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Chantal – Chapitre 7




Chantal 7

Sur Agnès raconte sa rencontre avec l’évêque.

Pendant cette toilette commune, Chantal demande à Agnès comment elle est arrivée à ce qui vient de se passer. C’est cet intermède que sur Agnès va nous raconter avant de revenir aux frasques de Chantal.

Écoutons Agnès.

« Je suis entrée au couvent parce que mes parents désiraient me marier à un homme bien plus âgé que moi, il avait l’âge de mon père, mais il était riche et en affaire avec mon père.

Alors que j’étais encore novice, la mère supérieure m’a prise sous son aile, je suis devenue en quelque sorte sa secrétaire, et après quelques mois, je suis devenue sa confidente.

Je me doutais bien qu’il se passait des choses au sein du couvent, mais je n’en avais aucune preuve.

Jusqu’à un soir où à la fin du dernier office de la journée, en l’occurrence les complies, tandis que les autres surs quittent la chapelle pour regagner leurs cellules, mère supérieure reste encore un moment en prière, je reste avec elle.

Puis au bout d’environ dix minutes, elle se lève et me fait signe de la suivre. Nous traversons le cloître pour rejoindre le couloir des cellules.

Arrivées à la porte de sa cellule et bureau, elle me dit: « entrez, sur Agnès, j’ai quelque chose à vous montrer. Un jour, c’est vous qui serez la supérieure de ce couvent, je sais, vous n’avez pas encore prononcé vos vux, mais je vais vous confier un secret réservé aux supérieures de ce couvent.»

Nous entrons dans son bureau, elle s’approche de la bibliothèque et en l’écartant facilement du mur, je découvre un passage secret et la mère supérieure s’y engage, me faisant signe de la suivre en silence, et nous engageons dans un couloir avec pour seule lumière ce qui me semble être des petites fenêtres, certaines sont faiblement éclairées et en s’approchant de la première, je m’aperçois que ces fenêtres donnent sur l’intérieur des cellules et je peux voir qu’une de mes surs est nue sur son lit et qu’elle se caresse le sexe avec ses deux mains, je suis scotchée à cette fenêtre, à voix basse, juste à mon oreille, mère supérieure m’explique qu’en fait, ces fenêtres, ce sont les glaces sans tain dans chaque cellule qui lui permettent de voir ce qui ce passe dans le couvent en dehors de la vie commune et comment maintenir une certaine discipline.

Sa joue contre la mienne, la chaleur de son souffle me fait frissonner.

Mais me prenant par la main, elle m’emmène vers une autre fenêtre et là, stupeur de ma part, je vois à la lueur d’une bougie, deux surs tête bêche en train de lécher le sexe de l’autre ; à ce moment, je ressens une bouffée de chaleur m’envahir, mais pas le temps de s’attarder sur cette vision érotique, ma supérieure m’entraîne vers une autre fenêtre pour découvrir un autre spectacle, une novice comme moi, mais parfaitement au fait de pratiques sexuelles dont je n’avais aucune idée.

Elle était accroupie sur son lit avec un cierge de bonne dimension qu’elle agitait fiévreusement dans son sexe. C’est la dernière vision que j’ai eue. Quand je suis revenue à moi, j’étais allongée dans un lit avec une autre personne au pied du lit, et soudain, j’ai un frisson et je réalise que je suis nue et que la mère supérieure est dans la même tenue que moi. Je tente de cacher mon sexe, mais elle m’en empêche et au contraire, c’est sa main qui prend place sur ma féminité tandis que sa bouche entoure un de mes tétons et se met à le sucer.

Je me laisse faire, connaissant l’autorité d’une supérieure de couvent sur les filles qui sont sous sa tutelle.

Alors, mère supérieure s’est couchée à côté de moi et nous nous sommes caressées, peu au fait des pratiques sexuelles, je me suis laissée guider, imitant comme je peux les gestes de ma supérieure. Plusieurs fois, chacune a éprouvé le plaisir généreusement donné par l’autre, c’est durant cette nuit que la mère supérieure m’a initiée à la pénétration de son sexe avec la main, son sexe était large ; une véritable grotte de chair dans laquelle coulissait toute ma main, jusqu’au poignet, c’était chaud, gras onctueux, et mère Cécile se caressait le clitoris « vous avez vu Chantal comme il est énorme bien en proportion du reste du sexe !!! ».

