Jétais sans voix, jessayais de me couvrir mais Jean-Pascal sallongea à mes cotés et membrassa. Je nallais pas laisser ce cochon profiter de mon corps.

Jétais ainsi offerte aux yeux vicieux de Pierre qui continuait à sastiquer le manche à peine visible, son ventre par son volume cachant la totalité de son sexe. Je commençais à comprendre à quoi jallais être obligée de faire face.

Jean-Pascal glissa son bras derrière mon dos, bloquant les miens, jétais sans défense. Cette position de femme soumise aurait du me révolter, au lieu de cela les frissons qui parcouraient mon ventre me faisait prendre conscience de ce que jétais.une salope.

Ouvre toi ma chérie me glissa t il à loreille, il ne ta pas bien vu, ni hier, ni tout à lheure, tu vas être gentil avec ton immonde voisin.

Les deux hommes gloussaient, je mexécutais, ouvrant mon entre jambe aux yeux libidineux de ce pervers.

Lors de vacances passés avec leur fille, Flavie mavait rapporté quelle lavait surpris entrain de la mater dans la salle de bain et quune autre fois en pleine nuit il était venu la caresser, elle navait pas voulu en parler à sa femme, à lépoque elle mavait fait promettre de ne rien dire, que cela navait pas été plus loin, mais quil avait été le premier à la faire jouir en la caressant.

Ce nest que lan dernier, quelle mavoua ne pas avoir tout dit, durant quinze jours il était venu chaque nuit lui donner du plaisir et quil était également le premier homme à qui elle avait fait une fellation, ne voulant pas salir les draps, elle avait du chaque fois se résoudre à avaler le sperme quil déversait au fond de sa gorge.

Maintenant cest moi qui allait subir ses attouchements et je dois reconnaître quimaginant les scènes avec ma fille cela ne me laissait pas insensible.

Ce porc allait me saillir, me salir et je me soumettais.

Il sagenouilla au pied du lit et sa bouche vint au contact de ma chatte. Jean-Pascal membrassait, la langue de Pierre lapait la mouille et le sperme qui suintait de mon nid damour. Deux hommes en même temps ce nétait pas une première mais auparavant il sagissait dhommes qui me plaisaient, là mis à part Jean-Pascal mon dégoût pour Pierre saccentuait mais en même temps mexcitait, comment cela est il possible.

Elle est aussi bonne que sa fille lâcha t il au bout de quelques minutes de léchage.

Quest ce que tu dis, demanda Jean-Pascal.

Je dis que la fille est aussi chienne que la mère, je lai déniaisé il y a six ans, elle a le même goût, cest extra.

Il se glissa sur moi, Jean-Pascal du sécarter et lui laisser la place, son membre se positionna contre ma vulve, instinctivement jai resserré les cuisses. Son ventre écrasait le mien, je me dégoûtais et nattendait quune chose quil en finisse. Il mobligea à lembrasser, sa langue fouillait ma bouche. Moins bien doté par la nature que Jean-Pascal, je sentis à peine son sexe en moi, ceci dit il y était et allait prendre son plaisir.

Jean-Pascal sassit près de nous et tout en caressant mes cheveux minjuriait.

Çà te plaît salope, dis moi ce que tu ressens.

Jai honte, mais quil continue,.

Pierre soufflait comme un cheval, son haleine de fumeur et dalcoolique me répugnait mais mes sens trahissaient le plaisir que jy prenais.

Viens vider tes couilles, ça te plait de me baiser que je lui disais pour lencourager à en finir. Mais ce pervers en voulait davantage, il se retira et me fit mettre à quatre pattes.

Jean-Pascal en profita pour se mettre devant moi, sexe bandé, je lengloutis.

Pierre me saisit aux hanches et sa queue repris son activité au fond de mon vagin, en position de levrette je le sentais un peu plus et jaccompagnais chaque coup de boutoir quil me donnait.

Jétais saillis de chaque coté, je jouissais sous les coups de mes deux amants, Jean-Pascal se vida dans ma bouche au même moment où Pierre tapissait les parois de mon vagin de son foutre. Ils restèrent quelques instants en moi, puis Jean-Pascal se glissa hors du lit. Il quitta la pièce en disant à Pierre : profites en bien.

