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L?argent et Plasir – Chapitre 1




Son agent prit sur le divan fleuri.

— Je m?occupe de recevoir deux dames très aisées. Une veuve à qui feu son mari a légué une partie appréciable du sud de pays. Il marqua un silence, le temps de laisser passer l?information. L?autre est une divorcée qui acheté une ville en Saint-Tropêz, lors de sa dernière visite,Elle, elle était divorcée depuis deux ans et n’avait plus trouvé l’amour. Elle me l?a confiée en me laissant carte blanche.

— Carte Blanche, pour quoi ?

— Pour restaurer et la décorer, mon garçon

— Ah, d?ac.

— Vous vous demandez sans doute ce que vous avez faire dans tout cela.

— Exact ! Je me le demande.

Jerry se leva, descendit sa vodka d?un trait et commença d?arpenter la pièce.

— Comprenez-vous, deux femmes seules, dans une ville où elles ne connaissent personne, elles vont avoir de distractions.

— Quel de distraction ? S?enquit Jerry méfiant. L?agent se tremoussa, se leva du divan et approcha de Jerry.

— Mon idée était simplement que vous pourriez emmener ces dames au restaurant, au théâtre, au cabaret et, s?empressa-t-il ajouter, je vous paierai très convenablement pour ça.

— Sans problème.

— Voiture ?

— Certainement, est-ce qu?une cadillac avec chauffeur vous conviendrait ?

Un cadillac avec chauffeur, voyons…….et deux cents dollars par jour.

— Affaire conclue.

L?agent de Jerry était radieux.

— Il n?y a pas de……….d?embrouille. Je veux simplement que ces dames soient satisfaites. Je compt sur vous, mon garçon.

Jerry sourit

Elles échangèrement des sourires chaleureux, n?ayant visiblement cure de la réponse de Jerry. Il avait une folle envie de rire à gorge déployée. Elles étaient gouines. Il avait été embauche pour escorter un couple de lesbiennes ! Il n’a jamais pu se satisfaire de termes comme gouine, lesbienne ou même homosexuelle. Il n?est pas fondamentalement différente des autres en tout cas. Il n’aime pas non plus toute cette culture de la différence. Sans être peut-être particulièrement tabou, l’homosexualité féminine n’est pourtant pas la norme, en tout cas pas dans le milieu qui lui est familier.

Oh, bon Dieu, lui qui avait redouté qu?elles en veuillent à ses charmes ! Giséle Maigrit n?était du tout ce que Jerry pu imaginer. Veridiane Smith non plus. Indiscutablement, ce n?étaient plus des poulets de grain, mais elles n?avaient quand même pas dit leur dernièr mot. Quant à la débauche de bijoux dont elles s?affublaient, il fallait le voir pour le croire.

Mrs Smith, pour commencer, cheveux roux colorés au henné et frisés à la fillete, le visage tapait facilement la quarantaine quand on y regardait de près mais, dès qu?on prenait un peu de recul, il paraissait trente-cinq à un ou dux ans après. Maquillage subtil, un peu trop chargé sur le far à paupière ambré, une silhouette franchement bien conservée. Elle portait un survêtement bleu anglais et un torque dans lequel étaient sertis plusieurs gros diamants, bracelets à l?avenant. Et, à la main gauche, un solitaire gros comme un oeuf de pigeon, à l?aise, Mrs Smith un an ou deux de plus, un supçon plus empâtée. Cheveux courts méchés, légèr bronzage, taches de rousseur. Tenue de tenis blanche révelant des jambes remarquables. Beaucoup de turquoises et de joillerie indienne en argent, une bague de diamants en forme de coeur, de taille comparable à celle de son amie,

Tous les deux couvaient Jerry du regard tandis que son agent achevait les presentations.

— Enchanté de vous connaître, fredonna Jerry resplendissant de charme.

— Alors quel est le programme de cette belle journée qui a si bien commencée, demanda-t-il souriant.

— D’abord on fait quelques courses en ville, Giséle et moi, et cet après-midi, bronzette autour de la piscine et ce soir restaurant et sortie en ville, en boîte tiens, pourquoi pas  ?

— Ok, Jerry a répondu.

— Allez viens Giséle, on va s’habiller pour les courses !

Veridiane a alors enfilé la robe par dessus sa nudité. Celle-ci lui collait au corps et faisait ressortir son bronzage. Elle était courte et lui arrivait à mi-cuisses.

