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La gérante de la galerie d'art – Chapitre 16




Quand je reviens dans le salon rouge, Jenna semble un peu « partie ». Elle a dû écluser quelques coupettes à bulles et s’est laissée porter par l’ambiance un peu euphorique. Ses yeux brillent et roulent. Elle semble ne même pas prêter attention au fait que chaque homme qui passe près d’elle lui pelote et lui palpe un peu les fesses.

Jusqu’à ce que le maître de maison, un homme mûr ténébreux, d’allure sévère bien que bienveillante, l’attrape par les cheveux et la force à s’agenouiller sans violence mais avec fermeté.

Il lui colle son gros phallus bien dressé sous le nez, et comme elle met un peu de trop temps à commencer ce qu’il attend d’elle, il lui empoigne la tête, appuie sur sa nuque et force sa bouche.

Il se livre alors à de longs va-et-vient rapides qui s’accompagnent de gros bruits de succion obscènes.

Pour ma part, il y a un moment que j’ai repéré une blonde qui fait concurrence à Jenna :

en effet, je n’ai quasiment pas vu son visage mais ce qui m’attire mes yeux, outre sa longue chevelure, c’est sa croupe bien moulée par une jupe courte qui s’arrête à dix centimètres au-dessus de des genoux et elle porte des bottes en cuir et des bas fumée.

Tandis qu’elle est en train de piocher avec contentement dans les petits fours, je m’approche de son dos. Mes mains se posent sur son postérieur. Je lui ordonne de ne pas se retourner. Elle frissonne.

Je palpe goulûment à travers le tissu rêche ses fesses bien musclées, en prenant mon temps, en en appréciant la fermeté.

Mes mains descendent jusqu’au bas de sa jupe, crissent sur le nylon des bas, jusqu’aux plis des genoux, puis se mettent très lentement à remonter sous la jupe. Je lui murmure :

« – J’espère pour vous que ne portez pas un horrible collant, Madame ou du moins, si vous en avez un, que votre fessier est nu sans culotte sous ce collant Je ne supporte que les bas auto-fixants ou les collants porte-jarretelle.

Si tel n’était pas le cas je me serais dans l’obligation de vous punir et sévèrement (quel que soit votre propriétaire) ! Vous vous êtes déjà fait zébrer le fessier avec des verges de coudrier, très chère ? »

Elle balbutie, visiblement très émue – son émotion n’étant sans doute pas étrangère au fait que je l’empêche de voir qui est cet homme qui s’est soudain emparé de son postérieur et lui murmure près du cou, d’une voix basse et très calme, ces propos pervers :

« – Euh non, je ne mets pas de collants enfin, quand je viens ici

— Parfait » dis-je d’un ton satisfait, alors que mes mains remontent sous sa jupe, sur le nylon des bas qui gainent parfaitement ses cuisses

Je pousse un grognement de contentement quand mes doigts trouvent la peau nue du haut de ses cuisses, qui se hérisse immédiatement de chair de poule.

Je palpe un peu cette chair souple et douce, mais la quitte vite pour redescendre et avant qu’elle n’ait le temps de réagir j’ai déjà attrapé le bas de la jupe que je retrousse d’un seul geste assuré, jusque sur ses reins.

Sans qu’elle n’ait le temps de protester (elle n’en a d’ailleurs pas l’intention, elle connaît les règles ici) j’ai attrapé la jolie culotte, très échancrée, de dentelle et l’ai baissée au bas de ses cuisses : la voilà soudain comme une écolière, l’air pas bien malin, comme si elle allait être fessée en plein milieu de la classe !

Des curieux se sont approchés discrètement, et regardent la scène avec un air intéressé et approbateur.

Mes mains se sont saisi des beaux globes blancs, et commencent à les pétrir comme s’il s’agissait d’une bonne pâte à pain.

Je les pinçote, les presse, les masse, en appréciant la souplesse et la fermeté avec le sérieux d’un expert.

Derrière moi j’entends des gémissements : ce sont ceux de Jenna qui essaie de résister à la pression des mains de notre hôte qui lui maintient la tête, tandis que sa posture – arc-boutée en arrière et ses râles ne font aucun doute sur ce qui va survenir de façon imminente. En effet, il jouit à grands bruits en se répandant dans la bouche de ma soumise, et ne lui laisse aucun choix : d’un ton autoritaire il lui ordonne de tout avaler en la menaçant des sévices les plus cuisants si elle ne s’exécute pas.

La pauvre brune, bien à la peine, déglutit avec une moue écurée la semence épaisse de l’homme, qu’on devine abondante.

Je ne la laisse pas souffler, et laissant dans sa posture d’attente la blonde aux longs cheveux laineux, je l’attire vers elle en la tirant un peu par les cheveux, l’obligeant à marcher à genoux :

« – Viens Jenna, j’ai besoin de toi. Vois cette belle odalisque en bottes, dans la tenue que tu révères tant. Vois cette femme au beau cul, ton double en blonde. Approche. Et toi, écarte-toi les fesses ! Oui, comme ça. Maintiens-les bien ouvertes. Soumise Jenna va se faire un plaisir de te préparer le cul. Et avec sa langue !

Vas-y, Jenna, bouffe-moi sa rosette, lèche-lui bien le cul du haut en bas, du haut de la raie des fesses jusqu’à sa vulve Tiens, d’ailleurs, regarde : sa mouille tombe en stalactites qui oscillent, se balancent. C’est une vraie salope, une salope comme toi, qui s’excite, qui mouille quand on la domine Allez, au boulot ! »

Jenna fait la grimace, rechigne un peu, mais je ne la laisse pas tergiverser plus longtemps et je lui colle le visage entre les fesses offertes de la blonde, en appuyant sur sa nuque.

