"Jacques tu viens de dire que tu avais une chienne ici, tu ne crois pas que les trois chiens auraient droit à un petit cadeau aussi" lui dis-je en lui faisant un clin d’il

"Cest vrai tu as raison, ne soyons pas égoïste, tu en penses quoi toi t’as pas envie de faire plaisir à ta race" dit-il à son épouse

"Non jacques je n’en peux plus, jai les orifices en feu et je suis épuisée à force de jouir, je suis à bout de force" gémit son épouse

"Soyons indulgents, on continuera après un bon sommeil bien mérité pour tout le monde" dit Francine faisant preuve à mon avis de solidarité féminine

"Je suis d’accord et toi jacques"

"Moi ça me va aussi, je vais laisser les chiens ici pour qu’ils finissent la nuit et de toute façon les batteries des engins vont être bientôt à sec, on n’aura plus de lumière" dit-il pragmatique

"Ok on lève le camp direction la chambre à coucher, tu détache ta chienne?"

"Oui je vais lemmener, elle dormira au pied de mon lit attachée à sa laisse, il faut leur apprendre les bonnes manières non!" me dit-il en rigolant .Tout ce petit monde se met en route vers la ferme, jai enlevé les entraves aux jambes de Suzette afin qu’elle puisse marcher avec nous, mais lui ai laissé les menottes, Jacques la tient en laisse elle le suit comme une gentille chienne qu’elle est devenue.

Après une douche bien méritée pour tous y compris Suzette que jacques a lavée dans la baignoire, tout le monde se couche et se laisse doucement emporté par Morphée

Ce sont les cloches du village d’à côté qui me réveille, je regarde ma montre il est midi, Francine dort toujours je me lève sans bruit afin d’aller assouvir un besoin naturel. Jarrive dans la cuisine Jacques est déjà là en train de s’affairer

"Bonjour"

"Ah bonjour Paul bien dormi?"

"Comme un bébé, Francine n’est pas encore réveillée elle prend du rab, et ta femme elle est où?"

"Ma femme! Ah oui, ben elle est là" me dit-il en me désignant un coin de la cuisine

Je me retourne et je vois Suzette couchée au sol en chien de fusil sur une couverture, toujours toute nue, un bol de café avec une tartine posée à côté d’elle

"Je l’ai sortie faire ses besoins dans la cour, mais elle refuse de manger c’est bête son café va refroidir" dit-il le plus naturellement du monde, comme si il parlait vraiment de son chien. Suzette me regarde avec des yeux remplis de larmes un instant j’éprouve de la pitié pour elle mais qui est vite balayée par les souvenirs de ce qu’elle nous a fait subir à Francine et moi. Bon c’est vrai qu’on a joui comme des déments grâce à elle, me dis-je. Je me promets d’en parler plus tard avec Francine et Jacques.

"Quelle et le programme des festivités aujourd’hui" me dit Jacques

"On va dabord prendre notre petit déjeuner avec Francine puis on avisera"

"Ah ben tiens justement la voilà " dit Jacques

"Bonjour la compagnie! Quest-ce que j’ai bien dormi, quel calme! Je vous envie vraiment d’habiter ici" dit Francine

"Ben si ça vous dit pas de problèmes la maison est assez grande"

"Cest vrai! Ça serait supé Paul" dit-elle

"Oui, oui, ne nous emballons pas on verra ça plus tard" dis-je faisant descendre du coup d’un ton l’enthousiasme de Francine

"Oh! Mais qu’est-ce qu’elle fait là" s’écrie-t-elle tout à coup

"Qui ça," répond jacques

" Mais elle Suzette! Pourquoi est-elle couchée par terre sur une couverture?"

"Ah ! Tu parles de ma chienne, pour l’instant c’est sa place, je verrai plus tard ce que je vais en faire" lui dit il

"Paul!" me dit Francine

"Laisse chérie on en parlera plus tard, pense plutôt à ce qu’elle t’a fait endurée cette nuit et tu auras un peu moins de pitié " lui dis-je. Après un petit temps de réflexion elle nous dit

"Oui c’est vrai après tout vous n’avez pas tort, elle est à sa place cette chienne" dit-elle sur un ton perfide

"Allez, on va boire un bon café pour nous réveiller" dit Jacques, il sert un bol à tout le monde

