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Souvenirs d'hier et d'aujourd'hui – Chapitre 3




Résumé : Je suis en vacance avec mes parents, ma sour et ma cousine. Mon père doit repartir à cause de son travail. Je découvre que ma cousine dévergonde ma sour. Ma mère a sympathisé avec un maître-nageur très sympa d’origine africaine : Akim. Ayant appris que mon père la trompait, ma mère décide de se venger en s’envoyant en l’air avec Akim. De mon côté, je retrouve Thomas, un copain, qui m’emmène découvrir une pute black particulièrement perverse. Quand je rentre à la maison, je découvre Akim et ma mère qui ne se cache plus. Quand soudain, mon père arrive.

— Putain, papa arrive !

— Quoi, ton père arrive ! fait Akim. Si c’est une blague…

Il se lève et me rejoint à la fenêtre.

— Emmène la salope dans sa chambre ! Merde ! Moi qui voulait la défoncer…

Mon père arrivait par le jardin et la maison n’avait que cette issue pour sortir. Akim est allé se cacher dans la chambre de ma sour et de ma cousine tandis que j’accompagnais ma mère dans sa chambre. Ma mère ne pensait qu’à une chose : se faire baiser. J’ai bien eu du mal à l’emmener dans sa chambre. Elle se jeta sur le lit et se mit à se branler. Elle réclamait une queue. Soudain, elle se mit debout. Et, sans que j’ai pu faire quoi que se soit, elle m’a baissé mon short. Elle s’est jetée sur moi. J’ai eu toute les peines à la repousser. Elle est retombée sur le lit.

— Non, mais maman, tu es devenue folle ? Je suis ton fils.

— Une queue, je veux une queue ! suppliait-elle.

Je suis allé dans la salle de bain de la chambre. Elle avait besoin d’une bonne douche froide pour qu’elle reprenne ses esprits. Alors que j’allais tourner le bouton de la douche. J’ai entendu mon père qui pénétrait dans la chambre.

— Eh ! Bien, tu m’attendais ! Tu es quand même une belle salope !

J’ai jeté un coup d’oil, inquiet. Mais, j’ai été vite rassuré. Mon père la baisait à grands coups de bites. J’entendais une fois de plus ma mère prendre son pied. J’avais la bite dure comme de la pierre. J’en pouvais plus. Bon sang, quel été ! Jamais je n’aurais imagé que ma mère était une telle salope.

J’en entendu un grand râle de ma mère. Mon père se releva et quitta la chambre. Prudemment, j’ai quitté la salle de bain. Ma mère était out ! Elle semblait dormir. Là, je n’ai pas pu me retenir, j’ai joui sur ses gros seins. Quelle salope quand même ! Après avoir déchargé, je me suis senti vraiment mal à l’aise. Pas fier de moi. J’ai quitté la chambre pour aller rejoindre la mienne.

Là, j’ai entendu des gémissements venant de la chambre des filles. Soudain, je revois Akim qui allait se cacher… Et si… Non, ce n’est pas possible ! J’ai vraiment l’esprit pervers.

— Jean, tu peux venir une seconde.

Je me suis retourné et j’ai vu mon père qui m’appelait.

— Salut mon grand ! Alors, ces vacances se passent bien ?

On est allé ensemble dans le salon et on a parlé. Je lui ai raconté mes activités (du moins la partie racontable) et lui m’a parlé des soucis avec l’entreprise. Qu’il jouait gros : son renvoi ou le poste de vice-président. Quelques temps après, ma mère nous a rejoint. Elle était redevenue, enfin, elle-même: une mère chaleureuse et tendre. Bref, la mère que j’adorais le plus au monde.

Quand la porte des filles s’est ouverte, je me demandais qui allait sortir. J’ai été rassuré de voir ma sour et ma cousine Marie. On est passé à table tous ensemble. A la fin du repas, ma cousine Marie entraîna mon père dans le salon tandis que ma soeur faisait sortir Akim de leur chambre.

Il embrassa goulûment sur la bouche ma sour et ma mère et leur donna une tape sur leur fesse avant de quitter la maison. Ouf ! Il était enfin parti.

***

C’est vers trois ou quatre heures du matin, que je me suis réveillé. Enfin, papa est là. La situation va redevenir normale. La façon dont s’est comportée ma mère me révoltait mais d’un autre côté m’excitait vraiment. J’avais quand même un peu honte de m’être branlé sur ses seins. Mais, bon ! Le passé est le passé et comme elle était inconsciente…

Je me suis levé pour aller boire un coup à la cuisine.

J’ai entendu du monde dans le salon. Curieux, j’ai décidé d’y aller voir. Là, il faut dire que j’ai bien été surpris. Mon père se faisait sucer la bite par ma cousine Marie. Et mon étonnement fut encore plus grand quand Akim fit son apparition.

— Alors, fit mon père, tout se passe bien ?

— Parfaitement, répondit Akim, tout marche. Elles seront bientôt prêtes.

— Ah ! Heureusement que vous êtes là. Sans vous je n’aurai pas su quoi faire.

— Ba ! fait Akim, les amis c’est fait pour cela.

— Marie, tu es ma nièce favorite, la reine des suceuses de bites.

Mon père prit la tête de Marie et lui enfila toute sa bite dans la bouche pour y jouir.

— Aaaa ! Ouiiiiiiiiii ! Bouffe tout salope……… Tu es pire que ta mère.

Marie se lécha les babines pour récupérer un peu de sperme qui avait giclé hors de sa bouche.

— Bon, fait mon père, demain je repart. Vous mettez les bouchées doubles. La date fatidique approche. Il faut que tout soit prêt.

