Je m’appelle Hervé, 44 ans, veuf depuis maintenant une petite quinzaine d’années et je vis avec ma fille Emma. Je l’élève seul depuis ses quatre ans et la disparition de ma femme, des suites d’une maladie incurable foudroyante.
Je n’ai jamais compté que sur moi-même pour l’élever, et je pense que malgré la difficulté, nous nous en sommes bien sortis avec ma fille. Nous sommes très proches l’un de l’autre. N’ayant que peu de famille, nous nous sommes toujours serré les coudes ce qui a créé un lien fort entre nous.
Emma a 18 ans, toujours lycéenne, elle habite forcément avec moi. Malgré son passage récent à l’âge adulte, elle reste pour moi ma petite fille adorée, mon bébé unique. Cela a d’ailleurs sûrement eu des conséquences sur ma vie privée. Côté sentiments, c’est le calme plat. Après le décès de mon épouse, il était impossible pour moi de fréquenter quelqu’un. Au-delà de l’aspect émotionnel de devoir « remplacer » la mère de sa fille, je n’avais tout simplement pas le temps, ni les occasions pour pouvoir ne serait-ce qu’envisager une relation amoureuse sérieuse. Ma libido a fini par se tarir complètement et m’occuper de mon enfant était finalement la seule raison de mon épanouissement personnel. La question de la sexualité était tout simplement négligée.
Bien qu’Emma soit maintenant une très jolie jeune femme, elle n’a eu que peu de petits copains. Sa puberté l’a complètement changée et je me suis toujours dit qu’elle ferait des ravages chez les garçons. Peut-être que malgré elle, elle a suivi mon exemple et a limité ses activités sexuelles. Je pense tout de même qu’elle n’est plus vierge, ça fait maintenant 1an qu’elle prend la pilule.
Voilà un résumé de notre vie actuelle. Mais celle-ci a dû changer, encore une fois pour des raisons médicales.
Cela fait maintenant plusieurs fois que je suis en proie à des malaises et des étourdissements. Je pensais à des malaises vagaux sans grande importance, mais au final Emma m’a convaincu d’aller consulter, les crises étant de plus en plus rapprochées.
Emma m’a accompagné au cabinet. Ca nous paraissait normal, je l’accompagnais déjà à ses consultations chez le gynécologue. Il était logique qu’elle vienne avec moi chez le médecin.
Test, prélèvements, exercices… La totale, quoi. Et on attend les résultats…
Une semaine plus tard, nous retournons chez le docteur pour les résultats des analyses. Le médecin préfère me prévenir :
— Monsieur, j’ai donc reçu les résultats du labo. Rien de grave, mais il va falloir agir rapidement pour éviter des complications plus sérieuses. Je ne sais pas si je peux tout vous dire en face de votre fille, ce que je vais vous annoncer est relativement délicat.
— Ne vous inquiétez pas docteur, je ne peux rien cacher à ma fille. Tout ce que vous me direz, je lui répèterais sûrement de toute manière
— Très bien, alors voilà : l’origine de vos malaises est directement reliée à vos hormones masculines. Votre activité sexuelle s’étant totalement arrêtée, cela a détruit votre libido engendrant un cercle vicieux. Je suppose que cela fait également longtemps que vous n’avez pas eu recours à la masturbation ?
J’étais perturbé par sa question. Parler de masturbation devant ma fille était un sujet que je n’avais pas du tout anticipé.
— Euh, ben effectivement, oui, ça fait très longtemps !
— Il n’y a pas 36 solutions, seule une reprise d’activité sexuelle régulière peut éliminer vos crises. Comme vous n’avez plus de libido, il n’y a rien pour vous stimuler, c’est là que réside la difficulté : transformer le cercle vicieux en cercle vertueux. Trouvez une solution pour vous exciter et petit à petit les envies naturelles reviendront.
— Mais comment dois-je faire concrètement, docteur ?
— A vous de voir et d’essayer : masturbation, films pornos, rencontres, prostituées… Mais il faudra commencer le plus tôt possible.
J’étais totalement abasourdi. Et Emma à côté de moi qui a dû écouter ça ! Je redoutais notre conversation à venir ; ma fille est très protectrice en ce qui concerne ma personne, auparavant je me suis déjà vu comme un enfant devant sa mère.
De retour à la maison c’est elle qui brisa la glace :
— Qu’est-ce que tu vas faire alors ? Me demanda-t-elle.
