Elle s’en alla ; J’étais encore écuré de ce qu’elle m’avait obligé à faire ! J’allais me laver les dents et prendre un bon bain, ça devrait effacer les traces de son contact.
Qu’est-ce qu’elle me préparait avec son histoire de laisse et de collier ?
Enfin, j’avais une semaine de calme pour réfléchir à ma situation de soumission. Comment me sortir de cette escalade de perversions qu’elle m’imposait ?
Le mercredi arriva et j’angoissais !
Assis dans mon salon, j’entendis la clef dans la serrure de ma porte d’entrée. C’était elle !
— Bonjour mon toutou ! Regarde ce que je t’ai apporté ! Elle tenait une laisse et un collier pour chien ?
— Fous toi à poil me dit-elle, un chien c’est à poil, non ? Amusant tu ne trouves pas ? Allez dépêche-toi !
Sachant qu’il était inutile de discuter, je me déshabillais.
— Allez, même le slip, on a jamais vu un chien en slip !
J’ôtais le dernier vêtement me protégeant de la nudité totale. J’avais honte d’être ainsi nu devant ma femme de ménage qui se délectait de la situation avec un rictus de moquerie. Et en même temps j’avais comme une petite érection qu’elle constata : tu commences à bander mon toutou ! Allez, viens près de ta maîtresse, non, à quatre pattes !
Je me mis à quatre pattes et avançais vers elle. Elle me passa le collier autour du cou, l’ajusta au cran correspondant et y attacha la laisse. Voyons dit-elle, avance avec moi ! Javançais toujours à quatre-pattes.
— Voila un bon toutou à sa maman, on va aller faire un petit pipi dehors !
— Comment ça ? Lui-dis-je ?
— Tu as bien compris, on va sortir dans le jardin pour que tu fasses tes besoins !
— Non mais vous êtes dingue, je ne sors pas dans cet accoutrement ! Si quelqu’un arrive !
— Mais ta maison est bien trop isolée, personne ne passe ici tu le sais bien comme moi, et puis c’est un risque à prendre, fallait pas m’humilier ainsi depuis des années par ton comportement irrespectueux à mon égard ; sur ce elle ouvre la porte d’entrée et me tire par la laisse comme avec un chien.
— S’il vous plait madame Coquet, arrêtez cette humiliation !
— Non, non, pas question, fallait y penser avant !
Malgré moi, j’avançais et passais la porte d’entrée, pour me trouver bêtement à poil, en laisse et à quatre pattes dans mon jardin.
— Allez, viens tu vas aller faire pipi sur cet arbre là-bas.
— Mais c’est à l’autre bout du jardin, si on me voit, c’est horrible !
— Plus tu attends et plus il y a des risques à te faire surprendre, alors accélère dit-elle en me tirant un peu plus fort.
Le collier me serrant, j’avançais contre mon gré, à découvert ; pourvu que personne n’arrive…
Arrivé devant l’arbre elle me dit : lève la patte arrière et fait pipi !
— Mais je n’ai pas envie, et je ne sais même pas si j’arriverais à faire pipi ainsi !
— C’est toi qui voit, prends ton temps si tu veux, j’ai tout le mien !
Je levais la jambe arrière et tentais d’uriner, mais j’étais totalement bloqué !
— J’attends dit-elle, tu veux que je t’aide ?
Sans attendre ma réponse, elle se penche et me saisit la bite et en me la titillant elle commence à me faire bander.
— Ça devrait aller mieux comme ça, non ? Allez, fais ton pipi, mon gentil toutou !
Je me forçais et au bout d’un moment j’ai commencé à uriner dans cette position stupide, en me pissant même sur l’autre jambe !
— Bon allez, ça suffit comme ça dit-elle en me tirant, on rentre à la maison. On ressortira après si tu as encore envie ! ah! ah! ah! dit-elle en rigolant !
Nous étions en train de nous diriger vers la maison quand j’entendis arriver une voiture !
— Quelqu’un arrive, s’il vous plait laissez-moi me relever.
— Ne t’inquiète pas, je reconnais le bruit de la voiture de mon mari, tu n’as pas oublié qu’il venait t’enculer aujourd’hui ? Alors on va rentrer tranquillement à la maison et attendre qu’il gare la voiture.
Nous arrivions à la porte d’entrée quand Robert arrivait.
— Tiens, le petit toutou à fait sa promenade ? dit-il en arrivant, il a fait un gros pipi ? Allez, rentre, je vais m’occuper de ton petit cul de PD !
Nous sommes rentrés tous les trois et la femme de ménage me dit : reste à quatre pattes mon toutou, tu vas te faire mettre comme un chien par mon homme !
Je vis que Robert baissait son pantalon, l’enlevait ainsi que le slip et s’approchant devant moi, il me dit : tu vas me sucer un petit peu, histoire de bien me faire bander, je vais te le défoncer ton petit cul et tu vas en redemander.
Il se mit à genoux et me présenta sa bite devant le nez.
Je me suis mis à lui lécher puis à le sucer et il ne tarda pas à bander comme un âne.
— Bon, passons aux choses sérieuses !
— Attends dit sa femme, je vais lui mettre un bout de beurre dans le cul pour que tu le prennes bien à fond.
Elle alla dans le frigo et revint avec le beurrier, en coupa un bout et me l’enfila dans le cul.
— A toi Robert, et ne le ménage pas, défonce le bien profond ce connard et vide toi les couilles dans son petit cul de puceau !
Je me demandais comment une si grosse bite allait pouvoir me pénétrer !
Robert se plaça derrière moi, et malgré mes supplications d’en arrêter là, il me pénétra brutalement, me l’enfilant jusqu’aux couilles en criant : tiens petit salaud tu vas t’en prendre des coups de queue ! et il entama de me pilonner le cul comme un malade sans occuper de mes cris de douleur ; Il ralentissait puis accélérait, me pénétrant totalement d’un seul coup puis se retirait doucement, et recommençait. J’avais le cul en feu et malgré la douleur je commençais à aimer ça !
Sa femme voyant mon érection lui dit : et il aime se faire mettre, regarde il bande, qu’il ne nous raconte pas qu’il n’aime pas ça, sacré PD !
Elle s’approcha de moi, se baissa et me présenta ses cuisses écartées. Elle n’avait pas de culotte et m’ordonna de lui bouffer la chatte.
Au point où j’en étais !! Je me mis à la lécher et sans que l’on me touche, au moment où son mari me déchargeait tout son sperme dans mon cul, je me mis à jouir sur le tapis de ma salle à manger.
Je continuais à lécher ma femme de ménage jusqu’à qu’elle jouisse.
— Nettoie la bite de mon homme et le tapis, tu en as l’habitude maintenant ! Je me mis à sucer la bite de Robert pleine de son sperme et de ma crotte, puis léchais le tapis pour faire disparaitre toutes les traces de mon viol.
Je ne pouvais même pas nier que j’avais eu du plaisir !
Je devenais une vraie tante aimant la bite et la soumission, et je n’allais pas être déçu dans les semaines suivantes !!