Pendant la semaine qui suit, je rencontre Alain un ancien copain d’école de la même bande que défunt Lucien. Nous nous revoyons de temps en temps pour une petite bouffe.

—  Salut Alain tu vas bien ? 

—  Très bien et toi Aurélien ? 

—  Moi aussi, je t’offre un pot si tu as un peu de temps 

—  Pas de problème j’ai juste un rendez-vous dans une heure

Nous voilà attablés devant un demi de Corona. Nos discussions sont parties sur la politique et viennent rapidement sur l’actualité du harcèlement, bien remontés contre les féministes que nous qualifions de mal baisées. Toutefois, naturellement nous sommes d’accord sur les sanctions lourdes que doivent encourir les violeurs, agresseurs en tout genre, maris qui battent leurs femmes tout en nuançant comme le proverbe arabe : « bat ta femme, si tu ne sais pas pourquoi, elle elle le sait ».

A la suite de la conversation, j’embraye sur ma rencontre avec Marie. Je raconte avec forces détails.

—  Une vieille de 80 ans ? elle doit être ridée comme une vieille peau ? 

—  Je t’assure elle est vachement bien conservée et je te l’ai dit, c’est une vraie salope. J’aimerais bien te la présenter –  Je ne suis pas contre, c’est une expérience à tenter –  Tu veux que je l’appelle ? 

—  Oui vas-y .

—  Allo Marie, bonjour c’est Adrien comment vas-tu ? 

—  Tu veux passer me voir ? 

—  Je suis avec Alain un ancien copain d’école, il faisait partie de notre bande, il a bien connu Lucien. J’aimerais te le présenter 

—  Pourquoi pas, on pourrait évoquer les souvenirs d’enfance. Tu sais à par deux ou trois copines de quand j’étais au boulot et une un peu plus jeune de l’immeuble qui m’aide à faire mon ménage, j’ai n’ai pas trop souvent de visites. Mais je vous connais les hommes, vous papotez autant que les femmes. J’espère que n’as pas raconté notre rencontre de la semaine dernière. Si vous voulez, vous pouvez venir prendre le café cet après-midi vers 15h.

—  Ok. On y sera à tout à l’heure Marie, je t’embrasse

A l’heure prévue nous sonnons à l’appart de Marie.

Elle nous ouvre dans une tenue de ville classique : Corsage blanc légèrement transparent laissant deviner un soutien-gorge noir dilaté par son imposante poitrine. Jupe de tailleur mini, bas noirs sans chaussures.

—  Bonjour, entrez, mettez-vous à l’aise au salon, j’arrive avec le café et un petit pousse-café. Un vieil Armagnac qu’on m’a offert. 

Marie me fait la bise et serre la main d’Alain.

—  Alain je pense, puisque c’est comme cela que vous a annoncé Adrien –  C’est cela. Vous êtes ravissante –  Merci, vous êtes gentil, à mon âge on essaie de se maintenir 

Nous nous installons chacun dans un fauteuil, Marie revient avec un plateau, le café et les verres. Elle s’assoie sur le canapé en face de nous et une fois encore, nous gratifie d’une vue plongeante sur ses jambes, ses cuisses et le haut de ses bas. Alain n’en perd pas une miette et fixe obstinément son regard vers ce spectacle. Marie s’en aperçoit.

—  Alors Alain, Adrien souhaitait que nous évoquions le passé mais pour le présent, j’ai l’impression que vos pensées sont prises par autre chose. Ce sont mes jambes qui accaparent l’instant –  Je dois reconnaître, Marie , permettez-moi de vous appeler par votre prénom, que votre silhouette m’interpelle et attire mon regard. Vous parlez de vos jambes mais vous montrez également vos cuisses, comment voulez-vous que je sois insensible à cette vue ? 

—  Cela vous gêne ? 

"Non, je ne suis pas trop surpris car Adrien m’avait très bien décrit votre personne et je suis sidéré de votre fraicheur malgré votre âge que je connais »

—  Adrien qu’as-tu raconté à notre ami ? 

—  Quelques petites choses sur notre rencontre de la semaine dernière –  Je m’en doutais. Adrien a dû vous dire que j’étais une salope ? 

—  Non madame, il m’a plutôt dit que vous étiez une chienne experte dans l’acte sexuel et cela m’excite en votre présence –  Approchez que je vérifie. Tu peux me tutoyer et employer des mots crus, j’adore et ça m’émoustille

Marie dégrafe le pantalon d’Alain qui laisse échapper une très grosse bite en érection. Je sens que moi aussi je bande à la suite de cet échange de paroles.

Sans hésiter ; Marie s’approche pour mettre l’engin dans sa bouche et pomper ardemment.

—  Tu suces admirablement Marie je crois vraiment que tu es une super salope qui va droit au but je vais te défoncer comme une pute 

Pendant ce temps je passe derrière le canapé et dégrafe le corsage puis le soutien-gorge de la vieille salope pour m’amuser avec ses seins et ses tétons.

Tout en suçant Alain, Marie retire sa jupe et sa culote et en lâchant la queue d’Alain et lui demande la baiser.

« Baise moi Alain tu as une trop belle bite, ma chatte est trempe et t’attend. Adrien, j’ai vraiment envie que tu m’encules, comme je te l’ai dit la dernière fois,

Je me suis préparée dès l’annonce de votre venue car je subodorais ce qui allait se passer. Je me suis même branlée rien que d’y penser, ma chatte était déjà trempe avant votre arrivée»

—  Tu es vraiment une sacré salope Marie, tu ferais bander un régiment –  Pour le moment, baisez-moi tous les deux que je vous sente dans chacun de mes trous. Surtout, gardez votre sperme pour ma bouche 

La double baise est ardente, Maris ne cesse de gémir et de nous implorer de la défoncer.

—  Je sens que je vais jouir du cul je sens les bites qui se cognent entre les parois. Essayez de jouir en même temps que moi ce serait génial 

« C’est bon ça monte » crions-nous en cur 

Effectivement un triple orgasme fait trembler nos corps et malheureusement, chacun éjacule là où il est.

—  Recueillez le foutre de mon cul et de ma chatte, je veux le boire 

Nous présentons chacun nos tasses à café sous la chatte et le cul de Marie et laissons couler le précieux liquide.

— Voila salope, bois et avale.

La partie se termine ainsi. Marie prend congé de nous en nous promettant une surprise pour la prochaine fois.

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