— Je vais tenter de faire ce que m’a dit le médecin, mais il est évident que je n’ai pas envie d’aller voir des prostituées pour le moment.
— Ok, si tu veux je te laisse tranquille, je vais faire un tour et pendant ce temps-là tu n’auras qu’à… Enfin… Tu vois quoi !
Ma fille balbutia la fin de sa phrase, un peu normal. C’est pas évident de parler de masturbation avec son propre père. Et pourtant, un jour ou l’autre on sera surement obligés d’en parler et discuter de certaines choses taboues.
Bref, ma fille s’absente et je m’enferme tel un ado pubère, dans ma chambre devant l’ordi, direction les sites classés X. J’en fais plusieurs, je mate les vidéos, les photos, pfffff je fais toutes les catégories possibles et inimaginables, mais rien ne se passe. Je teste également des tchats coquins, des sites de rencontres ’adultes’’ mais ça reste le calme plat entre les jambes. Je lâche l’affaire et retourne me poser devant la télé sur le canapé. Au bout d’un moment, Emma finit par rentrer à la maison et me demanda directement :
— Ca va papa ?
— Oui ma chérie
— Tu as pu… Te… Te soulager ?
— Non ma chérie, malheureusement, j’ai rien pu faire.
— Ah bon ? Mais comment ça se fait ?
— Euh, c’est délicat à expliquer quand même.
Emma s’assied à côté de moi et continua :
— Tu peux tout me dire, tu sais, je ne suis plus une enfant.
— Oui je sais, même si pour moi tu resteras toujours ma petite fille, mais c’est un sujet pas facile à aborder
— Allez papa, dis-moi ce qui ne va pas. Tu n’as pas réussi à… Te vider ?
— En fait euh… Je nai tout simplement pas réussi à avoir une érection
— D’accord. Et qu’est-ce que tu as essayé ?
Avec ces paroles, Emma me donnait l’impression de prendre en charge mon problème, c’est elle qui me faisait parler de mes soucis et qui me soutirait des détails. Je mis de côté mon ego et finis par lui répondre.
— J’ai essayé plusieurs films pornos, des vidéos, des tchats, pleins de choses, mais rien ne m’excitait vraiment
— Peut-être est-ce le côté virtuel qui ne t’attire pas ? Tu as sans doute besoin de quelque chose de réel ?
— Possible, mais bon, c’est pas ce soir que je vais rencontrer une fille qui m’aidera et comme je te l’ai dit, hors de question d’aller voir une prostituée. Le problème c’est qu’il faut que je trouve une solution rapide pour pouvoir ejac… Euh, enfin, tu m’as compris
Nous n’étions pas vraiment pas à l’aise avec cette conversation, mais Emma ne se démontait pas et embraya de suite :
— Tu as besoin d’éjaculer, papa. Ne t’inquiète pas, j’ai compris, fit-elle en esquissant un petit sourire. Mais si tu veux j’ai peut-être une solution à te proposer.
— Ah bon ? Laquelle ?
— Ben a priori, le virtuel ne fonctionne pas et tu n’as personne pour t’aider à te soulager… Sauf moi.
— Mais… Comment ça ?
— Ben je me disais que je pourrais éventuellement t’aider.
— Mais je ne peux pas te demander ça ma chérie !
— C’est moi qui propose. On essaye un peu, on voit si ça fonctionne. On commence doucement et on regarde si ça marche
— Mais ma chérie, tu restes ma fille, je n’ai pas envie que tu me vois me masturber.
— C’est pas grave, je vais fermer les yeux si tu préfères. J’enlèverai mon haut, je garde mon soutien-gorge, et toi tu fais ce que tu as à faire, le temps qu’il faut. Allez, moi je commence, je ferme les yeux et toi tu fais comme tu peux.
Quel aplomb ! Je n’en revenais pas, mais en même temps je n’avais aucun argument contraire à lui rendre.
— Bon ben ok, on essaye alors.
Emma retira son sweat et me laissa sa poitrine à la disposition de mes besoins. Je contemplais ces deux seins, que je devinais bien ronds, enfermés dans son soutif, légèrement lâche sur le dessus. Curieusement je sentis un fourmillement dans mon bassin, je crois que quelque chose se passait. Pouvoir contempler une petite poitrine que j’imaginais douce, me procura des sensations que j’avais oubliées depuis des années.