Je retombais entraînant Pierre avec moi. Il attendit que son membre flasque séchappe de mon écrin pour se relever. Face à moi, sa queue pendait lamentablement entre ses cuisses. Je me dégoûtais pour la énième fois de mêtre laissée abuser.

Va me chercher une bière mordonna t-il.

Jallais au garage prendre sa boisson, passant devant la chambre du bas, Jean-Pascal me fit un sourire entendu.

Je rejoignais mon pervers qui nen avait pas fini avec moi.

Suces moi pendant que je vide ma bière.

Il prit son temps, à genoux devant lui, entièrement nue, jaspirais son appendice et lui prodiguer ce quil me demandait, il mobligea même à glisser ma langue loin sous ses testicules, il sattendait sans doute à que je vienne lui lécher son petit trou, sa verge reprit du volume sous lactivité de mon muscle.

La canette vide en main, il sallongea et me dit de venir sur lui.

Mes seins pendaient au dessus de son torse, de sa main libre ils les malaxaient sans douceur.

Jambes écartées, je sentais son sexe battre contre ma chatte. Enfiles toi dessus, mordonna t-il. Je dus me résigner à prendre sa mentule en main et la diriger vers mon antre encore poisseux. Jai frotté son gland le long de mes lèvres vaginales et petit à petit me suis empalée pour répondre à ses exigences. Cest moi qui rythmait le va et viens de notre coït. Je me surprenais à y prendre goût, malgré la répugnance que javais pour lui. Il ne se lassait pas de me voir monter et descendre sur son pal et mon corps trahissait le plaisir quil arrivait à me procurer. Je redoublais defforts et un nouvel orgasme prit forme en moi, jexplosais dans un feulement de chatte satisfaite. Toujours empalée sur son vit, ma tête contre son visage je récupérais de mon orgasme. Il me glissa à loreille : ça sert à rien de faire ta mijaurée, tu as pris ton pieds, cest tout, aller mets toi sur le ventre.

Je mexécutais une fois de plus. Sa canette toujours en main bien que vide, il posa le goulot sur mon illet et après avoir recueillis de ma cyprine avec son doigt, commença à me sodomiser. Je navais pas la force de refuser ce quil mimposait. Assis à mes cotés, javais les jambes écartées et le spectacle que je devais donner nétait guère flatteur. Il poussait et mes intestins souvraient à ce godemiché de fortune. Il ressortit la bouteille pour voir la dilatation de mon muscle anal. Il me contraint durant de longues minutes, je savais que bientôt cest sa queue que je devrais subir, malgré cela je prenais plaisir à être ainsi possédée mes râles trahissant une fois de plus le traitement quil minfligeait. Un sourire vicieux marquait son visage. Il la retira sans douceur, ce qui fit un grand flop sonore et sinstalla entre mes cuisses. Il pointa sa verge et me sodomisa à grand coups. Jean-Pascal vint voir ce qui se passait, il avait peur que dautres voisins ne sinquiètent du boucan que je faisais. Pierre lui dit : tu avais raison, elle adore le cul.

Il prit tout son temps à me sodomiser, alternant avec ma chatte puis réinvestissant mes intestins. Jean-Pascal nen perdait pas une miette et je voyais sa queue prendre forme dans son short. Pierre finit par sépancher dans mon cul en me traitant de tous les mots. Tu seras mon vide couille à présent, puis il nous quitta. Jean-Pascal ne me laissa pas le temps de reprendre mes esprits que déjà il le remplaçait dans mes intestins. Il minsulta tout autant et finit par mêler son sperme à celui de son copain. Il se retira et descendit continuer ce dont pourquoi il était là. Quand à moi je suis restée un long moment sur le ventre à repasser les images de débauche que je venais de subir. Le foutre de mes amants maculait les draps du lit de ma fille. Il fallait que je les change et trouver une explication à lui donner si elle me posait la question.

A cet instant, je ne voulais pas penser aux jours suivants.

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