— Tu vois qu’elle te va, tu es superbe ! dit Giséle

— Comme deux gamines, nous nous sommes admirées devant la glace.

Etant un peu plus grande que Veridiane, la robe dévoilait ses cuisses bien plus haut que celle de Giséle. L’image que se renvoyait le miroir était surréaliste. Giséle aurait dit deux sours et elle était frappée par votre ressemblance mais en même temps elle voyait bien qu’il s’était impossible de sortir comme ça dans la rue, les robes moulant tellement qu’il était impossible de ne pas s’apercevoir qu?elles étaients nues dessous !

— Veridiane, c’est pas possible, je ne peux pas sortir comme ça !

— Et pourquoi, Giséle ?

— Regarde ces robes, c’est un appel au viol !

— Et alors ? Tu es belle et tu n’as aucune raison de te cacher, allez viens, on n’y va !

Abandonnant toute résistance, elle suivit s?amie. Passant devant Jerry pour sortir, Giséle lui fit un bisou et lui dit :

— Bon on va faire les courses, à tout à l’heure !

— Une minute, s’écria-t-il et se levant à la charge érotique bien légère, ait pu provoquer en lui aussi soudainement, aussi brutalement, un désir charnel, fort, subit, violent.

Comme un coup de foudre sensuel. Que brusquement, plus rien d’autre n’ait compté que son envie de ses corps, que cette obsession de le sentir, de le palper, de le caresser, de l’effleurer, de le posséder. Et ce désir brûlant de ses lèvres sur les siennes, de ses doigts sur la peau. Il s?est donc trouvée brutalement, sans préméditation, littéralement submergée par

l’évidence et la force de son impulsion, de son désir d’elles

— Allez-y

— Bien, je vois que les consignes sont respectées, tu es ravissante dans cette robe, et il m’embrassa à pleine bouche avant de nous souhaiter une bonne promenade.

Giséle a une beauté radieuse, comment dire, une flamboyance tranquille, un charme naturel, était troublée qu’il la découvre si court-vêtue En se retournant, Giséle aperçu son regard rivé sur ses fesses et cela l’a troublée profondément. Ils ont marché jusqu’au centre-ville, bras-dessus, bras-dessous, et Giséle avait l’impression que tout le monde pouvait s’apercevoir qu?elles avaient les fesses à l’air. Curieusement, plutôt que de s’inquiéter, cette situation l’excitait et Giséle sentait ma chatte s’humidifier, surtout que pas mal d’hommes se retournaient sur leur passage.

Alors qu?elles passaiont devant un magasin de vêtements féminins, elles rentrent à l’intérieur pour acheter une robe pour la sortie en boîte de ce soir. Veridiane a choisi plusieurs robes, toutes plus courtes les unes que les autres puis Veridiane se dirigea vers une cabine pour qu?elle les essaie. Elle est restée devant la cabine, le rideau seulement tiré aux trois-quarts, le passant les robes les unes après les autres. Entre chaque robe, elle était bien obligée d’être entièrement nue et à un moment dans le reflet de la glace, elle a croisé le regard de la vendeuse qui ne perdait rien du spectacle de sa nudité.

Finalement, Giséle a choisi pour Veridiane une mini-robe noire, une mini-jupe noire également et a pris 2 chemisiers noirs en dentelle complètement transparents.

Veridiane payé le tout sous le regard plein de sous-entendus de la vendeuse.

Le même manège Veridiane a recommencé dans un magasin de chaussures où elles ont acheté des chaussures pour aller avec la robe.

Elles ont essayé plusieurs paires de chaussures et Giséle surprit tout à coup le regard fixe du vendeur accroupi aux pieds d?elle. Elle avait les jambes écartées et sa amie était persuadée qu’elle était en train de lui dévoiler son sexe nu. Cette pensée l’a fait mouiller et lorsqu?elle a croisé le regard rougissant de la petite vendeuse accroupie devant Giséle, s?amie a

comprit qu’involontairement, elle devait lui avoir offert le même spectacle. Veridiane l’a regardé et à ensuite dirigé son regard vers la vendeuse et elle a comprit qu’elle se demandait de faire comme elle et d’offrir à la jeune fille la vue de sa chatte nue et épilée.Comme malgré en public, mais très excitée, elle a négligemment écarté un peu plus les jambes lui offrant la vue de sa chatte nue et ruisselante. La petite vendeuse, rouge de confusion, en a fait de même, en dévoilant sa culotte en dentelle blanche sous laquelle Veridiane voyait la tache sombre de son sexe. C’est très troublée qu?elle et s?amie sortent du magasin.

