Je m’appelle Frédéric, J’ai 45 ans et je sais qu’à la lecture de ce qui est arrivé, certains d’entre vous ne vont pas manquer de me cataloguer dans la grande famille des salauds, plus particulièrement des salauds qui trahissent les amis, et bien pire encore. D’autres comprendront, voire excuseront, mieux me féliciterons dans ce qu’ils jugeront une bonne action de ma part.

Finalement, la seule incertitude est dans le pourcentage de chaque catégorie. Le pourcentage mais aussi et j’en serais particulièrement fier, si la catégorie me qualifiant de salaud diminue au fil de mon récit.

Un peu hermétique comme introduction ! Vous avez raison, mais je ne sais pas vous, mais pour moi dans la vie tout n’est pas "tout blanc" ou "tout noir". Regardez le discours actuel sur la limite à fixer entre "drague un peu lourde" et "harcèlement", lorsque cela se passe dans la rue, en public.

Pour en revenir à mon histoire, enfin notre histoire, car je ne suis heureusement pas le plus concerné, je vais commencer par le début.

Je suis un auteur d’histoires érotiques, auteur amateur cependant un peu spécialisé dans des récits candaulistes de maris cocus plutôt contents mais aussi avec un soupçon plus ou moins affirmé de soumission. Cela participe de ce que je connais de ma propre sexualité et de celles des partenaires que je côtoie. Certains lecteurs me contactent, je donne toujours mon adresse mail, pour bavarder et parfois échanger nos expériences, voire des photos, des vidéos. Jusqu’à ce jour, je n’avais jamais failli au serment de ne rien divulguer de nos échanges. Ni divulguer, ni utiliser. La confiance est aussi partagée car je parle d’échanges. Nous échangeons, donc moi aussi j’envoie.

Juste une parenthèse pour dire que je suis libertin depuis peu. Avant de rencontrer Martine ma nouvelle compagne, j’avais une vie sexuelle bien classique avec peu de mes fantasmes réalisés, comme beaucoup d’hommes et de couples qui n’osent pas ou n’ont tout simplement pas vraiment envie. Martine, déjà libertine par son premier mari, m’a ouvert les portes d’un autre monde. Aussi, d’une certaine façon ma situation d’avant est encore assez proche pour que je comprenne bien nombre de mes correspondants.

Marc est l’un deux. Depuis quelque temps nous bavardons, nous échangeons. Marc est jeune et a une amie Marie qu’il adore montrer en photos et en vidéo. Sa maitresse ne sait évidemment pas que son copain qui la photographie et la filme montre tout cela à un inconnu. Il n’y a pas d’âges pour cela. C’est un état d’esprit, une sorte de fierté de montrer sa femme, sa maitresse à un autre. Ils sont mignons tous les deux. Comme souvent Marc en voudrait plus, mais sa Marie, si elle n’est pas tombée de la dernière pluie et a eu beaucoup d’hommes avant lui, refuse des actions dont tout homme rêve. C’est pourquoi il a une autre femme dans sa vie. Une certaine Stéphanie, une collègue, qui elle, sait lui donner tout cela.

Ah que c’est difficile de rassembler chez une même personne, amour et sexualité épanouie. Marc aime Marie mais baise en cachette avec Stéphanie qui se donne à lui, sans restriction. Mais ces trois-là travaillent dans la même boite et Marie s’aperçoit de son infortune :

— Salaud ! Me faire cela. En plus avec elle, cette pute d’Stéphanie, cette garce que je croise tous les jours. Mais qu’est-ce que tu peux bien lui trouver ? Je pensais qu’entre nous c’était sérieux, que tu m’aimais comme moi je t’aime.

— Mais je t’aime.

