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Les expériences sexuelles des soeurs Ukazovà – Chapitre 26




J’ouvre le coffre de la voiture et y range les bagages. Je m’installe au volant et consulte la carte routière. Eva profite de ce petit intermède pour s’assoir sur le siège avant, mais sur le côté, les jambes pendantes, la portière étant ouverte. La vue donne sur le parking, mais il est sûr que son sexe doit être visible, dans la position où elle se trouve !

« Tu n’as pas peur qu’on te regarde ? Tu es en train d’exhiber ton joli minou à tous ceux qui peuvent le voir ! » Elle s’amuse de ma remarque :

« Tu veux que je sois coquine, alors je fais la coquine ! J’espère que ça se passera bien à la frontière hongroise ! » ajoute- t-elle aussitôt, pensive.

« Nous y serons dans une heure, ma chère ! » dis -je en repliant la carte. Eva se repositionne sur le siège, ferme la porte et nous démarrons. Il est 8 h 45.

Une heure plus tard, nous arrivons à la frontière roumano-hongroise. Il faut passer les deux postes successivement, et tout cela prend une petite heure. Eva reste dans la voiture durant cet épisode. Ensuite, nous filons en direction de Szeged, grande cité, que nous atteignons peu après 11 h 30. J’avise une station-service, juste à l’entrée de la ville, et j’en profite pour faire le plein. Un peu plus loin, nouvel arrêt pour faire quelques provisions dans un petit supermarché.

Cette fois, Eva décide de venir avec moi, pour se dégourdir les jambes. Vu l’heure, il n’y a pas grand monde et elle déambule dans les allées du magasin, ne craignant pas de se pencher pour examiner les produits exposés. Ce faisant, sa micro-robe laisse apparaître une partie de ses fesses nues !

« La belle coquine, qui montre ses fesses ! » lui murmurai-je à l’oreille.

« Et ça t’excite, hein ? » me répondit-elle, amusée, en sentant ma main droite palper ses fesses.

Une fois nos emplettes terminées, nous reprenons la voiture. A la sortie de la ville, un parking ombragé se présente et nous en profitons pour nous reposer et manger sur le pouce. Durant cette halte, Eva s’est assise sur l’herbe, les jambes écartées, m’offrant la vue complète de son affolante vulve.

« Tu aimes voir mon minou, n’est-ce-pas ? Alors rince-toi l’il, mon cur ! » me lance- t-elle, provocante.

Quand nous reprenons la route, il est un peu plus de 13 h. Tout se passe normalement jusqu’au moment d’entrer dans la ville de Kecskemét, vers 14 h 30. A un carrefour, la voiture qui nous précédait freine sèchement. Si je parviens à stopper sans problème, il n’en n’est pas de même pour le camion qui nous suit. C’est le choc. Je me gare aussitôt, ainsi que le camion. Peu de dégâts : le coffre est légèrement enfoncé, ainsi que le pare-chocs. Après avoir constaté lui-même les dégâts, le chauffeur du camion semble prendre les choses en main et un quart d’heure plus tard une voiture de police surgit.

Palabres compliqués vu la barrière de la langue ! Les policiers nous font comprendre de les suivre et ils nous amènent à l’office de tourisme, où ils trouvent une jeune femme s’exprimant en français ; j’apprends que je dois suivre les policiers au commissariat où ils me délivreront une attestation constatant l’accident, nécessaire pour sortir du pays sans complication. Tout cela prend du temps et il est 16 h 30 quand je reprends la voiture, où Eva est restée à m’attendre. Là, c’est en voulant ouvrir le coffre que je constate que le choc a bloqué l’ouverture. En me mettant en quête d’un garage, je tombe sur un agent de l’automobile-club hongrois au volant d’une camionnette atelier ! Il parvient à débloquer l’ouverture, mais tout cela nous fait perdre une bonne heure. Il est près de 17 h 30 quand nous reprenons la route. Après ces péripéties, la quête d’une halte pour la nuit s’impose.