— Bien sûr, Giséle, j’adore m’exhiber ainsi, c’est très excitant et je t’ai vu en faire autant avec la vendeuse. Je suis sûre que tu es trempée là.

— Bien sûr !

Temps plus tard, après flané de la piscine d?une belle et luxeuse maison louée d?une star anglaisede la musique, Giséle et Ver?diane s?en donnaient à coeur joie.

— Mon Dieu ! Il faisait chaud ! Une journée parfaite pour paresser au bord de la mer. Et, alors Veridiane demande à Jerry :

— Combien son agent vous paie-t-il ? Sa tignasse, frisée ruisselait le soleil, sideré par cette question aussi direct, Jerry bafouilla !

— Mais je fais ça pour le plaisir.Sourire de Giséle

— Peut-être voudre-vous y prendre encore plus plaisir. Je vous propose…..disons, le double de ce que vous donne son agent.

— Prendre encore plus de plaisir ?

— Prendre et donner, si nous avons cette chance, quelque chose me dit que tou les trois, nous………nous nous entendrons très bien.

Elle se lécha oetensiblement les lèvres et ajouta :

— Vous ne croyez pas ?

L?allusion començait à prendre corps. Elle proposait tout bonnement un petite partouze triangulaire.

— Euh ! Quel chiffre aviez-vous en tête ? demanda Jerry

?a ne coûtait rien de savoir combien elles étaient prêtes à casquer. Après tout, il avait déjà fait ça plusieurs fois par le passé.

— Je ne veux pas marchander. Faites votre pris, réplique Veridiane sans hésiter. Giséle aprouva d?un hochement de tête et elle braquèrent sur lui un regard plein d?attente.

?a turbinait ferme sous la crâne de Jerry, ce n?était tout de même pas pareil que s?il avait roulé sur de même pas pareil que s?il avait roulé sur l?or apparement, une chance s?offrait à lui et il eût été stupide de la laisser passer.

— Eh bien ! Je veux mille dollars, marmonna-t-il. C?était un prix exorbitant et ils le savaients tous les trois, Jerry s?attendait à se faire rire au nez, pas de rire. Veridiane lui prit le bras, s?accrocha à Giséle de l?autre côté et dit :

— Très bien ! Qu?attendons-nous ?

— On dit que nous avons tous plus ou moins cachés des désirs bi-sexuels. dit Veridiane

— Servez-nous deux martini, puis pendant que nous prenons notre douche. Dit Veridiane en indiquant un bar bien approvisionné.

— Bien

Il servit deux martini, puis une double vodka qu?il avala cul sec. Trop l?alcool avait effet de ralentir l?action mais un petit coup de fouet était toujours bon à prendre. Il voulait ses mille dollars d?abord. à plat sur la table.

Le bruit de la douche lui parvenait derrière le mur, Il prit les deux martini et, de la pointe du pied, poussa la porte de la chambre, le dessus-de-lit était soigneusement ouvert et des billets étaient déposés sur les oreillers fleuris. Mrs Smith et Mrs Maigrit étaient nues.Je n’ai pas réfléchi une seconde. Son cour s’est mis à battre plus fort, très fort, sa bouche à se dessécher. Avant que Jerry ne puisse dire quoi que ce soit, Veridiane le prit la main et l’entraîna sur le lit.

— Allez on va le réveiller mon homme, elle est belle sa queue, hein Giséle ?

Sa voix est à la fois douce et un peu rauque, Veridiane regarde son visage aux traits harmonieux, sa bouche est jolie, avec des dents très blanches, ses cheveux soyeux et ondulés sont agréablement parfumés, la peau de son visage est douce et imberbe. Les épaules sont larges et les bras puissants, le torse est musclé et lisse, ce corps paraît jeune. Elle sent le souffle du jeune homme prés d’elle, ses mains osent descendre un peu plus à la rencontre de ce membre inconnu. Elle le découvre, il est épais, large, plus long, elle découvre des bourses imposantes et dures qui tiennent à peine dans ses mains.