Nous avons passé la première partie de la nuit ensemble jusqu’à l’office des vigiles à deux heures du matin, à ce moment, j’ai pu voir la fatigue sur le visage de certaines surs, il en était de même pour moi, à la suite de l’office, j’ai regagné ma cellule pour deux heures de sommeil jusqu’aux matines, j’ai allumé la lumière et je me suis couché nue, écartant bien les jambes afin de montrer au mieux mon corps vers la glace, espérant que mère Cécile était en train de m’observer dans le couloir.

Au cours de la journée, mère Cécile n’a en rien évoqué cette nuit, et moi-même, encore très troublée, je ne me suis pas permis de le faire ; mais jusqu’à ma prise de voile, ce début torride de nuit s’est renouvelé, mais cela se passait dans le couloir secret où nous nous caressions, tout en regardant le spectacle que nous offraient les surs, nues toutes les deux, nous frottions nos sexes sur les cuisses de l’autre, mes seins au contact des grosses mamelles de mère Cécile étaient électrisés au point d’en ressentir presque de la douleur, mon sexe coulait littéralement sur ses doigts qui fouillaient mes chairs, mais je sentais qu’il me manquait quelque chose, mon sexe réclamait plus de possession, j’éprouvais le besoin d’être investie, remplie, je m’en suis confié à mère supérieure, qui m’a répondu que ça viendrait, que bien plus souvent, j’aurai la chance de goûter au sexe, à la débauche sans retenue, au sein du couvent plutôt que mariée à un homme qui s’occuperait bien moins de moi, sa promesse s’avérera exacte.

Chantal : « quand avez-vous rencontré Monseigneur ? ».

Agnès : « la première fois quand j’ai prononcé mes vux et pris le voile, avant la cérémonie, mère Cécile m’a prise à part en me disant que j’allais me confesser à Monseigneur, et que je n’avais rien à lui cacher, qu’il était bien au courant des turpitudes du couvent.

Ce que j’ai fait, étonnée quand même des détails demandés par Monseigneur, me les faisant répéter plusieurs fois ».

A ma prise de voile, j’ai pu voir son regard, j’ai eu l’impression d’être nue devant lui dans cette chapelle, mais il ne s’est rien passé, j’en suis restée troublée, cet ecclésiastique transpirait le vice.

La seconde fois, c’est le jour où il est passé alors que ce n’était pas prévu, du moins c’est ce que je pensais, mais tout avait été organisé d’avance par mère Cécile. Le matin, mère Cécile me dit : « restez nue sous votre robe aujourd’hui, j’ai envie de vous faire plaisir, ce faisant, elle me montre qu’elle est nue sous sa robe, je regagne ma cellule et je me mets nue sous ma robe non sans me pavaner devant ma glace, sachant que mère Cécile m’observe, puis je pars vaquer à mes occupations.

Au moment d’assister à l’office de tierce, ce qui correspond à 9h00, je découvre dans le chur de la chapelle, la présence de Monseigneur, accompagné de son vicaire et du curé de la paroisse.

Au regard qu’ils ont posé sur moi, j’ai cru qu’ils voyaient à travers ma robe de bure. J’ai même eu le réflexe de poser ma main sur mes seins, ce qui semble faire sourire les trois hommes, je n’ai guère eu l’esprit à la prière durant cet office.

Après l’office, toutes les surs sont reparties chacune au travail qui lui est dévolu, de même pour moi, mais avant que de quitter la chapelle, mère Cécile me demande de passer la voir dans son bureau dans vingt minutes.

Troublée par cette demande, je me suis retrouvée arpentant dans le cloître en essayant de calmer mes émois, les regards sur moi de Monseigneur, de son vicaire et du curé de la paroisse, qui est notre confesseur, et à qui nous confions nos envies et turpitudes et nos pêchés de chair avaient semé le trouble dans mon esprit et disons-le aussi, dans ma chair, je sentais mon sexe s’humidifier. Je savais bien que le secret de la confession, ça existe, mais sait-on jamais !!!!!.