— Alors je ne comprends pas On était bien tous les deux Mêmemême dans la chambre Oh, je comprendsMon Dieu ne me dit pas que c’est celaElle te fait des trucs que je ne fais pasComment tu peux

Marc n’a pas besoin de parler, Marie fait les questions et les réponses et elle a raison. Stéphanie est une maitresse très douée qui donne beaucoup de sa personne, ne refuse rien, mieux réalise les fantasmes qu’il trainait avec lui. Enfin certains

Son silence est un aveu pour Marie. Elle le chasse. Il a beau lui dire que c’est elle qu’il aime, que cette femme c’est juste pour le sexe, l’affront est trop violent.

Marc vient de m’apprendre sa rupture. Mais le destin est farceur, car un mois après, j’apprends que je dois aller à Marseille pour débloquer un chantier. C’est ma spécialité "Monsieur catastrophe" on m’appelle.

Comment appelle-t-on le hasard lorsqu’il pousse le vice à se révéler ? Je ne sais pas mais je dirais qu’un dieu farceur et lubrique a guidé mes pas.

Marc m’avait parlé du quartier où vivait Marie, en particulier de son l’immeuble et j’avais même des photos. Mais pas plus, en tout cas pas assez pour que je trouve facilement. Pour la première fois, j’avais envie de voir vraiment un de mes correspondants. Le dimanche matin alors que je me balade dans ce coin, j’assiste à la sortie de la messe de la petite église de quartier. Et mon Dieu personnel, Dieu lubrique me met en face de Marie. C’est bien elle, enlevant ce fichu qui couvre sa tête. Je reconnais même la robe. Marc ne m’envoyait pas seulement des photos de Marie dénudée et au lit mais aussi en vrai amoureux de sa Marie, habillée pour sortir, en particulier lorsqu’elle se rendait à l’office. Cela m’avait amusé de voir sur les photos, un christ en croix accroché au-dessus du lit alors que le couple batifolait dans des positions autres que "la missionnaire".

Mon sang ne fait qu’un tour. Elle salue des connaissances et s’éloigne.

Je ne sais que faire ? L’aborder ? Oui mais comment justifier, surtout que maintenant aborder une femme dans la rue peut être très mal considéré. Je la suis donc, cherchant une idée. Elle arrive devant un immeuble dont elle franchit le porche. J’attends une minute et l’examen des boites aux lettres me confirme que c’est bien une Marie-Josée Pqui habite au troisième.

Je ne vais tout de même pas taper à sa porte et me présenter comme un correspondant de Marc, un correspondant qui sait tout d’elle.

Je traine dans sa rue. Il y a des commerces traditionnels, boucherie, pâtisserie, fleuriste, cave à vin.

J’ai une idée.

Vingt minutes plus tard, je frappe à la porte de son appart, l’immeuble n’étant heureusement pas fermé avec un code ou un badge au niveau de la rue.

— Oui ? Me demande cette voix que je ne connais que par des gémissements dans les vidéos floues et mal cadrées de Marc.

— Oui ? Vous voulez ? Elle demande.

— Marie-Josée ! J’imagine ! Fais-je comme si c’était une évidence.

— Oui, mais vous êtes qui ?

— Fred, voyons. Je suis bien chez Marie-Josée et Marc ?

— Vous connaissez Marc ?

— Bien entendu, assez pour qu’il m’invite.

— Il vous invite ?

Je prends un air étonné.

— Marc n’est pas là ? Je me suis trompé ? Pourtant je pensais être à l’adresse indiquée.

— Marc n’est plus ici et moi je suis Marie. Si vous connaissez si bien Marc, il aurait pu vous dire que c’est comme ça que l’on m’appelle.

Un long silence.

— Plus ici ?

— Oui.

— Mais il m’a invité il y a à peine deux semaines J’ai accepté son invitationMais j’ai été absent de France depuis etMon dieu, il n’est pas malade ouMort ?

— Non pas du tout. C’est juste que nous sommes séparés.

— Séparés ? Mais il semblait si Et il me disait que vousOh, vraiment je suis désolé d’arriver ainsi.

— Ce n’est pas votre faute.

— J’aurais dû l’appeler avant.

— Ce n’est pas grave. Ce n’est pas votre faute.

J’ai un bouquet dans une main et une bouteille de champagne dans l’autre.