Les mains écartent vigoureusement ses jambes et son nouvel amant plonge son visage dans son sexe, l’embrasse vigoureusement. Double baiser. Jerry lui baise la bouche l’autre le sexe, de multiples petits orgasmes commencent à la secouer, elle semble perdre la notion du temps. La pointe rose de sa langue glissa tout au long de sa fente, écartant les lèvres, déclenchant un

tremblement irrépressible, nerveux, de ses cuisses que sa main avait légèrement entr’ouvertes. Yeux clos, bouleversée, savourant intensément chaque parcelle de plaisir renaissant, il était la toile blanche où sa langue pinceau déposait les touches pastels de ses tendres émois. Jerry se redressa, l’embrassa à pleine bouche, l’emplissant des saveurs de ses sucs

intimes mêlés à sa salive.

— Allez, Jerry, vas-y. Fais-le. Pour moi. S’il te plaît. J’en ai envie !

Tellement envie de ton sexe……… Cela m’excite. Allez ! ’.

Après une brève hésitation, et soudain elle sent son gland qui la pénètre

d’une seule poussée, ses testicules viennent taper contre ses lèvres et ses

fesses, Giséle pousse un petit cri, et s’abandonne totalement contre Jerry.

Son autre main part à la découverte du dos de son amant. Les va et vient se

font plus rapides, le sexe dur semble connaître les endroits sensibles de

son vagin, elle se distend ,se contracte, le mandrin semble doubler de

volume. Les bourses tapent sur ses lèvres et son périnée, ces nouveaux coups

de boutoirs, la masse de ces bourses lourdes qui la frappe régulièrement

l’excitent encore plus. De nouveau, un orgasme l’envahit. Jerry ne put alors

étouffer un murmure:

— Je n’en peux plus, j’ai tellement envie de toi !’

— J’ai envie de toi !

Jerry la soulève, son amant lui prend les jambes. Giséle est maintenant comme en lévitation, elle se sent légère. Tenue par Jerry, prise par l’autre et tenue par un troisième, elle s’en rend compte juste maintenant. La surprise, le désir, la peur un peu, le tout déclenche un orgasme fou. Elle crie, griffe, mord, embrasse, se cabre et se laisse bercer doucement par ses

mains ,ses caresses ses coups de béliers. Sans quitter leurs étreintes ses amants et s?amie Veridiane la reposent sur le bord du lit, les jambes pendantes, les mouvements se font plus doux.

Six mains lui caressent le corps, un sexe la pénètre deux bouches lui embrassent les seins, elle reprend ses esprits et décide que maintenant c’est elle qui va donner le rythme. Les mains sur les fesses de son amant, elle accélère les mouvements de reins ,son amant la laisse le guider, le va et vient s’accélère. Elle sent le sexe de son amant se courber, ses grosses

bourses se durcir et un jet puissant l’inonde. Giséle est secouée par un nouvel orgasme qui semble durer des heures. Le sexe encore bandé de son amant glisse doucement hors d’elle,le jeune inconnu dépose quelques tendres baisers sur sa toison détrempée.

— Non, pas maintenant !

Jerry embrasse alors, Veridiane, et délicatement la fait se retourner.

Elle ne proteste pas. Tandis qu?ils continuent de s?embrasser longuement, profondément, Veridiane, à son tour, entreprit de le caresser. De parcourir de ses doigts légers ses cuisses, son ventre, sa poitrine.Elle avait des seins superbes, vraiment mignons.je vois ses seins, en poire, pas très gros, mais mignons et bien dessinés, pointus et légèrement retroussés, avec tous les détails, quelques taches de rousseur sur la peau très blanche, le bout de sein fripé, une jolie tétine rose. Il ne peut s’empêcher de regarder, c’est un spectacle attirant,

Elle vibrait sous ses caresses, avec une intensité jusqu’alors inconnue. Elle étais toute sensible, toute palpitante, concentrée pour ne laisser échapper aucune parcelle du plaisir qu?elle ressentait, augmenté de celui qu?il lui donnait. Pour pouvoir vivre intensément chaque seconde, s’enivrer de chaque goutte de votre ivresse.

Jerry approche son sexe dur de sa bouche, il force un peu les lèvres, car il sait qu?elle n’aime pas toujours ça. Veridiane aspire ce sexe qu’elle reconnaît, suce et lèche la tige de jade sur toute la longueur, elle sent des mains lui caresser les fesses, elle a peu honte de se retrouver ainsi à quatre pattes, impudique. Elle veut resserrer les jambes, mais des mains

puissantes l’en empêchent. Un sexe qu’elle devine dur s’approche de son petit trou.

