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INITIATION PERVERSE – Chapitre 1




INTRODUCTION

Cette nouvelle est une suite de correspondance . En fait c’est un échange de mail ( J’ai eu l’idée bien avant un grand auteur à succès) qui relate les relations virtuelles entre un homme et une femme.

L’HISTOIRE

Un couple , 50 pour madame et 62 pour monsieur, pour fêter le départ en retraite du mari, part en vacances une semaine au Sénégal, avec un couple d’amis encore actifs.

lors de ce séjour , la femme du 1er couple (la narratrice) , déçue par le programme excursions reste à l’hôtel avec l’ami qui partage la même opinion sur la qualité du voyage. Ils lisent et discutent . la femme, séduite par le charisme du monsieur se laisse aller à des confidences de plus en plus intimes. La jeune femme , appelons la Joelle, lui fait part notamment de son "initiation" à la sexualité et à la perversité. La brièveté du séjour ne permet pas d’aller plus loin et conviennent ils alors, de poursuivre leur conversation de manière virtuelle, grâce à l’’échange de mails.

Nota: Cette histoire est inspirée de personnages réelles et de situations réelles. que m’a comté la narratrice qui est en fait ma belle-sur

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Date: Mon, 03 Décembre 2012 22:14:40 +0000

De: philb_2000fr@…

objet: Re: Correspondance privée

A: joelle410@…

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Chère Joelle

Voilà plus de 15 jours que nous sommes revenus de notre séjour africain. Votre présence, nos conversations me manquent. Ce jardin secret dans lequel vous avez bien voulu me laisser entrer me manque également . Y aurait il là une sorte d’addiction? En tout cas, chaque jour c’est avec espoir que j’ouvre ma boîte mail et avec désespoir que je constate qu’il n’y a pas de courrier de vous. Prenez vous plaisir à me faire souffrir ou m’avez vous déjà oublié en même temps que vos promesses?. Ce besoin de connaître votre passé m’obsède, je vous en conjure , racontez moi ce que vous avais évoqué lors de notre dernière conversation. Qu’est ce que cette "initiation perverse"?….Vous en avez trop dit ou pas assez!!!

Je vous embrasse tendrement

Philippe

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De : c joelle <joelle410@…>

À : Ph B <philb_2000fr@…>

Envoyé le : Lundi 03 décembre 2012 23h45

Objet : RE: Correspondance privée

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Mon cher Philippe

Je ne vous oublie pas, mais je n’ai actuellement pas une minute à moi.

Je vous promets de me mettre à l’écriture le plus tôt possible et de continuer ces échanges intimes qui m’ont également enchantée

Je vous embrasse

Joelle

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De : c joelle <joelle410@…>

À : Ph B <philb_2000fr@…>

Envoyé le : Lundi 10 décembre 2012 16h31

Objet : RE: Correspondance privée

PJ: 1

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Mon cher Ami

Votre insistance à connaître mes premiers pas dans ma vie de femme, ce que vous appelez " mes premières expériences sexuelles", m’a obligée à replonger dans un passé qui me semble très lointain et presque sorti de ma mémoire. Non que j’en ai honte , mais n’en ayant pas gardé un très bon souvenir , j’ai beaucoup de mal à resituer les évènements dans le temps et surtout à en retrouver, ce que l’on pourrait appeler "l’ambiance", "la saveur" ou "l’amertume"….je vous livre donc sans façon cette petite tranche de ma vie.

Comme je crois vous l’avoir dit, je suis Auvergnate d’origine, bien que, vous en conviendrez, une blonde à la peau claire, n’est pas le type dominant de cette région. Toute jeune, je suivis mes parents au gré de leurs pérégrinations professionnelles. Je passai ainsi, une grande partie de ma jeunesse et toute mon adolescence en Charente où j’habitais un gros bourg à la limite de la Dordogne. Ma scolarité, sérieuse sans être brillante s’y déroula donc de 8 à 14 ans. A la fin du collège, je dus quitter ma petite ville, mes habitudes et un environnement familial sécurisant pour aller à Angoulême, la grande ville, distante de 30 km, poursuivre mes études au lycée. Bien loin d’être traumatisante, cette nouvelle vie m’excitait car elle s’annonçait trépidante et pleine de découvertes

J’avais 14ans 1/2 quand je rentrai interne en seconde. Ma première année d’internat fut difficile, je ne supportais ni les contraintes, ni surtout, la promiscuité avec les autres élèves ,(on était encore à l’époque des dortoirs de 30 lits). Sans être une rebelle, j’enviais la liberté des externes et des demi-pensionnaires. Malgré cela, je réussis à "tenir le coup" toute l’année . Dès juin, cependant, je commençai à "tarabiscoter" , d’abord mon père, que je sentais plus à même de céder à mon caprice, puis ma mère, pour ne pas passer une autre année dans ces conditions. Rien n’y fit et j’attaquai donc mon année de première sous de très fâcheux auspices. Un premier trimestre désastreux ( tout à fait prémédité) réussit enfin à convaincre, mes parents, que la solution, pour une scolarité épanouie, était dans un retour au bercail à la fin des cours. Je pris donc un abonnement SNCF et fis le trajet matin et soir.