— Acceptez au moins ces cadeaux.

— Merci. Entrez une minute.

Elle me cède le passage. Elle me décharge de mes paquets.

— Merci.

— C’est bien naturel. Je vais vous laisser.

Je fais demi-tour, arrive à la porte, me retourne et dis :

— Vous êtes seule ?

Soupçonneuse elle demande :

— Oui, pourquoi ?

— Et si je vous invitais à déjeuner ? J’imagine que vous n’avez pas prévu d’invité surprise comme Moi le Chti de Lille.

Elle sourit de cette remarque.

— Non, pas vraiment.

— On m’a parlé d’un restaurant dans les calanques : Chez le Néerlandais je crois. On m’a donné son téléphone.

— Vous voulez parler de chez le Bel Mais ce n’est accessible que par la mer ou bien il faut marcher un bon moment.

— Et alors. Il ne fait pas si chaud.

Elle rit de mon enthousiasme.

— Pourquoi pas ? Mais il n’y aura pas de place. Un dimanche, vous pensez !

— Cela ne coute rien d’essayer.

Je m’éloigne un peu pour téléphoner, négocier, proposer de doubler le prix. L’argent permet tout

— En route. Allez-vous changer. Prenez des chaussures confortables.

Voilà comment j’ai entrainé Marie avec moi.

Que dire de cet après-midi ?

Nous avons fait connaissance. Marcher pour atteindre le restaurant, déjeuner avec force Rosé de Provence, faire une promenade au bord de l’eau, nous reposer à l’ombre d’arbres épargnés par le dernier incendie.

J’avais honte de profiter de sa crédulité, mais que c’était bon. Une fraicheur de jeune femme, moi qui était habitué à des comparses expérimentées et parfois vicieuses. La longue marche pour atteindre le restaurant nous laisse le temps de parler.

Je m’étonne de sa rupture avec Marc. Elle reste évasive sur les raisons. J’insiste disant que Marc me semblait vraiment amoureux. Elle me confirme qu’elle aussi, mais qu’il a fait une chose impardonnable. Évidemment je pose les questions cruciales :

— Vous avez rencontré quelqu’un ?

— Non.

— Alors c’est lui ?

— On peut dire ça.

— Il a donc rencontré une autre femme et il vous a quitté pour elle ?

— Pas vraimentC’est délicatEuhIl m’a trompée.

— Oh, en effet. Je comprends. Il faut l’excuser, l’amour décide à notre place. Cupidon a percé son cur avec la flèche d’une autre que vous.

— C’est gentil, Fred, vraiment. Mais en réalité, ce n’est pas l’amour qui l’a détourné de moiC’est…Excusez-moi, j’ai encore du mal à le direJe crois que je l’aime encore…C’est le sexe…

— Le sexe ? Je ne comprends pas !

— Il a trouvé ailleurs ce que jeVraiment je ne peux pas

— Je vous en prie, chère Marie ne vous forcez pas, je comprends à demi-mot. Nous les hommes avons parfois des pulsions

Nous changeons de sujet. Elle me questionne sur mon travail. Je la questionne sur le sien.

Elle me demande comment je connais Marc. Je ne vais pas lui dire que nous sommes des "contacts" par internet. J’invente une histoire.

Le repas est délicieux. Le rosé fruité à souhait. Mais il faut repartir.

Le chemin du retour est toujours aussi caillouteux et difficile. À un moment, Marie crie en disant qu’elle s’est tordu la cheville. Bon chevalier servant je lui propose de la masser pour éviter un dème. Elle accepte. Longuement je masse cette cheville, me retenant de ne pas monter plus haut, ce haut ou je devine une petite culotte sous la jupe légère.

— Et vous, vous avez déjà trompé votre femme ?

J’ai la nette impression que Marie attendait le bon moment pour me questionner. Peut-être que le rosé lui a donné le courage de poser la question à cet homme qu’elle ne connait que depuis quelques heures, cet homme plus âgé qu’elle et probablement plus expérimenté.

