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Une secrétaire de braise – Chapitre 1




Cette histoire est une histoire vraie qui s’est passée il y a une vingtaine d’années. J’avais 43 ans.

Il y a donc prescription, mais Nicole, dont j’ai changé le nom bien qu’étant sûr qu’elle ne viendra jamais visiter ce site, était ma secrétaire dans l’entreprise où je travaillais. Agée de 47 ans à l’époque, c’est une femme petite, aux cheveux roux et à l’accent chantant des femmes du Sud, toujours habillée avec des décolletés qui laissaient apparaître ses seins volumineux et fermes, et qui avait pour habitude d’écouter et de rire très fort aux histoires salaces racontées par les hommes du bureau. Etant moi-même le chef du bureau, de temps en temps je lâchais une plaisanterie pour détendre l’atmosphère et elle riait à gorge déployée. Je sais aujourd’hui que je le faisais avec des intentions derrière la tête car son physique m’attirait, ses hanches pleines et son corsage, aurait dit Brassens, avaient tout pour faire le bonheur d’un homme, et petit à petit j’ai appris que son mari la délaissait depuis longtemps. Comme ma propre femme me trompait aussi depuis longtemps, je décidais de tenter ma chance, après tout, me disais-je, un petit coup de temps en temps, surtout avec elle, ça ne devrait pas être désagréable.

Donc, tous les jours, pendant la signature du courrier qu’elle préparait, nous parlions "fesses" en échangeant les dernières blagues à connotation très sexuelle. Elle se présentait devant moi avec le signataire et prenait appui sur le bureau, ce qui avait pour effet de me donner une vue plongeante dans son soutien-gorge, et certains jours, selon les robes qu’elle portait, je voyais son nombril et l’élastique de sa culotte. Autant vous dire que je me mettais à bander instanément et que mon regard avait du mal à revenir vers le courrier à signer. Ses seins étaient magnifiques, mis en valeur par des soutifs à balconnets et à dentelles, j’en étais arrivé à attendre l’heure de la signature pour l’adrénaline qu’elle faisait monter en moi, j’avais aussi remarqué que son ventre était relativement plat alors qu’elle avait eu deux enfants et je me prenais à imaginer tout ce que je pourrais faire avec si l’occasion se présentait. Je la déshabillais du regard, et elle s’en était aperçu, et l’un comme l’autre, nous attendions l’occasion sans en avoir jamais parlé ensemble, mais elle me l’a dit plus tard.

Un jour, l’occasion s’est présentée: un employé qui fêtait son départ à la retraite avait organisé un "pot de départ" en salle de réunion, en milieu d’après midi, et nous avons donc bu quelques verres qui nous avaient chauffé la tête, et vers 18 heures, chacun est retourné au bureau pour prendre vestes et manteaux et rentrer chez soi. Mais je n’avais pas vu le manège de Nicole qui embrassait tous les hommes du bureau pour leur dire au revoir, les pousser dehors en leur disant qu’il était l’heure de rentrer chez eux, et une fois qu’ils étaient tous partis, elle rentre dans mon bureau pour me faire la bise à moi aussi. Je me penche vers elle et vise sa joue, mais elle tourne la tête dans le même sens que moi et me colle un baiser de pieuvre sur la bouche en m’entourant la nuque de ses bras. Je n’ai pas hésité longtemps, je lui ai rendu son baiser si fort que nos dents s’entrechoquaient, je l’ai prise par la taille et j’ai aspiré sa langue qui me fouillait la bouche pendant plusieurs minutes. Soudain, elle s’écarte de moi, va vers la porte du bureau, verrouille avec la clef et me dit:

-C’est bon, y a plus personne..

Je savais maintenant que j’allais posséder cette femme qui m’avait fait fantasmer pendant des mois, mon slip ne pouvait plus contenir mon érection et dans la tête, j’étais en rut.