"Qui veut du lait" nous levons le doigt tous les deux

Jacques se dirige vers Suzette détache sa laisse et l’amène devant la table

"Allez sert ces messieurs dames ils veulent du lait" dit-il à Suzette

Elle saisit un de ses seins se penche au-dessus du bol et fait gicler son lait dans le café noir, elle procède ainsi pour les trois bols

"Quelle bonne laitière! Quelquun veut peut être du lait pur" dit jacques

"Moi j’aimerai bien " dit Francine à mon grand étonnement

"Tu as entendu, va régaler notre hôte" dit-il à sa femme

Celle-ci vient à côté de Francine et lui présente un sein qu’elle tient entre ses mains, elle ouvre la bouche aspire le téton puis se met à téter pendant un bon moment, enfin elle relâche la mamelle

"Humm, c’est bon, cest plein de bonnes choses bonnes pour la santé" dit elle

" Je ne te connaissais pas cette tendance bio" lui dis-je en rigolant

"Il y en a un autre si ça te tente" dit Jacques

"Ben si plus personne n’en veut je ne dis pas non" dit Francine, elle attrape le second téton dans sa bouche et reprend sa tétée. Elle tète d’ailleurs si bien que Suzette commence à pousser de légers soupirs, je passe ma main entre ses cuisses et lui dit

"Écarte les jambes chienne" elle obtempère de suite

Je lui enfonce directement un doigt dans le vagin et la fouille, la réaction est quasi immédiate

"Elle mouille ta salope" dis-je à Jacques

"Toujours partante la chienne, même de bon matin "me répond-t-il

Je rajoute un second doigt et la pistonne avec vigueur. Francine qui a vu mon manège la tète de plus en plus fort, les gémissements se muent en râles, un flot de cyprine coule entre mes doigts, ses jambes commencent à trembler puis elle pousse un râle plus fort que les autres, je sens ses muscles vaginaux qui se contractent sur mes doigts

"Elle vient de jouir ta laitière, premier orgasme de la journée ça démarre fort" dis-je à Jacques Je n’avais pas remarqué que Francine se doigtait elle aussi pendant qu’elle tétait Suzette, elle pousse un cri juste au moment où je termine ma phrase

"Oh quel réveil je viens d’avoir un orgasme en tétant une femme qui me donne son lait, c’est complètement fou!" me dit elle

"Une expérience de plus à rajouter à ton compteur " lui dis-je en souriant

Nous prenons enfin notre petit déjeuner, une douche, et chacun part s’habiller puis nous nous retrouvons tous les quatre sur la terrasse.

"Il va falloir que j’aille voir les chiens, il faut leurs donner à manger et les faire courir un peu à l’extérieur dans le parc" dit Jacques

"Pas de problème on va taccompagner, je te rappelle qu’on avait pas fini la séance de cette nuit"

" Oui c’est vrai, tu fais bien de me le rappeler, je ne voudrai pas que mes braves toutou soient frustrés, surtout que les chiennes en chaleur ça ne courent pas les rues par ici" me dit il

Nous voilà partis par le petit chemin que nous avons empruntés cette nuit , Jacques tient Suzette en laisse ,il l’a affublée des menottes de la veille ,de son corset afin de faire saillir sa croupe et d’un artifice buccal ,une boule de caoutchouc dur dans la bouche qui tient en place avec un large collier de cuir enserrant la tête, il m’a expliqué que c’était pour étouffer ses cris car le dimanche il y a parfois des promeneurs surtout quand il fait beau comme aujourd’hui.

"Ça me donne une idée" dis à Jacques tu as une cagoule à la maison pour lui mettre

" Bien sûr, on à tout ce qu’il faut tu sais"

" Très bien va la chercher on va t’attendre dans la grange" lui dis je

Au bout de cinq minutes il est de retour avec une belle cagoule en cuir que nous plaçons de suite sur la tête de Suzette .Il y a les orifices principaux donc elle ne risque rien.