A la sortie de la ville, un panneau indique un camping ; nous choisissons de nous y rendre. Il se trouve à 500 mètres de la route. Le nom est déjà tout un programme : camping Venus ! Et il est géré par l’automobile club ! Joli camping avec ces constructions pleines de boiseries. Il y a des bungalows, mais aucun n’est libre. On nous propose une chambre, située dans un bâtiment qui en compte une quinzaine. Petite, avec deux lits superposés, une table, deux tabourets et dans un coin, un lavabo et une armoire penderie. Les douches sont dans un bâtiment voisin et les toilettes dans la bâtisse même. Un peu spartiate, mais nickel.

« Ouf ! Quelle aventure ! On se souviendra de cet endroit ! » soupire Eva en s’affalant sur le lit du bas, tandis que je range les bagages.

« J’aimerais bien prendre une bonne douche ! » me dit-elle, alors que je reviens m’assoir sur le bord du lit. Nous décidons d’aller voir. Les douches sont dans un bâtiment partagé en deux parties. L’usage en étant réservé aux clients des chambres et des bungalows, il y en une dizaine dans chaque partie. Je propose à Eva d’y aller d’abord. Mon idée c’est de repérer ensuite les divers lieux du camping, lui laissant tout le loisir de s’y prélasser pendant ce temps.

Il est presque 19 h quand je reviens de la douche. Puis j’y accompagne Eva qui, pour changer de maxi t-shirt, a pris le « Split » de Jana, et l’a placé dans un sac en plastique avec le gel douche. Après quoi, je commence ma visite du camping.

Une fois entrée dans la salle, Eva constate que les cabines sont désertes et en choisit une située au milieu. Elle ôte son t-shirt, le place dans le sac et l’accroche à la patère sur la porte de la cabine. La douche a un pommeau mobile. L’eau est tiède et bien agréable. Une douce torpeur s’empare d’elle. Et quand le jet, un peu dru, rencontre sa vulve, un agréable frisson la remue. Et diriger le jet sur sa vulve devient un jeu. Puis, ce que lui avait fait Bob à Prague lui revient en mémoire. 

«  Tu dévisses la bague et tu retires le pommeau. Ensuite, tu pinces le bout du tuyau. Le jet est plus fort et là tu te fais plaisir ! »

Eva examine le pommeau : il y a bien une bague Un moment elle se demande si elle n’est pas un peu folle de La bague ne semble pas trop serrée et puis la tentation est trop forte ! Elle parvient à la dévisser et retire le pommeau. Un doigt sur l’embout et le jet devient plus dru. Elle le dirige sur sa vulve. De nouveau ce frisson, puis l’excitation. Eva vise autant que possible le clitoris. Elle commence à respirer fort, puis naissent les gémissements. Elle se laisse aller, tout à son plaisir.

« Alors, la Française, on se fait du bien ? »

Surprise, Eva manque de lâcher le tuyau. Elle lève les yeux : dépassant de la paroi de séparation, un visage féminin l’observe :

«  Et on connaît aussi le truc ? » l’inconnue désigne du menton le tuyau. Le visage est souriant, un brin moqueur. «  Je m’appelle Monika, je fais partie de l’équipe du camping. Je venais prendre une douche quand j’ai entendu des bruits étranges ! » elle rit, rassurant ainsi Eva.

« On peut se voir ? Vous êtes plutôt jolie » dit-elle, ayant l’air de la regarder avec intérêt.

« Tout de suite ? » demande Eva, intriguée.

« Evidemment ! Nous sommes dans les douches des femmes, non ? Bon j’arrive ! »

Une poignée de secondes plus tard, on cogne à la porte de la cabine : «Ouvrez, c’est Monika !  » Eva hésite un instant puis ouvre.

Une fille assez jolie aussi se tient devant elle. Eva  une rousse et, plus fort encore, qui ressemble à Jana ! Une seconde, elle imagine sa sur rousse ! Monika est toute nue et arbore une belle paire de seins.

« Vous êtes bien Française ? Je vous reconnais, vous étiez en voiture avec un jeune homme mari ? Ami ? »

« Non, je suis Tchèque et ce jeune homme est un ami français. Nous passons des vacances ensemble. » Eva ne tient pas à attirer l’attention sur elle en étant trop précise.