Je reviens vers elle, je la plaque contre le mur, je cherche ses lèvres et lui redonne un baiser passionné pendant que mes mains cherchent ses fesses, je la palpe plus que je ne la caresse, je sens sa chair ferme sous sa jupe, je lui pétris les fesses et je sens sa main descendre vers ma braguette… Dieu quelle sensation, je ne suis plus que désir et bandaison, elle a envie de moi et c’est réciproque, alors je me lâche…

Elle finit d’ouvrir ma fermeture éclair, fouille dans mon slip tout en m’embrassant, et fait sortir mon sexe tendu comme un arc.

Pendant ce temps je remonte sa jupe sur ses reins, passe les mains sous ses fesses et vais chercher la chair que je désire en m’infiltrant sous sa culotte, mes doigts lui écartent les fesses, caressent sa raie et son anus, elle serre les fesses puis les relâche et de sa main libre elle fait tomber sa culotte au sol puis écarte les jambes pour me donner accès à son ventre. Je pose la main sur son pubis, je frotte sa toison avec les doigts et mon majeur cherche sa fente, elle est humide, je dirais qu’elle est trempée car mon majeur est entré tout seul, je fais quelques aller-retours dans son vagin en tenant ses poils écartés avec deux autres doigts, elle soupire et d’une voix de gorge elle me dit:

-Ooooh prends-moi vite…

N’ayant pas de lit ni de tapis dans le bureau, je décidais de la prendre là, debout, contre la cloison du bureau.

Elle le comprit et m’aida dans mon entreprise en s’accrochant à mes épaules et en relevant les genoux de part et d’autre de mes hanches, je pus la saisir sous les fesses et l’amener à hauteur, son sexe ouvert à ma pénétration, et elle me guida en elle car mes mains étaient occupées à la soulever. Je ne voyais rien de ce qui se passait à cause de sa jupe, mais je sentais mon sexe entrer rapidement en elle, elle m’a enserré la taille avec ses jambes et a donné le rythme des aller-retour. Elle a eu un premier orgasme très vite, je l’ai ressenti aux contractions de son vagin autour de mon sexe et au râle qui sortait de sa gorge.

Je lui ai dit que je n’allais pas pouvoir me retenir encore longtemps et je lui demande aussi si elle prends la pilule, elle répond que ses trompes sont ligaturées et que je peux y aller. Sachant que je vais pouvoir jouir en elle sans retenue, je reprends le rythme de la copulation.

Ses seins sont devant ma bouche et je cherche à rentrer mon nez dans son corsage, alors elle le déboutonne, dégrafe son soutien-gorge et je peux lui embrasser les mamelles et sucer les tétons. Je suis au paradis, je baise ma secrétaire avec ses seins dans ma bouche, puis la tension est trop forte, je ne peux plus faire durer le moment, je plaque ses hanches contre les miennes et je prends mon plaisir comme un sauvage en poussant un cri rauque, je décharge tout ce que j’ai en moi et cela lui déclenche un autre orgasme qui aspire mon sexe au fond de son puits. Nous sommes en nage tous les deux, j’attends encore un peu, mon sexe toujours en elle, et j’ai envie de recommencer de suite de peur que demain soit un autre jour, mais elle me dit qu’elle doit rentrer chez elle avant que son mari ne rentre car c’est un jaloux, même s’il ne sait plus où est son devoir.

Nos corps se séparent avec un bruit de succion, je la repose au sol sur ses pieds, et c’est alors qu’elle me dit en parlant de son mari:

-"Tu as vu ce qu’il perd, ce con-là?"

Je veux l’embrasser de nouveau sur la bouche pour ne pas écouter la suite, mais elle me dit non, ramasse sa culotte, la renfile sans remonter sa jupe, me donne un petit baiser et me dit:

-Je dois y aller, à demain.

Puis elle met son manteau, déverrouille la porte et s’en va en faisant un petit signe de la main.

Je me retrouve seul dans le bureau en train de remettre ma braguette en ordre, et je me dis:

-Merde, tu viens de baiser avec elle, tu n’as pas rêvé, tu l’as embrassée, tu lui as sucé les tétons, tu l’as pénétrée, tu as joui en elle et tu n’as même pas vu sa chatte et sa raie. Il va falloir remettre ça, c’est obligatoire…

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