— T’inquiète pas, fait Akim, en enfonçant, à son tour, sa bite dans la bouche de Marie, tout sera prêt.

Je les ai laissé pour retourner dans ma chambre. Qu’est-ce que tout cela veut dire ? Est-ce que papa veut divorcer et veut faire prendre maman en flagrant délit ? Non ! Cela doit être autre chose ! Mais quoi ? Je me suis recouché en me ressassant mille et une question. Puis, soudain, j’ai repensé à la conversation que j’ai eu avec mon père à sujet de son travail. Mais je n’ai pas eu le temps d’approfondir car je me suis endormi.

***

Le lendemain matin, on a tous pris le petit déjeuner. Mon père annonça qu’il devait repartir le soir même pour son travail. Maman protesta en disant qu’il nous abandonnait. Ayant fait tomber ma petite cuillère, je me suis naturellement baissé pour la ramasser. C’est là que j’ai vu clairement la main de mon père qui branlait ma cousine Marie. Quelle salope ! Dire que si cela se trouve tout le monde l’a baisé sauf moi. Ah Marie ! Combien de fois je me suis branlé en pensant à toi.

Bon, c’est pas tout cela, j’avais rendez-vous avec mon copain Thomas sur la plage et j’avais espoir de revoir la pute black. Bon sang ! Quelle femme !

Mais, mon père en décida autrement.

— Comme je part ce soir, on reste en famille aujourd’hui.

Je rageai intérieurement. Rien que la pensée de m’éclater avec la pute black me faisait bander à mort. Et je vais galèrer la journée ici. J’ai passé un coup de téléphone à Thomas pour l’avertir. Il était désolé car il avait trouvé quatre mecs pour la pute et on aurait pu la baiser gratuitement. Aaaah non, c’est pas vrai, ils vont être sept à la baiser par tout les trous et je ne serais pas là…

Quand j’ai raccroché. J’avais la haine.

J’ai été détestable toute la matinée. Ma mauvaise humeur ne s’est pas arrangée quand j’ai surpris dans le jardin ma cousine Marie qui embrassait fougueusement ma soeur sur la bouche tout en la pelotant. Quand à mes parents, ils ne faisaient que s’embrasser. J’en pouvais plus. Il fallait que je me barre ailleurs.

***

Après le repas de midi, tout le monde a décidé une sieste au soleil. Les filles et ma mère se sont allongées les seins nues. Moi, franchement, je m’emmerdais à mort. Les bains de soleil ne sont pas mon fort. Quand je pense aux copains qui doivent baiser à mort la pute….

A un moment, mon père demanda à ma cousine de l’accompagner pour aller chercher des boissons fraîches. Tu parles du prétexte. Je suis sûr qu’il doit la baiser à mort dans la cuisine. Curieux, je suis allé voir. Et… rien ! Ils ont juste fait l’aller et retour pour amener les rafraîchissements. Curieusement, j’étais à la fois partagé entre le soulagement et le regret de ne pas les avoir surpris en plein action.

C’est vers 17 heures qu’Akim a fait son apparition accompagné par l’un de ses cousins. Le visage de ma mère est devenue livide. Et, à sa grande surprise, les deux hommes se firent une accolade.

Mon père nous présenta Akim comme un vieux copain d’école. Akim répondit à mon père qu’il nous connaissait déjà car ma mère prenait des leçons de nage avec lui.

— Akim, comme je suis content de te revoir. Les filles méfiez-vous de lui ! A l’école, il s’est envoyé presque tout ce qui portait une jupe, plaisantait mon père.

Puis, ils se sont lancés dans des souvenirs d’école, pour la plus part assez sexe.

— Rappelle-toi la fois où tu as enculé la prof de français

— Oui ! se mit à rire Akim. Elle croyait que c’était son petit amis. Tu te souviens de la tête qu’elle faite quand elle nous a tous vu…

— Tu penses, fait mon père, on a passé l’après-midi à la baiser en compagnie de tous les mecs de la classe.

Ils ont continué un moment de parler puis ils sont allés boire un coup à la cuisine. Dès qu’ils eurent franchis le pas de la porte, le cousin d’Akim s’est mis à peloter les gros nichons de mère. Elle ne protesta pas longtemps et écarta même les cuisses quand l’une de ses mains s’engouffra dans sa culotte.

— Akim m’avait bien dit que tu étais une grosse cochonne…

— Oui, oui murmura maman

Pendant ce temps, ma cousine dit quelque chose à l’oreille de ma sour. Elle rougit, hésita. Marie la regarda, puis tira sur le côté la culotte de son maillot de bain pour lui montrer sa chatte.

— Allez, suce salope !

Je vis alors ma sour se jeter sur la chatte de ma cousine et la lécher.

C’est pas vrai ! Cela recommence.

Je me suis éloigné d’eux. Je bandais à mort. Et puis, j’avais dans la tête pleins de questions.

Qu’est-ce que c’est ces fausses retrouvailles avec Akim. Qu’est-ce pouvait bien manigancer mon père ?

— Ah ouuuui, ouiiii fit ma mère.

Je me suis retourné et j’ai vu le cousin d’Akim qui baisait à couille rabattus ma mère qui s’était mise à quatre pattes. C’est pas vrai ! Quelle chienne ! Alors que mon père est dans la cuisine et pouvait revenir à tout instant. Ma cousine, à côté, prenait également son pied sous la langue vorace de ma sour.

Je suis sorti du jardin et je suis resté un moment dans la rue.

C’est alors que je l’ai vu pour la première fois. Ce moment restera gravé à jamais dans ma mémoire. Je ne savais pas, alors, que ce moment bouleversera toute ma vie.

(A suivre)

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