« Ah ! Bienil parait que les Tchèques sont des coquines enfin c’est Gabor qui dit ça ! C’est lui qui vous a inscrit et il m’a dit qu’il n’avait jamais vu de robe aussi courte que la vôtre et qu’il avait l’impression que vous n’aviez rien dessous ! » Monika a les yeux brillants et Eva se sent à la fois mal à l’aise et excitée

« Mais nous parlons, nous parlons vous avez pris votre douche ? Moi pas encore ; j’allais la prendre quand j’ai entendu ce bruit ! » Eva remarque que Monika la regarde intensément et sa façon de s’exprimer ajoutée au fait de rester plantée devant la cabine, suggère qu’elle aimerait bien prendre sa douche avec elle !

Eva hésite, mais Monika remarque son trouble : « Au fait, je ne vous ai pas demandé votre prénom ? »

« Eva ! Et je »

« Joli prénom ! » fait Monika en s’avançant. Eva comprend vite le ridicule qu’il y aurait à l’empêcher d’entrer, alors qu’au fond d’elle-même elle en a envie. Monika referme la porte. Elles se retrouvent face à face, nues.

« Il faudrait remonter le pommeau  » suggère Eva.

« Cela peut attendre ! Tu ne veux pas plutôt jouir ? C’est ce que tu cherchais, n’est-ce-pas ? » répond Monika en se mettant à la tutoyer.

Monika s’empare du tuyau et l’ayant pincé, ouvre l’eau et braque le jet sur le clitoris d’Eva. En même temps elle se penche pour mieux lui sucer ses tétons.

« Alors, ça te plait ? Tu as de jolis seins, tu sais ! »

Ce genre de propos trouble Eva, qui sent l’excitation monter avec ce satané jet d’eau dru qui lui astique littéralement la chatte et le clitoris ! Elle commence à se tortiller. Puis Monika se redresse et glisse sa main gauche sur les fesses d’Eva, puis dans la raie. Elle lui sourit :

« Tu aimes ? » lui demande- t-elle, tout en palpant les bords de son petit trou avec son index. Eva se raidit un peu quand elle sent ce doigt s’enfoncer dans son intimité anale.

« Tu es une belle coquine, on dirait ! » reprend Monika, tandis qu’Eva, le clitoris stimulé par le jet d’eau commence à respirer fort, puis gémit.

« Je vais te faire bien jouir, ma chérie ! » lui susurre alors Monika. Fermant alors l’eau, elle pose le tuyau sur le sol. Elle se redresse, pour lui caresser d’abord le sexe, avant de lui enfoncer aussitôt trois doigts dans la vulve et se met à la ramoner. L’excitation reprend pour Eva, qui, instinctivement, écarte les cuisses pour mieux accueillir ces doigts qui fouillent sa chatte. Elle sent aussi ce doigt qui maintenant fore son petit trou. Ses gémissements syncopés emplissent la cabine, tandis que les doigts de Monika s’enduisent peu à peu d’une cyprine huileuse.

Monika sent-elle que la jouissance de son amie approche ? C’est quatre doigts qu’elle enfourne dans la chatte d’Eva, quatre doigts qui la lui fouillent littéralement ! Tandis qu’elle essaie de lui enfourner deux doigts dans son cul ! Adossée à la paroi de la douche, les cuisses ouvertes, Eva sent l’excitation la submerger. Elle gémit de plus en plus fort, les yeux mi-clos, la bouche entrouverte, un filet de bave à la commissure des lèvres. Les doigts de Monika sont de plus en plus englués de sa cyprine. Monika qui accélère le rythme. Eva a la chatte en fusion. Elle crie de plaisir . L’éruption se déchaîne. Elle a comme un hoquet ; un râle la submerge. Un orgasme la cyprine coule sur ses cuisses.

« Eh bien ! Quand tu jouis, toi alors, c’est vraiment quelque chose ! » Monika la regarde, avec tendresse, tout en léchant ses doigts gluants de cyprine. Eva récupère lentement de cet orgasme. Puis Monika la prend dans ses bras et l’embrasse goulûment, ses mains caressant son dos et ses fesses.

