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Jouissances familiales tumultueuses – Chapitre 1




Sur un scénario proposé par un de mes lecteurs, voici une histoire de famille particulierement sulfureuse.

Jouissances familiales tumultueuses

Chapitre 1 : Bob

Allongé sur mon lit je souris béatement en repensant à cet après-midi ou j’ai rencontré une jeune fille qui doit avoir juste 18 ans

*****************

Mon oncle en déplacement professionnel m’avait demandé de passer de temps en temps devant sa maison pour voir si tout allait bien. Arrivé à son domicile je me suis vite rendu compte que son fils Cyril donnait une petite fête car j’entendais de la musique et les cris de plusieurs jeunes gens qui batifolaient dans la piscine.

Avec les clés que mon oncle m’avait confiées, je pénètre dans sa propriété et apercevant Cyril, il m’informe qu’il fête l’anniversaire d’une copine et qu’ils profitent de la piscine par cette belle journée d’été. Apres les recommandations habituelles sur l’alcool et le bruit je mapprête à quitter la maison quand une jeune fille traverse la pièce en courant et dit à Cyril.

— Je vais me changer. Ton imbécile de copain m’a poussé dans l’eau toute habillée !

En effet, sa petite robe est trempée et colle à son corps comme une seconde peau.

Emoustillé par cette beauté qui passe devant mes yeux émerveillés par les formes alléchantes de son corps, je ne pars pas et je la suis discrètement.

Devant la porte ouverte de la salle de bain, je reste figé sur place en apercevant cette jeune fille qui a retiré sa robe et qui baisse son slip pour se retrouvée toute nue comme le jour de sa naissance.

Elle est assez fine mais avec ce qu’il faut aux bons endroits. Penchée sur la baignoire, les jambes écartées pour être à la bonne hauteur, elle rince ses cheveux. Le spectacle est sublime.

De longues jambes, bien galbées, des cuisses bien fermes et un superbe cul. Bien rond et ferme sous une taille fine comme une jouvencelle. Magnifique !

Sa tête est penchée vers le bas,  et le bruit de l’eau couvre mon soupir de surprise et d’admiration.

Je reste là à détailler toutes les parties de son corps qui s’offre à ma vue en m’attardant sur la petite courbe sous chaque fesse qui marque parfaitement leur galbe et l’étroit petit pli  ou la fente de son cul commence. Mais le plus beau, le plus délicieux, c’est la vue de sa petite chatte qui émerge furtivement d’entre les fesses de son cul quand elle se penche en avant. C’est un peu dans l’ombre, mais je suis assez près pour la voir clairement. Une très petite chatte avec une fine touffe de poils dorés autour.

Je pense qu’elle a senti mon regard inquisiteur car elle s’arrête de bouger et en tournant lentement sa tête elle regarde par dessous son bras. Immobile, ses yeux dans les miens, je me sens un peu gêné  mais je ne bouge pas pour autant.  

Elle se redresse lentement et elle se tourne vers moi. Ses seins sont plus gros que je me l’imaginai. Bien placés et haut sur sa poitrine avec de belles aréoles rose et de beaux tétons rouges saillants. Ses poils pubiens sont bien taillés de chaque côté de sa vulve et ses lèvres sont légèrement ouvertes, révélant un soupçon d’humidité derrière elles.

Nos yeux restent accrochés un long moment et elle ne semble pas être en colère ni gênée par sa nudité que je contemple impunément.

Ses yeux  se promènent lentement sur mon corps en s’attardant sur mon entrejambes pendant quelques instants avant de remonter vers mon visage avec une lueur d’amusement en voyant  l’effet qu’elle  a sur moi, et sa bouche esquisse un sourire me laissant apercevoir ses dents très blanches derrière la douceur de ses lèvres roses. Je souris un peu crispé, et sous un faible gémissement je recule, en la voyant se pencher pour fermer très lentement la porte.

