Jeudi dernier, comme tous les jeudis après-midi, je suis parti faire mon jogging au Parc de la tête d’or à Lyon. Il était 19h lorsque j’ai pris le bus en direction du parc. Les gens rentraient du travail et le bus était plein à craquer. Je me tenais debout au milieu du car. J’avoue que je suis très vicieux et que souvent dans des situations semblables j’essaie discrètement de m’approcher des femmes pour me frotter contre leurs fesses ou de sentir leur poitrine toucher le haut de mes bras. Parfois elles sont complices, mais le plus souvent elles restent de marbre et ignorent mes manuvres discrètes. Mais ce jour là, j’étais plutôt spectateur qu’acteur avant d’être moi-même pris au piège. Voilà comment les choses se sont passées : Après deux arrêts j’aperçus le manège d’un jeune noir, lui aussi en tenue de jogging, se tenant debout pas loin de moi: il se trouvait derrière une femme et sans beaucoup de discrétion il avançait son bassin pour se frotter contre les fesses de cette dernière. La femme, proche de la cinquantaine et très BCBG, ne bougeait pas et regardait droit devant elle. Quelques secondes après le noir était littéralement collé contre les fesses de la femme et sa poitrine touchait son dos. La femme, d’abord impassible, a commencé à se dégager mais avec le monde qu’il y avait autour ce n’était pas bien facile. Elle s’est alors retournée et, l’air offensé, a regardé le noir en lançant un oufff ! qui a attiré l’attention des gens qui se tenaient tout de suite à côté d’eux. Le jeune homme noir, dissuadé, a vite reculé et a changé de position. Il était à présent face à moi. À l’arrêt suivant j’ai profité du mouvement des voyageurs pour m’approcher du noir. Je me tenais debout à côté de lui. J’espérais qu’il recommence avec une autre car de là où je me trouvais maintenant, je pouvais bien voir son manège. Mais quelques secondes après j’ai senti quelque chose frôler ma cuisse droite. Le frôlement
est devenu de plus en plus précis: le jeune noir se collait de plus en plus fort contre ma cuisse! Je sentais nettement sa bitte se presser contre ma cuisse. Ce noir devait être un bisexuel. Je lui ai tourné le dos pour me dégager. Le bus était toujours plein à craquer et il n’était vraiment pas facile de bouger. Après quelques mouvements laborieux j’ai réussi à lui tourner le dos et à prendre un peu de distance mais il a aussitôt avancé vers moi et s’est carrément collé contre mes fesses. Là, j’ai senti nettement son sexe durcir en quelques secondes contre la raie de mes fesses et d’un seul coup une sensation étrange et agréable m’a envahi. La sensualité du contact et l’incongruité de la situation m’excitaient au maximum. Dans mon jogging je bandais et j’avais du mal à dissimuler mon excitation ou à contrôler mes mouvements. Machinalement j’ai appuyé très fort mes fesses contre sa bitte que je sentais de plus en plus dure et grosse. Le tissu fin de nos joggings facilitait le contact. Mon cur battait très fort et une intense excitation me coupait le souffle et me faisait tourner la tête. Je ne faisais même plus attention à la foule serrée des voyageurs qui nous entourait. Tous les deux, on bougeait imperceptiblement nos bas ventres et sa queue que je devinais très grosse s’écrasait contre mes fesses. Il a avancé sa main droite et l’a posée sur mon sexe en folie. Moi, toujours dans un état second, j’ai passé discrètement ma main gauche derrière moi et j’ai empoigné sa bitte. Dans l’état où j’étais, je me moquais complètement des autres voyageurs et du fait qu’ils puissent s’apercevoir de quelque chose.
J’ai touché et malaxé sa queue, c’était très excitant. Nous n’avons pas pu continuer plus longtemps car le bus est arrivé devant le parc et tout le monde est descendu. L’homme noir est passé devant moi et s’est dirigé vers le parc. À un moment il s’est retourné et m’a jeté un regard comme s’il voulait s’assurer que je le suive. La nuit commençait à tomber et la lumière du
jour baissait sensiblement. Après quelques minutes de marche dans les allées du parc, il a pris un petit chemin et s’est dirigé vers un WC public caché au milieu des arbres. Il faut dire que les WC du parc sont souvent, à la tombée de la nuit, le lieu de rencontre des pédés de tous genres. Je l’ai suivi et lorsque je suis arrivé devant le WC je l’ai vu, le dos appuyé contre le mur et pantalon baissé en train de m’exhiber sa tige dressée, longue, épaisse et gorgée de désir. Sans attendre, j’ai sorti ma queue
et, la tenant entre mes doigts, je me suis approché de lui. J’ai frotté ma queue contre la sienne et ainsi, gland contre gland, nous nous somme branlés. Au comble de l’excitation, je me suis baissé et j’ai frotté mes lèvres mouillées sur toute la longueur de sa grosse bitte avant de la prendre dans ma bouche pour une voluptueuse fellation. Messieurs, je vous conseille vivement d’essayer au moins une fois, c’est formidablement excitant de sentir une belle bitte toute chaude, toute douce, aller et venir entre
ses lèvres ! Je la pompais comme un fou lorsque je me suis rendu compte de la présence d’un autre type pas loin de nous. Un type d’une quarantaine d’années et très bien habillé,genre cadre moyen ou supérieur. Il se branlait en nous regardant. Cette chiotte était bien un lieu de rencontre de pédés. Je l’ai regardé et le type s’est approché de nous. J’ai cessé de sucer le noir et bientôt, toujours assis par terre, je me suis mis à les branler tous les deux. Je tenais une queue dans chaque main, je les mettais en contact, je les frottais l’une contre l’autre, j’essayais d’emboucher les deux glands à la fois, je les frottais contre mes lèvres et ma figure. Tout d’un coup j’ai senti que le noir allait jouir. J’ai continué à le branler et j’ai recueilli son sperme dans ma main. Ensuite
je me suis levé et je me suis branlé avec son sperme chaud et gluant. Ça m’a fait jouir très vite. L’autre type a joui tout de suite après moi. Nous nous sommes rapidement rajustés et séparés en partant dans des directions différentes avec peut-être une idée
commune en tête: recommencer cette excitante et voluptueuse aventure