Sortant de sa torpeur, Eva se raidit et Monika le sent :

« Qu’y a-t-il, Eva ? » La porte de la cabine, certainement mal fermée, s’est ouverte, alors qu’elles étaient en pleine action. Près de la porte d’entrée de la salle, une jeune femme, un petit sourire aux lèvres, les observe.

« Elle a sûrement tout vu et tout entendu ! » murmure Eva. Monika se retourne. Elle a un petit cri de surprise : « Mais c’est Janka ! C’est la sous directrice du camping ! Rassures-toi, ce n’est pas elle qui nous dénoncera c’est même le genre de situation qu’elle apprécie, si tu vois ce que je veux dire ! »

« Alors, les filles, vous vous amusez bien ? Autant vous dire que vous m’avez bien excitée ! J’ai pu vous voir en action une bonne minute. Et ça devait être bien intense, au point de ne pas se rendre compte que la porte s’était ouverte ! » Elle semble réfléchir :

« Ce soir j’organise une petite soirée entre amies Monika sait de quoi je parle Nous ne sommes pas très nombreuses j’aimerais bien que vous veniez aussi ! Au fait d’où venez- vous, mademoiselle ? » dit-elle en s’adressant à Eva.

« De Tchécoslovaquie, et je suis avec un ami  »

«  Vous êtes Tchèque c’est intéressant, ça, et le peu que je vous ai vu faire me suffit ! Je tiens à vous voir à ma soirée ! Quant à votre ami vous trouverez bien une excuse pour venir sans lui. »

Le ton est amical, mais Eva entend aussi le propos comminatoire. Cette femme veut, pour ne pas dire exige qu’elle vienne à cette soirée, dont elle perçoit le caractère sulfureux. En même temps, elle se sent attirée : ce serait une belle expérience pour elle. Quant à Bob, elle sait que si elle lui expose franchement les faits, elle est quasiment sûre qu’il sera d’accord, le coquin !

« Je vais voir avec mon ami je pense que ce sera possible. » répond t- elle d’un ton neutre.

La conversation s’est tenue devant la cabine de douche. Janka a eu tout le loisir de détailler l’anatomie de ses interlocutrices. Conquise, elle lance :

« Revenez ici à 21 h 30 ! Monika je compte sur toi pour qu’elle vienne aussi ! Et légèrement vêtues, comme d’habitude, n’est-ce-pas ? »

Une fois la sous directrice partie, les deux filles prennent leur douche. Et quand elles se séparent, il est presque 20 h.

« Viens avec ce t-shirt ! » lui lance Monika, en s’éloignant.

Eva regagne la chambre. Elle cherche un prétexte pour expliquer son retard, mais c’est pour voir Bob arriver devant la chambre au même moment !

« J’ai fait un tour dans le camping ! Il y a un joli petit restaurant, genre libre -service, ouvert jusqu’à 22 h on y va ? Mais tu sembles préoccupée. Je me trompe ? »

« Entrons un moment, Bob, j’ai quelque chose à te dire ! » Une fois à l’intérieur, nous nous asseyons sur le bord du lit.

« J’ai rencontré une personne, aux douches, enfin, une fille et nous avons sympathisé ! Elle fait partie du personnel du camping. »

« Et tu veux la revoir ? L’inviter ? »

« Pas vraiment, Bob ! Pour dire les choses nettement, la sous directrice du camping nous a surprises ensemble, et nous a proposé quelque chose : participer à une réunion assez spéciale, où il n’y a que des femmes. L’autre fille m’a dit qu’elle connaissait déjà ça la dame en question organise ce genre de truc à l’occasion comme ce soir, par exemple ! »

« Hum ! Elle vous a vu toutes les deux, en train de vous faire plaisir et elle a pensé que vous feriez l’affaire ! Et bien sûr tu as très envie d’y aller seule ? »

« Comment te dire ça ? Oui, j’ai très envie d’y aller, même si j’ai quelques inquiétudes mais il y aura Monika, cette fille »

« Ma chérie, si ça t’excite tant que ça pourquoi n’irais-tu pas ? Je serai ici, à penser à toi, à imaginer tout ce que vous allez faire. C’est à quelle heure ? »

« A 21 h 30, aux douches ! Après je ne sais pas où on ira mais la présence de Monika me rassurera ! »

« Bien, ma puce ! Allons au restaurant ! Nous avons le temps ! Tu viens comme ça ? » lui dis-je en désignant son t-shirt.