— Ma première femme, jamais. Enfin je veux dire, jamais avant de rencontrer Martine. Mais Martine, je l’ai aimée aussitôt et je plaide les circonstances atténuantes.

Elle sourit.

— C’n’est pas comme

— Chut, ne pensez pas à Marc. Il est jeune. Il a des pulsions. Vous êtes d’une génération ou la fidélité n’est pas si importante.

— Vraiment, Fred vous devriez faire avocat…Mais vous avez dit :"Ma première femme jamais" et la deuxième, Martine je crois ?

— Ah, vous êtes une fine mouche et savez trouver le point

— Faible. Le point faible

— Marie, je vous adore. Votre jeunesse, votre spontanéitéEn tout cas pas le point faible. Non; le point qui fait que l’on passe d’une vie pépère à une vie de découverte.

— Je dois avoir trop bu, je ne comprends pas un mot. Pourtant il me semblait que ma question était simple.

— C’est vrai. Mais question simple ne signifie pas réponse simpliste. Vous êtes bien jeune. Je ne sais pas si je peux vous parler de ma vie. Tant d’années nous séparent.

— Fred, vous êtes bien plus jeunes que nombre de mes amis. En tout cas d’une jeunesse d’esprit qu’ils pourraient vous envier.

— Charmante Marie, permettez que je dépose à vos pieds le poids de mon expérience.

— Faites seigneur…

Elle est assise. Je masse par réflexe sa cheville. Elle ne peut ignorer mon regard qui va de son visage à ce que je masse, mais surtout ce que je devine plus haut

— Je n’ai jamais trompé Martine.

— Oh !

— Je ne peux pas tromper ma femme. Martine était mariée avant moi à un homme qui l’a éduquée dans le libertinage. Vous savez, Gente Dame, ce qu’est le libertinage ?

Tourner en dérision une conversation permet à l’un de dire, à l’autre de recevoir, des informations qui en temps normal seraient considérées comme trop indiscrètes.

— Oui, je sais.

— Alors sachez que ma femme m’a transmis le flambeau. Elle a fait de moi un libertin. Nous nous aimons et partageons avec d’autres nos plaisirs. Donc la fidélité ne veut pas dire grand-chose. Je serais infidèle si je lui cachais une aventure. Mais ce n’est jamais le cas. Ensembles ou chacun de notre côté nous partageonsC’est difficile à comprendreMaisSi vous saviezExcusez-moi Chère Marie je ne devrais pas vous parler ainsi, vous qui venez de supporter cette séparation avec Marc.

Dieu que c’est bon de jouer les confidents alors que je n’ai qu’une envie c’est d’amener cette fille dans mon lit, sentir sa chaleur, sa jeunesse, sa spontanéité et me glisser dans la place abandonnée par Marc.

Elle ne répond pas, mais je peux entendre ses pensées. L’important c’est qu’elle ne me rejette pas comme un pervers, mais au contraire me considère comme un prétendant, plus âgé qu’elle certes, mais de cette différence d’âge qui fait que l’expérience et le libertinage transforme en bonus pour une jeune femme privée de sexe depuis au moins un mois.

Elle se relève, pensive. Le reste du retour est silencieux. La voiture de location est toujours à sa place. Marseille n’est donc pas si pollué par la délinquance.

J’avais enfin trouvé une place de parking, concentré que j’étais sur les difficultés de circulation de la ville la plus embouteillée de France et sur les difficultés de stationnement en centre-ville, j’avais un peu oublié ma bonne fortune.

Mais oui, elle est toujours là et c’est bien elle qui vient de sortir de la voiture. Je sens de nouveau l’excitation m’envahir. C’est le moment capital. Si elle accepte ma proposition c’est gagné. Elle est jeune et manifestement peu expérimentée d’après les dires de Marc, mais tout de même pas au point de ne pas comprendre le sens caché de :

— Vous aviez mis le champagne au frais ?

— Oui.

— Je pourrais monter pour une dernière coupe. On m’a fait les éloges de cette cuvée 2007.

