Orgie à Marrakech
Ridicule, Mélanie ne trouvait pas d’autre mot pour se décrire à l’heure actuelle. La musique était assourdissante, sa mince robe noire lui collait à la peau sous l’effet de la chaleur de la boîte de nuit couplée par la chaleur nocturne de Marrakech. La jeune femme se sentait nue, elle savait que sa robe était trop moulante et que son string était visible à des kilomètres à la ronde… et que dire de ses petits tétons fièrement redressés qui formaient deux petites bosses sur le tissu ?
Heureusement pour la vacancière, elle savait que personne ne la remarquerait, même ce soir vêtue comme la première allumeuse venue. Personne ne faisait jamais attention à elle, elle qui se faisait toute petite sur un sofa obscur de la boîte de nuit. Le mot discrétion résumait sa vie. Petite, elle était toujours celle que le professeur oubliait pendant l’appel, toujours cachée sous de gros pulls et des vêtements trop amples, en grandissant, la tendance avait continué, tout en empirant. Jusqu’à ce soir, la vie de Mélanie se résumait à se fondre timidement dans le décor, et elle était heureuse de cette vie.
Mais ce n’était pas le cas de ses deux meilleures amies : Roxana et Julie qui avaient décrété à la place de Mélanie qu’elle était malheureuse. Pour y remédier, les deux femmes avaient décidé (sans demander l’avis de Mélanie évidemment) qu’il fallait la sortir de sa zone de confort, d’où les vacances à Marrakech, la robe ultra-sexy et les talons de dix centimètres qui donnaient à la petite rousse l’impression de marcher sur des échasses. Les deux compères avaient donc décrété les « Vacances pour changer la vie de Mélanie » ouverte. Mais visiblement, les deux femmes avaient oublié que Mélanie devait être le centre de leurs vacances. Elles avaient abandonné Mélanie comme une moins que rien pour s’occuper de leurs propres plaisirs. Roxana, la pulpeuse, dansait quelques mètres plus loin, un garçon lui collant langoureusement les fesses et un autre avait la tête plongée dans son décolleté massif.
Quant à Julie, c’était encore pire, après s’être mise à genoux pour un homme dans les toilettes elle s’était éclipsée, et devait être occupée à se faire prendre dans une obscure chambre d’hôtel de la ville, comme la première salope blonde venue, tellement cliché.
Mélanie n’avait donc plus que pour compagnie les bouteilles offertes par tous les hommes, qui au cours de la soirée avaient espéré mettre les filles dans leurs lits. Certains avaient bien aussi tenté avec elle, mais sa timidité maladive avait repris le dessus, et la jeune Française n’avait pas réussi à aligner deux mots, les hommes l’abandonnant petit à petit avec un sourire moqueur. Alors ce soir-là, Mélanie fit quelque chose de dingue, qu’elle n’avait jamais fait en petite fille modèle : elle but. Et après avoir aligné les shots de vodka, pour la première fois, elle trouva le courage de prendre une décision par elle-même. Elle laissa ses copines en plan, en leur souhaitant de tomber sur des mecs impuissants ou de chopper des MST. Sur son visage se dessinait le sourire mauvais de la petite rebelle qui s’éveillait en elle. Elle tendit le papier avec l’adresse au taxi et rentra au complexe touristique sous la belle nuit de Marrakech… Fière de s’être enfin rebellée.
En arrivant devant le complexe de résidence, Mélanie constata à la musique que la fête était encore plus forte ici qu’en boîte de nuit. Alors qu’elle passait devant le un vigile, celui-ci lui claqua les fesses, et lui palpa son petit cul comme si de rien n’était. Elle était rouge, mais n’osa rien dire, ce soir, elle était peut-être une rebelle, mais rentrer en conflit avec un homme était encore un peu au-dessus de son niveau de novice. Puis l’homme lui dit en rigolant qu’elle était en retard et la poussa à l’intérieur de la villa qu’il gardait… Mélanie se stoppa net, les yeux écarquillés.
Une fête battait son plein, mais pas n’importe quelle fête : une orgie ! Des filles nues ou dans des tenues indécentes courraient partout, riaient, suçaient ou se faisaient baiser par des hommes, tous Arabes. Mon Dieu, elle était tombée dans une des légendaires soirées de Marrakech dont raffolent les magazines d’enquêtes à sensation. Et avec sa tenue, on l’avait prise pour une… non elle n’osait pas le dire, elle ne voulait pas rendre la chose plus réelle, même si une certaine chaleur commençait à monter dans son bas-ventre à l’idée de ce quiproquo. Mélanie était rouge de honte et aurait voulu fuir par la porte, mais elle sentait le corps massif du vigile collé contre son corps tremblant, lui empêchant toute retraite.
Alors, elle prit la décision la moins sensée de la soirée, elle plongea au cur de la soirée, espérant se réfugier dans une chambre vide ou des toilettes jusqu’au petit matin, espérant qu’il briserait l’illusion de situation. Malheureusement pour elle, son plan avait une faille : trouver une chambre vide. Dans la première, elle vit une magnifique beurette aux yeux noisette se faire prendre en levrette, la femme était magnifique, cambrée, le regard fier, digne dans sa position de chienne. Mélanie se mordit la lèvre et l’envia, tandis qu’intuitivement, ses mains descendirent vers son antre, mais elle se stoppa net quand le regard de l’homme croisa le sien et elle s’enfuit à toute jambe.