« Monika m’a demandé de venir ainsi alors, pourquoi ne pas commencer maintenant ? » me dit Eva, un petit sourire au coin des lèvres.

Peu de monde quand nous arrivons au restaurant. Nous prenons une goulache et un dessert avant de nous installer à une table. Ceux qui passent à proximité ont une vue saisissante des cuisses d’Eva, totalement découvertes une fois qu’elle s’est assise. Et sans doute toute latitude de s’interroger pour savoir si elle a une culotte ou pas Pour le haut, la vue des tétons qui pointent sous le t-shirt, dispense de se poser la question !

« Tu ne sais pas combien tu es excitante ! » lui dis-je, tandis que nous sirotons un café turc.

Elle rosit de plaisir : «  Merci chéri ! Je te raconterai tout ! » Puis nous nous levons pour sortir. Il est pile 21 h. Nous nous promenons un moment dans les allées du camping, avant de retourner à la chambre. Avant de la laisser partir, je la saisis dans mes bras, lui offrant un baiser langoureux, tandis que mes mains caressent ses fesses.

« A tout à l’heure, ma chérie ! » Elle sort de la chambre ; il est 21 h 25.

Deux minutes plus tard, Eva entre dans la salle de douche. Janka et Monika sont là, vêtues d’une mini-robe. Elles s’amusent de  son audace de porter ce t-shirt qui couvre à peine plus que les fesses, et plus encore, quand elle avoue qu’elle n’a rien dessous !

« Bon j’ai commandé un taxi ! Les autres arriveront par d’autres moyens ! »dit Janka . Puis ils sortent de l’enceinte du camping. Le taxi, une Lada, les attend. Une adresse, vers la sortie sud de la ville, jusqu’à une villa entourée d’un jardin. Elles entrent, puis empruntent un escalier qui les amène au premier étage, installé sous les combles.

Une grande pièce, éclairée assez faiblement, où il fait plutôt chaud. Eva remarque trois personnes assises sur un banc : deux femmes, la trentaine, cheveux blonds, visiblement teints et une jeune fille blonde d’environ 20/25 ans. Eva a un petit sourire en remarquant qu’elles sont, toutes les trois, pulpeuses avec une poitrine assez opulente pas étonnant qu’elle ait tapé dans l’il de Janka ! C’est cette particularité qui avait  guidé son choix !

Sur une table, installée dans un angle, des bouteilles, des verres et des amuse-gueule dans des assiettes. Adossés aux murs, trois canapés un peu défraîchis. Sur le sol, un matelas en mousse donne une idée de ce qui va s’y passer.

Sur un signe de Janka, celles qui sont assises sur le banc se lèvent. Eva n’est pas loin de penser qu’elle va, en fait, toutes les diriger! Juste à côté d’elle, Monika lui murmure que ça se passe ainsi, mais qu’elle participera. Elle jette un coup d’oeil  à sa montre : 21 h 50.

« Déshabillez-vous ! Ce soir, ce sera plus court que d’habitude, mais nous avons une petite nouvelle ! Dommage qu’elle soit juste de passage ! » dit Janka, en se tournant vers Eva.

Eva  qui regarde les trois filles se dévêtir en silence. Une fois nues, elles arborent toutes une paire de seins assez généreuse et des petites rondeurs là où il faut. Elles la regardent , la mettant un peu mal à l’aise.

« Enlèves ton t-shirt ! » Monika lui chuchote l’ordre. Eva se rend compte alors que Monika et Janka sont nues. Elle le retire.

