Nicolas. Il faut que je le suce, lui aussi. Sinon la nuit n’aura pas été parfaite.
Je jette un regard à Laurent, et il comprend tout. Il va s’asseoir sur un fauteuil, et nous laisse sur le lit, mon frère et moi.
Nico se couche sur le dos, son gros membre pointé vers le ciel, et je me jette sur lui, la bouche encore pleine du sperme de mon mari.
Mon frère est devant moi, gonflé de désir, et je n’ai qu’une envie, c’est de le prendre dans la bouche. C’est mieux que dans mon rêve. Je le regarde. Je sens son regard fixé sur mes lèvres.
Je m’approche de son membre. Ça y est. Je vais enfin sucer mon frère. C’est impensable. Mais je sens que c’est exactement ce que je veux.
Je lèche d’abord son gland violacé. Il est plus rond et plus épais que celui de mon mec. Chaque queue est différente. Mais en ce moment je ne veux que celle-ci. Il me dit des mots qui m’excitent trop :
« Suce ma queue Mélissa… viens goûter la queue de ton frère, coquine… »
Ma langue descend le long de sa colonne veineuse. Hm… quel délice, j’aime ça, elle est si douce.
Mais la lécher ne me suffit pas et je la prends dans ma bouche. J’aime tellement sucer cette belle queue. Elle est parfaite, brûlante et tendre. Je jette un regard à Nico dont les yeux sont fermés et les muscles du ventre tendus. C’est si beau un homme qui a du plaisir…
« Oh Mélissa, tu es encore plus cochonne que je pensais… »
Alors plus rien ne m’arrête. Je me jette à nouveau sur ce sexe qui n’attend que ça. Je reprends Nicolas dans ma bouche et je le suce. Je déguste sa queue, je la bouffe tout entière, je la veux au plus profond de ma bouche. C’est merveilleux. J’ai toujours aimé sucer, et là je me régale, plus rien ne compte à part ce sexe fraternel qui s’offre à moi… J’alterne entre ma bouche et ma main. Je la branle, je la suce, je descends lécher ses couilles, les gober, les avaler… Je suis comme folle.
Je vais de plus en plus vite. Je veux le faire jouir. Mon frère. Ici, maintenant, sur mon lit, avec Laurent qui nous regarde. La respiration de Nico s’accélère, ses gémissements s’intensifient, ses ongles s’enfoncent dans le matelas… Ça m’excite de le mettre dans cet état-là… Inceste magique…
Soudain je sens sa queue se contracter… et il jouit. Enfin il se libère dans ma bouche.
Je sens un premier jet inonder ma gorge. Je jouis presque moi aussi tellement j’adore ça. Il pousse un long râle. Son sperme submerge ma langue. Il n’a pas le goût de chewing-gum à la menthe, il n’a pas non plus le même goût que Laurent. Mon frère a un goût unique, rien qu’à lui. Un goût délicieux.
Un autre jet vient remplir ma bouche. Je sens couler son foutre tout chaud au fond de moi, et j’avale tout. J’aime tellement avaler ça. Et pour ne pas laisser sa bite souillée, je lèche jusqu’à la dernière goutte, pour bien la nettoyer.
Laurent, Nicolas et moi, nous nous endormons rapidement. Pour moi, c’est un sommeil profond, merveilleux, tel que je n’en avais plus connu depuis longtemps.
<i>Dans mon rêve, je porte des bas-résilles, une toute petite jupe de cuir et un collier de chienne. Je suis très vulgaire. Ça me plaît.
Laurent est dans ma chambre. Il a un chapeau de feutre sur ma tête. Il me dit qu’il va me vendre à ses amis. Je comprends que je suis une pute. Sa pute. L’idée m’excite.
Bientôt la pièce est envahie d’hommes nus qui portent des cagoules. Ils font la file pour me baiser. Je les prends en bouche, en chatte, en cul. Mon homme empoche des billets chaque fois qu’un mec me prend.
Un des hommes dans la file est Nicolas. Je le reconnais malgré son masque. Je ne dis rien à Laurent et je laisse Nico me baiser. Pour lui, je crie, je gémis.
Quand il a fini son affaire, je dis à Laurent que pour celui-ci, c’était gratuit.</i>
Le matin quand je me réveille, je suis seule dans le lit. Après l’intimité de la veille, ça me fait tout bizarre de ne pas sentir un corps contre le mien…
Laurent et Nicolas ne sont plus là, mais je les entends plaisanter dans la cuisine. J’enfile en vitesse un petit peignoir de satin, je descends les marches quatre à quatre et je les vois tous les deux, nus, en train de s’embrasser sur la bouche. Leurs langues se mélangent avec appétit et ce baiser les fait tous les deux bander.
Je profite du spectacle pendant un moment, jusqu’à ce que Laurent me remarque. Il rougit :
« Oh, Mélissa, tu es là… On était… euh… on était juste en train de voir… »
« J’étais en train de rouler un patin à ton mec », dit alors Nico en souriant. « Il embrasse bien, le con ! »
Ça nous fait rire tous les trois. J’embrasse Laurent sur la bouche pour lui dire bonjour, puis j’embrasse aussi mon frère. C’est comme si entre nous trois, il n’existait plus aucune barrière.
Nous nous asseyons et petit-déjeunons tous ensemble.
Nicolas me dit :
« Hé ! C’est pas juste. Tu es habillée alors que nous sommes nus ? »
Je grimace et me lève, je laisse tomber mon peignoir sur le carrelage :
« Mais quel enfant ! Voilà, ça te va comme ça ? »
Laurent rit, Nico et moi partageons un regard puis nous sautons sur Laurent, et le plaquons au plancher. On se marre comme des gamins, même si je vois bien que la proximité des corps suffit à déclencher une belle érection chez les deux garçons.
Après un petit match de catch improvisé, on se relève et on continue le repas.
« Nico, je suis vraiment heureuse que tu sois à la maison. Tu passeras voir papa ? Et maman ? »
Il sourit : « Je ne veux pas qu’ils sachent que je suis ici. Surtout maman. Elle irait me faire la morale alors que… »
Je contourne la table et embrasse mon frère sur la bouche :
« Ne t’inquiète pas Nico. Ils ne sauront rien. Je te le promets. »
Il me sourit. Je vais m’asseoir sur les genoux de mon petit ami, je l’embrasse et lui dis dans son oreille :
« Je t’aime. »
Il n’en faut pas plus pour faire grossir son sexe. Je prends celui-ci dans ma main et je le masturbe tout doucement, pleine d’amour. En face de nous, mon frère nous regarde intensément, et il se branle lui aussi. L’atmosphère est sexuellement très chargée…