me rassure pas vraiment.

Nous restons ainsi plusieurs minutes, ma queue à peine ramollie toujours prisonnière des lèvres de ma maîtresse et mon visage enfoui dans les effluves de son sexe, quant soudain un torrent brûlant me submerge, me noie, m’étouffe.

Sandrine se venge, elle vide sa vessie dans ma bouche.

Ses cuisses me bloquent la tête comme un étau et je n’ai pas la moindre chance de me dégager.

La seule issue pour ne pas m’étrangler est d’avaler et de boire le liquide chaud et nauséabond qui se répand sur moi.

Elle avait une grosse envie et cela dure longtemps, mais le plus incroyable c’est que bien après la fin de sa miction, je me surprends à continuer de lécher, d’aspirer et de nettoyer avec frénésie cette vulve pisseuse.

Sandrine me libère enfin et se retourne, son visage au-dessus du mien elle entrouvre ses lèvres et laisse échapper un long filet de bave qui n’est autre que mon propre sperme mélangé à sa salive.

Le liquide visqueux me souille le visage un peu plus, finalement, comme chez le dentiste, j’ouvre très grand la bouche pour recueillir ce surprenant nectar.

Cet acte pervers a pour effet de redonner toute sa vigueur à mon sexe et voilà que je bande à nouveau comme un taureau.

Bien décidée à en profiter mon adorable tortionnaire s’assied sur moi en guidant ma verge dans son vagin.

Sa y est je baise une fille, enfin presque car c’est bien elle qui dirige notre accouplement et je suis bien incapable de faire quoi que ce soit.

Elle me regarde en souriant tout en montant et descendant sur ma queue, je me concentre pour ne pas jouir trop vite une nouvelle fois.

Ses seins lourds tressautent au rythme de ses mouvements tandis qu’elle fait disparaître sa main droite derrière son dos après avoir soigneusement enduit ses doigts de salive.

La pression qui se fait sentir sur ma queue me confirme qu’elle s’est introduit un ou plusieurs doigts dans le cul.

Du coup je la traite de :

— Grosse salope !

Je n’aurais pas dû car immédiatement ses doigts sortent de son anus pour s’introduire de force dans ma bouche, évidemment je m’applique à les sucer avec délectation.

Après plusieurs allers-retours entre ma bouche et son trou du cul c’est dans ce dernier qu’elle a choisi de les laisser.

Ses mouvements se font de plus en plus rapides, ses yeux sont révulsés et de la salive coule de la commissure de ses lèvres, elle atteint l’orgasme en criant des mots incohérents alors que mon foutre se répand au fond de son vagin.

Décidément ma sur n’est pas une égoïste, elle partage tout, et plaçant sa vulve juste au-dessus de mon visage elle laisse couler le jus de nos jouissances mélangées directement dans ma bouche.

J’avale avec gourmandise le liquide dont je goût salé et la consistance me rappellent un peu une dégustation d’huîtres, un vrai repas de fête.

Après de longs baisers passionnés elle me susurre à l’oreille :

— Joyeux anniversaire petit frère ! ! !

Que je n’oublierai certainement jamais.

Puis direction la douche, mes vêtements sont trempés et sentent la pissotière.

Sandrine me propose d’utiliser quand je rentrerai un jean et un pull de mon beau-frère, il est à peu près de la même taille que moi.

S’il savait comment sa femme occupe son temps libre il voyagerait sans doute un peu moins !

Pendant ce temps la nuit est tombée et bien entendu le médecin n’est pas venu, elle ne l’avait jamais appelé car elle n’est pas plus malade que moi.

Sandrine a tout simplement utilisé ce prétexte pour me faire venir et m’offrir ainsi le plus beau cadeau d’anniversaire que je n’ai jamais eu.

Mais la fête n’est pas finie car elle me demande de rester pour dîner puis téléphone à notre mère pour l’informer qu’en raison des mauvaises conditions de circulation je passerai la nuit chez elle.

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