« Retirez tout ce que vous portez comme bijoux, ou accessoires : pinces à cheveux ou autre. Enlevez tout ! Précaution habituelle pour éviter les pertes, vous le savez. Mettez-les dans un petit sac ! On vous rendra le tout après  »

Eva enlèves sa montre et le serre-tête qui lui tenait les cheveux relevés. Du coup, ils tombent sur ses épaules. Janka se tourne vers elle.

« Tu es mignonne, tu sais ! Ces seins laiteux, ces hanches, ces fesses, ces cuisses » Eva rougit ; ce compliment, venant d’une femme est inhabituel pour elle.

« On va bien s’amuser, chérie ! » Janka la regarde dans les yeux, tandis qu’elle saisit Eva par les hanches. Son visage se rapproche du sien. Les lèvres frémissantes de Janka Eva se trouble et toutes les deux se fondent dans un baiser torride où leurs langues se mêlent. Leurs ventres se touchent, tandis que leurs mains deviennent baladeuses : celles de Janka s’éloignent des hanches, remontant sur le dos, puis se posant sur les fesses rondes d’Eva, les pétrissant avec gourmandise. Eva lui rend la même caresse. Puis, insensiblement, Janka tend son bas-ventre, cherchant le contact avec la vulve de sa voisine.

Eva ne peut guère résister à une telle invite et leurs sexes se rejoignent. Se tenant toutes les deux aux fesses, elles entament une sorte de danse où leurs chattes se frottent l’une contre l’autre

Pendant ce temps, Monika se retrouve aux prises avec les deux femmes. Elles l’ont assise entre elles sur un canapé, et tandis que l’une joue avec ses seins, l’autre lui caresse l’entrejambe. Quant à la jeune fille, elle s’adonne au plaisir solitaire, tout en les regardant.

Puis après un moment de cette danse obscène, Janka entraîne Eva sur un canapé voisin. Et tout en échangeant de voluptueux baisers, elle caresse la vulve d’Eva, avant d’y introduire deux doigts. Eva frémit, et, spontanément, ouvre ses cuisses.

Les choses commencent à se corser, quand la jeune fille vient s’assoir à côté d’Eva et se met à lui téter les seins, tout en lui caressant les cuisses d’une main. Puis c’est Janka qui, abandonnant la vulve couvre de baisers brûlants le torse d’Eva, ses lèvres gourmandes courant de ses épaules à ses seins, de ses seins à son ventre et recommençant le manège.

Elle sent des doigts écarter les lèvres de sa vulve et s’y enfoncer : la jeune fille a tout simplement repris la place et fouille maintenant son sexe avec application. Eva ressent les prémices de l’excitation, et commence à mouiller.

Une autre silhouette apparaît. C’est Monika. Celle-ci saisit le pied gauche d’Eva et se met à le lécher et à le sucer, provoquant, chez cette dernière une exquise sensation. Puis elle s’assoit sur le sol, écarte bien ses cuisses, avant de poser la plante du pied sur sa chatte. Eva, amusée par cette initiative, se met à la lui masser.

Puis, interrompant ses baisers, Janka lui murmure : « On va te faire jouir comme une folle ! Je parie que tu n’as pas encore été tripotée par plusieurs femmes en même temps ! Tu vois, nous sommes cinq pour toi C’est un cadeau réservé aux visiteuses de passage ! Un souvenir inoubliable ! Après, nous verrons ce que tu nous offres en échange ! »

Eva se sent, en quelque sorte, piégée. Elle avait imaginé batifoler avec l’une ou l’autre, au gré de ses envies ; et elle se voit presque tenue d’accepter ce qui ressemble à un bizutage, certes fort excitant, mais

Janka la tire de ses pensées : «  Alors, ma chérie, tu es prête ? Je suis sûre que tu vas adorer ! »

On la fait mettre à quatre pattes sur le matelas en mousse, la tête face au canapé. Janka s’assoit sur le bord, de façon à avoir la tête d’Eva entre ses cuisses, contre sa chatte. Les deux fausses blondes se placent de part et d’autre, afin de pouvoir jouer avec ses seins. Monika se positionne entre les jambes écartées d’Eva, de façon à avoir sa bouche au niveau de sa vulve. Quant à la blondinette, elle s’agenouille sur le côté, à hauteur de ses fesses.