Cette fréquentation régulière de la gare me permit de lier connaissance et de sympathiser avec les employés et plus particulièrement l’un d’eux J’avais à peine 16 ans, il en avait près de 30 et je le trouvais beau comme un Dieu . C’est vrai qu’il était extrêmement séduisant et les bruits les plus élogieux courraient sur son compte quant à ses succès féminins. Sa vue, son sourire, ses plaisanteries me transportaient et je crois même un peu plus. Son visage accompagnait toujours mes caresses nocturnes. (il m’est même arrivée d’aller me calmer dans les toilettes du train après l’avoir vu le matin), bref j’en étais folle. J’eus quand même à l’époque mon premier amour d’adolescente, sous les traits d’un jeune homme, prénommé François, qui me fit passer de l’état de jeune fille à celui de femme (enfin me plaisait il de le penser) sur le siège arrière de sa R10. Je restai quelques semaines avec lui, mais cette première expérience ne me laissa pas un souvenir impérissable, je n’avais eu aucun plaisir mais simplement la sensation d’avoir effectué une sorte de passage initiatique indispensable. Je fis immédiatement porter la responsabilité de cette déception sur le manque d’expérience de mon jeune amant.

J’en étais donc là de mes troubles d’adolescente quand arriva le jour où ( appelons le Roméo) me proposa de faire la baby Sitter auprès de ses deux filles, le samedi et dimanche, quand le couple serait de sortie. (Sa femme, très belle, travaillait dans une pharmacie et, comme son mari, traînait une réputation plutôt sulfureuse). En conséquence je m’étais bien gardée d’informer mes parents.de ce "job" et prévoyai déjà d’imaginer quelques soirées chez des copines mises dans la confidence. Au delà de gagner quelque argent, je voyais la évidemment une occasion de me rapprocher de mon idole

Ma première "garde" eu lieu, un soir de printemps où le couple avait projeté d’aller au cinéma. C’était l’époque des mini jupes et ayant de belles jambes, je m’habillai avec ce que j’avais de plus court (à ras le bonbon comme on disait). Cette première soirée fut sans doute l’élément déclencheur d’un cycle pervers incroyable qui me transforma durablement. Je me souviens encore que je tremblais un peu ( ou plutôt frissonnais) lorsque j’actionnai la sonnette du portail de leur maison. Ce fut Roméo qui apparut sur le perron de la porte d’entrée et me fit signe d’avancer. Mes jambes flageolaient quand je m’approchai de lui. Il m’accueillit avec un grand sourire et m’embrassa tendrement (je voulais le croire) sur les joues. Quand je passai devant lui, je crus sentir un frôlement de sa main sur ma hanche et j’attendis la suite avec un mélange de trouille et d’envie…mais rien. Quand sa femme s’approcha à son tour pour me passer les consignes, J’ eu bien du mal a adopter une attitude en accord avec mes fonctions et je crois bien que j’étais rouge comme une pivoine.

Quand j’eus couché les petites, mue par un sentiment de curiosité ( maladive ou jalouse), je me glissai dans la chambre du couple, fouillant l’armoire, m’imprégnant du parfum qui restait sur les cols de chemises,, caressant les cravates…….j’étais au 7ème ciel. Par contre, je fus extrêmement troublée, quand je trouvai en bas de l’armoire tout une panoplie digne des meilleurs sex shop. Dans un grand sac, Il y avait un assortiment de tenues sexy, de vibromasseurs et même des menottes et une cravache.

Je ne saurai dire si je fus choquée ou excitée. En tout cas quand ils rentrèrent, je pense les avoir regardés différemment.

Cette première "garde" avait ajouté le masque du mystère à l’auréole du séducteur et ne m’en avait rendu que plus folle de lui et

vous imaginez aisément qu’elle fut ma nuit………

Comme promis lors de notre séjour, voici une photo de moi en tenue disons….légère

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Date: Mon, 10 Décembre 2012 :16:52 +0000

De: philb_2000fr@…

objet: Re: Correspondance privée

A: joelle410@…

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Bonjour Joelle

Votre histoire me transporte de joie. Quel plaisir de vous lire.

Je vois que chez vous la sexualité n’attend pas le nombre des années.

Pour agrémenter ma lecture je n’ai pas manqué de contempler la photo que vous avez eu la gentillesse de me faire parvenir et je peux vous rassurer , vos jambes sont toujours très belles et de plus elles conduisent tout droit à votre chatte à peine dissimulée derrière un minuscule bout de tissu, j’adore.

Je suis impatient de connaître la suite de votre initiation.

Bises sensuelles ma chère Joelle

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