Elle hésite à peine.

— Si vous voulez. Moi aussi je boirais bien quelque chose de rafraichissant après cet après-midi délicieux.

Du 2007, rafraichissant ! Je veux bien, à ce prix !

C’est gagné, Je vais me la faire.

Je la suis jusqu’au troisième étage où se trouve son appartement. En montant derrière elle, je ne peux détacher mon regard de son beau petit cul. J’ai de plus en plus envie de le voir, de le toucher, de le caresser.

J’avais déjà eu mon compte d’excitation sur le chemin du retour depuis la calanque de Marseilleveyre jusqu’à Callelongue, à chaque coup de Mistral j’attendais que sa jupe légère se soulève et plusieurs fois j’avais eu la chance d’apercevoir une petite culotte rose qui m’avait l’air bien sage. Elle m’avait fait bander sur la moitié du chemin et maintenant ça y était ! Je l’accompagne dans son appartement et elle comme moi savons ce qui va suivre!

Je réalise subitement que je le connais déjà cet appartement ou Marc avait photographié Marie dans presque toutes les pièces, le plus souvent habillée, parfois, plus rarement, en sous-vêtements plutôt sages. Je me souviens que quelques mois plus tôt, une photo d’elle en petite culotte blanche transparente avait suffi à faire mon régal. À l’époque j’avais été étonné de ma réaction. Elle paraissait si naturelle, bien loin des clichés et vidéos que j’échangeais d’habitude. C’est certainement cette fraicheur qui m’avait plu. Un profond soupir me tire de mes réflexions.

— Hello Fred, vous rêvez ? Nous sommes arrivés. Vous allez rester planté là ?

Je la suis dans le salon. Elle s’effondre directement sur le canapé.

— Finalement, je crois que je me suis bien tordu la cheville sur ce chemin pierreux, en plus, j’ai mal aux fesses, il y avait vraiment des passages super glissants aujourd’hui. Heureusement que vous m’avez rattrapée.

Et aussitôt de soulever sa jambe. Debout devant elle, j’ai sa cheville à hauteur des yeux et une vue imprenable sur sa petite culotte, ce qu’elle ne peut sans doute pas ignorer. Une cheville fine, que prolonge un adorable pied nu bien tendu. Je saisis le tout dans mes mains…

L’astuce est cousue de fil blanc, mais je n’en demande pas davantage. Je masse délicatement sa jambe du mollet au genou et je demande si, là aussi, ça lui fait mal. Les yeux mi-clos, elle ne répond pas. La tiédeur de sa peau me trouble, je me penche encore tout prêt à remonter vers sa fourche…Sa main vient à la rencontre de la mienne pour la poser sur sa poitrine bien rebondie. Sans trop savoir comment, nous roulons sur le canapé. Je me retrouve couché sur le dos, les jambes pendant dans le vide. Elle m’enfourche, s’asseyant sur mes cuisses. Ses yeux brillent. Doucement, elle se penche en avant, pose ses mains de part et d’autre de mon visage pour laisser couler ses cheveux sur mes joues. Sa langue se faufile entre mes lèvres entrouvertes, s’enroule à la mienne. Délicatement, mes mains glissent sous son chemisierElle a la peau douce. Je dégrafe ses boutons un à un, et sa peau se dévoile. Le chemisier est par terre, suivi du soutien-gorge à dentelle. Je caresse ses seins, mes doigts jouent avec les pointes qui durcissent.

Elle m’a débarrassé de ma chemisette avant de caresser mon torse. La prenant par les hanches, je la fais basculer sur le côté et je dépose des baisers sur son ventre tout en enroulant sa jupe autour de sa taille.

Elle soulève son bassin, je la déculotte et découvre enfin sa touffe que je savais bien fournie pour l’avoir souvent devinée par transparence sur les photos de Marc. Là, elle écarte les cuisses pour m’offrir son sexe. Je plaque ma bouche sur les chairs moites. Quand ma langue s’introduit entre ses petites lèvres, elle pousse un cri de plaisir. Les talons posés derrière mes épaules, elle ouvre les jambes en grand.