Je pris ma verge dans une main et commença à me caresser doucement. J’essayais tant bien que mal de faire abstraction du fait que ce soit ma fille en face de moi. Et puis je contemplais le haut de son corps, ma queue commençait à légèrement durcir, je crois que l’idée de ma fille de se dénuder, faisait son effet finalement.
Rapidement mon érection se faisait plus importante jusqu’à arriver à son paroxysme. J’avais retrouvé une excitation phénoménale, rien qu’en matant la poitrine de mon petit ange. J’accélérais mon mouvement et machinalement je rapprochais mon sexe de la poitrine d’Emma. Je sentais la jouissance arriver, je fermais mes yeux jusqu’au moment où, à force de s’approcher, ma queue vint toucher le soutien-gorge de ma fille. Je rouvris les yeux et entraperçus par le dessus le bord de l’aréole d’un des seins d’Emma. Mon sang ne fit qu’un tour et j’arrivais au terme de ma masturbation. Je ne pus contrôler ma jouissance, tellement elle était forte, et j’éjaculais directement sur Emma en poussant des râles de soulagement. Ma semence atterrit en énorme quantité sur son sein gauche et sur son soutien-gorge.
Emma, surprise du dénouement de cette séance, brisa le silence :
— Ca va papa ? Tu as fini à ce que je comprends, je peux rouvrir les yeux maintenant ?
— Attends une seconde ma chérie, lui fis-je en rangeant mon membre dans mon caleçon. Voilà c’est bon maintenant.
— Eh bien ! Je suis contente, ç’était une bonne idée alors.
— Oui ma chérie, merci. En revanche, je suis désolé de m’être laissé aller sur toi, je nai pas pu me contenir sur la fin, c’était trop intense !
— C’est pas grave, va. Je vais aller me nettoyer et mettre mon soutif au sale, je le saurai la prochaine fois
Mon sperme dégoulinait sur son sein et avait commencé à glisser dans sa lingerie. Emma partit dans la salle de bain, la poitrine souillée de mon jus.
Cette expérience m’a fait du bien, mais je sais que ce n’est qu’un début, le chemin sera long avant une guérison complète.
Emma revint de la salle de bain, changée :
— Ca va mieux papa, alors, ça t’as fait du bien ? Me demanda-t-elle.
— Oui ma fille, ça va très bien
— On pourra le refaire ce soir si tu en as envie.
— Je veux bien, mais ça me gêne un peu quand même, surtout après ce qui s’est passé à l’instant.
— Ca ira, papa, je ferais attention.
Elle fera attention ? C’est plutôt à moi de faire gaffe où je me lâche. Pourquoi m’a-t-elle dit ça ? Bon c’est pas important, on verra ce soir.
L’après-midi se passa, mais je sentis que quelque chose s’était débloqué depuis la séance de masturbation précédente. Ce qui fit que je ressentais une petite excitation en pensant à la prochaine étape.
Nous avons pris notre repas et Emma prit une nouvelle fois les choses en main :
— Tu veux qu’on refasse une petite séance ?
— Je veux bien, ma puce. A vrai dire je ressens une certaine émulation, mais encore une fois beaucoup de gêne.
— Ne t’inquiète pas, je fermerai les yeux comme tout à l’heure
Emma enleva son haut pour me montrer un joli soutien-gorge. Elle ferma les yeux et je sortais ma verge de mon caleçon.
Mais au final, je ne retrouvais pas le même entrain que précédemment, comme si ce que je voyais ne faisait plus effet
— Ca te va papa ? Fit Emma
— Ah vrai dire, pas vraiment. Ca n’a pas le même effet que tout à l’heure.
— Ah bon, ça ne te stimule plus ?
— Beaucoup moins que tout à l’heure
— Alors attends…
Emma se redressa du canapé, et commença à dégrafer son soutien-gorge. Je devenais rouge, mais en même temps une montée d’excitation fit son apparition.
— Ca te plait mieux comme ça ?
— Oui ma chérie, tu es magnifique
— Et puis comme ça, ça évitera de le tacher.
Je repris mes caresses et sentit ma queue durcir. Je pus reprendre mes vas et viens en contemplant sans vergogne les seins de ma petite fille. Ils n’étaient pas très gros, mais bien formés et bien proportionnés. Encore une fois, sans m’en rendre compte, je m’approchais petit à petit d’elle. Mon sexe s’était rapproché à quelques centimètres du visage d’Emma. Elle s’en est surement rendue compte, mais ne disait rien.