Je m’assieds dans le salon pour l’attendre et m’excuser avant de partir. Mon esprit est rempli de la vision que je viens de voir… sa peau dorée, ses seins pulpeux et sa chatte légèrement poilue et ses yeux gris bleu alors qu’elle m’observait entrain de regarder son petit sexe rose et humide, légèrement ouvert.

J’entends ses pas qui viennent vers moi. Ses cheveux, encore humides, sont attachés en queue de cheval et je la regarde avec un air que je voudrais coupable.

— Je suis désolé, Mademoiselle,  Jeje ne savais pas que vous étiez là. J’ai été surpris.

Elle s’arrête et me regarde en disant.

— C’est ce que j’ai vu. Mais vous avez pris du temps à vous remettre de votre surprise je me prénomme  Zeïaet vous ?

— Heu Bob. Je suis vraiment désolé.

Elle se penche vers moi.

— Désolé pour quoi, Bob, pour ce que vous avez vu de moi ou pour être resté comme sale pervers à mater une fille à poil ?

— Je ne suis peut être un pervers, jeune fille! Vous avez eu peur ?

Elle se met à rire.

— Oui, monsieur, surtout quand j’ai vu de la bave coulée sur votre menton.

Je ris avec elle et j’ajoute.

— De  toute façon c’est de votre faute !

— Quoi ! Vous  ne manques pas d’air !

— Et bien si vous n’étiez pas si belle et désirable je serais resté moins longtemps.

— Vous êtes bien un vieux pervers !

Et avant que je puisse répondre elle s’est sauvée rejoindre ses amis.

***************

Je ferme mes yeux et je revois les lèvres gonflées de sa petite chatte et l’orifice fermé derrière elle, entre les fesses.

J’imagine mon corps pressé contre cette jeune chair humide, son jus qui goutte comme du miel liquide et ma bite qui se redresse rapidement, vers mon ventre alors qu’elle m’observe. Mon gland pourpre distendu et gonflé laisse échapper une goutte de liquide claire comme une perle issue de mon excitation. Mais je vois aussi son regard, sa peur, en découvrant mon gros sexe, énorme, hors norme. Un gland de presque 5 cm de largeur et une queue de plus de 20 cm en pleine érection !

C’est pour moi un problème quand je rencontre une femme. J’ai 32 ans, sportif et bien bâti, pratiquant le judo avec quelques palmarès à mon actif. Je dirige une société que ma légué mon père et j’ai un beau train de vie.  Je plais aux femmes et je les attire facilement chez moi, mais, lorsqu’elles voient ma queue en érection, la plupart sont effrayées et je ne peux les baiser ! Surtout si elles sont jeunes et inexpérimentées. Pour me satisfaire pleinement je me rabats sur des femmes mures avec la chatte accueillante et le trou du cul bien rodé par de belles bites

J’ai ma bite en main et je me caresse en imaginant comment Zeïa pourrait me chevaucher et abaisser sa chatte sur ma queue dressée en son honneur.  Fermant les yeux je l’imagine très serrée et ma queue à des difficultés pour s’introduire dans sa petite chatte. Juste un bout de mon gland se loge entre ses grandes lèvres humides. Dans ma tête je vois son visage, sa bouche ouverte, les lèvres molles et humides et ses cheveux qui volent pendant qu’elle essaye vainement de s’empaler sur ma bite. J’imagine même le satin de ses cuisses de chaque côté de mes hanches et la pression de ses mains sur ma poitrine pour se stabiliser.

Mais elle n’insiste pas et crie

— Putain ! T’ais trop gros ! T’as une bite de cheval !

Ce n’est qu’un rêve mais malheureusement c’est souvent comme ça !

Ma main serre plus fort ma bite et je me branle plus rapidement sentant la spirale inexorable du plaisir venir de mes reins et je jouis. Un grognement de plaisir intense sort de mes lèvres et de grands jets de sperme épais et brûlants gicles sur mon ventre contracté par les spasmes de ma jouissance.

Phantome

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