"Et maintenant "me dit Francine

"On va l’attacher au pied du piquet là-bas juste derrière la haie en bordure du chemin en plus il y a petit passage qui remonte jusqu’à la route c’est impeccable" lui dis-je. Aussitôt dit aussitôt fait, nous emmenons Suzette sur place, la forçons à se mettre à genoux puis nous fixons les menottes au pied du piquet avec une cordelette. Suzette se met à grogner en agitant la tête pour dire non, elle tire sur le lien qui l’attache au piquet .Jacques part vers la haie et casse une petite branche, il s’en sert pour fouetter le cul de son épouse

"Tu vas te calmer sale chienne si tu continues je te mets le cul en sang" argument qui porte ses fruits Suzette se calme. Je vérifie une dernière fois l’attache puis satisfait je dis

"On va se cacher dans la grange et on verra bien ce qui va se passer"

Nous trouvons chacun un poste de guet

Je vais donner à manger au chien, si il se passe un truc vous m’appelez" dit Jacques

"Compte sur nous" lui répond Francine, nous commençons à guetter. Les minutes s’écoulent puis tout à coup je vois arrivé au bout de la route un curé monté sur un vélo

"Tas vu! Un curé à pédales" dis-je en rigolant à Francine

"Tu crois qu’il va s’arrêter" me dit-elle

"Je ne sais pas si on la voit depuis la route" lui dis-je. Jacques revient, il en a fini avec les chiens. Je lui fais signe de regarder

" Cest le curé du village voisin, il va dans notre patelin pour dire la messe de 10 heures" nous explique-t-il. Il se rapproche, je le vois mieux maintenant c’est un homme pas loin des 70 ans à mon avis, chauve, petit et bedonnant, il a du mal à avancer on voit bien que cela lui coûte un effort à chaque fois qu’il doit appuyer sur une pédale. Il arrive près du petit sentier et là au miracle! (pour un curé quoi de plus normal) il s’arrête sort son mouchoir et s’éponge le front. Je le vois qui fouille du regard les alentours, repère le sentier puis descend du vélo qu’il dépose sur le bas-côté et s’engage dans le petit sentier tout en portant une main à sa soutane pour la tirer vers le haut et avec l’autre il commence à ouvrir sa braguette

"Il va pisser, quelle chance on a, il va tomber directement sur Suzette" jubile Francine .Pas de chance, arrivé derrière la haie il se tourne du mauvais côté présentant son dos à notre chienne, tout en urinant il se met à siffler et à contempler le paysage autour de lui

"Il va la voir, il va la voir! Regardez, il tourne la tête, ça y est il l’a vue" dit mon épouse toute excitée par la situation

En effet dehors le brave curé et comme tétanisé par ce qu’il voit, il se tourne vers Suzette tout en continuant d’uriner totalement subjugué. Il s’approche d’elle en jetant sans arrêt des regards à droite et à gauche, il lui parle mais d’où nous sommes nous ne comprenons pas ce qu’il dit. Par contre Suzette commence à se débattre tant qu’elle peut mais rien n’y fait, elle est bien attachée. Le curé se recule, surpris, contemple la scène quand elle s’est calmé il se rapproche d’elle, se penche et lui caresse les fesses. Au bout d’un moment il s’enhardit et envoie sa main entre les cuisses, il farfouille, son autre main s’attaque aux seins qui pendent dans le vide comme de belles poires juteuses

"À mon avis la messe aura du retard aujourd’hui" dis-je, les deux autres rigolent

Dehors notre curé s’en donne à cur joie, son envie certainement décuplée par des années de plaisirs solitaires. Il soulève sa soutane, son outil a pris de belles proportions, il cramponne le cul offert et s’enfonce dedans d’une traite. Après quelques allers-retours il se scotche aux fesses et ne bouge plus

"Il est en train de se vider dans ma chienne" dit Jacques en ricanant. En effet notre curé baiseur en a fini il laisse retomber sa soutane et se relève pour s’éponger le front à nouveau, avant de s’en aller il ramasse le bâton que jacques avait coupé et en assène une dizaine de coups sur le cul sans défense. Suzette gigote mais ne peut se dérober.

"Il punit la succube par là ou elle a péchée" dit Francine

Sa séance de flagellation terminée il jette le bâton remonte le sentier, enfourche son vélo et repart vers le village.

"Ça restera le souvenir de sa vie à mon avis" dis-je à mes compagnons

"Oui, au moins maintenant il a des images plein la tête pour quand il se masturbera" nous dit Francine

Les minutes défilent mais plus rien ne se passe, nous quittons nos postes de guet afin de nous concerter sur la suite des événements, il n’y a que Francine qui jette un coup d’il de temps en temps. Presque une heure se passe tout à coup elle nous appelle…

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