Je fouille son coquillage à la recherche du clitoris. Le bout de ma langue s’est posé en plein dessus; elle se cambre en lançant un râle. Elle s’agrippe à mes cheveux pour maintenir ma tête au creux de son entrecuisse. Quand je m’écarte pour reprendre mon souffle, le rose nacré de son bouton maintenant bien sorti attire de nouveau mon regard. Je le gobe, toute sa vulve palpite.

À un moment, secouée de soubresauts, elle relève ma tête par les cheveux et dans un souffle me gratifie d’un simple :

— Viens !

Son ton est presque suppliant. Je dégrafe mon pantalon, fait descendre mon slip aux chevilles. Mon sexe dur à casser une assiette se fraye un passage dans son buisson de poils. Tout de suite, elle donne le rythme. Devant une telle rage de désir, mon sexe entre et sort comme un piston, chacun de mes coups de reins lui arrache un cri. Elle a balancé ses jambes par-dessus mes épaules, je m’enfonce encore plus à fond cognant contre son utérus. Un orgasme la secoue aussitôt. Ses ongles s’enfoncent dans mon dos et je continue à la labourer pour prolonger son plaisir. Je la besogne furieusement, me guidant à ses gémissements. Dès que je perçois une baisse sonore, je redouble d’ardeur, plongeant dans le fourreau liquide.

À un moment, lorsqu’elle s’est retrouvée sur moi, comme malgré moi ma main se soulève pour venir taper sur sa fesse droite. Le résultat est étonnant, Marie sur le coup se cabre, ses yeux s’illuminent et se penchant contre moi, elle colle ses lèvres sur les miennes tandis que sa langue plonge vers mon palais, me fouillant et m’électrisant. Je renouvelle l’opération lui administrant une claque bien sonore sur les deux fesses en même temps. Marie hennit, elle se trémousse sur moi et je sens son sexe couler.je ne me contrôle plus, je fesse ce beau cul blanc qui danse sous mes paumes, Marie m’accompagne en poussant de farouches gémissements, elle gémit, se tord, se pâme. Puis, elle se redresse, assise sur moi, si ouverte qu’elle pourrait engloutir mes valseuses, ses seins s’agitent dans tous les sens.

Elle m’inonde d’une coulée de lave en clamant sa jouissance à tous les échos. Je lui réponds aussitôt en lâchant un jet de foutre qui semble ne plus vouloir s’arrêter. Elle reçoit toute ma semence avec une satisfaction intense. Il me semble surprendre des mots à la fois tendres et cochons

Nus, épuisés, nous nous caressons doucement. Marie est venue se loger au creux de mon épaule. Nous restons ainsi un moment. Elle me dit que depuis sa séparation avec Marc elle a arrêté la pilule, mais que je ne dois pas m’inquiéter, tout devrait bien aller. Puis, elle revient sur la pilule et me parle maintenant des effets imprévus des hormones. Je comprends qu’elle a besoin de se dédouaner. Ses seins ont presque doublé de volume et elle a même eu une montée de lait la semaine précédente ! Elle ressent parfois beaucoup d’excitations. Cela n’est vraiment pas normal. Ce n’est pas son habitude de coucher le premier jour

Je ne sais trop que dire ; alors que ses paroles ont eu pour seul effet de me faire rebander. Je comprends que l’excitation passée elle regrette sa conduite un peu débridée. Se conduire ainsi avec un inconnu ! Marie ne veut pas être jugée comme une fille facile.

Je vais pour parler et la rassurer lorsqu’elle bondit au milieu du salon, consulte fébrilement son mobile, s’excuse et commence à se rhabiller à la hâte.

— Désolée, mais je n’ai pas vu le temps passer, il est déjà plus de vingt heures. Mes parents m’attendent pour le repas d’anniversaire de mon père.

Je me retrouve dans la rue encore étourdi par tout ce qui vient de se passer sans le moindre regret pour la bonne bouteille de 2007

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