Après avoir tourné en rond dans le cloître en tentant de prier afin de calmer mon trouble, sans vraiment y parvenir, je me suis rapproché de la porte du bureau, d’où de manière sourde émanaient des mots incompréhensibles et des soupirs qui ne laissaient aucun doute sur les activités qui se déroulaient derrière la porte.

Je frappais discrètement, j’ai attendu quelques secondes et n’ayant pas eu de réponse, j’allais faire demi-tour quand la porte s’ouvre et devant moi, Monsieur le Curé, nu, le sexe à la verticale, pas le temps de faire un pas de recul et prendre la fuite, il me prend par le bras et referme la porte.

Le spectacle qui m’est donné de voir dépasse tout ce que j’ai pu voir dans le couloir secret. Mère Cécile et assise sur les genoux du vicaire, le sexe de ce dernier non pas dans le vagin de ma mère, mais dans son anus et elle a embouché le sexe ou plutôt le monstre de Monseigneur.

Mais guère le temps de tergiverser, Monsieur le Curé, en un tour de main, m’a retiré ma robe et je me suis retrouvée nue avec seulement mon voile et ma guimpe, sur l’instant, j’ai vraiment l’impression d’être une religieuse en goguette.

Le trio cesse ses activités et les trois hommes s’emparent de moi, me soulèvent et m’installent sur le bureau débarrassé de tout objet, et les deux prêtres me tiennent jambes écartées, dévoilant mon entre cuisses, et j’entends mère Cécile dire : « Cette petite vierge est à vous Monseigneur, cadeau du couvent au dieu Priape, faites en une vraie femme !!!! ».

Et je vois avec effroi s’approcher Monseigneur le sexe énorme, tendu, mais aussi biscornu comme une infirmité, mais d’une taille démesurée.

Bien maintenue couchée sur le bureau, je sens la chaleur de ce sexe posé sur le mien et qui se frotte lentement tout le long de mes chairs, le prélat pose sa main en haut de ma cicatrice afin de dégager mon clitoris, tout comme me le fait mère Cécile, et le frottement de ce tison brûlant sur ma fente, déclenche mon premier orgasme avec un homme. Au point que je perds connaissance, quand je reviens à moi couverte d’une sueur érotique, les deux prêtres caressant mes seins et frottant leur sexe sur mon visage, et soudain je sens le monstre se positionner à l’entrée de mon vagin, les mains du prélat m’enserrent la taille, et puis d’un seul coup de reins, il s’enfonce en moi en me tirant à lui, la douleur est fulgurante, je me mets à crier, mais mon cri est vite étouffé par un sexe.

J’ai la sensation d’être déchirée jusqu’au fond du ventre, monseigneur attend quelques instants le temps que mon sexe se fasse à la conformité du sien, mais il appuie toujours son corps vers moi, si bien que le manche qui vient de faire de moi une femme s’enfonce lentement dans mon ventre, écartant mes chairs externes et internes, et bientôt, je sens d’un côté son gland difforme toucher le fond de mon ventre, et la hampe tordue frotter le haut de ma grotte, et puis lentement, le piston de chair s’est mis en mouvement, glissant lentement dans mes chairs dilatées à l’extrême, j’ai senti alors monter en moi un plaisir insoupçonné, au point que je me suis mise à sucer et téter les deux sexes à ma disposition près de mon visage afin de ne pas ameuter tout le couvent avec mes cris de plaisir, puis Monseigneur me tenant bien aux hanches entreprend de me pistonner vigoureusement, j’ai perdu toute notion du temps, jusqu’à ce que la cloche de l’office de sexte nous appelle pour l’office de midi alors les trois religieux s’activent et rapidement, le vicaire et le curé se déversent dans ma bouche, je goûte pour la première à la sève des hommes, ce qui déclenche mon plaisir et c’est en grognant lui aussi de plaisir que monseigneur se vide sur mon ventre m’aspergeant de semence jusque sur les seins.

Nous nous sommes rhabillés et nous avons rejoint la communauté pour normalement un moment de prière, ce fut difficile, je dirais même impossible pour moi dès que je fermais les yeux, j’avais en vision les sexes des trois hommes, et je me sentais prête à recommencer.