Eva sent d’abord des mains palper ses seins, les masser, triturer les tétons. Puis c’est une langue chaude qui passe sur les lèvres de sa vulve. Elle a un petit frisson de plaisir

« Allons, ma belle, lèches-moi la chatte ! » Eva a devant elle une vulve aux lèvres épaisses, un peu renflées, et encadrée de poils bruns. Docilement, elle se met à lécher, comme elle peut, car, en même temps, il y a ces mains qui triturent ses seins et surtout la langue de Monika qui passe et repasse sur sa moule. Sans compter ces mains qui caressent ses fesses et ces doigts qui glissent doucement dans la raie, à la recherche de son petit trou.

Eva se raidit un peu quand le doigt de la jeune fille se pose sur les bords de son cratère. Elle frémit un peu plus quand elle sent les doigts de Monika s’enfoncer dans sa chatte, tandis que la langue de celle-ci se concentre sur le clitoris. Puis elle sent des mains fermes qui lui écartent ses fesses, tandis que la pointe d’une langue lui titille l’orifice anal. Eva commence à se tortiller, ayant du mal à lécher la moule de Janka.

« C’est bon, hein ? ça t’excite ! » Janka exulte tandis qu’Eva sent l’excitation monter inexorablement. Sous son ventre, Monika lui ramone le vagin à quatre doigts, tout en titillant le clitoris avec le bout de sa langue. Tandis que la jeune fille, alternativement, lui fore le cul avec un doigt, et lui glisse le bout de sa langue dans l’entrée du cratère anal. Quant aux deux femmes, elles se sont mises dans une posture acrobatique afin de pouvoir téter ses seins.

« Lèches-moi la chatte ! Lèches-moi la chatte ! » Janka tient la tête d’Eva entre ses mains, pour l’obliger à se concentrer dessus. Ce qui devient de plus en plus difficile. Maintenant Monika lui ramone le vagin avec frénésie, elle mouille beaucoup, ce qui produit un clapotis obscène. Et puis il y a cette langue qui s’active sur son petit trou, ce doigt qui s’enfonce dans son anus. Et ces bouches qui sucent ses tétons durcis par l’excitation

Elle se sent devenir folle, excitée à la folie et cela  va crescendo. Maintenant elle crie, elle crie de plaisir. Et Janka, intraitable, qui lui tient la tête à deux mains, qui commence à devenir vulgaire :

« Lèches, mais léches donc, cochonne ! » Le pic est atteint quand Monika, sentant la cyprine dégouliner sur son visage, se met en tête de fister Eva. Elle parvient à y introduire ses cinq doigts, mais ne peut aller plus loin, malgré ses efforts. Mais c’est suffisant pour provoquer chez Eva une sorte de spasme ; un incendie s’allume dans son bas ventre, elle a l’impression d’être en chute libre. Puis c’est l’orgasme, puissant. Monika reçoit un jet de cyprine. Puis un deuxième orgasme. Elle mouille même de l’anus. Durant un instant, personne ne bouge ; puis l’une après l’autre, elles se remettent debout, avant d’aider Eva à se redresser puis à s’assoir sur le canapé. Elle est en sueur, son cur bat. Elle n’a jamais connu un tel orgasme elle a très soif.

Pendant qu’elle se remet, Janka lui amène un grand verre d’eau qu’elle boit d’un trait. Puis elle lui ramène cette fois, un verre de Tokay, un vin blanc doux.

« Alors, ça va maintenant ? Tu as jouis à un point que nous n’avions jamais vu jusque- là ! C’est extraordinaire ! Pas vrai, les filles ? » Elles acquiescent. Dans un coin Monika essuie tant bien que mal la cyprine sur son visage avec des serviettes en papier.

Durant un bon quart d’heure, c’est une pause improvisée, où elles bavardent de tout et de rien, buvant tout en grignotant des amuse-gueule, ignorant leur nudité. Puis, Janka se lève, et s’adressant à Eva :

« Si nous passions à la suite ? A toi de nous montrer ce que tu sais faire ! »

A suivre

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