— Non… s’il vous plait pas de sodomie. pas maintenant… je ne veux pas .. j’ai peur d’avoir mal…

— Comme tu veux mon amour !

Le sexe glisse lentement, il butte contre le périnée, appuie sur les lèvres qui s’écartent pour accueillir ce nouveau sexe, il entre profondément en elle et vient taper contre la matrice. Elle ne sait rien de cet homme .Son sexe lui semble très long, il lui tient les reins fermement et elle se sent prisonière. Il décide du mouvement, il veut la posséder rapidement. Il ne cherche que son plaisir de macho, il veut jouir vite du corps de Veridiane, ses mouvements sont très rapides, très forts, presque violents. Elle ne peut plus continuer la fellation, l’étalon lui fait perdre ses moyens, elle n’est plus qu’un sexe insatiable qui suit le rythme fou de l’homme, l’accélération est très forte l’homme râle et se retire prestement dans une dernière ruade.

Veridiane est de nouveau secouée par de multiples orgasmes.

— Fais de moi ce que tu veux ! Et Jerry lui répondit

— Tu en veux encore plus ?

Et finalement c’est elle qui a pris la décision d’aller plus loin. Les mains de l’homme lui maintiennent fortement les reins, celles de Jerry lui tiennent les épaules, son sexe s’écrase sur sa figure,un instant sa bite coulissa le long de la raie de son cul. La respiration de Veridiane s’accélérait et s’intensifiait. Bientôt son gland heurta l’étroit passage, massant bientôt la rosette délicieusement ornée dans ses replis d’un petit grain de beauté. Devant ce qu’elle pris pour de l’hésitation lui supplia encore :

— S’il te plait encule moi… je veux sentir ta bite dans le trou de mon cul… s’il te plait, baise-moi l’anus…’

Cette fois -ci, Veridiane avait perdue toute dignité, jusqu’à l’humiliation, sa beauté abandonnée s’offrait à lui toute entière. Sa croupe ondulait devant lui exhalant des odeurs félines. Sa féminité se dévoilait toute entière dans les courbes lascives de son corps parfait. Soudain elle ressent une pression sur son anus, elle n’a pas le temps de réagir de protester, l’homme force sa petite entrée et la pénètre avec puissance, facilité par les liqueurs qui s’écoule de son ventre. Une douleur sourde la secoue,il introduisait son sexe à l’intérieur, le gonflait légèrement et Jerry la pénétrais avec un sexe énorme, c’était hallucinant.

C’est sans aucune retenue quil je l’empalait dans son postérieur , limant avec vigueur sa part la plus intime, mes couilles claquant au creux du cul en saccades régulières. Son corps dont il malaxait les seins maintenant dans chaque main, ballotté d’avant en arrière était secoué de spasmes et de soubresauts, l’homme est au fond d’elle, quelques ruades, il râle et éjacule longuement au plus profond d’elle-même, la chaleur l’envahit. Veridiane est comme foudroyée par le plaisir qui la submerge.

’A ce moment là il ne savais pas si c’était par douleur ou par plaisir, elle lui rassura très vite en l’avouant qu’elle avait était foudroyée par l’orgasme. Une incroyable sensation la monte jusqu’à la tête en passant par ses hanches, ses seins, sa bouche. En complète symbiose avec son amant ’inconnu’, elle le sens lui aussi qui approche l’orgasme. À deux, tous les

deux, sans le voir, elle l’imagine très bien, tout contracté, ainsi prêt à se laisser aller à l’extase.tous les deux.ensemble! Elle crie son plaisir, l’étau qui la tenait se déserre l’inconnu la quitte. Veridiane s’écroule, elle reste là, chancelante abattue, éreintée, rompue, comblée, sur le lit.

— Cela faisait bien longtemps que je n’avais pas pris autant de plaisir…Confessa Veridiane, qui était comblée, épuisée…..

Cette soirée semble t’avoir convenu, murmure Jerry à Veridiane. Mais elle ne répond pas……. Et Il est sûre que lui aussi se rappellera avec délices ces moments intenses vécus ensemble……

Vos commentaires sont toujours les benvenus

Ici, S?o Paulo – Brésil  ?crivez-moi, [email protected]

Ivan Ribeiro Lagos

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