Paniquée, elle se réfugia dans la première chambre venue. Et s’affaissa contre la porte, le cur tambour battant. Puis après avoir repris son souffle, elle remarqua deux petits yeux la fixant, horrifiée, Mélanie constata qu’elle n’était pas seule. Elle vit dans un fauteuil rouge un arabe lui faisant face, un sourire carnassier sur le visage.
Approche ma belle, dit l’homme d’une voix autoritaire, habituée à diriger.
Mélanie qui n’avait déjà pas vocation à la désobéissance dans son caractère obéit, interdite. Arrivée à hauteur du fauteuil, l’homme l’agrippa et la posa fermement sur ses genoux. Là, il posa une main ferme et dominante sur le cou de Mélanie, tandis que l’autre passa sous sa robe, et lui caressa le corps comme si elle lui appartenait. La jeune femme fut prise de spasmes au contact des doigts étrangers sur sa peau lisse. Après avoir senti le cou de Mélanie, l’explorateur s’exclama pour lui-même.
Hum, Ahmed s’est dépassé, il a réussi à trouver une blanche à fourrer. Et en plus une rouquine… et ces petites taches de rousseur, miam !
Mélanie tressaillit en entendant les mots de l’homme qui la décrivait tandis que ses doigts bronzés exploraient le corps de la jeune femme, revenant jouer régulièrement avec les petits tétons de sa future victime. Puis l’homme la fixa.
Whore, you are so pretty, dit l’homme dans un anglais impeccable, visiblement, il prenait Mélanie pour une fille de l’Est. Are you Croatian ? Serbian ? Romanian ?
Mélanie, paralysée et complètement subjuguée par l’homme, n’osa rien dire et se contenta de hocher la tête, avec un peu de chance, il ne lui ferait pas la conversation, surtout si l’homme pensait qu’elle parlait à peine anglais. Terrible erreur, puisque cela la déshumanisa un peu plus aux yeux de l’homme qui ne trouvant plus de liens affectifs, ne la considérait dès lors plus que comme un objet à baiser.
Bon allez, fais ton travail salope ! dis l’homme avec fermeté, malgré l’excitation perceptible dans sa voix. On va voir comment sucent les blanches, ne leur fais pas honte.
Étrangement, la situation avait totalement désinhibé Mélanie, comme l’attestait son string totalement trempé de mouille. Mélanie, la petite employée de bureau française de banlieue n’était plus… ce soir, elle n’était qu’une femme de joie de l’est, à l’autre bout du monde et légèrement ivre. Elle jouait un rôle, elle n’était plus elle : la fille timide, l’étoile de mer aux deux ou trois amants, mais une putain qu’un bel homme désirait avec ardeur (et ça, elle n’en avait pas l’habitude.) Aussi, elle s’abandonna à l’homme.
Elle était à genoux devant le mâle en rut, le sexe en érection tendu devant elle. Avec un appétit non feint, elle lécha la verge sur tout son long, tout en frissonnant. Elle était délicieuse. Elle s’empressa de la fourrer dans sa bouche humide et commença la meilleure pipe de sa vie sous les râles de plaisirs de l’homme.
Les blanches sont vraiment les meilleures suceuses, haletait l’homme. À croire qu’elles sont nées avec un chibre dans la bouche. Continue !
Et Mélanie ne se fit pas prier, elle avançait sa bouche de plus en plus loin sur la verge, bavait allégrement dessus. Ce soir, tout semblait lui réussir, même les gorges profondes, alors qu’elle n’avait sucé qu’une dizaine de fois tout au long de sa vie. Dans le même temps, sa main fraîchement manucurée était passée sous sa robe, et deux de ses doigts étaient déjà au cur de sa chatte.
D’un coup, l’homme retira Mélanie de sa bite en la tirant par les cheveux et la balança sans ménagement en direction du lit. Là, il lui posa la tête sur le matelas et la fit se cambrer. Il tenta de mettre un doigt dans la chatte de la jeune Française, et fut surpris de le voir se faire aspirer, en général, les poules de luxe avaient besoin de lubrifiant pour se faire pénétrer. La bite de l’arabe s’agita, sentant que ce soir, il se passait quelque chose, et quelques secondes plus tard, elle se trouvait au cur de l’intimité humide de Mélanie qui poussa un cri rauque de plaisir.
Elle devenait folle… tant de temps que l’on ne l’avait pas baisée, et voilà qu’elle était prise en levrette par un arabe, beau et ultra-bien membré. La pièce n’était maintenant plus que remplie des cris de plaisirs de Mélanie, des râles de délectation de l’homme et surtout du bruit des couilles sur le petit cul de Mélanie ainsi que les claquements sonores des fessées régulières sur la croupe blanche. Mélanie se faisait littéralement démonter comme une vulgaire radasse, pourtant elle était heureuse… et dire que la nuit ne faisait que commencer pour elle.