Elle n’a pas d’autre choix que de sortir sa langue et de s’y mettre si elle veut échapper à ma pression.

Elle se met à la lécher, tout d’abord avec une réticence manifeste puis, progressivement, avec un zèle croissant.

Quelques coups de cravache – de notre hôte qui a repris ses esprits bien appliqués (il vise bien, le bougre, on reconnaît là l’expérience d’un Maître) sur les fesses bien déployées lui arrachent des petits cris, étouffés par les globes fessiers de la blonde et contribuent à ce qu’elle y mette toute son énergie : elle lèche en de longs coups de langue bien appuyés, de bas en haut, n’oubliant pas la vulve ouverte et baveuse.

La blonde se met à haleter puis rapidement à émettre des cris qui ne laissent aucune place à l’équivoque. La femme est en train de prendre son fade, elle se lâche tout à fait, et tout son corps secoué de spasmes se met au diapason de ses cordes vocales.

Jenna semble un peu répugnée en revanche pour ce qui est du léchage de la petite rosette : je suis obligé de lui appliquer avec force sa bouche contre le petit trou de la blonde en lui enjoignant méchamment :

« – Bouffe-lui le cul ! Allez, bouffe-lui bien sa petite rondelle, enfonce ta langue, astique-la bien ! Il faut qu’elle soit bien lubrifiée. »

Le maître des lieux a trouvé aussi qu’elle ne montrait pas assez de zèle à cet ouvrage : son poignet implacable a zébré trois fois de suite et de façon rapprochée son fessier offert. Jenna a poussé des cris de douleurs, mais ce traitement a été fort efficace et l’a vite ramenée à la raison : nous la voyons s’agiter énergiquement, langue bien tendue, gougnotant la petite pastille avec frénésie.

Il la laisse la faire reluire un petit moment puis lui attrapant les cheveux il la force à se relever :

« – Allez, soumise Jenna, mets-toi en position. A côté de ta collègue, tu t’appuies sur la table comme elle. »

Puis s’adressant à moi :

« – Je vais l’enculer je pense que vous le permettez puisqu’elle est venue pour ça ; pendant ce temps vous défoncerez cette blonde qui semble vous avoir fait tant d’effet

Ensuite nous échangerons nos places.

Je pense que vous ne serez pas déçu elle est très bonne par le cul j’en sais quelque chose : c’est ma belle-sur et présidente de l’association paroissiale. Allez-y sans retenue, sans douceur n’ayez crainte, très cher, elle adore ça ! »

Sans autre forme de procès, sans autre préparation que celle que la langue de Jenna lui a prodiguée, je me mets en place, présente mon vit gonflé, tendu à éclater, devant le petit orifice, et je lui enfonce le gland. Elle se met à gémir, puis à crier tandis que j’investis son anus, progressant sans pitié dans le canal étroit.

Tout à côté le hurlement de Jenna en écho nous fait tressaillir : l’hôte, monté comme un âne, enfonce d’un seul tenant son gourdin dans l’orifice terriblement étroit de la belle brune

« – Ne vous laissez pas apitoyer, cher ami » lui dis-je, « elle réagit toujours comme ça, mais elle adore se faire enculer comme une chienne.

— Je n’ai pas l’habitude de me laisser attendrir » grimace-t-il, les dents serrées, « et j’adore profaner d’aussi beaux culs »

« – Et ma belle-sur » me demande-t-il après un silence, « comment trouvez-vous son cul ?

— Exquis, mon cher, exquis. Il est délicieusement serré, mais souple et doux comme du velours

— le meilleur » continue-t-il en besognant avec peine Jenna qui lutte, continue à gueuler, essaie d’échapper à l’emprise des mains de son enculeur – mais les mains grandes et puissantes, telles le serres d’un rapace, ne lâchent pas sa taille, « c’est d’imaginer chaque fois qu’on encule cette belle blonde bcbg que c’est cette même femme qui enseigne la catéchèse à nos enfants le dimanche !

— Est-ce qu’elle leur parle de Sodome et Gomorrhe ? » demandai-je, facétieux.

— Elle sera punie par où elle a péché » continue-t-il sans rire et en défonçant à coups de boutoir le pauvre cul de Jenna.

Le beau cul de la blonde me fait effectivement un effet buf ; et alors que je l’ai dépoitraillée, tandis que mes doigts commencent à tordre méchamment les pointes bien gonflées de ses seins, lui arrachant des petits cris, son petit trou se spasme et je ne peux me retenir plus avant : je décharge bruyamment dans son cul, lui envoyant mon lavement de sperme tout au fond de son rectum !

Tant pis pour Jenna, me dis-je. D’ailleurs je l’ai assez pratiquée par là et je le ferai encore. Et un autre se chargera bien de continuer à la ravager.

Notre hôte qui a dû se lasser un peu de ses simagrées, décide de se retirer de son cul et je lui cède la place : il a manifestement choisi de continuer à goûter aux délices de celui de sa belle-sur qu’il connaît bien.

« – Hum, mon cher beau-frère » soupire-t-elle alors que son gros vit a remplacé le mien, « vous êtes toujours autant le bienvenu.

— Je ne vous demande pas votre avis, de toute façon, sale bigote dépravée. Vous irez en enfer à force de vous faire enculer avec un tel enthousiasme.

— Oui, mais vous savez que vous êtes mon enculeur préféré, espèce de satyre, de pervers diabolique. Il n’y a que vous qui m’enculez aussi bien. »

Et là-dessus, le cou ployé en arrière, secouée par les coups de reins vigoureux du mari de sa sur, elle se laisse aller à des râles de contentement sous les ahanements de ce dernier.

(A suivre)

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