Mère Cécile avait bien raison, il y avait bien plus d’opportunités au couvent que dans un couple, bien que je n’use pas de points de comparaison.

Mais au sein du couvent, pas d’inhibition, les rapports ne sont que d’ordre sexuel.

Et malgré une douleur au ventre, je me sentais prête à recommencer. Après l’office, voici l’heure du repas, je me retrouve à table entre le vicaire et le curé qui n’ont de cesse de me toucher sous la table, heureusement qu’elle est recouverte d’une nappe, autrement les autres surs s’apercevraient que je suis jupe retroussée jusqu’au ventre et tantôt, c’est le vicaire qui me caresse le sexe et tantôt le curé qui me fouille le vagin quand ce n’est pas les deux en même temps, et bientôt, je suis à la limite de ma résistance, nous n’entendons que la sur qui fait la lecture, mais il me semble que sa voix est couverte par les clapotis de mon sexe au point que mère Cécile décide du retour au bureau, où je me retrouve nue assise sur les genoux de monseigneur qui me fait écarter les jambes afin d’avoir un accès total à mon sexe, tout en discutant avec mère, Cécile assise sur son bureau et offrant sa fente aux deux autres prêtres.

Déjà très excitée par ce qui s’est passé durant le repas, je me retrouve au bord du gouffre ; les doigts du prélat caressent chaque centimètre de mes chairs ultra-sensibles, je ne suis plus capable d’avoir l’esprit à autre chose que de prendre du plaisir. Je me sens comme une femelle en chaleur qui ne désire qu’une seule chose, se sentir pleine de ce gros sexe qui est dressé contre mon dos, je suis incapable de suivre la conversation.

Je vois devant moi mère Cécile cuisses grandes ouvertes et les mains des deux hommes qui fouillent sa vulve ; les doigts courent le long des chairs luisantes de plaisirs, ou bien deux doigts décapuchonnent le clitoris et un pouce vient faire des ronds sur le bouton turgescent, tandis que mère Cécile masturbe à pleine main le sexe de chaque homme, à qui elle offre son corps.

Alors que je suis maintenant à deux doigts de jouir, Monseigneur me fait lever, j’ai soudainement l’espoir que je vais être à nouveau pénétrée ; mais ce n’est point le cas, Monseigneur me tient par la taille et il me garde près de lui en me tenant par la main qu’il pose sur son gros sexe, ma petite main n’en fait pas le tour, et ce sexe me brûle la main comme un tisonnier chauffé à blanc. Dans mon hébétude, j’entends vaguement monseigneur dire à mère Cécile je la prends avec moi à l’évêché afin de la former.

Et à moi : « Allez chercher quelques affaires et revenez me voir ».

J’enfile ma robe et je rejoins ma cellule et je fais un petit sac, je mets ma pèlerine et je retourne au bureau de mère Cécile.

Quand j’entre, tout le monde est rhabillé.

Ma mère me dit : « sur Agnès, vous allez partir pour quelque temps avec monseigneur pour une formation qui vous sera utile et aussi pour le plaisir de monseigneur »

Bien ma mère !!!!.

Monseigneur :retirez votre robe et ne gardez que votre pèlerine, vous devez toujours être prête à donner et recevoir du plaisir.

Je retire ma pèlerine et ma robe, que mère Cécile me prend des mains et la fourre dans mon sac après avoir vérifié son contenu. Elle retire culotte et soutien-gorge en me disant vous n’en aurez pas besoin pour votre formation »

Je n’ai donc plus que ma guimpe, mon voile et mes sandales. Après m’avoir flatté les fesses, monseigneur me remet ma pèlerine et nous prenons congé de mère Cécile. Je m’emmitoufle dans pèlerine afin de ne pas me montrer nue pour traverser le couvent. Mais arrivée à la voiture, monseigneur me retire la pèlerine pour ce que nous allons faire durant le trajet, vous n’en avez pas besoin.

Je m’engouffre dans la limousine pour poser mes fesses sur le cuir froid de la banquette arrière. J’en frissonne. Le vicaire se met au volant et démarre, monseigneur m’attire sur lui et je prends place sur ses genoux.

Suite dans Chantal 8

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