Je sentais le jus monter mais il me manquait malgré tout un petit quelque chose pour me finir. Emma devait le sentir car elle me dit :
— Ca va, tu vas terminer ?
— Je sais pas, j’ai encore un peu de mal
— Ah bon ? Ils te plaisent pas mes seins ?
— Si ma chérie, ils sont très beaux
— Peut-être que… Si tu les touches un peu, ça ira mieux.
— Mais je ne peux pas me permettre, c’est délicat
Emma ne faisait pas de chichis. Toujours les yeux fermés, elle attrapa ma main de libre pour la poser sur son sein ;
— Voilà papa, tu vois c’est pas compliqué, me fit-elle avec un petit sourire en coin. Profite, c’est pour ton bien.
Je sentais son globe sous mes doigts et commença à le masser soigneusement. Son téton était tout dur et je le malaxais tendrement. Je n’eus au final besoin que de quelques secondes de pelotage pour sentir l’orgasme arriver.
— Oh Emmmaa, haann, Mmmm, ouiiii
Comme avant, je ne pus contrôler ma jouissance et éjacula complètement à l’aveugle.
Je rouvris les yeux, rangea mon sexe en vitesse et constata le résultat. Emma fut de nouveau surprise en rouvrant les yeux. Je lui avais une nouvelle fois joui dessus, mais cette fois-ci, une giclée avait terminé sur son visage. Le sperme avait atterri sur son nez et coulait jusqu’au bord de ses lèvres. Le reste se posa au milieu de sa poitrine et ruisselait entre ses seins. La quantité me paraissait encore inouïe, sûrement à cause de ces années d’abstinence.
— Bravo papa, mais décidément, tu vises bizarrement dis-moi
— Je suis désolé, je m’en veux de m’être encore une fois lâché sur toi, mais arrivé à la fin, je ne contrôle plus rien.
— Ne t’en fais pas, c’est pas bien grave non plus, l’essentiel c’est que ça te fasse du bien. Allez je vais aller prendre une douche.
Emma repartit vers la salle de bain en commençant à s’essuyer le visage avec ses mains. J’ai cru voir, alors qu’elle était de dos, sa main revenir à sa bouche. Aurait-elle voulu goûter à mon jus ? C’est surprenant. Cela dit, voyant ma fille toujours comme mon enfant unique, toutes ses attitudes, en particulier sur ce qui touche à la sexualité, continueront de me surprendre encore longtemps je pense.
Sitôt sa douche terminée, Emma revint me voir pour me souhaiter la bonne nuit et pour discuter de ce qui venait de se passer.
— Je suis contente qu’on ait trouvé une solution papa. Je savais bien qu’il te fallait un moyen réaliste pour pouvoir t’émouvoir.
— Je sais pas ce que je ferais sans toi, ma puce. C’est vrai qu’apparemment on a trouvé une solution. Mais faut vraiment que je fasse gaffe quand j’éjacule.
— Je t’ai dit de ne pas t’en faire. Je ne veux pas que tu te soucies de ce genre de détail. Si tu dois jouir sur moi, fais-le. Si ça se trouve, intérieurement c’est aussi ça qui te stimule.
— Tu penses que le fait de pouvoir éjaculer sur ton corps me procurerait une certaine satisfaction ?
— Pourquoi pas, c’est possible après tout. Les hommes aiment bien ça en général
— Mais tu es ma fille tout de même, c’est pas un petit détail.
— Ecoute, je préfère te voir totalement soulagé que te voir rester bloqué à ne pas pouvoir te vider. Ca ne me dérange pas de recevoir ton sperme, je ferais tout pour que tu ailles mieux papa.
— Merci ma chérie, je sais pas comment te remercier de ce que tu fais pour moi
— T’inquiète ! Allez papa, bonne nuit.
— Bonne nuit ma chérie
Emma s’approcha pour me faire la bise. Je lui fis un câlin et l’embrassa à mon tour longuement sur la joue. Quelle ne fut pas ma surprise lorsque je sentis une certaine odeur sur son visage. Ma fille ne s’était pas bien rincé la figure, l’odeur de mon sperme était encore bien présente. Je fis mine de n’avoir rien remarqué et lui souhaita bonne nuit.
Je me couchais avec plein d’interrogations dans la tête.